TITRE : Soumise et prise par 3 amants infatigables
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

Accueil Histoire érotique Toutes les histoires

Le mercredi je suis allée au collège pour ranger ma salle de TP avant les vacances. Il n’y avait pratiquement personne, les vacances ayant commencé, et l’assistant d’éducation que j’avais eu cette année m’aidait. Éric était étudiant en chimie, il était grand, élancé, les cheveux coupés très court. Il m’avait gentiment draguée toute l’année mais, tout blond, il n’était pas vraiment à mon goût et plusieurs fois je l’avais senti dépité de la distance que je mettais entre nous. Quand le téléphone a sonné, il a répondu puis me l’a tendu :

      - Le gardien, pour vous.

      Le gardien avait Hamid devant lui, avec Karim, et me demandait s’il devait les laisser monter

      - Oui, vous pouvez, ce sont des ouvriers que j’emploie, merci.

      J’étais embarrassée mais je ne me voyais pas les faire renvoyer par le gardien. Je pensais qu’ils voulaient simplement me fixer un nouveau rendez vous et que ça allait être rapide. J’expliquai à Éric que nous allions avoir de la visite et qu’il pouvait rester pour continuer. Lorsque H et K rentrèrent dans la salle Éric était dans l’annexe et ils crurent que j’étais seule. Ils me regardaient tous les deux avec envie et Hamid me demanda tout de suite de lui montrer ce que je portais sous ma robe. Je lui répondis que je ne pouvais pas et il se dirigeait vers moi en disant que je méritais une fessée quand Éric revint en demandant ce qui se passait. J’étais rouge de honte demandant à Hamid qu’il arrête et que l’on se voie après ; mais celui ci m’intima le silence et il raconta calmement à Éric que j’étais une très belle salope, que j’adorais ça par tous les trous et que j’allais les satisfaire sans tarder. Éric me regarda droit dans les yeux et dans un sourire il déclara qu’il avait envie de moi depuis la rentrée et que je le faisais bander à chaque fois que je le frôlais avec mon cul ou ma poitrine. Hamid lui demanda de fermer la porte à clé et je me retrouvai enfermée avec ces trois mâles lorsque mon téléphone portable sonna. C’était mon mari et j’eus beaucoup de mal à lui répondre, Hamid m’ayant coincée contre une table et commençant à me caresser de partout. Je lui répondis que je n’avais pas fini et que je le rappelais dans une heure. Placé derrière moi il avait enlevé presque tous mes boutons et il fit sortir mes seins du soutien-gorge en étirant bien mes tétons qui durcirent instantanément. Karim finit d’ouvrir ma robe et d’un coup enleva ma sage culotte m’obligeant à lever les pieds avant de l’envoyer dans la poubelle. J’étais quasi nue et mon assistant me regardait de haut en bas détaillant mon anatomie offerte aux caresses de mes amants arabes qui s’en donnaient à cœur joie : Hamid avait descendu mon soutien-gorge libérant complètement mes seins qu’il caressait tout en m’embrassant et me léchant le cou, Karim à genoux entre mes cuisses me léchait la chatte tout en me branlant avec ses doigts qu’il me mettait de temps en temps dans le cul. Mon amant commentait :

      - Tu as vu la belle chatte qu’elle a, Éric, elle l’a bien rasée pour accueillir nos queues et elle mouille d’enfer. Et tu vas voir sa bouche, elle te suce comme une pro et elle aime tellement ça qu’elle avale tout mais le plus beau c’est son cul. Tu le sais hein ?

      Oui, tu as raison elle a un cul d’enfer et elle le sait, elle m’a allumé toute l’année avec, soit en jupe bien serrée, soit en pantalon moulant.

      Et bien elle va te l’offrir maintenant, mais avant je veux la voir te sucer à fond. Ça me fait bander de la voir tailler une bonne pipe à son cher assistant, allez vas-y.

