La jeune femme aux longs cheveux noirs venait de perdre
une nouvelle fois. Avec des gestes lents et lascifs, Elise
se mit à défaire, de bas en haut, les petits boutons qui
fermaient le devant de son chemisier. Chaque bouton ôté
faisait s'écarter davantage les pans du tissu, révélant
peu à peu le teint bronzé de sa poitrine, ainsi qu'une magnifique
paire de seins, qui semblaient prêts à jaillir hors du soutien-gorge
de dentelle noire qu'elle portait encore.
Fred embrassa d'un regard admiratif les courbes délicates
de ses seins arrogants, tandis qu'à sa droite, une fille
aux cheveux auburn battait les cartes en vue de la prochaine
manche. A priori, ce n'était qu'un strip-poker classique,
mais les filles, quand elles l'avaient persuadé de se joindre
à elles, n'avaient pas manqué de lui promettre d'intéressantes
variantes pour la suite...
* * * * *
Il était tard, la fête s'achevait, il était temps pour
lui de rentrer. C'est alors que les quatre filles étaient
venues vers lui. À eux cinq, ils étaient les dernières personnes
restantes dans la maison, toutes les autres étaient déjà
parties. Les jeunes femmes eurent quelques sourires gênés,
frottant leurs pieds d'un air embarrassé, avant qu'une grande
blonde ne se décide à lui demander s'il voulait bien faire
un jeu de cartes avec elles. Fred eut une brève hésitation,
se demandant où elles voulaient en venir.
En dehors de l'hôtesse des lieux, une petite brune nommée
Suzanne, avec une longue chevelure bouclée et de petits
seins fermes, il ne connaissait aucune des trois autres.
Elles étaient toutes visiblement plus qu'un peu éméchées,
et d'humeur taquine. Mais la blonde, percevant son hésitation,
s'approcha et, mettant ses bras autour de lui, lui promit
un jeu très intéressant et spécial. Le contact de ses seins
pointus, frottant contre son torse, ne tarda pas à provoquer
un durcissement caractéristique, entre ses jambes... qui
prit le contrôle de son cerveau : il s'entendit répondre
oui.
Ils allèrent tous les cinq au salon, puis s'assirent en
rond sur la moquette épaisse. Suzanne était à sa gauche
et, tenant toujours son rôle d'hôtesse de la soirée, elle
sortit un jeu de cartes qu'elle se mit à mélanger. À la
droite de Fred se tenait une pulpeuse beauté rousse prénommée
Jennifer et, à côté d'elle, Elise, celle aux longs cheveux
noirs. Lorie, la blonde enjouée, était assise entre Suzanne
et Elise, fermant le cercle. Fred coupa les cartes, puis
Suzanne en distribua cinq à chacun et la partie de poker
commença.
La jeune femme à la chevelure de jais perdit la première
manche, mais cela ne lui coûta qu'une paire de chaussures
à talons hauts.
- Ce n'est pas juste, Elise ! se plaignit la blonde. Jennifer
et moi sommes pieds nus depuis le début.
- Trop tard, Lorie, répondit Elise d'un air espiègle, il
fallait y penser avant. De plus, toi tu portes des bas et
moi pas.
- Et toi, Suzanne, qu'est-ce que tu portes sous cette jolie
robe ?
Suzanne était vêtue d'une courte robe rouge qui lui découvrait
les épaules, et de bas noirs à couture apparente.
- Ça, vous le saurez bientôt, répondit-elle. Maintenant,
revenons au jeu, j'ai envie d'un peu d'action. Allez, Fred,
c'est ton tour.
Celui-ci battit les cartes et la partie se poursuivit.
Au cours des manches suivantes, il ne tarda pas à perdre
ses chaussettes et sa chemise. Jennifer se proposa pour
l'aider à retirer cette dernière ; elle en profita pour
caresser malicieusement son torse nu avec le bout des ongles,
avant de tirer la chemise le long de ses bras. Il lui rendit
obligeamment le même service quand elle perdit sa jupe et
ne manqua pas l'occasion qui lui était offerte de caresser
ses fesses, à travers sa culotte de dentelle bleue.
Elise perdit la main face à Jennifer ; elle dut se mettre
debout pour enlever son jean moulant, découvrant un minuscule
slip de soie noire. Suzanne perdit la manche qui suivit.
