TITRE : Le strip-tease de Florence
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Marc m'avait fait part du désir de certains membres de son petit groupe de libertins de me faire participer à d'autres petites soirées. En fait, il s'agissait de parties de baise où les hommes étaient (beaucoup) plus nombreux que les femmes. Je participai à quelques-unes de ses soirées dont certaines assez, disons... cuisantes. Il m'arriva même d'être la seule femme livrée aux appétits dissolus d'un groupe de huit participants mâles. Sans nul doute, bien qu'ayant conscience de m'humilier quelque peu, j'aimais ce type de réunion. Certains (es) trouveront que je fais l'apologie du machisme, mais c'était mon truc, ma perversion à moi. La perspective de m'offrir ou plutôt d'être offerte par Marc dans des fêtes soigneusement orchestrées, par lui ou par ses amis, me plongeait dans l'excitation la plus extrême. Plus le temps passait, et plus j'affectionnais de devenir soumise à Marc et qu'il me fasse devenir le temps d'un soir le divertissement, la chose, l'objet et même l'esclave des accompagnateurs de ma débauche.

Je vous raconterai peut-être un jour des soirées qui eurent lieu chez moi ou ailleurs, ainsi que mes retrouvailles avec Nathalie.

Pour l'instant, laissez-moi vous raconter ma découverte d'un lieu dont je vous reparlerai certainement. Pendant que mon mari poursuivait sa carrière australienne, je menais toujours une vie de joyeuse célibataire. Mes contacts (téléphoniques, épistolaires ou par courriel) avec Philippe avaient une fâcheuse tendance à s'espacer. Cela ne laissait pas présager quelque chose de bon... Nous avions pris tous les deux, en toute conscience, la décision de son éloignement peut-être momentané... Bref ! Nous ne pouvions nous interdire "en célibataire" ce que nous nous tolérions "en couple". Surtout que Marc, mon patron, mon amant, mon initiateur au dévergondage, le cicérone de mes ébats ne me ménageait pas... à ma grande joie. Je me demandais toujours comment j'avais pu devenir sa maîtresse, il aurait pu aisément trouver mieux et surtout plus jeune... Comment pouvais-je garder un tel amant, bien plus jeune que moi, pas mal du tout et surtout si pervers... Cela me laissait un peu abasourdie, mais j'avoue, que cela me rendait assez fière. Alors ! Que cela dure le plus longtemps possible...

Un après-midi, j'avais remarqué à plusieurs reprises qu'il me regardait avec sa mine gourmande. En général, cela augurait d'une soirée des plus "intéressantes". Monsieur le Directeur avait-il en tête quelques réjouissances un peu cochonnes en compagnie de son assistante ? Je n'en doutais pas et jouai, moi aussi mon rôle. Celui de celle qui avait bien compris le message et qui, reins cambrés, poitrine en avant et cuisses croisées très haut s'offrait par avance. A l'heure de la sortie, il me demanda d'un air railleur "si j'avais des projets pour ce soir". Je lui répondis, amusée, que mon amant allait selon toute vraisemblance bien s'occuper de moi. Il me dit :

- Je t'emmène au restaurant, puis nous irons boire un verre dans une boîte que l'on m'a recommandée... Je passe te chercher tout à l'heure. Ah ! J'allais oublier, surtout pour une fois, mets une culotte !

Là aussi, je pouvais aisément comprendre entre les mots. Cette recommandation signifiait clairement que j'allais à un moment ou à un autre, devoir quitter ma culotte et ce, dans un lieu plus ou moins public.

Je rentrai à mon appartement me préparer. Une fois coiffée et bien maquillée, je choisis ma tenue. J'adoptai le string... Si le sous-vêtement m'était imposé, rien ne m'empêchait d'avoir les fesses nues, je m'y étais bien habituée. J'y ajoutai une paire de bas fumés et une jolie petite robe blanche assez près du corps, un peu au-dessus du genou, sans manches, avec de fines bretelles et un charmant décolleté qui, sans être ravageur, n'en était pas moins prometteur. Une paire de talons hauts - là non plus, pas mes plus hauts - une petite dizaine de centimètres, et hop j'étais prête... prête à tout... évidemment !

Marc ne se fit pas attendre... Après avoir dîné, nous prîmes le chemin de la boîte en question. A un moment, j'eus un peu (Oh ! Un peu seulement) peur car Marc ralentit à l'endroit où il m'avait exhibée et proposée à trois voyeurs. Il m'avait toujours dit qu'il me ramènerait à cet endroit une fin de semaine et qu'il y aurait plus de participants désireux de se repaître d'une jolie femme offerte. Nous étions vendredi.... Mais non, la voiture reprit son allure.