      Docilement, j’ai enlevé le ceinturon, ouvert le pantalon de mon assistant et avec son aide je le lui ai enlevé ainsi que son mini slip qui libéra sa queue déjà bien tendue. Elle était pas très longue mais assez épaisse avec un gros gland tout rose qui commençait à pointer. Je la pris en main et commençai à la branler doucement décalottant complètement son gland qui grossissait à vue d’œil. Il avait de grosses couilles qui pendaient apparemment bien pleines et je les caressai aussi tout en approchant ma langue de son sexe. Lorsque j’ai commencé à le lécher Hamid lui demanda

      - Alors c’est bon, elle est douce sa langue.
      - Oui super, une vraie salope, elle me fait tellement bander que je crois que je vais tout lui envoyer dans la figure. Tu caches bien ton jeu, tu sais.
      - Attends un peu, elle va te le pomper comme jamais tu n’as été sucé.

      Je lui ai bien léché le sexe, doucement, insistant avec ma langue bien baveuse sur son gland qui était énorme puis je l’ai embouché et aspiré entre mes joues. Il couinait de plaisir en me tenant par les cheveux et il grossit encore dans ma bouche pendant que je le pompais. Je le léchais, lui prenais son gland entre mes lèvres, le faisais ressortir pour lui lécher ses grosses couilles bien dures. Alors que je passais la pointe de ma langue sur son méat et l’embouchais de nouveau il se mit à jouir brusquement. Il m’envoya de longs jets de sperme au fond de la gorge et alors que je reculais sous l’abondance du sperme que je n’arrivais pas à avaler, je reçus ses dernières giclées dans les cheveux. Il avait joui super vite, mais alors quelle puissance et quelle abondance. Il se branlait la queue devant moi.

      - Super pipe, tu m’as vidé les couilles comme jamais. Voir ta langue me lécher, ta belle bouche de bourge avaler ma queue bien dure, tu m’as fais gicler fort, je crois que j’ai jamais déchargé comme ça. C’est super bandant de se faire pomper dans une salle de cours par la prof de tes rêves.
      - Oui c’est vrai tu lui as envoyé une sacré dose
      - Mes couilles doivent être complètement sèches, mais de la voir offerte avec ses seins et sa chatte à l’air ça me fait bander.

      Hamid me redressa et en me félicitant il me coucha sur le bureau tout en me caressant les seins dont les tétons étaient tout durs. Il m’ordonna d’écarter les cuisses, se débarrassa de son jean sous lequel il n’avait pas de slip, mais c’est Hakim qui avait déjà mis à l’air sa grosse queue bien gonflée qui vint se planter entre mes jambes. Il me prit les chevilles et les écartant bien, il planta son sexe bien dur dans ma chatte humide qui s’ouvrit sous la poussée. Son gland et sa tige forçaient mes chairs intimes à se distendre, je le sentais énorme en moi et ça me faisait mouiller d’être possédée par un membre pareil qui allait m’envoyer en l’air et me remplir de sperme. Il arriva en butée sans avoir enfilé la totalité de sa queue et commença à me pistonner :

      - Tu es vraiment bandante, ta petite chatte rasée me serre bien et tu mouilles comme une fontaine, elle te plait ma queue ?
      - Oui, oui c’est bon, elle est bien grosse, viens bien au fond.
      - Bien sûr, tiens prends la et donne moi tes tétons, je vais te les faire grossir.

