Le mercredi je suis allée au collège pour ranger
ma salle de TP avant les vacances. Il n’y avait pratiquement
personne, les vacances ayant commencé, et l’assistant d’éducation
que j’avais eu cette année m’aidait. Éric était étudiant
en chimie, il était grand, élancé, les cheveux coupés très
court. Il m’avait gentiment draguée toute l’année mais,
tout blond, il n’était pas vraiment à mon goût et plusieurs
fois je l’avais senti dépité de la distance que je mettais
entre nous. Quand le téléphone a sonné, il a répondu puis
me l’a tendu :
- Le gardien, pour vous.
Le gardien avait Hamid devant
lui, avec Karim, et me demandait s’il devait les laisser
monter
- Oui, vous pouvez, ce sont
des ouvriers que j’emploie, merci.
J’étais embarrassée mais
je ne me voyais pas les faire renvoyer par le gardien. Je
pensais qu’ils voulaient simplement me fixer un nouveau
rendez vous et que ça allait être rapide. J’expliquai à
Éric que nous allions avoir de la visite et qu’il pouvait
rester pour continuer. Lorsque H et K rentrèrent dans la
salle Éric était dans l’annexe et ils crurent que j’étais
seule. Ils me regardaient tous les deux avec envie et Hamid
me demanda tout de suite de lui montrer ce que je portais
sous ma robe. Je lui répondis que je ne pouvais pas et il
se dirigeait vers moi en disant que je méritais une fessée
quand Éric revint en demandant ce qui se passait. J’étais
rouge de honte demandant à Hamid qu’il arrête et que l’on
se voie après ; mais celui ci m’intima le silence et il
raconta calmement à Éric que j’étais une très belle salope,
que j’adorais ça par tous les trous et que j’allais les
satisfaire sans tarder. Éric me regarda droit dans les yeux
et dans un sourire il déclara qu’il avait envie de moi depuis
la rentrée et que je le faisais bander à chaque fois que
je le frôlais avec mon cul ou ma poitrine. Hamid lui demanda
de fermer la porte à clé et je me retrouvai enfermée avec
ces trois mâles lorsque mon téléphone portable sonna. C’était
mon mari et j’eus beaucoup de mal à lui répondre, Hamid
m’ayant coincée contre une table et commençant à me caresser
de partout. Je lui répondis que je n’avais pas fini et que
je le rappelais dans une heure. Placé derrière moi il avait
enlevé presque tous mes boutons et il fit sortir mes seins
du soutien-gorge en étirant bien mes tétons qui durcirent
instantanément. Karim finit d’ouvrir ma robe et d’un coup
enleva ma sage culotte m’obligeant à lever les pieds avant
de l’envoyer dans la poubelle. J’étais quasi nue et mon
assistant me regardait de haut en bas détaillant mon anatomie
offerte aux caresses de mes amants arabes qui s’en donnaient
à cœur joie : Hamid avait descendu mon soutien-gorge libérant
complètement mes seins qu’il caressait tout en m’embrassant
et me léchant le cou, Karim à genoux entre mes cuisses me
léchait la chatte tout en me branlant avec ses doigts qu’il
me mettait de temps en temps dans le cul. Mon amant commentait
:
- Tu as vu la belle chatte
qu’elle a, Éric, elle l’a bien rasée pour accueillir nos
queues et elle mouille d’enfer. Et tu vas voir sa bouche,
elle te suce comme une pro et elle aime tellement ça qu’elle
avale tout mais le plus beau c’est son cul. Tu le sais hein
?
Oui, tu as raison elle a
un cul d’enfer et elle le sait, elle m’a allumé toute l’année
avec, soit en jupe bien serrée, soit en pantalon moulant.
Et bien elle va te l’offrir
maintenant, mais avant je veux la voir te sucer à fond.
Ça me fait bander de la voir tailler une bonne pipe à son
cher assistant, allez vas-y.
Docilement, j’ai enlevé
le ceinturon, ouvert le pantalon de mon assistant et avec
son aide je le lui ai enlevé ainsi que son mini slip qui
libéra sa queue déjà bien tendue. Elle était pas très longue
mais assez épaisse avec un gros gland tout rose qui commençait
à pointer. Je la pris en main et commençai à la branler
doucement décalottant complètement son gland qui grossissait
à vue d’œil. Il avait de grosses couilles qui pendaient
apparemment bien pleines et je les caressai aussi tout en
approchant ma langue de son sexe. Lorsque j’ai commencé
à le lécher Hamid lui demanda
- Alors c’est bon, elle
est douce sa langue.