Nous parcourûmes une quarantaine de kilomètres et Marc stoppa devant ce qui avait dû être autrefois une grande ferme close. La voiture pénétra dans la cour carrée aménagée en parking. Pas mal de véhicules s'y trouvaient déjà. Marc, me prenant le bras, me guida vers un corps de ferme. Sonnerie... le judas s'ouvrit... Marc produisit une carte... la porte s'ouvrit... Deux géants nous laissèrent entrer. Nous nous trouvions dans un vaste salon genre salon d'attente avec banquette et fauteuils ainsi que l'accueil et le vestiaire. S'approchant, Marc régla le droit d'entrée et je le vis prendre quelque chose dans une coupe posée en évidence. Revenant vers moi, il me fixa (sans oublier de caresser le sein) une sorte de broche, à la limite de ma bretelle. C'était une broche phosphorescente qui portait un numéro, le quatorze. Je l'interrogeai du regard, il me répondit énigmatiquement :

- Laisse... Fais-moi confiance...

Fallait-il vraiment ?

Il me désigna une porte qui s'ouvrait sur un bar à la lumière tamisée, me demanda si je voulais boire un verre à ce bar, ou si nous descendions à l'étage inférieur où se trouvait la boîte. Comme je ne manifestais pas de préférence, il me prit par la taille et nous descendîmes. L'intérieur était assez sombre et comportait un comptoir et une piste de danse; autour de cette dernière, des petits boxes intimes pouvant recevoir quatre ou cinq personnes. Un peu plus loin il y avait une autre série de boxes tournée vers une sorte de scène. Mes yeux s'habituant à la lumière tamisée, je m'aperçus qu'il y avait beaucoup d'hommes seuls qui regardaient vers la scène où une femme effectuait un strip-tease. Après avoir commandé à boire, Marc m'emmena vers un box libre, non loin de la scène. Je me lovai contre lui, il passa un bras autour de ma taille et se mit à déposer de légers baisers sur mon épaule nue, hummm ! Tout en flirtant légèrement, nous regardions la femme continuer de se déshabiller.

Marc me demanda :

- Comment tu la trouves ?

J'observai... Pour avoir une fois ou deux vu ce genre de spectacle, j'étais pratiquement certaine qu'il ne s'agissait pas d'une professionnelle.

- Je trouve qu'elle ne se défend pas mal... Cela ne doit pas être évident.

Marc parut satisfait de la réponse.

La fille était maintenant en slip et une voix annonça au micro:

- Chers amis, remercions Estelle de nos applaudissements...

Elle salua et disparut en coulisse. La voix reprit :

- Et maintenant, le numéro treize... le numéro treize !

Sortant d'un box, une femme monta sur scène et... et brusquement, je compris...

- Mais... enfin ! Tu ne penses pas que... que... que je...

Avec l'air faussement surpris et ingénu que je ne lui connaissais que trop bien, celui qu'il avait en abattant ses cartes, il me susurra :

- Je ne t'avais pas avertie... Tu es sûre ? J'ai dû omettre de t'en parler... Cette boîte organise des soirées un peu spéciales... échangistes ou à thème... Ce soir, c'est soirée strip-tease... Toutes les femmes portant cette broche sont candidates à l'élection de "Miss Strip", tu ne vas pas me faire honte et refuser maintenant ?

J'hésitai, le salaud, le salaud... le salaud... C'était donc cela son projet, que je me déshabille devant ces types qui devaient baver... D'un autre côté, je ne voulais pas passer pour une bécasse... Mais enfin ! A mon âge... Allez, tant pis, je donnai mon accord du bout des lèvres. La prochaine ce serait moi. Marc tint à compléter :

- Que je te dise tout... A l'issue du vote, les trois premières doivent revenir sur scène pour... enlever leur culotte... et... Elles doivent rester dans cette tenue toute la soirée...

- Et si elles ne veulent pas ?

- Elles et leurs amis sont exclus du club à vie... Inutile de te préciser que si par hasard tu étais dans le tiercé gagnant... Tu vois ce que je veux dire... je tiens à revenir ici quelques fois...

Je hochai la tête, peu convaincue : pourvu que je ne sois pas dans les trois premières... cela m'éviterait tout dilemme.

La femme sur scène termina son "show". Je me mis à trembloter... L'homme au micro réapparut, dit quelques mots que je n'écoutai pas, tellement j'étais crispée. Puis il annonça ce que je redoutais :

- Maintenant notre avant-dernière candidate, j'appelle le numéro quatorze... la concurrente numéro quatorze est invitée à monter sur scène !

Une boule m'obturait la gorge, un regard vers Marc qui, caustiquement, me souffla :

- A toi, vas-y, sois très sexe...

Je pris une profonde inspiration et mon courage à deux mains et me levai pour me diriger vers la scène. J'y grimpai, l'homme vint vers moi et posa sur moi un regard profond en me demandant mon prénom. S'adressant à l'assistance, il m'annonça ainsi :

- Chers amis, permettez-moi de vous présenter Florence... Pour notre grand plaisir...