      Il saisit mes seins qui ballottaient au rythme de ses coups de piston et se mit à pincer, tirer mes tétons qui durcirent instantanément sous ses doigts et pointaient comme des appels à sucer. Il faisait chaud dans cette salle, tout mon corps réagissait aux caresses et je m’abandonnais complètement en gémissant comme une chienne pendant que mon assistant se branlait et que Hamid venait me mettre sa queue entre les lèvres. Mais mon baiseur sortit de ma chatte et écartant bien mes cuisses il se mit à me lécher le sexe, sa langue me fouillant partout, de mon petit trou du cul jusqu’à mon clitoris qu’il aspirait divinement. Elle était douce, râpeuse et dure à la fois et rapidement il m’envoya en l’air une première fois, ma jouissance se déclenchant pendant qu’il titillait mon clitoris. Je jouissais comme une folle offerte à ces trois mâles qui étaient bien montés et qui allaient profiter de la situation à fond. Mon lécheur ne s’arrêtait pas, la tête entre mes cuisses, il léchait mon jus dégoulinant de ma chatte presque imberbe, fourrant régulièrement sa langue dans mon cul qu’il léchait bien, l’écartant pour avoir accès à petit trou. Lorsqu’il se redressa, sa queue pointait toujours bien droit devant lui et avec mon assistant, ils m’amenèrent dans la salle de cours. Ils m’enlevèrent le soutien-gorge et la robe et je me retrouvai nue au milieu d’eux. Ils me branlaient la chatte, me caressaient le cul et les seins en pinçant mes tétons qui pointaient fièrement. Leurs queues me touchaient, me frôlaient, s’insinuaient entre mes fesses et ils finirent par me mettre là, sur une table d’étude, à quatre pattes, et tous les deux ils me présentèrent leur sexe à sucer. J’étais juste à la bonne hauteur et je commençai par sucer celui de Hakim : il bandait comme un âne, sa queue raide bien longue et épaisse, son gland gonflé à bloc que je pris entre mes joues avait le goût de ma chatte dans laquelle il avait fait quelques aller retour. Il se retira vite et laissa la place à Hamid qui me balada d’abord son gland sur tout le visage avant de le glisser entre mes lèvres et de me l’enfoncer au fond de la gorge. Il me tenait par les cheveux et se servait de ma bouche comme de mon sexe. Il grossissait entre mes lèvres et j’avais du mal à le sucer complètement mais je l’entendais soupirer d’aise et m’encourager à bien le pomper alors que j’avais mon arrière train bien offert. Tout à coup je sentis deux mains s’emparer de mon cul et tout en écartant mes fesses on m’introduisit un objet dans la chatte. Éric était derrière moi et il m’avait introduit une grosse sonde noire dans la chatte et il me branlait avec.

      - Tu es vraiment faite pour baiser, Stéphanie, et on voit, on entend aussi que tu aimes ça. Tu as un cul magnifique et je crois que je vais me le faire.

      Il me l’enfonçait profond et j’avais du mal à sucer la queue de Hamid qui lui disait de me l’enfiler dans le cul. Mon assistant sortit la sonde de ma chatte et il plaça le bout en forme d’énorme suppositoire contre mon petit trou et doucement il poussa. Surprise je me retournai pour échapper à l’introduction mais Hamid me maintenait sur la table en m’ordonnant de rester tranquille si je ne voulais pas une bonne fessée. Ils bandaient tous les trois bien dur de me voir offerte comme ça et Éric continua sa poussée. Il me faisait mal mais l’embout franchit mon sphincter d’un coup et il commença à me ramoner le cul avec cette sonde qui faisait au moins 50 cm et qui m’ouvrait les reins en deux. Je leur demandai d’arrêter mais en pure perte et il l’enfonça doucement de la moitié puis commença des aller retour entre mes fesses. Ils étaient excités et petit à petit moi aussi je prenais plaisir à cette pénétration, mon cul s’ouvrant tout seul sous les poussées qui allaient de plus en plus profond. Je gémissais de plus en plus fort et Hamid me remit sa queue dans la bouche tout en me caressant les cheveux. Je salivais sur son gland et sa queue, je le léchais avec application et je prenais mon pied : il était énorme dans ma bouche et je sentais le plaisir monter dans mes reins ouverts par cette espèce de queue qui me transperçait. Je gémissais de plus en plus fort comme les garçons qui me traitaient de tous les noms mais je m’en foutais complètement tellement le plaisir prenait le dessus. Je lâchai le gland de mon amant et m’abandonnant à la jouissance qui montait je demandai à mon assistant de bien m’enculer, de m’enfiler profond. Il se fit un plaisir de me pistonner avec sa sonde en la faisant presque sortir de mon cul à chaque fois et dans un grand ouiiiiiii j’ai fini par jouir comme jamais sous leurs yeux. Tout mon corps jouissait, l’onde remontant de mes reins à la pointe des seins qui étaient tendus et durs à l’extrême. Ça n’en finissait pas et Éric continuait à m’enfiler par procuration me promettant de me mettre la sienne aussi profond tellement je le faisais bander. Quand il me retira enfin ce gode énorme de mon cul j’avais l’impression d’être ouverte pour toujours et je n’ai pas pu récupérer longtemps. Hamid vint se placer derrière moi et il m’annonça que j’allais le prendre, lui, maintenant dans ma chatte et qu’il allait me remplir de jus. Il balada son gland entre mes cuisses, entre mes fesses puis il le positionna entre mes lèvres et il entama sa poussée en me tenant fermement par les hanches. J’étais tellement mouillée qu’il m’enfila d’une poussée jusqu’au fond et dans un grognement de plaisir il me colla à lui. Il m’enfilait bien profond et je sentais sa queue grossir encore à chaque aller retour, remplissant ma chatte qui dégoulinait de mouille. De temps en temps il sortait complètement et après avoir baladé son engin sur mon arrière train, je sentis son gland énorme m’embrocher de nouveau. Là il allait bien au fond et il me plaquait contre son ventre dur, ses couilles rentrant presque dans ma petite chatte. J’étais son jouet sexuel, mes seins aux bouts durs ballottant sous moi, les deux autres me regardant en attendant leur tour tout en se branlant lentement et se faisant sucer de temps en temps. Je gémissais de plaisir et je lui demandai de me remplir la chatte de son foutre