- Oui super, une vraie salope,
elle me fait tellement bander que je crois que je vais tout
lui envoyer dans la figure. Tu caches bien ton jeu, tu sais.
- Attends un peu, elle va
te le pomper comme jamais tu n’as été sucé.
Je lui ai bien léché le
sexe, doucement, insistant avec ma langue bien baveuse sur
son gland qui était énorme puis je l’ai embouché et aspiré
entre mes joues. Il couinait de plaisir en me tenant par
les cheveux et il grossit encore dans ma bouche pendant
que je le pompais. Je le léchais, lui prenais son gland
entre mes lèvres, le faisais ressortir pour lui lécher ses
grosses couilles bien dures. Alors que je passais la pointe
de ma langue sur son méat et l’embouchais de nouveau il
se mit à jouir brusquement. Il m’envoya de longs jets de
sperme au fond de la gorge et alors que je reculais sous
l’abondance du sperme que je n’arrivais pas à avaler, je
reçus ses dernières giclées dans les cheveux. Il avait joui
super vite, mais alors quelle puissance et quelle abondance.
Il se branlait la queue devant moi.
- Super pipe, tu m’as vidé
les couilles comme jamais. Voir ta langue me lécher, ta
belle bouche de bourge avaler ma queue bien dure, tu m’as
fais gicler fort, je crois que j’ai jamais déchargé comme
ça. C’est super bandant de se faire pomper dans une salle
de cours par la prof de tes rêves.
- Oui c’est vrai tu lui as
envoyé une sacré dose
- Mes couilles doivent être
complètement sèches, mais de la voir offerte avec ses seins
et sa chatte à l’air ça me fait bander.
Hamid me redressa et en
me félicitant il me coucha sur le bureau tout en me caressant
les seins dont les tétons étaient tout durs. Il m’ordonna
d’écarter les cuisses, se débarrassa de son jean sous lequel
il n’avait pas de slip, mais c’est Hakim qui avait déjà
mis à l’air sa grosse queue bien gonflée qui vint se planter
entre mes jambes. Il me prit les chevilles et les écartant
bien, il planta son sexe bien dur dans ma chatte humide
qui s’ouvrit sous la poussée. Son gland et sa tige forçaient
mes chairs intimes à se distendre, je le sentais énorme
en moi et ça me faisait mouiller d’être possédée par un
membre pareil qui allait m’envoyer en l’air et me remplir
de sperme. Il arriva en butée sans avoir enfilé la totalité
de sa queue et commença à me pistonner :
- Tu es vraiment bandante,
ta petite chatte rasée me serre bien et tu mouilles comme
une fontaine, elle te plait ma queue ?
- Oui, oui c’est bon, elle
est bien grosse, viens bien au fond.
- Bien sûr, tiens prends
la et donne moi tes tétons, je vais te les faire grossir.
Il saisit mes seins qui
ballottaient au rythme de ses coups de piston et se mit
à pincer, tirer mes tétons qui durcirent instantanément
sous ses doigts et pointaient comme des appels à sucer.
Il faisait chaud dans cette salle, tout mon corps réagissait
aux caresses et je m’abandonnais complètement en gémissant
comme une chienne pendant que mon assistant se branlait
et que Hamid venait me mettre sa queue entre les lèvres.