Quelques applaudissements et il se retira. La boîte fut plongée dans une semi-obscurité, à part un spot qui allait suivre mon évolution. Je me mis doucement en mouvement, au rythme d'une musique au tempo assez lent. Après avoir un peu ondulé, je pris une chaise m'y assis langoureusement. Je tendis une jambe, posai mes mains sur ma cheville et remontai avec lenteur en me caressant la jambe, puis la cuisse. Je remontai ainsi jusqu'à ce que mes pouces puissent se glisser à l'intérieur de mon bas (bien entendu ma robe se trouva fort retroussée). Avec lascivité, je fis rouler mon bas que je quittai, remis ma chaussure et fis de même avec l'autre jambe comme je l'avais déjà vu faire en d'autres occasions.

Devinant des regards lubriques, je commençai à me prendre au jeu. Tout en continuant à me déhancher sensuellement, sans hâte je me levai et tournai le dos au public. Passant les mains dans mon dos je fis descendre ma fermeture à glissière jusqu'au milieu du dos, puis j'entrepris de faire glisser les bretelles de ma robe. Je retins ma robe pour qu'elle ne tombe pas tout de suite. Je pris un temps pour faire admirer mon dos nu et mon absence de soutien-gorge. Toujours sans précipitation, je dégageai ensuite mes hanches du tissu, révélant ainsi mon seul sous-vêtement, en l'occurrence la cordelette de mon string qui disparaissait entre mes fesses. Ma robe chuta à mes pieds. Quelques applaudissements saluèrent l'apparition de mon arrière-train. Je croisai les bras sur ma poitrine et me retournai. L'assistance put juger de la petitesse du triangle de mon string... Avec une lenteur calculée, je décroisai mes bras et offris mes seins à l'assemblée. Applaudissements...

L'homme au micro revint, me remercia et, tout en me faisant passer backstage, me complimenta pour ma prestation. Pendant que la dernière femme se livrait en spectacle, j'attendis le vote en compagnie des treize autres "postulantes". Parmi celles-ci, il y en avait qui, à l'évidence, étaient des habituées de cet endroit, elles me paraissaient plus jeunes que moi... Mais quand même... physiquement, je tenais la route... Par contre, il y avait une blonde sculpturale que je pronostiquai immédiatement gagnante...

La dernière vint nous rejoindre et le speaker annonça le vote. Après quelques instants, il vint vers nous, nous annoncer le classement. Comme prévu la blonde gagna... et ouf ! je ne me classais que quatrième. J'allais pouvoir me rhabiller. Le meneur de jeu annonça :

- La médaille de bronze ou seconde dauphine !

La fille reparut sur scène et, après qu'elle eut été applaudie, j'entendis le public scander:

- La culotte ! La culotte ! La culotte !

Puis il se passa quelque chose que je ne compris pas tout de suite, ne pouvant voir la scène. C'était comme si le ton montait entre plusieurs personnes, puis des :

- Hou...! Hou...! A la porte...! Dehors...!

Le calme revint et la voix au micro reprit :

- Puisque notre amie ne veut pas respecter les règles en vigueur, elle se trouve éliminée... En conséquence, la quatrième devient la troisième... Si Florence veut bien nous rejoindre...

Tout avait été trop vite pour moi. De tranquille et sereine, je me retrouvai à nouveau confrontée à moi-même et aux turpitudes de Marc. Je parus à nouveau dans la lumière du spot. De nouveau les spectateurs insistèrent :

- Le string...! Le string...! Le string...! "

Mortifiée, je décidai néanmoins d'aller jusqu'au bout... Comme je l'avais fait précédemment, je tournai le dos à la salle, lui permettant d'admirer mon postérieur et le cordon qui se perdait entre mes globes. Je passai mes pouces dans l'élastique qui me ceignait les hanches et fis descendre le ridicule petit bout de tissu, illusoire gardien de ma féminité. D'un geste rapide, je me retournai et pris la pose, déhanchée, mains sur la taille et jambes légèrement écartées. Je laissai apprécier un moment la vue de mon pubis et de mon entrejambe aussi lisse qu'au jour de ma naissance. Je fus applaudie et en tirai une certaine fierté.

Il faut quand même que je vous avoue que faire ce show m'avait bien allumée. Marc allait passer une bonne soirée...

Le présentateur me fit rester sur scène et ce fut le tour de la deuxième de revenir pour achever son effeuillage. Elle était brune également et quitta prestement son string. Franchement, je ne la trouvai pas mieux que moi... mais elle semblait profiter d'un certain clientélisme. Je mis cela sur le compte de la jalousie féminine... En revanche, en ce qui concernait la première, aucune discussion possible, c'était vraiment un canon. Bien faite, beaux seins, jolie de visage, bien coiffée, bien maquillée, elle méritait la palme. Elle fut vivement applaudie lorsque, lascivement, elle quitta son slip de dentelle noire sous lequel elle était aussi épilée. L'animateur, qui était en fait également le patron de la boîte, nous fit nous approcher toutes les trois, nous prendre par taille et nous photographia plusieurs fois pour les "archives" du club.

Puis il nous souhaita une bonne fin de soirée et partagea ces souhaits avec l'assistance. Il nous précisa que nos vêtements seraient à notre disposition au vestiaire lors de nos départs.