Elle troussa sa robe pour révéler une paire de bas auto-fixants
qu'elle roula lentement le long de ses jambes.
Puis ce fut de nouveau Elise qui perdit. Fred se força
à ne pas regarder de manière trop ostentatoire quand elle
dégrafa son chemisier, ses mains fines révélant toujours
plus de peau dorée, à mesure que les boutons glissaient
sous ses doigts. Son regard inquisiteur n'échappa cependant
pas à la jeune femme, et elle lui répondit par un sourire
timide, mais encourageant.
Au tour suivant, Lorie perdit pour la première fois. Souriante,
elle troussa sa minijupe, exhibant une paire de collants
blancs et soyeux, qu'elle roula le long de ses jambes fines
et bronzées.
Ce fut ensuite au tour de Jennifer de montrer ce qui tendait
le tissu de son petit haut. Elle prit son temps pour défaire
chaque bouton et, quand le dernier fut défait, elle se tourna
vers Fred avec un sourire tentateur. Il glissa ses mains
sous les pans du chemisier, les referma autour de sa taille,
puis les fit remonter lentement, s'arrêtant le temps d'apprécier
la courbe de ses seins, à travers la dentelle bleue de son
soutien-gorge à balconnet. Il titilla quelques secondes
ses tétons à l'aide de ses pouces et la course de ses mains
reprit de plus belle, caressant toute la surface de sa poitrine
généreuse, avant de faire glisser le chemisier le long de
ses épaules et enfin de ses bras. Il saisit de nouveau sa
taille, se pencha, embrassa un téton, puis l'autre. Elle
ne se déroba pas, ce qui l'encouragea à multiplier baisers
et caresses jusqu'à ce qu'il sente s'accélérer la respiration
de la jeune femme.
Mais Suzanne les interrompit :
- Vous aurez le temps pour ça plus tard ! D'abord, on doit
arriver à faire voler ton caleçon, beau gosse !
Lorie perdit les deux mains suivantes et dut abandonner
son haut et sa minijupe. Elle se retrouva en bustier rose
et string assorti.
Une paire de trois provoqua un nouvel échec de Jennifer.
Elle se glissa jusqu'à Fred et lui demanda de lui enlever
son soutien-gorge de dentelle bleue. Face à elle, Fred dégrafa
dans son dos la pièce de lingerie et la tira jusqu'à lui,
les mains par-dessous la dentelle fine, ce qui lui permit
d'apprécier, du bout des doigts, la douceur de cette peau
féminine. Quand ses mains viriles s'approchèrent de la rotondité
de ses seins, elle se dégagea prestement hors de sa portée
:
- On touche avec les yeux, Fred - du moins pour l'instant
!
D'un mouvement d'épaules, elle fit tomber le soutien-gorge
sur le sol. Les yeux de l'homme se retrouvèrent rivés à
cette paire de seins libres et arrogants. Le contraste entre
ses tétons, longs, roses, durcis, et la pâleur crémeuse
de ses nichons était irrésistible. Jennifer les pressa l'un
contre l'autre et pinça ses mamelons entre ses doigts.
Elle disputa alors une main contre Fred, que celui-ci perdit
: c'était à présent au tour de son pantalon de tomber. Uniquement
vêtue de sa petite culotte bleue, elle s'agenouilla devant
lui, lui ordonna de se mettre debout et commença à défaire
sa ceinture. Elle allait baisser le pantalon quand il sentit
plusieurs mains chaudes se glisser sous l'élastique. Lorie
s'était mise à côté de Jennifer et Suzanne derrière lui.
Il sentit la poitrine ferme de celle-ci se presser dans
son dos et ses mains palper ses fesses viriles à travers
son sous-vêtement.
- Nous aussi on veut s'amuser, dit Lorie en glissant ses
doigts dans son caleçon.
Elle taquina du bout des doigts sa bite durcie. Les efforts
conjugués de ces trois paires de mains eurent finalement
raison de son pantalon, le laissant seulement vêtu d'un
boxer tendu à craquer par son érection.
Vint le tour de jeu suivant. Chacun montra ses cartes.
Suzanne gloussa :
- On dirait que ça y est...