Mais mon baiseur sortit de ma chatte et écartant bien mes
cuisses il se mit à me lécher le sexe, sa langue me fouillant
partout, de mon petit trou du cul jusqu’à mon clitoris qu’il
aspirait divinement. Elle était douce, râpeuse et dure à
la fois et rapidement il m’envoya en l’air une première
fois, ma jouissance se déclenchant pendant qu’il titillait
mon clitoris. Je jouissais comme une folle offerte à ces
trois mâles qui étaient bien montés et qui allaient profiter
de la situation à fond. Mon lécheur ne s’arrêtait pas, la
tête entre mes cuisses, il léchait mon jus dégoulinant de
ma chatte presque imberbe, fourrant régulièrement sa langue
dans mon cul qu’il léchait bien, l’écartant pour avoir accès
à petit trou. Lorsqu’il se redressa, sa queue pointait toujours
bien droit devant lui et avec mon assistant, ils m’amenèrent
dans la salle de cours. Ils m’enlevèrent le soutien-gorge
et la robe et je me retrouvai nue au milieu d’eux. Ils me
branlaient la chatte, me caressaient le cul et les seins
en pinçant mes tétons qui pointaient fièrement. Leurs queues
me touchaient, me frôlaient, s’insinuaient entre mes fesses
et ils finirent par me mettre là, sur une table d’étude,
à quatre pattes, et tous les deux ils me présentèrent leur
sexe à sucer. J’étais juste à la bonne hauteur et je commençai
par sucer celui de Hakim : il bandait comme un âne, sa queue
raide bien longue et épaisse, son gland gonflé à bloc que
je pris entre mes joues avait le goût de ma chatte dans
laquelle il avait fait quelques aller retour. Il se retira
vite et laissa la place à Hamid qui me balada d’abord son
gland sur tout le visage avant de le glisser entre mes lèvres
et de me l’enfoncer au fond de la gorge. Il me tenait par
les cheveux et se servait de ma bouche comme de mon sexe.
Il grossissait entre mes lèvres et j’avais du mal à le sucer
complètement mais je l’entendais soupirer d’aise et m’encourager
à bien le pomper alors que j’avais mon arrière train bien
offert. Tout à coup je sentis deux mains s’emparer de mon
cul et tout en écartant mes fesses on m’introduisit un objet
dans la chatte. Éric était derrière moi et il m’avait introduit
une grosse sonde noire dans la chatte et il me branlait
avec.
- Tu es vraiment faite pour
baiser, Stéphanie, et on voit, on entend aussi que tu aimes
ça. Tu as un cul magnifique et je crois que je vais me le
faire.
Il me l’enfonçait profond
et j’avais du mal à sucer la queue de Hamid qui lui disait
de me l’enfiler dans le cul. Mon assistant sortit la sonde
de ma chatte et il plaça le bout en forme d’énorme suppositoire
contre mon petit trou et doucement il poussa. Surprise je
me retournai pour échapper à l’introduction mais Hamid me
maintenait sur la table en m’ordonnant de rester tranquille
si je ne voulais pas une bonne fessée. Ils bandaient tous
les trois bien dur de me voir offerte comme ça et Éric continua
sa poussée. Il me faisait mal mais l’embout franchit mon
sphincter d’un coup et il commença à me ramoner le cul avec
cette sonde qui faisait au moins 50 cm et qui m’ouvrait
les reins en deux. Je leur demandai d’arrêter mais en pure
perte et il l’enfonça doucement de la moitié puis commença
des aller retour entre mes fesses. Ils étaient excités et
petit à petit moi aussi je prenais plaisir à cette pénétration,
mon cul s’ouvrant tout seul sous les poussées qui allaient
de plus en plus profond. Je gémissais de plus en plus fort
et Hamid me remit sa queue dans la bouche tout en me caressant
les cheveux. Je salivais sur son gland et sa queue, je le
léchais avec application et je prenais mon pied : il était
énorme dans ma bouche et je sentais le plaisir monter dans
mes reins ouverts par cette espèce de queue qui me transperçait.
Je gémissais de plus en plus fort comme les garçons qui
me traitaient de tous les noms mais je m’en foutais complètement
tellement le plaisir prenait le dessus. Je lâchai le gland
de mon amant et m’abandonnant à la jouissance qui montait
je demandai à mon assistant de bien m’enculer, de m’enfiler
profond. Il se fit un plaisir de me pistonner avec sa sonde
en la faisant presque sortir de mon cul à chaque fois et
dans un grand ouiiiiiii j’ai fini par jouir comme jamais
sous leurs yeux. Tout mon corps jouissait, l’onde remontant
de mes reins à la pointe des seins qui étaient tendus et
durs à l’extrême. Ça n’en finissait pas et Éric continuait
à m’enfiler par procuration me promettant de me mettre la
sienne aussi profond tellement je le faisais bander. Quand
il me retira enfin ce gode énorme de mon cul j’avais l’impression
d’être ouverte pour toujours et je n’ai pas pu récupérer
longtemps. Hamid vint se placer derrière moi et il m’annonça
que j’allais le prendre, lui, maintenant dans ma chatte
et qu’il allait me remplir de jus. Il balada son gland entre
mes cuisses, entre mes fesses puis il le positionna entre
mes lèvres et il entama sa poussée en me tenant fermement
par les hanches. J’étais tellement mouillée qu’il m’enfila
d’une poussée jusqu’au fond et dans un grognement de plaisir
il me colla à lui. Il m’enfilait bien profond et je sentais
sa queue grossir encore à chaque aller retour, remplissant
ma chatte qui dégoulinait de mouille. De temps en temps
il sortait complètement et après avoir baladé son engin
sur mon arrière train, je sentis son gland énorme m’embrocher
de nouveau. Là il allait bien au fond et il me plaquait
contre son ventre dur, ses couilles rentrant presque dans
ma petite chatte. J’étais son jouet sexuel, mes seins aux
bouts durs ballottant sous moi, les deux autres me regardant
en attendant leur tour tout en se branlant lentement et
se faisant sucer de temps en temps. Je gémissais de plaisir
et je lui demandai de me remplir la chatte de son foutre
- Tu es vraiment bonne,
ta chatte me serre bien et ton cul bien ouvert ferait bander
un mort. Tu aimes ça dis moi !