Je me préparai donc à rejoindre Marc, à peu près certaine que ce vicieux allait me faire un peu évoluer dans le plus simple appareil. J'allai regagner notre table, lorsqu'un homme se présenta et demanda à Marc :

- Oh veuillez m'excuser ! Je ne savais pas Madame accompagnée... Puis-je solliciter votre permission pour toutefois lui offrir un verre ?

- Si vous le souhaitez, je n'y vois aucun inconvénient.

Là, il exagérait... mais après mon strip-tease, que voulez-vous que je fasse sans paraître ridicule ? Je pris le bras qu'il m'offrit et le suivis, interceptant au passage un clin d'œil énigmatique de Marc.

En fait, il m'emmena vers le bar où se trouvaient deux autres hommes. Présentations, banalités, je m'assis sur un haut tabouret, jambes serrées, consciente de l'incongruité de la situation. Nue au bar de ce club, entourée de trois inconnus (qui furent bientôt quatre) qui ne se privaient pas pour détailler mon anatomie. Sous leurs regards impudiques, mes nichons se gonflèrent et les tétons se raidirent, ce qui n'échappa pas à mes interlocuteurs, qui en profitèrent pour plaisanter de façon très légère.

Tout en continuant son baratin, l'un d'eux posa la main sur le haut de mon genou. Au fil du conciliabule, cette main remonta à mi-cuisse et comme j'étais parallèle au bar, celui qui était derrière moi posa la main sur mon avant-bras qui s'y accoudait. Conversation leste aidant, un deuxième homme posa sa main sur mon autre cuisse. Je serrai les jambes encore plus, devinant malgré tout leur intention de ne pas en rester là. J'allai les prier de cesser leurs attouchements malgré le feu qui me dévorait le bas ventre, quand celui de derrière, délaissant mon bras glissa sous celui-ci. Sa main vint se refermer sur l'un de mes seins. La surprise me fit relâcher la pression que j'exerçais sur mes cuisses.

Avec une rapidité folle, les deux mains se posèrent sur la face interne de mes cuisses et commencèrent à les entrouvrir lentement. Je tentai bien de refermer le compas de mes jambes, mais les hommes étaient forts et comme d'une part je peinai à cette manœuvre, et que d'autre part le quatrième homme s'était saisi de mon autre sein, me perturbant encore plus, ce fut l'inverse qui se produisit... Ils parvinrent à m'écarter les cuisses en les couvrant de caresses. Je ne peux pas dire qu'ils manquaient de savoir-faire, bien au contraire. Et en riant et plaisantant de manière de plus en plus égrillarde, les deux derrière moi jouaient efficacement avec mes seins, cependant que ceux de devant remontaient jusqu'à frôler ma vulve, sans jamais la toucher. Clairement, leur dessein était d'annihiler toute résistance de ma part... Ils y parvenaient parfaitement... Je me sentis chaude, à leur merci et prête à faire des folies... encore une fois !

Comprenant fort bien mon état et vraisemblablement disposé à en abuser, l'un d'eux me dit :

- Viens, on va te montrer quelque chose qui va te plaire...

L'un me prit par le bras, un autre par la taille et ils m'entraînèrent ainsi, mi-tirée, mi-poussée, vers une ouverture dissimulée (si peu...) par une tenture. Nous nous trouvâmes dans un couloir qui s'ouvrait sur des alcôves dépourvues de portes. L'une d'elle était occupée, c'est vers celle-là qu'ils m'emmenèrent. Nous postant à l'ouverture, nous pûmes un instant jouer les voyeurs. A l'intérieur de cette petite pièce se trouvait la blonde gagnante du concours. Elle n'était pas seule car, en levrette, sur une sorte de matelas, elle se faisait violemment prendre par un type, pendant que trois autres devant elle lui offraient leurs queues à sucer alternativement. Trois autres semblaient attendre leur tour (ou simplement admirer) en se masturbant lentement.

Du coup, mes admirateurs se firent vraiment plus pressants. Mes seins furent cette fois empoignés, deux doigts s'infiltrèrent dans mon vagin et le trouvant trempé, leur propriétaire conclut brillamment :

- Elle est trempée, la salope !

Je sentis également que l'on me caressait les fesses en les écartant, des doigts indiscrets sondaient ma raie. On me prit une main. Elle se referma sur un sexe bandé. Un des hommes décida :

- Allez, viens, ça va être ton tour !

Je fus portée vers une autre alcôve, et allongée sur le dos. Précipitamment, un homme enfila un préservatif et se coucha sur moi. Il tâtonna un peu, puis s'enfonça assez délicatement dans mon sexe. Cela me fit un bien fou. Sur l'injonction d'un autre, il se décala un peu sur le côté, ce qui me permit de sentir une verge se presser contre mes lèvres. J'ouvris la bouche pour l'accueillir et le pomper avec ardeur. Celui qui me baisait fut rapide, trop rapide, il se retira en me laissant inassouvie. Un des hommes constata :

- Ce n'est pas pratique, comme cela, mets-toi à quatre pattes !

