TITRE : Suite à l'entretien d'embauche ...
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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Alors voilà, mon nouveau boulot était plutôt sympa, je visitais les artisans du bâtiment pour leur vendre des matériaux et produits destinés aux professionnels. Il y avait beaucoup de monde à voir…

J'étais toujours aussi accro au sexe (ce qui n'était pas pour déplaire à mon mari que mes aventures excitait…) et ce job s'annonçait intéressant pour ce genre de rencontres un peu originales. Et oui, n'en déplaisent à certains un peu frustrés, j'étais une « belle salope », ce qui n'avait absolument rien de vulgaire ni de péjoratif dans mon cas…

Pour visiter les chantiers, je m'habillais souvent en pantalon noir moulant, avec de petites bottes fines et un pull serré, cela était assez sexy tout en étant pratique selon le temps.

Ce matin-là, après deux visites infructueuses auprès de maçons, je décidais d'aller rendre visite à un menuisier dont l'atelier était dans le village et là j'avais une chance sur deux de tomber sur le patron. Je me trompais. Je suis tombée sur la patronne…

Une femme magnifique, d'une trentaine d'année environ, les cheveux noirs et les yeux verts. Elle portait un chemisier bordeaux bien ouvert sur un soutien-gorge en dentelle blanche… Mes yeux restèrent scotchés sur son décolleté, mais en femme bisexuelle bien élevée (lol) je me forçais à détourner mon regard et à lui adresser un sourire poli. Elle me souriait déjà d'un air amusé, et m'invita à m'asseoir pour lui présenter la gamme. Elle m'expliqua que son mari était sur un chantier mais que c'était elle qui passait les commandes quand il lui manquait quelque chose. Cette femme était vraiment très attirante, et tout en lui montrant mes produits, mon imagination allait bon train… mais je fus interrompue dans mes pensées par un frisson : elle était en train de me faire du pied et elle me caressait la jambe avec son escarpin… Je me sentais à la fois gênée et excitée de me faire draguer ainsi par une femme…

Je commençais à sentir ma chatte s'humidifier, et glissant ma main sous le bureau, je lui pris le pied et le posa sur mon entre-jambes avancé vers elle. Elle jouait avec son bout de sa chaussure et je commençais à haleter de plaisir. Puis, enhardie par son audace, je me levais, fis le tour et vins m'asseoir sur le bord de son bureau en face d'elle. On s'est embrassé langoureusement et je me suis appliqué à lui caresser ses seins à travers son chemisier, qu'elle déboutonna fébrilement. Elle s'empressa ensuite de me déboutonner le pantalon, me laissant me débrouiller seule avec mon pull serré (qui en bien entendu plus facile à mettre qu'à enlever…). Je me retrouvais ainsi en dessous, il ne lui restait plus que sa jupe, assez courte et fendue sur le côté. Je lui enlevais en la faisant glisser à ses pieds et ainsi à genoux, je me mis à lui biser son minou à travers son string de dentelle blanche. Ses caresses se firent plus pressante quand son string se retrouva à ses pieds. Ma langue glissait sur sa petite chatte lisse à la recherche de son clitoris que je ne tardais pas à trouver. Je le pris entre mes dents, ce qui lui arracha un gémissement de jouissance. Elle s'était penchée pour mieux me pincer les tétons, et maintenant que je lui aspirais son nectar, nous étions toutes les deux haletantes de plaisir. Elle me demanda de me relever et me passa la main entre les cuisses. Mon string était trempé, alors elle l'écarta pour lécher mon sexe lisse avec gourmandise. J'avais du mal à étouffer mes gémissements et des flots de cyprine se déversait dans sa bouche. Elle enfonçait ses doigts doucement en moi et continuait à me lécher avec délectation le clitoris quand la porte s'ouvrit : c'était son mari et l'apprenti qui entrait dans la pièce. Je n'eus pas le temps d'exprimer ma gène qu'il lança :

-Alors ma chérie, on gouine pendant que je bosse ? C'est bien, cette demoiselle est ravissante, laisse moi la goûter un peu si elle est bonne…

Ma beauté se releva en s'essuyant la bouche, un sourire aux lèvres. Son mari n'était pas un canon de beauté, mais j'étais tellement excitée qu'après tout je m'en foutais, j'avais envie de prendre mon pied. Mon regard croisa celui de l'apprenti au moment où je sentis deux grosses mains se poser sur mes hanches et une langue fouiller mon intimité. Il ne s'attarda pas sur mon entre-jambes, se releva et pris sa femme par la taille :

-Mais dis-moi elle mouille comme une petite salope celle là, tu as dû bien t'en occuper, je vais te récompenser à mon tour…

Il la plaça face au mur, dos à lui, et baissa son pantalon. Déjà à travers son caleçon qui fut vite baissé se distinguait son sexe en érection. Il lui empoigna les hanche et la fourra d'un coup. Elle poussa un cri de surprise mais elle se cambra pour se faire prendre plus profondément tandis qu'il la limait violemment.