- Oui j’adore ça Hamid, enfile
moi bien, je suis à toi, tu me fais trop jouir.
- Attends je vais t’envoyer
en l’air et tu vas sentir ma décharge, j’ai les couilles
pleines à ras bord et te voir embrochée et sucer les grosses
queues de mes potes c’est vraiment trop bandant.
- Ouiii, oui enfile moi bien,
transperce ma chatte à fond, je veux ton sperme au fond
de moi, plein de sperme.
- Tu vas être gâtée, j’ai
les couilles pleines ras à bord et je vais te le mettre
où tu veux. Dans la chatte ou dans le cul ?
- Ouiii, c’est bon, gicle
dans ma chatte, je la veux remplie.
- Tiens prends ça, (il m’enfilait
de plus en plus fort) et en plus avec 3 sexes tu vas en
prendre un maximum ma belle salope. Tu es une belle femelle
en chaleur, tu aimes les grosses queues hein ?
- Oui j’adore ça, c’est trop
bon avec vous.
- Tu es ma chienne maintenant,
tu vas obéir sans discuter à tous mes désirs, mes ordres
quels qui soient. Tu entends, dis bien fort que tu es mon
esclave, que tu te donnes à moi sinon …
- Oui Hamid tout ce que tu
veux, tout, je t’obéirai, je fais tout ce que tu veux mais
tu ne dis rien à personne.
- C’est bien, tu vas en avoir
du sexe avec moi, Stéphanie, du bien dur, bien gros et bien
profond.
Son sexe était énorme en
moi et il venait en butée à chaque fois qu’il m’enfilait.
Mes seins ballottaient sous moi, j’étais agrippée au bord
de la table pour encaisser ses coups de bite et je gémissais
de plus en plus fort pendant lui poussait des cris de bûcheron
à chaque fois qu’il m’embrochait. Tout mon corps prenait
plaisir à cette pénétration profonde et à cette exhibition
devant ces 3 jeunes mecs, Karim me caressait les cheveux
et me passait sa bite sur le visage, la mettait entre mes
lèvres humides et je la léchais entre deux coups de boutoir
de mon maître. J’ai commencé à jouir quand Hakim explosa
dans ma chatte, je sentais son gland énorme au fond de moi
et son sperme me remplir, et l’onde de plaisir se propagea
à tout mon corps jusqu’à la pointe de mes seins. J’étais
secouée par cet orgasme comme jamais, je criais mon plaisir
de jouir et j’en redemandais, je voulais être remplie et
continuer de jouir. Hakim se vida en moi en longues giclées
puis ses couilles collées à mon cul il resta au fond de
moi un long moment avant de se retirer en me donnant une
claque monumentale sur les fesses.
Je me suis retournée et
allongée de tout mon long sur cette table de travaux pratiques,
je récupérais de mes orgasmes successifs complètement offerte
à leur regard et à leurs caresses les plus audacieuses.
Mes tétons étaient encore durcis du plaisir que j’avais
pris et Éric continuait de les caresser en me soufflant
qu’il allait lui aussi me remplir, mes jambes étaient écartées
et je sentais le sperme couler de ma chatte et s’insinuer
entre mes fesses. Karim me regardait en souriant, sa grosse
queue dressée devant lui et il m’annonça tranquillement
qu’il allait me renvoyer au 7e ciel avec son engin.
