TITRE : Souvenirs de Lycée
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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Lorsque j'etais au lycee j'etais deja une femme dans mon corps. Depuis mon adolescence je cherchais a le cacher, prenant les pulls amples pour cacher ma poitrine, evitant les pantalons moulant parce que mes fesses etaient trop grosse a mon gout. Mais en premiere, je me suis finalement acceptee, peut etre un peu plus et un peu plus tot que els autres, ce qui fait que j'etais remarquee par les garcons.

Cependant, comme toutes les filles de mon age, je trouvait les garcons du lycee trop jeune, trop gauche, et je ne revais que de sortir avec les grands du BTS joint a notre lycee. A force de trainer de leur cote, j'ai fini par entrer dans leur bande, jusqu'a pouvoir sortir avec la perle du lot, un certain philippe, grand, brun, constamment mal rase, un blouson de cuir et une clope au bec. Il avais une voiture a lui, des parents cool, et pour achever le tout, il chantait et jouait de la guitare dans un petit groupe local, completement ringard, mais qui m'impressionnait beaucoup a l'epoque.

Toujours est-il que sortir avec ce philippe etait le top en matiere de garcon, de quoi poser une reputation comme seductrice, fille mure, etc... Le desagrement, c'est que je n'etais bien sur pas la seule a lui tourner autour. Et qu'il aimait bien changer regulierement de fille sous sous bras.

Parmi les habituelles, il y avait moi, rousse, deja grande et bien formee, Nathalie, une blonde elance et sans poitrine, Sandrine, une brune tres petit fille modele, toujours en jupe plisse (un peu comme les lyceennes de manga ...) et Fred, une noire sculturale qui nous rendais toutes un peu jalouse. Les autres ne passaient qu'une soiree avec lui avant qu'il revienne a l'une d'entre nous.
Aucune ne voulais perdre le prestige de sortir avec lui, alors nous en acceptions ne plus en plus de sa part. De bisoux en patins, de pelotage en caresses plus precises, de mains sous les vetements a enlever les vetements.

De fil en aiguille, il est arrive a nous demander de sortir ensemble, tout les cinq. Nous pensions aller au cine .. pourquoi pas ? Fred est montee devant, nous trois derriere. L'aller fut sage, meme si philippe profita de la mini jupe de fred pour lui caresser les cuisses jusqu'au hanches... Au cineme, nous etions deux de chaque cote, en echangeant nos place de temps en temps sous sa demande. Il nous a toutes pelotes les seins, les jambes et les fesses. Il n'a rien du voir d'un film, car il roulait en alternance un patin a chacun d'entre nous !

Au retour, c'est moi qui etait devant. J'avais une jupe longue, mais il m'a demande de la releve pour me caresser les cuisses. Au lieu de nous ramener, il s'est dirige vers la maison de ses parents, nous apprenant qu'ils etaient partis ce soir la. Si l'une d'entre nous a eu envie de partir a ce moment, aucune ne voulais laisser le champs libre aux autres ... nous sommes donc toutes entrees dans la maison.

Il s'est effondre sur le canape, nous a demande de s'assoir a cote de lui. Il a commence par Nathalie, lui roulant un patin humide en plongeant les mains sous son tshirt. Apres deux minutes de lutte, il reussi a enlever le tshirt, revelant les seins nus de nathalie. Tous en lechant ses tetons, il s'attaqua au seins de fred, deboutonant son chemisier.

Sandrine et moi etions interdites, Nathalie avait cesse de lutter et fermer les yeux pour mieux sentir la langue de Philippe, tandis que Fred etait en train d'aider a retirer son soutien gorge. Philippe vint se placer entre les jambes de Fred, plongea son nez entre les seins magnifique, ronds et fermes de la jolie noire. En meme temps il passait une main sous la jupe de nathalie et une autre sous ma robe.

Nathalie n'avait toujours pas ouvert les yeux, peut etre par plaisir, peut etre par honte. Ses mains avaient remplacés la bouche de phil et elle ouvrait grand les jambes pour acceuillir au mieux les caresses sur sa chatte. Elle se mit a gemir tendrement ...

Je n'etais pas aussi rassurer, et phil devait se contenter de caresser mes cuisses, résolument fermées. Sandrine etait seule, un peu en retrait a nous regarder tous les quatres. La mini jupe de fred aviat remontee sur ses hanches a cause des frottements de phil, qui passait la langue de sa bouche a sa culotte de dentelle blanche.