Elle se mit debout, défit la fermeture éclair de sa robe
et se tourna vers Fred. Celui-ci, debout à son tour, mit
ses mains sur les épaules de la jeune femme et fit lentement
glisser la robe, découvrant de jolis seins ronds et haut
perchés. Elle se tint parfaitement droite et n'eut qu'un
léger frémissement quand elle sentit les lèvres de l'homme
se refermer autour de ses mamelons. Il laissa sa bouche
accompagner la descente de la robe, caressant de son souffle
chaud le ventre peu à peu révélé. Puis il libéra les hanches,
le vêtement tomba autour de ses chevilles : elle ne portait
dessous qu'un minuscule slip rouge. Fred prit dans ses mains
les fesses rondes, qu'il pétrit avec douceur, tout en arrosant
de baisers tendres et humides le haut des cuisses. Avec
un petit gémissement, Suzanne tendit ses hanches en direction
du mâle. Fred vit grossir une petite tache sombre sur le
devant de sa culotte, mais il se contenta de relâcher son
étreinte et de retourner s'asseoir. Il n'était pas pressé,
il savait que les choses viendraient en leur temps.
La suite de la partie vit Elise perdre son soutien-gorge
et Fred eut un sifflement appréciateur devant le spectacle
de ses gros seins, libérés de leur dentelle noire. Leur
blancheur délicate offrait un contraste saisissant avec
le bronzage doré qui ornait le reste de son corps. Elise
piqua un fard et se rassit en croisant les bras pour cacher
sa poitrine nue.
Encore une main perdante pour Jennifer ; elle se mit debout,
les mains sur les hanches, l'index dans l'élastique de sa
petite culotte bleue. Elle tourna le dos à Fred, se pencha
vers l'avant et fit glisser la lingerie délicate le long
de ses cuisses veloutées, lui dévoilant les charmes de son
cul. Quand la culotte eut atteint ses chevilles, elle s'en
dégagea, se tint jambes écartées, puis fit courir ses mains
à l'intérieur de ses cuisses, jusqu'à son sexe. Fred vit
ses doigts s'agiter dans son entrecuisse et sentit s'élever
son odeur musquée. Jennifer gémit doucement et son corps
se contracta sous la poussée d'un petit orgasme.
- À présent, passons à la deuxième phase du jeu, déclara
Suzanne.
Fred la considéra avec attention, impatient de savoir ce
qu'elle avait en tête.
- Jusqu'ici, le perdant se contentait de se déshabiller.
Mais dans le cas où l'on perd alors qu'on est déjà complètement
nu, que fait-on ?
Ecouter son discours n'empêcha pas Fred de laisser traîner
ses yeux un peu partout, sur ses seins ronds aux tétons
érigés, sur la zone encore couverte entre ses cuisses, puis
à nouveau sur ses seins...
- Je vous propose, si vous perdez, de piocher une nouvelle
carte et de compter vos voisin-voisines dans le sens des
aiguilles d'une montre, autant de fois que le chiffre de
la carte. Si c'est votre premier gage nu, vous devrez embrasser
la personne ainsi désignée pendant toute une minute. Juste
un baiser, j'insiste : pas le droit d'enlacer, encore moins
de peloter ! Si c'est la seconde fois, la personne a le
droit de vous toucher où elle veut avec ses mains et vous
devrez, pendant ce temps, rester passif et immobile. La
troisième fois, il ou elle a le droit d'utiliser sa bouche
et sa langue sur votre corps. Et si vous perdez une quatrième
fois... (Elle regarda Fred droit dans les yeux)... vous
prenez votre partenaire et lui faites tout ce qui pourra
lui donner du plaisir.
- Et supposons que je perde encore, après ça ? demanda
Fred.
Après un bref silence, Suzanne sourit.
- Dans ce cas, tout le monde te saute dessus. Et tu fais
ce qu'on te demande, jusqu'à ce que tu nous aies toutes
satisfaites.
Tout en distribuant les cartes pour la prochaine manche,
Fred sentait son excitation grimper en flèche. Il considéra
les quatre femmes autour de lui... Jennifer, toute nue et
déjà vibrante de désir... Suzanne, vêtue seulement d'un
tout petit slip rouge et de son sourire espiègle... Lorie,
en string et bustier roses... Et Elise, dans sa petite culotte
noire, encore un peu intimidée et visiblement plus jeune
et moins expérimentée que ses copines. Il sourit à la jeune
fille : comme elle croisait son regard, elle lui rendit
un petit sourire très doux, chargé de promesses, avant de
rougir et de tourner la tête.