Il s’installa entre mes
cuisses et tout en me les écartant bien il m’approcha au
bord de la table son gland venant toucher mes lèvres humides
du sperme de mon amant précédent. Avec ses doigts il me
caressa le sexe, insinuant son majeur dans ma chatte trempée,
puis il me fouilla avec deux doigts tout en mettant à l’air
mon clitoris. J’étais super sensible et quand il me branla
mon petit bouton je me mis à gémir et tout en m’ouvrant
au maximum pour favoriser la caresse je frissonnai de tout
mon corps.
- Tu es bien sensible, petite
salope, et ça te fait sacrément mouiller d’écarter les cuisses.
- Oui, j’adore ça, j’aime
les grosses queues comme la tienne.
- Hum, et moi j’adore ta
petite chatte rasée et tes beaux seins bien gros, bien gonflés.
Je vais te planter ma queue entre les cuisses et te remplir
comme tu l’aimes. Baiser une belle chienne comme toi c’est
vraiment trop bandant.
Il pointa son engin à l’entrée
de ma chatte et m’enfila doucement : son gland me perçait
sans difficulté, ma chair s’ouvrant sous la poussée du jeune
beur qui m’enfila jusqu’à être en butée. Je sentais son
gland au fond de mon vagin et pourtant il n’avait pas introduit
la totalité de sa longueur : sa bite était vraiment grosse
et longue et il me bourrait comme s’il voulait me transpercer
au delà de la chatte.
- Arrête, elle est trop
grosse, tu es bien au fond.
- C’est bon et tu me la serres
fort, tu aimes ça salope ?
- Oui, oui Karim, baise moi
Il se mit à me pistonner
en poussant des grognements de plaisir et je me sentais
comme ouverte en deux à chacun de ses coups de reins. Mes
seins remuaient en rythme et il me regardait avec un petit
sourire en coin apparemment satisfait de m’arracher des
cris de plaisir et de se faire une jolie bourgeoise qui
s’offrait sans retenue à ses assauts. De temps en temps
il sortait de ma chatte, passant sa tige entre mes lèvres
dégoulinantes, venant mettre ses couilles à l’entrée de
mon con, puis il m’embrochait de plus belle son gland grossissant
encore de plus en plus en moi. Mon assistant, qui bandait
lui aussi comme un malade, m’avait saisi les poignets et
j’avais sa paire de couilles au-dessus du visage. Il me
faisait caresser ses fesses bien musclées et de temps en
temps je léchais ses couilles qui semblaient de nouveau
pleine de foutre. J’étais une vraie salope, soumise à leur
plaisir, tout mon corps étant de nouveau en sueur et parcouru
par des ondes de plaisir et par un sexe dur comme une barre
de fer qui me remplissait le ventre comme jamais. Karim
m’enfilait lentement en me maintenant les cuisses bien écartées
et je sentais toute sa longueur dans mon sexe qui mouillait
comme une fontaine, il se penchait de temps en temps pour
sucer mes tétons, les pincer, me lécher de façon divine.
Alors qu’il venait encore une fois en butée au fond de ma
matrice je partis dans une jouissance folle en poussant
malgré moi des gémissements de plaisir. Je remuais dans
tous les sens, amenant mon bassin à la rencontre de son
sexe, le réclamant toujours plus profond, l’orgasme m’emportant
vraiment au 7e ciel. Lui continuait de me pilonner en poussant
des cris de bûcheron, son sexe continuant de gonfler et
de m’ouvrir en deux lorsqu’enfin il poussa un long oui tout
en explosant au fond de moi. Mon orgasme redoubla d’intensité
pendant qu’il se vidait en longues giclées au fond de moi.
Je sentais son sperme m’inonder tellement il jouissait fort,
il m’envoyait son foutre bien au fond en me tenant arrimée
à son sexe les cuisses toujours ouvertes au maximum.
- Tiens prends mon jus bien
au fond, je me vide complètement les couilles tellement
tu m’excites. Elle est bonne ta chatte, aussi bonne que
ton cul, jolie salope.
- Oui, c’est bon, encore
Karim, encore, vide toi bien, enfile moi, transperce moi
- Tu es déchaînée ma belle,
tiens prends ça, ça te fait jouir d’être prise par un beur
hein dis moi ? un arabe bien monté.
- Oui j’adore ça, ta queue
est trop bonne, elle est belle et elle me fait jouir.
