TITRE : Soumis et cocu
Catégorie : 
Histoire Sado Maso

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Mon mari fantasme depuis longtemps sur la soumission conjugale. Il est même allé jusqu'à rédiger un contrat de soumission. Au début, je trouvais tout ceci un peu ennuyeux, mais au fur et à mesure j'y ai pris goût et un soir, j'ai décidé de lui sortir le grand jeu. Comme toujours, il rentra après 20h et il s'installa à table pour dîner. Quand il me vit, il ouvrit tout grand ses yeux. J'avais revêtu pour la circonstance mon bustier en vinyle noir très pigeonnant, une paire de bas noirs et un string en tissu de même couleur. J'avais également enfilé une paire de bottes à talons hauts qui avaient d'ailleurs tout de suite attiré son attention. Il me dit aussitôt :

- Hum, c'est super excitant comme surprise.

Je lui répondis :

- Exact. Nous avons toute la soirée pour nous amuser un peu. J'ai pensé que tu aurais peut-être envie d'être mon . esclave ?

Ne croyant d'abord pas ce qu'il avait entendu, il me fit répéter.

Voyant sa mine réjouie, je compris vite qu'il était comblé d'être accueilli ainsi. Je repris :

- Je voudrais que tu ailles réimprimer notre petit contrat et que tu me l'apportes avant de commencer de dîner.

Il se leva presque instantanément pour exhausser mon vou. Quelques minutes plus tard, il revint avec le fameux papier. Il fut bien trop content d'y apposer sa signature et j'y ajoutai la mienne avec un sourire malicieux.

Attention à quoi tu t'engages, en devenant mon esclave, tu m'appartiendras et ta volonté ne comptera plus. Ne crois pas que je ferai ce que tu désires. Tu seras obligé d'accepter des ordres dont tu n'as même pas idée. Sache bien que tu devras faire de nombreuses choses que tu n'aimes pas, ce serait trop facile de ne t'imposer que ce que tu aimes. Tu as bien compris j'espère ?

- Oui.

- Et tu es prêt à continuer en sachant cela ?

- Oui.

- Tu l'auras voulu.

Je lui tendis une enveloppe en disant :

- Tu trouveras là dedans des instructions sur ta tenue vestimentaire de ce soir. Dépêche toi de dîner et de te changer. Je t'attends au salon !

Mon enveloppe allait bien sûr lui réserver quelques surprises. Je lui demandais entre autre de se menotter les mains derrière le dos. Lorsqu'il revint, je le regardai en le détaillant très minutieusement tout en me moquant de sa tenue que j'avais choisie spécialement ridicule. J'avais passé l'après-midi à lui en choisir une parfaitement adaptée à la nouvelle situation qui allait être la sienne. Une tenue de soubrette avec la robe noire, le tablier et la coiffe blanche et les dessous assortis, une guêpière noire, une culotte fendue et des bas résille de la même couleur, des escarpins à talons plats complétaient l'uniforme. Puis après m'être assurée qu'il avait bien mis ses menottes derrière le dos, je lui murmurai à l'oreille :

- Te voilà entièrement en mon pouvoir, mon chou. Je peux donc faire de toi tout ce que je veux.

- Viens un peu par ici et tourne-toi .

- Voyons voir cette petite quéquette ! Toujours aussi minuscule, je vois. Je crois qu'on va commencer par un petit rasage !

Je l'emmène avec moi en le tirant par la bite jusqu'à la salle de bain qui se trouve à l'étage. Arrivés en haut, je lui enlève momentanément les menottes, puis je cherche son rasoir mécanique et m'assoie sur la cuvette du WC.

- viens là, debout devant moi, mains derrière le dos. écarte les jambes !

Je commence d'abord par lui raser les couilles à sec. Puis, je lui demande de se retourner et de se baisser en gardant toujours les jambes écartées. Là, je lui rase avec application tout le pourtour de l'anus que j'agace au passage.

- Parfait, dis-je en me reculant pour contrôler mon travail.

Je le laisse volontairement dans sa position penchée que je sais gênante et j'en profite pour le toiser un peu plus.

- Maintenant, passons aux choses sérieuses. Rentre dans la douche.

Je passe le jet de la douche sur son sexe et sur son anus. Puis, je prends la mousse à raser que j'applique en couche épaisse sur son pubis, jusqu'au nombril.

- Je ne t'ai pas autorisé à bander mon chéri à ce que je sache.