Je n'avais ni le loisir ni l'envie de faire le contraire, je me positionnai donc comme indiqué. J'eus le temps d'apercevoir d'autres silhouettes à l'entrée de la pièce, avant d'avoir le visage face à un pubis velu et très vite, la pine en bouche. Un deuxième homme me pénétra, sans capote. Trois autres hommes se mirent face à moi pour se faire sucer. J'eus brusquement un pressentiment. Et si Marc ne m'avait pas tout dit ? Et si les gagnantes du concours n'étaient pas uniquement destinées à recevoir les hommages des clients après les avoir bien excités ? Quel salaud !

En attendant, celui qui me prenait fut plus efficace et j'eus mon premier orgasme de la soirée, délaissant un peu celui que je suçais, qui me prit par les cheveux pour m'imposer le rythme qu'il souhaitait. Moi qui aimais me faire dominer sexuellement par un groupe d'hommes, j'allais être servie et je le craignais, un peu au-delà de mes espérances.

Outre celui que je suçais et celui qui me prenait, il y avait trois hommes dans mon champ de vision et tournant la tête, je distinguai encore trois autres silhouettes. En s'activant spasmodiquement, l'homme devant moi gicla dans ma gorge "m'obligeant" à tout ingurgiter, hummm !

Un autre prit vite sa place, et les deux autres s'approchèrent pour se faire pomper alternativement. Les trois pines se succédèrent de façon débridée entre mes lèvres. En grondant, celui qui me prenait annonça qu'il allait jouir. Il se retira brusquement et je sentis sa semence s'écouler sur mes reins. La place ne fut pas libre très longtemps. Une verge de forte taille prit possession de ma chatte. Des bouches se posèrent sur moi, des mains me parcoururent et autour de moi, ce n'étaient que propos orduriers à mon encontre. Comme dans un brouillard, j'entendis :

- Il faut qu'on l'encule, la salope !

Vous avouerais-je qu'en cet instant, j'en avais assez envie ? Eh bien oui ! Tout en passant d'une trique à l'autre pour les suçoter, je me prêtai de bonne grâce aux doigts qui commencèrent à tripoter mon anus. Mon "agresseur" dut sentir que je n'étais pas trop réticente à ce genre de pénétration et sortit sa queue de ma chatte pour forcer l'entrée de mon petit trou, assez bien préparé en enduit de mouille et de salive. Je me détendis, son gland passa mon anneau sans violence. Comme il semblait assez maître de lui, je le laissai faire, bien m'ouvrir et me pénétrer somptueusement, pour s'arrêter au fond. Devant mon absence d'inquiétude (que voulez-vous, j'adore cette pénétration !), il comprit vite que mon cul lui était bien ouvert et se mit à me le pilonner hardiment, en me tenant par les fesses.

"Ils vont tous me prendre", pensai-je. "Encore une fois, je me suis transformée en chienne. Ils vont se servir de mon corps comme un objet de luxure."

A cette pensée, j'eus un orgasme puissant, prenant quand même garde de ne pas mordre le sexe que je suçais. La contraction de mon boyau fit de l'effet au type. Emporté par le plaisir, il m'encula alors à fond, puis, secoué de spasmes, il se vida en moi.

Un nouveau le remplaça, visiblement ravi de trouver une femme qui se laisse prendre par derrière. Je remarquai alors Marc, qui regardait la scène en se masturbant lentement pour ne pas se faire jouir. Il se pencha vers moi pour me dire :

- Qu'est-ce que tu es belle quand tu baises ! Tu as beaucoup d'admirateurs, ce soir. Tu n'as pas fini. Je vais aller me faire la blonde et je reviens voir où tu en es...

Et il ajouta cyniquement aux hommes :

- Je vous laisse mon amie un moment, elle adore la bite... sucer et se faire sodomiser en même temps. Ne vous en privez pas. Occupez-vous bien d'elle.

Le salaud, le salaud, le salaud !!... Que j'aimais à en perdre la raison !

Cela dut faire de l'effet à celui que j'avais entre les lèvres, car il me lâcha un jet chaud; je me dégageai un peu et le laissai couler sur ma langue. Les coups de queue me secouaient. Je regardai autour de moi et vis pas mal de types autour de moi. Cela me paniqua un peu, mais m'enflamma également. Je pris un autre sexe dans la bouche. Mon dessein était de satisfaire au mieux les hommes présents. Celui qui me sodomisait jouit dans mon rectum, en me traitant de trou à bites.

A peine sorti, un autre membre, le troisième, me remplit à nouveau puissamment l'anus de façon exaltée, en faisant claquer son bassin contre mes fesses. A l'opposé, je dus changer de verges sans interruption.

Un de ceux que je suçai, ne put se retenir et me jouit dans la gorge, s'essuyant ensuite le sexe sur ma joue. Presque au même moment, je sentis une semence chaude couler le long mon dos. Des hommes, plutôt voyeurs déchargeaient sur moi Une belle tige m'obstrua encore la bouche, au goût ésotérique : je sus qu'elle était déjà passée dans un endroit beaucoup plus intime. Le mien ? Pas sûr, car les types allaient et venaient entre les alcôves, il devait y en avoir pas loin d'une dizaine autour de moi.

