TITRE : Sujet d'examen
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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C'était aujourd'hui le grand jour, du haut de mes 18 ans, je passais mon bac, aujourd'hui c'était l'épreuve de philo, 4 heures à lutter contre la page blanche. Cela faisait 2h 30 lorsque j'eu l'envie de sortir. Prétextant une forte envie d'aller au petit coin la surveillante de salle désignant son collègue pour m'accompagner au cas où il y ai des extraits de Freud sur la paroi des WC.

Je reconnais le pion qui est censé m'accompagner. C'est Nicolas, celui qui m'avait aidé pour mon problème d'inscriptions. Mais maintenant il me faut aller la bas sinon je pourrais être accusé de tricherie ; Je rentre donc dans la cabine. Je sais très bien qu'il est juste dehors et qu'il a fermé la porte du WC des filles. Pour éviter tout contact avec d'autres candidats.

« Lola! C'est bon !!!!!! ". Il sait très bien que non, ces foutus WC sont mal insonorisés, pour épargner les détails. Je l'entends s'approcher. « Lola, je te connais, ou tu es stressé ou bien. Lola sors de la tout de suite !!! Je me dépêche me demandant bien ce qu'il lui arrive, je sors précipitamment et il entre, j'ai compris.. Il veut vérifier qu'il n'y ait pas de pompe sur les murs.

Après son inspection je le vois qui me fixe. Et son regard qui descend plus bas que mon ventre, j'ai oublié de refermer ma jupe en sortant. Il fait un pas vers moi. Curieusement je sais qu'il ne va pas m'engueuler, je me demande ce qu'il va dire. « Lola, pourquoi tu as demandé à sortir ? Tu sais que je pourrais t'accuser de tricherie et interdite d'examen pendant 5 ans ».

« Mais non, c'est juste que voilà. et puis.. » J'essaye de remettre ma fermeture qui s'obstine à rester fermer. Il s'approche et attrape les deux bouts de la fermeture. Je commence à sentir une excitation qui contraste avec mon problème de tricherie.

Il me regarde comme pour chercher mon approbation. Mais déjà je vois son regard tombé dans mon décolleté. Sur la bretelle qui tombe de mon débardeur, qui laisse deviner un sein.

Il a toujours les mains sur ma jupe, il m'attire dans la cabine dont je sortais et bloque le loquet. Ma bretelle est définitivement tombée, ils sont tendus par le désir. Un instant il regarde le rose de l'auréole.

Je sais qu'on a atteint le point de non-retour. Je décide de prendre ses mains et de les faire glisser sous ma jupe. Son souffle s'accélère, le mien aussi. Il me plaque contre le mur. Il commence doucement à suivre le parcours de ma bretelle avant de lécher mon téton dur et fier sous la caresse, je me cambre lorsque je le sens mordiller.

Je veux le mettre au supplice même si une forme reconnaissable et excitante se presse contre ma cuisse. Je défais le bouton de son jean, et laisse ma main explorer son boxer avant de trouver ce que je cherchais.un sexe, dur, puissant, chaud, mais je sexe. je le veux, dans ma main, dans ma bouche contre mes seins. Je le sors de sa prison de tissus.

Sa main à lui caresse mes jambes, l'une d'elle étant appuyée contre la lunette, inconsciemment prête pour lui ; il arrive à la barrière de tissus, il taquine, effleure mon clitoris, le string est humide, mais fragile.

Au moment ou mes hanches touchent son sexe j'entends le tissu se déchirer, je m'entends crier, il étouffe le bruit par un baiser voluptueux avant de m'attraper les deux bras et les plaquer au-dessus de ma tête je ne peux plus bouger. Sa bouche dessus dangereusement sur mon ventre, ma toison brune, je sens une moiteur pulsait au fond moi. et déjà je le sens lécher, caresser, sucer, mon clitoris. je gémis.

Et en même temps, la peur d'être découverte augmente mon plaisir. Après de nombreuses caresses je n'en peux plus. il faut qu'il comprenne. C'est à mon tour de la plaquer contre le mur dans un grand bruit, il me regarde avec une flamme dans les yeux. Ma main retrouve ce sexe que j'avais délaissé plus tôt, enfin je le retrouve toujours plus tendu, offert à bouche, ma langue vient explorer ce pénis, taquinant le gland, enfin le prends dans ma bouche, allant et venant en laissant aller ma langue vers ses points sensibles, sa verge, le gland et quand je sens le liquide venir, je fais descendre l'autre bretelle de mon haut, révélant mes deux seins douloureux par le désir. Je l'entends respirer fort. Il me relève et en me regardant il me dit d'une voix rauque « Si tu continue tout sera terminé avant d'avoir commencer ». Il retourne et me revoilà prise entre le mur et lui, lui retrouve le chemin de mon vagin, enserrant mes lèvres, glissant un ou deux dans mon vagin enflammé, allant et venant, je sens dans mon ventre la jouissance venir, je me cambre, les gémissements deviennent des cris. Il revient vers moi, j'enlace mes jambes autour de sa taille, d'un coup de rein, il me pénètre, entamant le va et vient, plus vite, puissamment, mes ongles le griffent, il m'embrasse sauvagement. Puis je sens qu'il s'est répandu en moi. il remet une mèche de cheveux, essoufflé.

« C'était quoi le sujet de ton examen ? « « Faut-il désirer l'impossible ? »

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