Lorie dut enlever son bustier rose. Elle se mit debout
face à Fred et croisa les avant-bras sur sa poitrine. Elle
saisit dans chaque main les bretelles délicates du bustier,
puis le fit sensuellement glisser par-dessus sa tête avant
de l'envoyer à Fred d'un geste enjoué. Ses cheveux blonds
volant autour d'elle, elle se rapprocha encore de Fred et
d'un mouvement érotique du bassin, vint lui coller son entrejambe
juste sous le nez.
Après, ce fut au tour de Fred d'être séparé de son caleçon.
Cet honneur échut à Jennifer. Elle mit ses mains dans le
boxer et se saisit fermement du membre viril afin de le
libérer de sa prison. Agenouillée, elle abaissa encore le
caleçon, caressant de ses seins son érection vibrante, avant
de conclure l'opération par un bisou rapide de ses lèvres
autour du gland.
- Quel beau morceau ! s'exclama Suzanne, je suis impatiente
de mettre la main dessus !
- La main seulement, Suzanne ? la taquina Lorie.
Mais Fred ne les écoutait pas : il regardait Elise, qui
paraissait médusée, le regard fixé sur l'entrejambe du garçon,
manifestement incapable de détourner les yeux de son phallus.
L'expression de son visage était un mélange de désir et
d'appréhension.
Elle avait toujours le regard rivé au même endroit quand
débuta la manche suivante et ne releva la tête que lorsque
Jennifer l'avertit :
- Redescends sur terre, Elise : tu as perdu. C'est l'heure
du strip-tease !
Apparemment hésitante, elle commença à retirer sa petite
culotte de soie noire, puis changea d'avis et vint jusqu'à
Fred. Elle se tint, tremblante, devant lui, sans oser le
regarder dans les yeux. Gentiment, il saisit ses hanches
à deux mains, puis tira sur sa culotte avec douceur et délicatesse.
Elle était à présent nue, baignant dans une cascade de longs
cheveux noirs. Seule une légère touffe de poils sombres
ornait son minou et laissait bien visibles ses lèvres minces
et roses. Toujours sans oser le regarder, elle se baissa
d'un geste hésitant pour toucher son pénis, puis retira
sa main aussitôt et courut se rasseoir.
Fred contrôla son souffle. La peau douce et bronzée d'Elise,
sa timidité manifeste, tout cela était irrésistible. Il
la lui fallait absolument avant la fin de la nuit ! Mais,
pour l'instant, il devait se contenter de regarder, dans
l'espoir que les cartes lui apportent l'opportunité voulue.
En dépit d'une paire de dix, Suzanne ne put gagner la main
; elle se leva pour retirer sa petite culotte rouge, qu'elle
fit glisser sur ses hanches d'un seul mouvement souple,
la laissant tomber sur ses chevilles. Sa toison pubienne
était brune, mince et soyeuse.
Lorie fut la perdante suivante et elle vint se placer tout
contre Fred pour tirer sur la ficelle de son string et le
baisser, centimètre par centimètre. Ce faisant, elle promenait
sa chatte juste sous le nez du jeune homme, presque à portée
de sa langue. L'odeur des jus intimes de la fille envahissait
ses narines. Quelle gourgandine ! Elle se tint nue, les
cuisses grandes ouvertes, exhibant avec fierté son corps
superbe. Elle s'arc-bouta, pressant son bassin contre la
figure de Fred, qui se saisit de ses fesses rebondies, avant
de plonger sa langue dans la douceur veloutée de sa chatte
blonde.
- Ah non ! Pas de ça ! Les plaisirs sont rationnés jusqu'à
la fin du jeu, les interrompit Suzanne.
Lorie s'écarta et alla se rasseoir, mais Fred percevait
toujours sa respiration rapide, ainsi que le goût de son
intimité sur sa langue.
Suzanne perdit la manche suivante.
- Flûte, s'exclama-t-elle, prenant une carte dans la pile.
C'était un deux. Elle compta :
- Fred un, Jennifer deux... Viens, Jennifer.