Je lui donne quelques claques sur la bite pour le calmer, mais je sais très bien que l'effet est plutôt inverse ! Au bout de quelques minutes, il n'a plus un poil autour de la queue, ni sur les couilles, ni autour de l'anus.

- Voilà, mon chéri. Une vraie petite bite d'esclave. Comme ça au moins, c'est clair. Tu sais qui est la Maîtresse ici ! Viens, on retourne au salon .

Je l'entraîne derrière moi, toujours en le tirant par sa petite bite maintenant parfaitement lisse. Je n'oublie pas d'emporter les menottes.

Arrivée en bas, je m'avance vers la table pour y prendre le Contrat qu'il m'avait signé quelques minutes plus tôt. Tout en prenant un air très sérieux, je lui relis le premier paragraphe .

- Le soussigné, ., déclare par le présent contrat qu'il renonce avec effet immédiat à tous les avantages conjugaux que lui procurait jusqu'ici sa qualité de mari et d'amant de Madame .. Cela signifie qu'il lui sera interdit de la toucher, de la lécher et encore moins de la pénétrer sans son accord préalable.

Je le regardai dans les yeux avec un air hautain .

- Tu comprends ce que ça veut dire ? Fini la baise . Si tu es bien sage, tu auras peut-être encore le droit de regarder de temps en temps ma petite foufoune !

- Par contre, tu devras la nettoyer à chaque fois que je l'exigerai et surtout après une bonne partie de jambes en l'air ! Et oui, pour moi il n'y aura pas d'abstinence, je ne me priverais pas d'avoir de nombreux amants.

- Et le clou, c'est que tu seras tellement sevré que tu attendras ces moments avec la bave aux lèvres, la petite queue dressée et la langue prête pour la toilette intime de ta petite chatte adorée.

- Je vois que tu commences tout doucement à comprendre ta nouvelle situation ! On va voir ça tout de suite . A genoux et vite !

Je me penche un peu en avant. Mes seins sont maintenant à la hauteur de ses yeux et je prends un malin plaisir à me trémousser pour l'allumer encore un peu plus.

- Tu vas commencer par me laver sous les bras. Sors ta langue et approche la tête. C'est ça, lèche lentement et partout !

Puis, j'enlève tout doucement mon bustier. Je le contemple un instant en le regardant de bien haut. Ses yeux sont exorbités et fixent mes nichons comme un jeune puceau qui découvre le spectacle pour la première fois.

- Sors ta langue et lèche ma poitrine. Commence par le sillon SOUS mes seins . Mmm, je commence à te trouver plein de qualités !

- Remets-toi à genoux. Tu vas renifler toutes mes odeurs intimes par-dessus ma culotte, et tu as intérêt à le faire très doucement.

- C'est bon, hein ? Je sais que tu as toujours aimé ça ! Et ce soir, tu es gâté. Toute la journée, j'ai fait exprès de lâcher les dernières gouttes dans mon string à chaque fois que je suis allée aux toilettes. Et en même temps, je mouillais en pensant que tu allais renifler ma culotte avec autant d'ardeur. Mais on dirait que tu commences à baver comme un toutou.

- Maintenant, enlève mon string avec tes dents ; démerde-toi. Allez, allez, plus vite !

Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit ma chatte intégralement et impeccablement rasée. Ca faisait très longtemps qu'il ne l'a pas vu ainsi ! Ses yeux se firent encore plus grands et je commençais vraiment à prendre du plaisir à ce nouveau pouvoir. Tout en continuant à le regarder dans les yeux de bien haut, je lui enlève mon string de la bouche pour le coiffer avec, l'entrejambes bien calé sous son nez. Puis, je me recule un peu et me fais contemplative .

- Je devrais faire une photo. Un string sur la tête et une petite quéquette rasée de puceau quel tableau !

- Je m'assois bien confortablement sur le canapé en face de lui, toujours à genoux et le débarrasse de mon string.

- Maintenant, je veux te voir me nettoyer l'entre jambe avec ta langue.

J'ouvre mes cuisses devant ses yeux implorant.

- Lèche-moi soigneusement, nettoie bien ma chatte. Passe ta langue entre mes petites lèvres.

- Tu ne trouves pas qu'elle a un petit arrière goût ? Tu devines ce que c'est, hein ?

- Comme tu n'as plus le droit de me baiser, il fallait bien que je te trouve un remplaçant. Oh non, ne fait pas cette tête. Ce n'est pas parce que tu n'as plus le droit de me baiser que je vais me passer de ce plaisir, non ?