      - Tu es vraiment bonne, ta chatte me serre bien et ton cul bien ouvert ferait bander un mort. Tu aimes ça dis moi !
      - Oui j’adore ça Hamid, enfile moi bien, je suis à toi, tu me fais trop jouir.
      - Attends je vais t’envoyer en l’air et tu vas sentir ma décharge, j’ai les couilles pleines à ras bord et te voir embrochée et sucer les grosses queues de mes potes c’est vraiment trop bandant.
      - Ouiii, oui enfile moi bien, transperce ma chatte à fond, je veux ton sperme au fond de moi, plein de sperme.
      - Tu vas être gâtée, j’ai les couilles pleines ras à bord et je vais te le mettre où tu veux. Dans la chatte ou dans le cul ?
      - Ouiii, c’est bon, gicle dans ma chatte, je la veux remplie.
      - Tiens prends ça, (il m’enfilait de plus en plus fort) et en plus avec 3 sexes tu vas en prendre un maximum ma belle salope. Tu es une belle femelle en chaleur, tu aimes les grosses queues hein ?
      - Oui j’adore ça, c’est trop bon avec vous.
      - Tu es ma chienne maintenant, tu vas obéir sans discuter à tous mes désirs, mes ordres quels qui soient. Tu entends, dis bien fort que tu es mon esclave, que tu te donnes à moi sinon …
      - Oui Hamid tout ce que tu veux, tout, je t’obéirai, je fais tout ce que tu veux mais tu ne dis rien à personne.
      - C’est bien, tu vas en avoir du sexe avec moi, Stéphanie, du bien dur, bien gros et bien profond.

      Son sexe était énorme en moi et il venait en butée à chaque fois qu’il m’enfilait. Mes seins ballottaient sous moi, j’étais agrippée au bord de la table pour encaisser ses coups de bite et je gémissais de plus en plus fort pendant lui poussait des cris de bûcheron à chaque fois qu’il m’embrochait. Tout mon corps prenait plaisir à cette pénétration profonde et à cette exhibition devant ces 3 jeunes mecs, Karim me caressait les cheveux et me passait sa bite sur le visage, la mettait entre mes lèvres humides et je la léchais entre deux coups de boutoir de mon maître. J’ai commencé à jouir quand Hakim explosa dans ma chatte, je sentais son gland énorme au fond de moi et son sperme me remplir, et l’onde de plaisir se propagea à tout mon corps jusqu’à la pointe de mes seins. J’étais secouée par cet orgasme comme jamais, je criais mon plaisir de jouir et j’en redemandais, je voulais être remplie et continuer de jouir. Hakim se vida en moi en longues giclées puis ses couilles collées à mon cul il resta au fond de moi un long moment avant de se retirer en me donnant une claque monumentale sur les fesses.

      Je me suis retournée et allongée de tout mon long sur cette table de travaux pratiques, je récupérais de mes orgasmes successifs complètement offerte à leur regard et à leurs caresses les plus audacieuses. Mes tétons étaient encore durcis du plaisir que j’avais pris et Éric continuait de les caresser en me soufflant qu’il allait lui aussi me remplir, mes jambes étaient écartées et je sentais le sperme couler de ma chatte et s’insinuer entre mes fesses. Karim me regardait en souriant, sa grosse queue dressée devant lui et il m’annonça tranquillement qu’il allait me renvoyer au 7e ciel avec son engin.