Les deux filles se penchèrent au-dessus de Fred, joignant
leurs lèvres pour un baiser profond. Les deux paires de
seins pendaient à quelques centimètres du visage de l'homme,
le frôlant parfois. Mais la règle - Pas de pelotage - était
très claire, aussi tentant fût-il de tendre les mains pour
un pelotage double ! Les filles s'écartèrent au bout d'une
minute, toutes les deux presque à bout de souffle.
Au cours de la manche qui suivit, Fred fut le perdant -
si on pouvait appeler ça perdre. Il piocha un huit et compta
dans le sens des aiguilles d'une montre pour s'arrêter sur
Lorie. Elle se leva et le rejoignit pour un baiser langoureux,
son corps pressé contre le sien, dardant sa langue dans
sa bouche pour une minute intense. Son érection palpitait,
prise en sandwich contre la peau soyeuse de son ventre.
Puis ce fut le tour de Suzanne. Elle piocha un dix et, visiblement
excitée et impatiente, se mit à compter. C'est alors que
son expression changea, elle fronça les sourcils d'un air
consterné :
- Mais je reviens au point de départ : moi-même ! Qu'est-ce
que je vais faire ?
- Exactement ce que dit la règle, répondit Jennifer : pendant
une minute, toucher la personne indiquée par la carte. Vas-y
et touche-toi, Suzanne ! Touche-toi là où ça fait le plus
de bien !
Suzanne devint pivoine, de toute évidence elle n'avait
pas l'habitude de se masturber en public... Cependant, quand
elle se coucha sur le dos et qu'elle se mit à caresser doucement
son ventre et ses seins, elle ne put dissimuler son plaisir.
Fred observa, fasciné, sa main descendre vers ses cuisses,
qu'elle écarta pour le laisser admirer sa chatte, avant
que ses doigts ne commencent à caresser la partie sensible.
Elle laissa échapper un gémissement sourd. Quand le temps
fut écoulé, Jennifer dut retirer sa main de force.
- Le rationnement des plaisirs, ma chérie, rappela-t-elle.
Cela fait partie du jeu.
Après un dernier cri de plaisir et de frustration mêlés,
Suzanne se rassit et s'efforça de composer son visage, excité
et rougi par cette petite séance.
Ensuite, Lorie dut embrasser Suzanne, non sans une ardeur
notable et Jennifer échangea un baiser avec Fred. Cette
fois-ci, elle prit soin de respecter les règles et se contenta
d'un baiser classique ; cependant, elle ne manqua pas de
lui chuchoter quelques mots, pleins de promesses des plaisirs
à venir.
Pour son second tour de gage, Lorie eut Fred. Celui-ci
lui ordonna de lui tourner le dos et entreprit de presser
sa verge contre son postérieur rebondi, les mains tendues
pour lui caresser les seins. Il fit descendre une main en
direction de son bas-ventre, laissant l'autre jouer avec
un mamelon. Le souffle de la jeune femme s'accéléra. Il
caressa gentiment ses boucles blondes, poursuivit sa descente,
apprécia le contact velouté de l'intérieur de ses cuisses,
remonta, écartant ses jambes, frôla ses lèvres, sa moiteur
; avec précaution, il inséra un doigt entre les grandes
lèvres, le retira, puis relâcha complètement son étreinte,
car Jennifer rappelait que le temps était écoulé.
Elise dut embrasser Suzanne. Visiblement peu enthousiaste,
elle refit deux fois le compte. Et se contenta d'un baiser
froid, minimal, avec les lèvres closes. Puis elle perdit
de nouveau, mais se révéla, cette fois, plus chanceuse dans
son gage. Elle et Fred se mirent debout l'un face à l'autre,
elle le regarda bravement dans les yeux. Leurs visages se
rapprochèrent. Il l'enlaça, lui donna le baiser qu'elle
désirait, tout en lui massant le dos, jusqu'à son petit
fessier enjôleur, qu'il prit soin de malaxer. Elle s'abandonna
à son étreinte, un doux soupir s'échappa de ses lèvres.
Elle pressa son corps tout entier contre le sien, remuant
doucement les hanches. Il se contenta de la serrer tendrement
contre lui, puis, à contrecœur, il s'écarta et posa
les mains sur ses épaules pour admirer son petit corps souple,
élégant. Puis il fit descendre ses mains, caressant chaque
centimètre de peau bronzée, ses seins, son ventre, le galbe
de ses jambes, jusqu'à ses pieds mignons. Quand il eut fini,
elle tremblait, mais alla se rasseoir sans proférer un son.