Il y en eut d'autres qui se soulagèrent sur moi, mais qui choisirent plutôt mon visage pour s'épancher. Cette situation obscène, ajoutée aux agissements de mon enculeur, fit monter en moi, par vagues successives, un orgasme anal inévitable. Je ne pus profiter pleinement de cette jouissance, car celui que j'avais en bouche me tenant par les cheveux, m'invectiva :

- Ne t'arrête pas, ne t'arrête pas, je vais envoyer la sauce !

Qui fut abondante... Il m'en badigeonna les lèvres et me remit en bouche pour que j'en extirpe les ultimes gouttes. Dès que ma bouche fut libre, un autre me fit comprendre vulgairement qu'il souhaitait que je lui fasse une pipe également. Ce sexe-là sortait d'un vagin. Je m'exécutai aussitôt en ressentant les secousses de celui qui me sodomisait, déchaîné désormais jusqu'à son éjaculation.

Il me laissa alors avec l'anus ouvert et le proposa à un ami qui ne se fit pas prier.

Pendant qu'un homme tentait de se glisser sous moi, avec dans l'idée de me faire subir les affres d'une double pénétration, un homme enroula mes cheveux autour de son dard pour finir de s'y masturber. Sous moi, l'homme avait finit de s'installer et demanda un répit à mon enculeur pour mieux m'enfiler. Etant parvenu à ses fins, il m'empoigna rudement (lui aussi) les lolos pour en mordiller les extrémités. Bâillonnée par un membre épais, je ne pus émettre que des bredouillements étouffés de protestation, sans effets. Les trois hommes s'en donnaient à cœur joie, si l'on peut dire. Je fus maintenue et on me prit les mains pour qu'elles puissent branler deux queues bien raides. Pour la deuxième fois de ma vie, j'étais prise par cinq hommes simultanément sans compter les mains des autres. Quel pied ! Même si la situation était un peu inconfortable, j'exultais... muettement.

Dans cette situation, je me laissai aller aux rythmes plus ou moins concertés de mes amants du moment, laissant des ondes de plaisir me parcourir. Il faut avoir connu cette impression fantastique d'être prise en sandwich en étant obligée de s'occuper d'autres sexes, et cette jouissance, pour bien comprendre ce que je ressentais en ce moment. Qu'importe le jugement que l'on puisse avoir, mais mon vice, c'est le sexe avec un grand S, un grand E, un grand X et encore un grand E ! Et là, c'était phénoménal, dans ce lieu où des femmes vicieuses et dépravées s'offraient ou se faisaient offrir à des mâles avides, dans une atmosphère torride au mélange d'odeurs de sueur, de sperme, de cyprine et autres.

Je fus prise d'une série d'orgasmes, aussi bien par-devant que par derrière, qui me traversèrent tout le corps, indescriptibles de puissance, à m'en faire hurler si j'avais pu.

C'est celui qui me baisait la bouche en me tenant par les cheveux qui se rendit le premier et qui me prévint :

- Ca vient, ça vient !

... pour que ma bouche fasse bien son travail. Le second fut celui qui avait rampé sous moi et qui juta dans ma chatte gourmande en veillant à rester sous moi pour profiter encore de mes seins, bien que son membre rétréci m'ait quittée. Enfin mon sodomite jouit également et m'arrosa la raie et l'anus de son foutre visqueux.

Je ne sais pas depuis combien de temps je baisais ainsi, mais je vis que Marc était revenu et contemplait le spectacle. Je le regardai et lui fis signe afin de lui faire comprendre que je commençais à fatiguer. Il se pencha et dit à voix assez haute pour être entendu :

- Restons encore un peu, il y a encore des gars qui ont envie de toi.

Effectivement, un homme me remit en levrette et me prit le fondement encore une fois, alors que des candidats à la pipe s'approchaient. Une fois bien enfoncé entre mes reins, l'homme s'allongea sous moi, me faisant m'accroupir sur lui. Plaçant les mains sous mes fesses, il me souleva avant de me laisser redescendre et m'empaler sur cet axe improvisé qu'avalait littéralement mon petit cul. Deux hommes en profitèrent pour s'avancer devant moi, sexe tendu. Le premier, doté d'un membre large et encore gluant de sa (ou ses) précédente activité me l'enfonça loin dans la gorge. Je m'emparai de l'autre pour le branler et à sa grande satisfaction, je le pris à son tour dans ma bouche, l'aspirant, les joues bien serrées pour lui procurer le plus de plaisir possible. Même après avoir sucé je ne sais combien de types, j'étais dans un tel état que je m'employai à offrir à ces deux hommes le maximum de satisfaction.