Je restais là, à les regarder, à moitié nue, surprise et excitée, sans doute autant que l'apprenti qui était resté au milieu de la pièce à nous regarder.

-Et bien alors, tu vas pas rester planté là, occupe-toi de la demoiselle, tu vois bien qu'elle ne demande que ça ! lâcha le patron en nous voyant muets et immobiles.

L'apprenti devait avoir à peine vingt ans, et me sembla au prime abord un peu gauche, mais encore une fois j'avais tout faux… Ses doigts experts attrapèrent mon clitoris qu'il branla doucement et de son autre main il attrapa mon sein pour jouer avec sa langue sur mon téton dressé. Je sentais une bosse à travers son pantalon et cela m'excita encore plus. Je m'enhardis à le lui déboutonner pour passer ma main dans son caleçon et trouver au bout de mes doigts une bite bien dure que je caressais vivement.

Les patrons avaient changé de position et elle en avait profité pour sortir de son sac un préservatif et le jeter sur le bureau, près de nous. Le patron s'était assis sur le fauteuil et se branlait en nous regardant. Sa femme était visiblement excitée à l'idée de voir l'apprenti me prendre car elle s'approcha de lui, le retourna, lui sorti le pénis et l'engloutit dans sa bouche pour le faire bander au maximum. Elle lui mit le préservatif et en se relevant, me murmura à l'oreille :

- Vas-y amuse-toi petite cochonne…

Il me renversa donc sur le bureau et présenta sa bite devant mon sexe déjà béant d'excitation. Il n'eut pas à forcer pour s'y introduire. Il me pilonnait de plus en plus fort, sa main sur ma bouche pour m'empêcher de gueuler comme une chienne, tout en serrant mon sein entre ses doigts.

La patronne était empalée sur le pénis de son mari qui n'avait pas changé de place, et elle jouissait comme une folle. D'un coup il se leva, son engin toujours en elle, et la pencha en avant, les deux mains sur le bureau, juste à mes côtés. Il se retira de sa chatte et lui lécha le cul pour le lubrifier. Puis il la doigta gentiment pour le préparer à la sodomie. En effet, bien que de taille convenable, sa queue était très épaisse et il semblait très tendre avec sa chaude épouse… Il lui présenta sa verge devant son trou humide et elle se recula pour l'enfoncer doucement. Elle gémissait et se recula de plus en plus jusqu'à l'avoir entièrement en elle.

Il prit alors les choses en main (ou plutôt en bite devrais-je dire) et la sodomisa de plus en plus durement, sollicité par les cris de sa femme :

- Vas-y défonce-moi bien, je suis ta pute, ta garce … encule-moi comme une salope… c'est bon….

De son côté, mon apprenti continuait à me baiser, il était endurant vu le rythme effréné qu'il avait pris depuis le départ. Mais ce qui se passait à sa droite lui donna des idées et il me sodomisa à son tour. Oh, il ne prit même pas la peine de me lubrifier, ma mouille avait coulé jusqu'à mon cul et de toute façon ce dernier, dès que j'étais excitée, s'ouvrait comme un affamé pour laisser entrer n'importe quoi( ou n'importe qui…). Donc il allait et venait comme s'il était dans ma chatte et je jouissais par ses coups de reins de plus en plus rapprochés.

- T'es bonne toi, tu m'excite petite salope… ton cul…. Je viens…

…et on entendit un grognement viril, le patron se retira et déchargea son foutre sur le trou du cul béant de sa femme qui se tenait les fesses écartées.

L'apprenti, qui, c'est normal, prend toujours exemple sur son patron, fit encore une fois tout comme lui, à une seule exception : il n'eut pas le temps (ou la volonté) de se retirer et se vida les couilles dans ma croupe avec un gémissement pudique.

Le patron lui asséna une claque dans le dos avec un sourire entendu… il apprenait vite ce jeune là, remarqua-t-il…

Quant à moi je récupérais mes affaires, aidée de la patronne qui avait toujours le sourire, les joues un peu rouges aussi, enchantée par cette petite aventure. Elle me commanda dans la foulée un produit pour l'entreprise et je repris la route satisfaite, avec les fesses un peu endolories tout de même….

Le soir même, comme à mon habitude, je racontais mon aventure à mon chéri. Cela l'amusa beaucoup et me raconta ses turpitudes du bureau. Mais peut-être un jour vous les racontera-t-il ?

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