Il me prit par les hanches
et me pilonnant encore plus fort il lâcha encore quelques
jets de foutre au fond de moi en poussant des cris de délivrance.
J’étais épuisée, remplie de sperme et lui il débandait à
peine en moi caressant mes seins comme un fou avec ses grosses
mains. Quand enfin il sortit de moi, sa queue était encore
gonflée, luisante, et il me la présenta pour que je la lèche.
J’ai dû m’exécuter et nettoyer son gland en avalant le jus
mêlé de leurs spermes et de ma mouille déclenchant même
une dernière giclée de foutre que je pris au fond de la
gorge. Ses grosses couilles pendaient complètement vidées
de leur sperme mais le gland que je suçais avec application
et sa tige étaient encore bien gonflés et je savais qu’il
allait rebander vite et qu’il serait capable de me reprendre
dans peu de temps. Ces jeunes avaient une capacité de récupération
phénoménale et j’allais être leur jouet pendant un moment
mais aujourd’hui j’aimais ça, j’aime me faire baiser par
ces jeunes mecs, être soumise à leurs caprices et jouir.
Je découvre que je suis folle de leurs queues, que j’adore
sucer et recevoir les giclées de sperme au fond de ma gorge,
avaler leur semence. J’adore me faire enfiler et ramoner
par leurs engins, je réalise que de me faire baiser par
de grosses queues, à plusieurs, n’est pas qu’un fantasme
et que ça me procure du plaisir comme jamais. Les voir bander
comme des ânes pour mon corps, mes seins, ma chatte bien
épilée et mon cul rebondi et bien fendu, me rend folle.
Quand Karim me retira enfin
sa queue de la bouche je me relevai et m’assis sur la table,
nue à l’exception de mes talons, en sueur d’avoir tant donné
et tant joui, mes seins gonflés et aux tétons durs ballottant
devant moi. J’avais le goût de leur sperme dans la bouche,
ma chatte était en feu et ils me regardaient tous les trois
avec envie, fiers de m’avoir possédée et envoyée en l’air,
contents de s’être vidé les couilles en moi.
Mon assistant s’approcha
de moi, m’écarta les cuisses et me prenant le visage entre
ses deux grosses mains il me roula une pelle d’enfer, sa
langue s’insinuant dans ma bouche et s’emparant de la mienne.
Je me laissais faire, répondant à son baiser, sentant son
sexe tout contre le mien. Il m’embrassait et me léchait,
puis il descendit vers mes seins qu’il empoigna et malaxa
fermement avant de les lécher puis d’aspirer leur pointe
entre ses lèvres. Il ne s’arrêta pas là et se mettant à
genoux entre mes jambes il entreprit de me lécher l’intérieur
des cuisses qu’il écartait au maximum en se rapprochant
peu à peu de mon sexe presque lisse. Lorsqu’il posa sa langue
râpeuse sur mes lèvres un frisson parcourut tout mon corps.
Sa langue dure et douce à la fois s’insinuait dans ma chatte,
tournoyait autour de mon clitoris qui gonflait de nouveau,
ressortait pour aller explorer mon cul, revenait entre mes
lèvres intimes. Il poussait des grognements de plaisir,
léchant et aspirant mon clitoris, le jus mêlé de mes jouissances
précédentes avec le sperme de mes amants. J’étais de nouveau
en train de partir lorsqu’il se redressa la queue raide
comme un piquet :
- Tu es bonne de partout
et ça te fait mouiller de te faire prendre comme ça, hein.
Dire que j’ai bandé un an avant de pouvoir t’enfiler, à
te regarder et plus sans que tu fasses attention à moi.
- Normal, non, tu es mon
assistant, je ne pouvais pas te céder comme ça et je ne
savais pas qu’un blond comme toi me plairait autant.
- Pourquoi, tu préfères les
bruns, les arabes et les blacks.
- Les blacks non et je n’ai
jamais essayé, mais les bruns et les arabes oui, jusqu’à
aujourd’hui en tout cas.
- Tu vois ma bite de blond
et bien je vais te la mettre dans le cul et tu m’en diras
des nouvelles car j’ai les couilles de nouveau bien pleines
pour toi et ton beau cul de bourgeoise va s’en souvenir.