Ils me forcèrent à de les prendre tous les deux en même temps entre mes lèvres, puis à les sucer à tour de rôle, ceci jusqu'à ce que l'un d'eux me prévienne "qu'il allait venir ". Il sortit de ma bouche pour me coller sa queue sur le visage et me déverser son plaisir en plusieurs endroits, m'en mettant partout sur les yeux, les joues et les lèvres. L'autre me pénétra à nouveau jusqu'à la gorge, en m'immobilisant par les cheveux et me baisa véritablement la bouche. Le phallus grossissait de plus en plus vite, je sentis son gland se gonfler. Il se retira de ma bouche et se mit à se branler fébrilement. Ayant atteint le point de non-retour, sa main toujours crochée dans mes cheveux, il s'approcha et m'ordonna de lui offrir ma langue qu'il arrosa de son sperme épais avant de me pénétrer à nouveau la bouche pour achever de se vider en saccades au fond de ma gorge.

Mon travail buccal étant pour l'instant terminé, l'homme sous moi m'attira sur lui de dos et tout en me maintenant les jambes relevées me pistonna le fion jusqu'à ce que la jouissance l'emporte.

J'étais de plus en plus fatiguée, mais Marc ne l'entendit pas de cette oreille et insista (un tout petit peu) pour que je sois baisée encore une fois et enculée encore deux fois. Dont l'une par un homme monté comme un âne, dont l'énorme gland me fit jouir à en crier à chaque fois qu'il sortait la verge de mon anus pour mieux l'y enfiler sans répit.

Je m'aperçus que de nouveaux hommes nous regardaient, mais cette fois Marc me dit que la soirée était terminée. Ouf ! Je me sentais démantibulée. Il m'indiqua les toilettes au fond du couloir, elles étaient munies de douches. Ce ne fut pas réparateur, mais au moins je retrouvai visage humain ou presque. Mes yeux étaient cernés de bistre, mes lèvres étaient enflées et mes mâchoires me semblaient devoir se décrocher. Mes seins étaient tous rouges d'avoir été malaxés, j'avais de nombreuses marques partout, mes genoux étaient irrités et ankylosés d'avoir tenu si longtemps en levrette, et que dire de mon anus en feu, violacé et béant d'avoir été autant pénétré. Je pense avoir battu mon record. Mais malgré tout, j'étais bien, cérébralement et physiquement, complètement assouvie et rassasiée, sans regret de m'être conduite comme Marc le souhaitait, encore une fois comme une vraie salope.

En repassant devant les autres alcôves, pour rejoindre Marc qui m'attendait au bar, je pus voir que celle qui s'était classée deuxième était maintenant en pleine action, puisqu'elle se faisait prendre par trois types en même temps, pendant que d'autres, visiblement, attendaient leur tour. Ils me sollicitèrent pour que je me joigne à eux. Epuisée, je déclinai l'invitation.

La blonde par contre, était encore en activité, quelle santé ! Elle était allongée le dos sur les avant-bras de deux types baraqués qui lui imprimaient un mouvement de translation rectiligne. D'un côté, la tête pendant en arrière, elle recevait dans la bouche un beau membre dont le propriétaire semblait lui pincer et lui tordre le bout des seins. A l'autre extrémité, un homme qui lui tenait les jambes relevées la sodomisait puissamment. Je n'avais jamais pratiqué une telle position, il me faudrait l'expérimenter.

Je rejoignis Marc au bar, toujours nue. Il discutait avec le patron de l'établissement, qui me félicita encore une fois pour mon strip-tease et pour ma "participation" à la suite du programme, dont il n'avait reçu que des compliments de la part des participants.

Par politesse, je suppose, Marc lui demanda s'il voulait que je le suce. Il différa l'offre, arguant qu'il devait surveiller son établissement, mais précisa avec galanterie, que dans d'autres circonstances ce serait avec plaisir...

Il nous raccompagna au vestiaire où je pus me rhabiller, enfin je ne remis que ma robe...

Nous prîmes le chemin du retour et je ne laissai aucun répit à Marc, le pressant de m'avouer toute la combine. Il me confessa effectivement que les trois "gagnantes", après l'effeuillage complet, se mettaient (ou étaient mises) à la disposition lubrique des autres clients. Les autres femmes pouvaient participer également, mais en priorité, c'étaient surtout les trois premières qui officiaient. Apparemment, parmi les candidates, je devais être la seule qui n'était pas au courant... les autres avaient agi en toute connaissance de cause (sauf celle qui avait été exclue). Cela expliquait l'empressement de l'homme qui m'avait offert un verre.

Pour la forme, je fis semblant de lui en vouloir, il n'en crut rien, bien sûr, sachant que finalement j'adorais ce genre de surprise, où je tombais lentement dans le piège finement tendu et que peu à peu je découvrais la trame de la machination ourdie par mon amant si délicieusement dissolu.