Fred, lui-même, avait du mal à contrôler sa respiration
et sa bite était tendue à exploser. Ce jeu était terriblement
excitant et à la fois monstrueusement frustrant. Cerné par
quatre onctueuses filles nues, mais sans pouvoir prendre
de plaisir avec elles autrement qu'en rations très restreintes.
Il sentait son excitation croître douloureusement, de minute
en minute... Ce qui ne s'arrangea pas avec la manche suivante,
quand Jennifer fut désignée pour être sa « masseuse ». Elle
lui ordonna de se coucher sur le dos sans bouger, et il
retint à grand-peine un hurlement de plaisir quand les mains
expertes de la jeune femme caressèrent sa bite et ses couilles.
Au tour suivant, les rôles furent inversés : Fred offrit
l'habileté de ses mains à Jennifer, caressant sa motte.
Il écarta ses lèvres pour titiller son clitoris et fut récompensé
par un gémissement de plaisir. Un doigt, puis deux, se frayèrent
un chemin dans cette douceur humide. Elle se tortilla d'aise
sous sa caresse, poussant son bassin en direction de ses
doigts. Ses halètements et ses contorsions subsistèrent
un long moment après qu'il eut terminé.
La pauvre Elise se retrouva de nouveau avec Suzanne, ce
qui parut la chagriner encore plus que la fois précédente.
Mais, avec douceur, Suzanne lui demanda de s'allonger sur
le dos, de fermer les yeux et de se détendre. Elle entreprit
alors de régaler la chatte d'Elise de petits bisous ; quand
elle se mit à utiliser sa langue, léchouillant son clito,
Elise ne put se retenir plus longtemps et se répandit en
petits miaulements de plaisir.
Puis ce fut au tour de Lorie de prodiguer à Suzanne les
mêmes faveurs et cette dernière se révéla bien moins avare
en vocalises : ses soupirs et ses cris montaient chaque
fois que la langue de Lorie touchait ses points sensibles.
« Mon dieu, faites qu'Elise perde encore... » pensa Fred,
alors que la manche suivante débutait. « Alors, je pourrai
lui faire l'amour. Cela dit, bien sûr, si Suzanne perd,
je pourrai la baiser elle aussi... Et si moi je perds, l'une
de ces adorables créatures viendra me sucer... Plutôt un
bon plan, quelle que soit la tournure des évènements ! Si
tout se passe bien, je pourrai enfiler ma bite dans chacune
d'elles avant la fin du jeu... »
Jennifer était la perdante et Lorie lui administra un léchouillage
en bonne et due forme. Puis ce fut le tour de Fred : allongé
sur le sol, il laissa Suzanne s'installer sur son torse,
tandis que les lèvres de la brune s'approchaient de sa bite
dressée. Elle entama sa fellation, ses lèvres coulissant
le long de son mât, sa langue entamant une danse autour
du gland. Sans cesser de le sucer, elle pressa son cul contre
son visage, dans une claire invitation à la réciprocité.
À voir cette chatte chaude et humide, ces lèvres gonflées
et luisantes à quelques centimètres de sa bouche, il n'hésita
pas et tendit sa langue. Il n'eut à la lécher que quelques
secondes pour qu'elle jouisse violemment, agitée d'un tremblement
convulsif, son cri orgasmique à peine étouffé par le phallus
qui emplissait sa bouche.
Puis, enfin vint le moment qu'il attendait : Elise.
Quand celle-ci prit conscience de ce qui allait suivre,
elle poussa un léger soupir, s'allongea sur la moquette
et ferma les yeux. Il se leva, son phallus fièrement dressé
et prit son temps pour admirer ce magnifique corps gracile,
si nu et si vulnérable sur le sol. Avec douceur, il lui
écarta les jambes, s'agenouilla et se pencha pour échanger
avec elle un doux baiser. Puis il positionna sa bite à l'orée
de son saint des saints et frotta l'extrémité de son gland
d'abord contre sa toison, puis entre ses grandes lèvres,
de haut en bas.