      Il s’installa entre mes cuisses et tout en me les écartant bien il m’approcha au bord de la table son gland venant toucher mes lèvres humides du sperme de mon amant précédent. Avec ses doigts il me caressa le sexe, insinuant son majeur dans ma chatte trempée, puis il me fouilla avec deux doigts tout en mettant à l’air mon clitoris. J’étais super sensible et quand il me branla mon petit bouton je me mis à gémir et tout en m’ouvrant au maximum pour favoriser la caresse je frissonnai de tout mon corps.

      - Tu es bien sensible, petite salope, et ça te fait sacrément mouiller d’écarter les cuisses.
      - Oui, j’adore ça, j’aime les grosses queues comme la tienne.
      - Hum, et moi j’adore ta petite chatte rasée et tes beaux seins bien gros, bien gonflés. Je vais te planter ma queue entre les cuisses et te remplir comme tu l’aimes. Baiser une belle chienne comme toi c’est vraiment trop bandant.

      Il pointa son engin à l’entrée de ma chatte et m’enfila doucement : son gland me perçait sans difficulté, ma chair s’ouvrant sous la poussée du jeune beur qui m’enfila jusqu’à être en butée. Je sentais son gland au fond de mon vagin et pourtant il n’avait pas introduit la totalité de sa longueur : sa bite était vraiment grosse et longue et il me bourrait comme s’il voulait me transpercer au delà de la chatte.

      - Arrête, elle est trop grosse, tu es bien au fond.
      - C’est bon et tu me la serres fort, tu aimes ça salope ?
      - Oui, oui Karim, baise moi

      Il se mit à me pistonner en poussant des grognements de plaisir et je me sentais comme ouverte en deux à chacun de ses coups de reins. Mes seins remuaient en rythme et il me regardait avec un petit sourire en coin apparemment satisfait de m’arracher des cris de plaisir et de se faire une jolie bourgeoise qui s’offrait sans retenue à ses assauts. De temps en temps il sortait de ma chatte, passant sa tige entre mes lèvres dégoulinantes, venant mettre ses couilles à l’entrée de mon con, puis il m’embrochait de plus belle son gland grossissant encore de plus en plus en moi. Mon assistant, qui bandait lui aussi comme un malade, m’avait saisi les poignets et j’avais sa paire de couilles au-dessus du visage. Il me faisait caresser ses fesses bien musclées et de temps en temps je léchais ses couilles qui semblaient de nouveau pleine de foutre. J’étais une vraie salope, soumise à leur plaisir, tout mon corps étant de nouveau en sueur et parcouru par des ondes de plaisir et par un sexe dur comme une barre de fer qui me remplissait le ventre comme jamais. Karim m’enfilait lentement en me maintenant les cuisses bien écartées et je sentais toute sa longueur dans mon sexe qui mouillait comme une fontaine, il se penchait de temps en temps pour sucer mes tétons, les pincer, me lécher de façon divine. Alors qu’il venait encore une fois en butée au fond de ma matrice je partis dans une jouissance folle en poussant malgré moi des gémissements de plaisir. Je remuais dans tous les sens, amenant mon bassin à la rencontre de son sexe, le réclamant toujours plus profond, l’orgasme m’emportant vraiment au 7e ciel. Lui continuait de me pilonner en poussant des cris de bûcheron, son sexe continuant de gonfler et de m’ouvrir en deux lorsqu’enfin il poussa un long oui tout en explosant au fond de moi. Mon orgasme redoubla d’intensité pendant qu’il se vidait en longues giclées au fond de moi. Je sentais son sperme m’inonder tellement il jouissait fort, il m’envoyait son foutre bien au fond en me tenant arrimée à son sexe les cuisses toujours ouvertes au maximum.

      - Tiens prends mon jus bien au fond, je me vide complètement les couilles tellement tu m’excites. Elle est bonne ta chatte, aussi bonne que ton cul, jolie salope.

      - Oui, c’est bon, encore Karim, encore, vide toi bien, enfile moi, transperce moi
      - Tu es déchaînée ma belle, tiens prends ça, ça te fait jouir d’être prise par un beur hein dis moi ? un arabe bien monté.
      - Oui j’adore ça, ta queue est trop bonne, elle est belle et elle me fait jouir.