J'eus bientôt l'occasion de revoir Stéphane, le patron de la boîte, quelques jours plus tard. J'étais dans mon bureau lorsque Marc m'appela. Je vins dans le sien et il me demanda (comme cela lui arrivait de temps en temps) d'aller quitter mon soutien-gorge et mon string. Je m'exécutai, pensant qu'en guise de pause méridienne, nous allions passer un petit moment dans un petit hôtel proche (où nous allions quelquefois tous les deux et parfois avec un ou deux "invités"), mais non ! Point de pause voluptueuse.

En revanche, en début d'après-midi, il me fit venir à coté de lui, glissa une main à l'intérieur de ma cuisse et la fit remonter le long de mon bas, puis sur ma peau nue. Il m'informa, tout en me caressant l'entrecuisse, que Stéphane avait pris rendez-vous pour procéder à l'ouverture d'un compte à notre agence. Je protestai : en tant qu'assistante, j'aurais dû être au courant. Ce rendez-vous ne figurait même pas sur son agenda.

A l'heure dite, le guichet me prévint que le client de Monsieur M. était arrivé. Je vins à sa rencontre, nous nous saluâmes, l'air de rien, comme de parfaits inconnus.

- Florence B, assistante de Marc H.

- Stéphane L, patron du D.

- Enchantée, si vous voulez bien me suivre...

- Avec plaisir...

Je le précédai et le guidai vers le bureau de Marc. L'entretien se termina et naturellement, Marc proposa un verre. En fait, il ne proposa pas qu'un verre, puisqu'il demanda à notre nouveau client s'il souhaitait que son assistante (donc moi) lui fasse une démonstration de ses talents de fellatrice. Avant de répondre, me regarda d'un air gourmand, puis regarda autour de lui, l'air un peu inquiet. Marc le rassura :

- Ne craignez rien, je vais fermer le bureau. Florence pourra vous faire admirer son savoir-faire en toute quiétude.

- Dans ces conditions, ce serait faire injure à Florence que de refuser !

Tu parles ! Marc se leva, alla verrouiller la porte, puis m'enjoignit de mettre à l'oeuvre, et s'assit confortablement dans un fauteuil, pour profiter du spectacle.

Je me levai et m'approchai de Stéphane d'une démarche que je voulus prometteuse. Lentement, je m'agenouillai devant lui, entrepris d'ouvrir son pantalon et d'en extraire un membre encore peu flasque, mais qui reprenait "du poil de la bête" entre mes mains.

Sans être monté exceptionnellement, je dois dire "qu'il tenait honnêtement la route" et j'approchai mon visage de cette queue encore inconnue. Avec délicatesse, je décalottai le beau gland cramoisi et débutai en le léchant langoureusement. Une fois bien enduit de salive, j'arrondis mes lèvres et l'absorbai avec une lenteur calculée. Je pris la base entre mes doigts pour imprimer une délicate masturbation et pendant que je le pompai avec application, je manipulai ses testicules de mon autre main. Marc proposa alors :

- Tu veux voir ses nibards ?

La réponse fut bien sûr affirmative et Marc me demanda d'enlever le haut en continuant ma succion. Donc, la bite entre les lèvres, j'ôtai ma veste, puis déboutonnai mon chemisier et finalement le quittai également. Je me retrouvai donc uniquement vêtue de mon porte-jarretelles, mes bas et la jupe de mon tailleur. Ayant retrouvé l'usage de mes mains, je repris mon activité. Bientôt, un gonflement m'avertit de l'issue prochaine. Je serrai bien la verge entre mes joues et lorsque la semence jaillit, j'aspirai pour en avaler la plus grande partie. Elle ne quitta ma bouche que vidée et propre comme un sou neuf. Apparemment comblé, il déclara :

- Merci beaucoup Florence, tu suces vraiment très très bien. C'est remarquable mon cher Marc, elle fait cela divinement.

Marc assura que nous aurions vraisemblablement l'occasion de recommencer et, après m'avoir fait un clin d'œil égrillard, ajouta :

- Et je suis certain, Stéphane, que tu aurais envie de goûter au reste.

Il acquiesça et moi aussi, car je commençai à être pas mal échauffée. Marc le raccompagna et sortant de son bureau, il me lança :

- Reste comme cela, je reviens...

J'attendis son retour, en jupe et très inquiète, car j'avais remarqué qu'il n'avait pas verrouillé la porte. Quelqu'un aurait pu entrer... mon dieu ! Enfin, il n'en fut rien. Marc revint, ferma soigneusement la porte, s'appuya contre son bureau écarta sa veste et décréta :

- A mon tour, maintenant !

Je m'approchai, dégrafai le pantalon, sous lequel, comme d'habitude, il ne portait rien et, prenant mon air de salope la plus vicieuse (et qu'il chérissait) je l'embouchai en le regardant dans les yeux. Un peu plus tard, il se vidait en longs soubresauts, me traitant de tous les noms.

Il m'interdit ensuite de boire "pour que je garde le goût de leur foutre sur la langue". Ce nouvel ordre, ajouté au fait que j'étais inassouvie, firent que la première chose que je fis en rentrant chez moi fut de me ruer sur un imposant vibromasseur pour me calmer... et attendre la suite des manigances de Marc.



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