Ma chatte était grande ouverte
face à lui et positionnant son gland juste à l’entrée il
m’enfila d’une poussée puissante jusqu’à la garde. Il me
tenait maintenant fermement par les hanches, me ramonant
à grands coups de reins, et je me sentais toute petite entre
les mains de cet athlète de 1m90 qui me regardait dans les
yeux prendre de nouveau mon pied. Ses grosses mains remontèrent
vers mon ventre qu’il caressa doucement puis vers mes seins
qu’il pressa fermement, saisissant mes tétons déjà tendus
entre deux doigts pour les étirer encore et les pincer.
Il me faisait mal et plaisir à la fois, des ondes d’excitation
me parcourant tout le corps en me faisant de nouveau mouiller
comme une fontaine et gémir comme une chienne en chaleur.
Il sortit alors de ma chatte, la queue luisante de mon jus,
et me prenant par la main il me força à me lever et à le
suivre jusqu’à l’estrade où il s’assit sur ma chaise de
cours son sexe raide comme un piquet et tendu, gonflé au
maximum comme si de m’enfiler le faisait grossir à vue d’œil.
J’allais de nouveau me prendre dans le cul une belle queue.
- Maintenant Stéphanie tu
vas t’empaler toute seule sur ma queue et moi je vais regarder
ton beau cul avaler mon engin.
- Tu veux que je m’assoie
sur toi ?
- Eh oui, de dos et te mettant
ma queue dans le cul, ton beau cul que je vais arroser avec
plaisir, allez !
Il me fit tourner, écarter
les jambes et en me prenant par les hanches il me mit à
l’aplomb de son sexe que je sentais entre mes fesses, son
gros gland tout contre mon petit trou. Il se tenait la bite
bien droite et il m’ordonna de m’empaler dessus. Complètement
déchaînée je me suis assise sur lui et mon petit trou bien
lubrifié à laissé passer son gland sans difficulté. Alors
je me suis enculée toute seule jusqu’à la garde. Sentir
sa queue entre les reins me procurait des sensations inouïes
surtout qu’il grossissait encore en moi. Je remuais doucement
sur son engin, profitant au maximum des ondes de plaisir
qui se déclenchaient dans mes reins et qui faisaient de
nouveau durcir mes tétons. Éric soufflait et m’encourageait
à bien faire le piston en disant que j’avais le plus beau
cul qu’il ait jamais vu et qu’il bandait comme jamais dedans.
Il avait les mains sous mes fesses et il accompagnait mes
mouvements m’obligeant à déculer de temps en temps pour
m’enculer de nouveau encore plus profond. Je gémissais à
chaque fois que son gland franchissait mon anus et que je
le sentais ensuite m’ouvrir en deux. J’étais enfilée à fond
sur ce pal quand mon portable sonna et Éric me saisit par
les hanches pour m’empêcher de me lever
- Tu restes sur ma queue
et tu réponds comme ça, Stéphanie, - apportez lui son téléphone.
- Vous ne dites rien, ça
doit être mon mari.
C’était effectivement Marc
qui m’appelait et c’est la pine d’Éric dans le cul je lui
répondis.
- Tu as fini ton rangement,
chérie, ou je te rejoins.
- Non, c’est bon, c’est presque
fini, je vais rentrer à la maison.
- Bon je t’invite au restaurant
ce soir car on m’envoie à Paris la semaine prochaine pour
trois jours et …
- Oh, non on devait pendre
la crémaillère et je vais de nouveau être seule à la maison,
tu annules les invitations, je ne veux pas recevoir sans
toi.
Éric bandait comme un âne
dans mon cul, donnant de petit coup de queue qui me faisait
tressauter sur lui et il se mit à me pincer les tétons manquant
de me faire gémir dans le téléphone. Il me murmura dans
l’oreille que je devais aimer ça et qu’il allait tout m’envoyer
dans le cul.
- D’accord, je t’attends
au bureau et on ira au restaurant direct comme ça je passe
les appels et je prépare mon déplacement, tu ne m’en veux
pas ?
- Non, mais je vais encore
être seule et j’en ai marre, en plus pendant les vacances
et les enfants seront déjà partis.
- Bon, assez, à tout à l’heure
et je te veux sans culotte pour aller au restaurant, j’ai
envie de t’avoir bien offerte.
- Non pas sans culotte, chéri,
je ne peux pas.
- Tu viens sans culotte et
en jupe courte et tu ne fais pas d’histoire, je suis sûr
que tu aimes ça en plus.