      Il me prit par les hanches et me pilonnant encore plus fort il lâcha encore quelques jets de foutre au fond de moi en poussant des cris de délivrance. J’étais épuisée, remplie de sperme et lui il débandait à peine en moi caressant mes seins comme un fou avec ses grosses mains. Quand enfin il sortit de moi, sa queue était encore gonflée, luisante, et il me la présenta pour que je la lèche. J’ai dû m’exécuter et nettoyer son gland en avalant le jus mêlé de leurs spermes et de ma mouille déclenchant même une dernière giclée de foutre que je pris au fond de la gorge. Ses grosses couilles pendaient complètement vidées de leur sperme mais le gland que je suçais avec application et sa tige étaient encore bien gonflés et je savais qu’il allait rebander vite et qu’il serait capable de me reprendre dans peu de temps. Ces jeunes avaient une capacité de récupération phénoménale et j’allais être leur jouet pendant un moment mais aujourd’hui j’aimais ça, j’aime me faire baiser par ces jeunes mecs, être soumise à leurs caprices et jouir. Je découvre que je suis folle de leurs queues, que j’adore sucer et recevoir les giclées de sperme au fond de ma gorge, avaler leur semence. J’adore me faire enfiler et ramoner par leurs engins, je réalise que de me faire baiser par de grosses queues, à plusieurs, n’est pas qu’un fantasme et que ça me procure du plaisir comme jamais. Les voir bander comme des ânes pour mon corps, mes seins, ma chatte bien épilée et mon cul rebondi et bien fendu, me rend folle.

      Quand Karim me retira enfin sa queue de la bouche je me relevai et m’assis sur la table, nue à l’exception de mes talons, en sueur d’avoir tant donné et tant joui, mes seins gonflés et aux tétons durs ballottant devant moi. J’avais le goût de leur sperme dans la bouche, ma chatte était en feu et ils me regardaient tous les trois avec envie, fiers de m’avoir possédée et envoyée en l’air, contents de s’être vidé les couilles en moi.

      Mon assistant s’approcha de moi, m’écarta les cuisses et me prenant le visage entre ses deux grosses mains il me roula une pelle d’enfer, sa langue s’insinuant dans ma bouche et s’emparant de la mienne. Je me laissais faire, répondant à son baiser, sentant son sexe tout contre le mien. Il m’embrassait et me léchait, puis il descendit vers mes seins qu’il empoigna et malaxa fermement avant de les lécher puis d’aspirer leur pointe entre ses lèvres. Il ne s’arrêta pas là et se mettant à genoux entre mes jambes il entreprit de me lécher l’intérieur des cuisses qu’il écartait au maximum en se rapprochant peu à peu de mon sexe presque lisse. Lorsqu’il posa sa langue râpeuse sur mes lèvres un frisson parcourut tout mon corps. Sa langue dure et douce à la fois s’insinuait dans ma chatte, tournoyait autour de mon clitoris qui gonflait de nouveau, ressortait pour aller explorer mon cul, revenait entre mes lèvres intimes. Il poussait des grognements de plaisir, léchant et aspirant mon clitoris, le jus mêlé de mes jouissances précédentes avec le sperme de mes amants. J’étais de nouveau en train de partir lorsqu’il se redressa la queue raide comme un piquet :

      - Tu es bonne de partout et ça te fait mouiller de te faire prendre comme ça, hein. Dire que j’ai bandé un an avant de pouvoir t’enfiler, à te regarder et plus sans que tu fasses attention à moi.
      - Normal, non, tu es mon assistant, je ne pouvais pas te céder comme ça et je ne savais pas qu’un blond comme toi me plairait autant.
      - Pourquoi, tu préfères les bruns, les arabes et les blacks.
      - Les blacks non et je n’ai jamais essayé, mais les bruns et les arabes oui, jusqu’à aujourd’hui en tout cas.
      - Tu vois ma bite de blond et bien je vais te la mettre dans le cul et tu m’en diras des nouvelles car j’ai les couilles de nouveau bien pleines pour toi et ton beau cul de bourgeoise va s’en souvenir.