Enfin, quand elle commença à soulever son bassin vers lui
et qu'il sentit sa liqueur d'amour se déverser depuis sa
fente, il la pénétra, d'abord avec son gland, puis d'un
seul mouvement, avec toute la longueur de son membre. Elle
cria de satisfaction et l'enlaça, tentant de l'attirer plus
profondément en elle. Sa chatte enserrait fermement sa bite
pendant qu'il entamait de lents mouvements de reins, qu'elle
accompagna de ses hanches. Chaque va-et-vient arrachait
un gémissement des lèvres de la jeune fille. Quand il accéléra
le rythme, ceux-ci gagnèrent en volume et se transformèrent
en hurlements de joie et de plaisir, la laissant terrassée
par l'orgasme. Il se retira et elle reposa, pantelante,
la poitrine secouée par ses halètements.
Regardant autour de lui, Fred vit les trois autres filles
qui n'avaient pas perdu une miette du spectacle.
- C'était bien ? demanda Jennifer, une main entre les cuisses.
Ne gâche pas tes réserves, on veut notre part nous aussi,
dit-elle en désignant sa bite, rendue luisante par les jus
intimes d'Elise.
Les souhaits de Jennifer furent exaucés au cours de la
manche suivante, quand elle « perdit » et que, naturellement,
elle prit Fred pour satisfaire son plaisir.
- Prends-moi, baise-moi par derrière !
Elle l'implora, à quatre pattes, les cuisses grandes ouvertes.
Entre les monts voluptueux de son cul blanc et rond, sa
chatte aux lèvres rougies, béantes, était une invitation
qu'il ne pouvait refuser. Il n'hésita pas une seconde et,
d'un violent mouvement du bassin, il enfouit son chibre
rigide dans cette fente chaude et ruisselante. Jennifer
laissa échapper un long et profond cri de joie, pendant
qu'il lui pilonnait la chatte avec ardeur. L'excitation
de la fille montait sans cesse, sous les assauts répétés
que subissait son minou. Il fallut moins d'une minute à
Jennifer pour atteindre l'orgasme. Au moins, Fred s'était
réservé pour la suite : il restait dans la pièce d'autres
trous qui attendaient impatiemment d'être remplis...
Quand Fred perdit une dernière fois, il se rappela les
mots de Suzanne :
« Tout le monde te saute dessus. Et tu fais ce qu'on te
demande, jusqu'à ce que tu nous aies toutes satisfaites.
»
Les quatre filles se rapprochèrent de leur proie ; elles
le poussèrent sur le dos. Suzanne vint le chevaucher la
première, s'empalant sur sa queue érigée jusqu'à ce qu'il
se retrouve jusqu'au fond de sa chaude moiteur. Lorie vint
s'asseoir sur son visage et sa chatte aux boucles blondes
et soyeuses obscurcit aussitôt son champ de vision. Il darda
sa langue entre ses lèvres, à l'intérieur de son puits aux
délices. Dans le même temps, il pouvait sentir des mains
caresser la moindre part de son corps nu et sut ainsi que
les autres filles ne restaient pas inactives. Suzanne ahanait
de plus en plus vite sur sa bite ; la friction des parois
de son vagin le rendait fou de plaisir. Il tendit les mains
des deux côtés, trouvant à l'extrémité de chacune un corps
chaud et satiné. D'un côté, une cuisse athlétique, avec,
plus haut, des poils humides et frisés, où il laissa jouer
ses doigts. De l'autre, il trouva une autre main, plus fine
et menue que la sienne. Il la serra quelques instants, puis
remonta le long d'un bras mince, jusqu'à un sein gros et
ferme, qu'il pelota, taquinant le téton érigé.
Les filles changèrent de place à tour de rôle, veillant
à ne jamais laisser son pénis ou sa langue inoccupés plus
de quelques secondes. Il perdit le compte des orgasmes féminins
qu'il sentit, ou entendit et les filles se mélangèrent dans
son esprit comme au sein d'un brouillard - il se crut enveloppé
par un corps unique de femme, avec quatre vagins, huit mains,
quatre bouches et huit seins. Sa bite palpitante était en
feu ; il ne comprenait pas, car il aurait dû éjaculer depuis
déjà longtemps. Enfin, rendu fou par le nouveau minou étroit
qui enserrait son membre jusqu'à la garde, il sentit la
tension familière dans ses testicules et expulsa un torrent
de sperme au fond de cette chatte si accueillante.
Ce fut, décidément, une bien longue soirée !
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