- D’accord, comme tu veux,
à tout à l’heure.
Il raccrocha et je vis dans
le regard de mes amants des éclairs de désirs. Je passais
vraiment pour une salope alors qu’il était très rare que
Marc m’impose ce genre de fantaisie. Hamid dit tout de suite
qu’ils viendraient pendre la crémaillère avec moi et me
tenir compagnie pour que je ne m’ennuie pas. Éric me fit
reprendre mes mouvements de piston sur sa queue déclenchant
aussitôt chez lui et chez moi des gémissements de bêtes
en rut. Il criait que c’était trop bon, que j’avais un petit
trou qui serrait bien et un cul à faire bander les morts.
Dans un grand cri et en m’enfilant jusqu’à la garde il jouit
en envoyant ses giclées de sperme au fond de mon cul. Il
se vidait en moi en me tenant fermement les hanches. J’étais
empalée à fond sur sa tige raide qui palpitait entre mes
reins au rythme de ses jets de foutre, il me remplissait
tout en pétrissant mes seins et en me faisant sucer ses
doigts. Il finit par me prendre la tête et il m’embrassa
longuement, sa langue prenant possession de la mienne et
vaincue par le plaisir procuré je répondis à ses baisers,
des ondes parcourant tout mon corps. Je restai un moment
empalée sur lui les deux autres se branlant doucement en
me regardant et fantasmant déjà sur la soirée de pendaison
de crémaillère. Bandant de nouveau comme des fous ils s’approchèrent
et Karim en premier présenta son gland à ma bouche que j’ouvris
avant même qu’il me le demande toujours assise sur la bite
de mon assistant qui ne débandait pas. À peine je sortais
ma langue qu’il éjaculait en pénétrant ma bouche et je recevais
son foutre crémeux au fond de la gorge que j’avalais en
lui massant les couilles qui maintenant pendaient complètement
vides. Il fut aussitôt remplacé par Hamid qui avait lui
aussi son sexe bien gonflé et il se caressait lentement
en me regardant dans les yeux avec un sourire ironique.
- Tu es belle comme ça,
tu es vraiment faite pour baiser et tu as l’air d’aimer
ça avec nous. C’est les grosses queues bien dures que tu
aimes.
- Oui j’adore ça, surtout
avec des beaux mecs comme vous, bien musclés, jeunes. Je
mouille rien qu’à voir l’effet que je vous fais.
Eh bien, tu vas avoir une
dernière giclée pour cet après midi, tu aimes qu’on te gicle
dessus ?
Oui mais j’aime surtout
sucer et sentir le gland exploser dans ma bouche, sentir
le foutre gicler, être obligée d’avaler votre sperme. Je
me sens vraiment femelle comme ça, soumise à votre volonté,
à vos désirs.
- Tu es vraiment une belle
salope.
Il introduisit sa queue
entre mes lèvres et je me mis à l’aspirer, à le téter en
faisant tournoyer ma langue sur son gland gorgé de sang.
Il me prit le visage entre les mains et après deux aller-retour
il jouit en poussant de grands cris de bonheur. Il m’envoya
deux jets de sperme qui tapissèrent le fond de ma gorge
et que j’eus du mal à avaler. Puis il se laissa lécher tranquillement
le gland et la queue jusqu’à ce que je lui aie complètement
nettoyé son engin.
Après ces deux giclées de
sperme, je pus enfin me relever et commencer à me rhabiller
sous leurs caresses. Tout le monde se rhabilla rapidement,
Éric qui me regardait avec envie, prit ma culotte dans la
poubelle et la mit dans sa poche en déclarant qu’il la gardait
en souvenir. Je me retrouvai le cul à l’air sous ma robe
et tous les trois plaisantaient sur mes aventures à venir
avec mon mari.
J’allais partir quand Hamid
me retint pour fixer notre prochain rendez vous. Comme j’allais
être seule trois jours la semaine suivante, ils viendraient
dès le mardi soir pour faire la fête avec moi et inaugurer
la maison à leur façon. Je devrais préparer les toasts et
ils apporteraient la boisson et surtout Hamid me donna les
consignes vestimentaires pour les accueillir. Je devais
porter une jupe très courte sans rien dessous de façon à
être prête à tous leurs désirs quels qui soient, des talons
assez haut mettant en valeur mon cul et je pourrais choisir
le haut allant avec la jupe.
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