      Ma chatte était grande ouverte face à lui et positionnant son gland juste à l’entrée il m’enfila d’une poussée puissante jusqu’à la garde. Il me tenait maintenant fermement par les hanches, me ramonant à grands coups de reins, et je me sentais toute petite entre les mains de cet athlète de 1m90 qui me regardait dans les yeux prendre de nouveau mon pied. Ses grosses mains remontèrent vers mon ventre qu’il caressa doucement puis vers mes seins qu’il pressa fermement, saisissant mes tétons déjà tendus entre deux doigts pour les étirer encore et les pincer. Il me faisait mal et plaisir à la fois, des ondes d’excitation me parcourant tout le corps en me faisant de nouveau mouiller comme une fontaine et gémir comme une chienne en chaleur. Il sortit alors de ma chatte, la queue luisante de mon jus, et me prenant par la main il me força à me lever et à le suivre jusqu’à l’estrade où il s’assit sur ma chaise de cours son sexe raide comme un piquet et tendu, gonflé au maximum comme si de m’enfiler le faisait grossir à vue d’œil. J’allais de nouveau me prendre dans le cul une belle queue.

      - Maintenant Stéphanie tu vas t’empaler toute seule sur ma queue et moi je vais regarder ton beau cul avaler mon engin.
      - Tu veux que je m’assoie sur toi ?
      - Eh oui, de dos et te mettant ma queue dans le cul, ton beau cul que je vais arroser avec plaisir, allez !

      Il me fit tourner, écarter les jambes et en me prenant par les hanches il me mit à l’aplomb de son sexe que je sentais entre mes fesses, son gros gland tout contre mon petit trou. Il se tenait la bite bien droite et il m’ordonna de m’empaler dessus. Complètement déchaînée je me suis assise sur lui et mon petit trou bien lubrifié à laissé passer son gland sans difficulté. Alors je me suis enculée toute seule jusqu’à la garde. Sentir sa queue entre les reins me procurait des sensations inouïes surtout qu’il grossissait encore en moi. Je remuais doucement sur son engin, profitant au maximum des ondes de plaisir qui se déclenchaient dans mes reins et qui faisaient de nouveau durcir mes tétons. Éric soufflait et m’encourageait à bien faire le piston en disant que j’avais le plus beau cul qu’il ait jamais vu et qu’il bandait comme jamais dedans. Il avait les mains sous mes fesses et il accompagnait mes mouvements m’obligeant à déculer de temps en temps pour m’enculer de nouveau encore plus profond. Je gémissais à chaque fois que son gland franchissait mon anus et que je le sentais ensuite m’ouvrir en deux. J’étais enfilée à fond sur ce pal quand mon portable sonna et Éric me saisit par les hanches pour m’empêcher de me lever

      - Tu restes sur ma queue et tu réponds comme ça, Stéphanie, - apportez lui son téléphone.
      - Vous ne dites rien, ça doit être mon mari.

      C’était effectivement Marc qui m’appelait et c’est la pine d’Éric dans le cul je lui répondis.

      - Tu as fini ton rangement, chérie, ou je te rejoins.
      - Non, c’est bon, c’est presque fini, je vais rentrer à la maison.
      - Bon je t’invite au restaurant ce soir car on m’envoie à Paris la semaine prochaine pour trois jours et …
      - Oh, non on devait pendre la crémaillère et je vais de nouveau être seule à la maison, tu annules les invitations, je ne veux pas recevoir sans toi.

      Éric bandait comme un âne dans mon cul, donnant de petit coup de queue qui me faisait tressauter sur lui et il se mit à me pincer les tétons manquant de me faire gémir dans le téléphone. Il me murmura dans l’oreille que je devais aimer ça et qu’il allait tout m’envoyer dans le cul.

      - D’accord, je t’attends au bureau et on ira au restaurant direct comme ça je passe les appels et je prépare mon déplacement, tu ne m’en veux pas ?
      - Non, mais je vais encore être seule et j’en ai marre, en plus pendant les vacances et les enfants seront déjà partis.
      - Bon, assez, à tout à l’heure et je te veux sans culotte pour aller au restaurant, j’ai envie de t’avoir bien offerte.
      - Non pas sans culotte, chéri, je ne peux pas.
      - Tu viens sans culotte et en jupe courte et tu ne fais pas d’histoire, je suis sûr que tu aimes ça en plus.
      - D’accord, comme tu veux, à tout à l’heure.