Nathalie aggripa ses seins en criant, puis se roula en boule dans un coin du canape. Sa main libre, phil deboutonna son jean, et sorti de son calecon son sexe en erection. Il se redressa et tenant son sexe d'un main, le frotta contre fred, sur ses cuisses, son ventre, ses seins, jusqu'à son visage. Fred semblait reticente au debut, mais finit par prendre le sexe turgescent en bouche. Phil fremir de plaisir, se concentra un instant sur les caresses bucales de fred, puis s'avisant de notre presence, nous demanda de nous mettre a poil.

Sandrine et moi nous sommes regardes, puis elle a retire son pull, alors j'ai fais de meme. Je gardai mes bas, porte jaretelle et culotte, tandis que sandrine gardait ses sous vetements. Il nous place de chaque cote, pelotant nos seins. Les miens etaient, en toute rigeur les plus gros. Mais ils etaient aussi moins fermes que ceux de fred, ou moins mignons que ceux de sandrine. Phil nous malaxait toutes deux, passant la bouche de l'une a l'autre, pendant qu'il se faisait sucer.

Alors qu'il semblait sur le point de jouir, il sorti de la bouche de fred, recula sur une chaise et poussa de grandes respirations. Nous etions toutes les quatres nues ou a moitie nues, a le regarder reprendre ses esprits. Meme nathalie etait sortie de sa torpeur et semblait se demander ce qui allait se passer maintenant ?

Nous etions suremenent aussi excitees les unes que les autres. Pour ma part, j'avais hate de connaitre la meme extase que nathalie. Au point de me decider a me toucher moi meme, devant les quatres autres. Je me suis assise sur le canape, les jambes ecartes a angle droit, j'ai ferme les yeux pour ne pas voir la reaction des autres, et j'ai commence a me masturber. J'avais un peu essayer avant mais sans reelle motivation. La, j'avais encore dans les yeux le sursaut de nathalie que la langue de phil a penetré sa chatte. J'ecarte de deux doigts les levres, glissant mon clitoris entre eux, puis caressant le tout doucement. Pour une premiere fois, c'etait tres fort ...

C'est quand j'ai entendue les gemissement autour de moi que j'ai ouvert les yeux. Nous etions tous en train de nous branler, phil comme les filles les yeux ouvert, a se regarder se donner du plaisir. Nathalie a cote de moi m'a souri, pris ma main libre pour l'amener sur son sexe. D'abord timidement, je l'ai caresse, un peu trop fort, puis doucement, trouvant son rythme. Alors elle m'a rendu la pareille, et fred et sandrine firent de meme a cote. Phil etait debout, se branlant comme un fou en nous regardant, passant d'un couple a l'autre.

Nathalie semblait fascine par mes seins, alors je lui fit signe qu'elle pouvait les toucher. Elle les caressa tendrement, et la sensation etait tres agreable. De ma main libre je caressai son ventre, ses epaules. Puis je tendis la bouche vers la sienne et nous echangeames un baiser tendre. La pression ne cessait de monter entre mes cuisses, des perles de sueurs coulaient sur nos corps. Phil essayait de reprendre notre attention, mais nous etions entre nous. J'avais envie de fred, et je laisse nathalie pour me frotter contre son dos. Elle se retourna, glissa directement la langue dans ma bouche, se pressa les seins contre les miens. Sa cuisse trouva une place entre les miennes, m'excitant encore plus. Je sentais Nathalie qui frotait son sexe contre mes fesses. Nous gemissions de plus en plus fort, ensemble vers l'orgame. Sandrine explosa la premiere, puis fred, qui se mit a fremir entre mes bras, puis moi et nathalie ensembles. Nous nous sommes effondres l'unes sur l'autres, en un tas orgasmique.

Phil s'est frotte sur nous, glissant son sexe ou il pouvait, entre deux corps, contre une fesse ou un sein, forcant une bouche. Il fit tant d'effort qu'il reveilla mon envie et je lui fit une fellation a laquelle se joignit bientot sandrine. Bande comme il etait, il ne pus resister longtemps a nos deux bouches, et se mis a jutter sur nos visages. Bizarrement j'etait tres calme. Je me suis lave la figure, rhabillé, comme les autres filles. Je ne sais pas quel baratin phil a essayer de nous faire, mais je ne l'ai pas ecoute. J'envisageais avec delice les relations qui venaient de ce nouer entre nous quatre, et qui allaient perdurer jusqu'à la sortie du lycee.

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