      Il raccrocha et je vis dans le regard de mes amants des éclairs de désirs. Je passais vraiment pour une salope alors qu’il était très rare que Marc m’impose ce genre de fantaisie. Hamid dit tout de suite qu’ils viendraient pendre la crémaillère avec moi et me tenir compagnie pour que je ne m’ennuie pas. Éric me fit reprendre mes mouvements de piston sur sa queue déclenchant aussitôt chez lui et chez moi des gémissements de bêtes en rut. Il criait que c’était trop bon, que j’avais un petit trou qui serrait bien et un cul à faire bander les morts. Dans un grand cri et en m’enfilant jusqu’à la garde il jouit en envoyant ses giclées de sperme au fond de mon cul. Il se vidait en moi en me tenant fermement les hanches. J’étais empalée à fond sur sa tige raide qui palpitait entre mes reins au rythme de ses jets de foutre, il me remplissait tout en pétrissant mes seins et en me faisant sucer ses doigts. Il finit par me prendre la tête et il m’embrassa longuement, sa langue prenant possession de la mienne et vaincue par le plaisir procuré je répondis à ses baisers, des ondes parcourant tout mon corps. Je restai un moment empalée sur lui les deux autres se branlant doucement en me regardant et fantasmant déjà sur la soirée de pendaison de crémaillère. Bandant de nouveau comme des fous ils s’approchèrent et Karim en premier présenta son gland à ma bouche que j’ouvris avant même qu’il me le demande toujours assise sur la bite de mon assistant qui ne débandait pas. À peine je sortais ma langue qu’il éjaculait en pénétrant ma bouche et je recevais son foutre crémeux au fond de la gorge que j’avalais en lui massant les couilles qui maintenant pendaient complètement vides. Il fut aussitôt remplacé par Hamid qui avait lui aussi son sexe bien gonflé et il se caressait lentement en me regardant dans les yeux avec un sourire ironique.

      - Tu es belle comme ça, tu es vraiment faite pour baiser et tu as l’air d’aimer ça avec nous. C’est les grosses queues bien dures que tu aimes.
      - Oui j’adore ça, surtout avec des beaux mecs comme vous, bien musclés, jeunes. Je mouille rien qu’à voir l’effet que je vous fais.

      Eh bien, tu vas avoir une dernière giclée pour cet après midi, tu aimes qu’on te gicle dessus ?

      Oui mais j’aime surtout sucer et sentir le gland exploser dans ma bouche, sentir le foutre gicler, être obligée d’avaler votre sperme. Je me sens vraiment femelle comme ça, soumise à votre volonté, à vos désirs.

      - Tu es vraiment une belle salope.

      Il introduisit sa queue entre mes lèvres et je me mis à l’aspirer, à le téter en faisant tournoyer ma langue sur son gland gorgé de sang. Il me prit le visage entre les mains et après deux aller-retour il jouit en poussant de grands cris de bonheur. Il m’envoya deux jets de sperme qui tapissèrent le fond de ma gorge et que j’eus du mal à avaler. Puis il se laissa lécher tranquillement le gland et la queue jusqu’à ce que je lui aie complètement nettoyé son engin.

      Après ces deux giclées de sperme, je pus enfin me relever et commencer à me rhabiller sous leurs caresses. Tout le monde se rhabilla rapidement, Éric qui me regardait avec envie, prit ma culotte dans la poubelle et la mit dans sa poche en déclarant qu’il la gardait en souvenir. Je me retrouvai le cul à l’air sous ma robe et tous les trois plaisantaient sur mes aventures à venir avec mon mari.

      J’allais partir quand Hamid me retint pour fixer notre prochain rendez vous. Comme j’allais être seule trois jours la semaine suivante, ils viendraient dès le mardi soir pour faire la fête avec moi et inaugurer la maison à leur façon. Je devrais préparer les toasts et ils apporteraient la boisson et surtout Hamid me donna les consignes vestimentaires pour les accueillir. Je devais porter une jupe très courte sans rien dessous de façon à être prête à tous leurs désirs quels qui soient, des talons assez haut mettant en valeur mon cul et je pourrais choisir le haut allant avec la jupe.

Auteur

 

Accueil Histoire érotique Toutes les histoires

Les couples en ligne :




Partenaire de communication avec logiciel fax internet
Nom de domaine et hebergement internet