- Mmm, ton petit nettoyage me donne envie de faire pipi. Viens, suis-moi aux toilettes.

Je m'installe sur la cuvette et le fait mettre à genoux, la tête à hauteur de ma foufoune. Un grand flot jaillit de ma vulve et quelques gouttes éclaboussent son visage. Pour les dernières gouttes, je m'installe carrément sur sa bouche.

- Allez, lèche . Essuie ma petite foufounette.

- Oh, pardon, voilà encore quelques gouttes. J'espère que tu n'as rien laissé couler sur le sol !

J'inspecte le sol .

- C'est bien. En récompense, je vais te recoiffer de ma culotte. Comme ça, tu peux te délecter de mes odeurs à défaut de pouvoir me baiser.

- Allez, debout p'tite bite .

Je l'entraîne à nouveau au salon où je lui ordonne de se mettre au coin. Je lui remets les menottes, mains derrière le dos.

- Attends-moi ici et gare à toi si tu bouges.

Je monte lascivement au premier étage dans notre chambre à coucher et j'en reviens avec un collier d'esclave, une laisse pour chien faites de cuir et de maillons métalliques d'une cinquantaine de cm de longs et un bâillon cuir muni d'une boule.

Je lui passe le collier et la laisse. Je lui ordonne de se mettre à genoux à côté de la table basse. Je défaits la boucle en cuir de la laisse et la referme autour d'un des pieds de la table basse. Il se trouve ainsi attaché comme un chien, à genoux et la tête tirée vers le bas par la laisse.

Je m'assois sur le canapé en face de lui, toujours nue, et je m'amuse à croiser et décroiser mes jambes. Il doit de tortiller pour profiter du spectacle Bien sûr, je ne lui laisse que peu de temps pour entrevoir ma petite chatte rasée et ça le rend fou. De temps en temps, je caresse ses joues avec mes pieds que je lui ordonne de lécher. Parfois, la laisse devient trop courte lorsque je fais exprès d'éloigner mes pieds .

- On dirait vraiment que ton nouveau rôle de mari soumis et cocu te plaît . Mais, il y a une petite chose qui me préoccupe encore. Je sais que tu te branles en mon absence, et ne me dis pas que je me trompe. Tu as pourtant rédigé et signé un contrat qui te l'interdit formellement ! Ce contrat me donne également tous les droits sur toi. Je me trompe ?

- J'ai longuement réfléchi et j'ai fini par trouver une solution à ce petit problème !

Je me penche en avant et je le regarde dans les yeux et me moquant de la situation dans laquelle il s'est mise. Attends, je vais passer un petit coup de fil !

- Allo, Jacques ? Je crois que mon petit mari a deux mots à te dire. Tu es loin d'ici ? A peine à 2 minutes ? Très bien, passe donc nous voir tout de suite .

Lorsque je revins au salon, mon mari avait un regard terrifié. Il m'implorait de le détacher et de lui permettre de se rhabiller.

- Mais tu es très bien dans cette tenue. Elle te va à ravir !

Ses yeux se firent encore plus suppliants lorsque la sonnerie retentit. Il se mit à m'implorer à haute voix en me promettant qu'il fera tout ce que je voudrai à condition de ne pas ouvrir la porte.

Pour toute réponse, je lui mis le bâillon et m'éloignais en direction de la porte. J'ouvris .

- Ah, voilà mon baiseur adoré. Viens entre. Je te présente mon mari, . Enfin mon esclave !

- Oh ! Quelle belle soubrette que voilà ! Ainsi je constate que tu ne m'avais pas menti, tu as réussi à le convaincre ?

- Ca n'a pas été très difficile, en fait il était très demandeur, ce fera un bon esclave, n'est ce pas mon chéri ? Dis-je avec ironie en m'adressant à mon mari.

- Oui.

- Oui qui ?

- Oui madame.

- J'aime mieux ça, alors tu m'obéiras bien ?

- Oui madame.

- En tout !

- Oui madame.

- Et tu n'oublieras pas d'obéir aussi à Jacques !

- Suprême humiliation, allait-il l'accepter ?

- Oui madame, répondit-il dans un souffle.

- Dis-le lui !

- Oui monsieur, je vous obéirais en tout.

- En entendant cela je crus que j'allais jouir sur place. Mon mari qui appelait mon amant monsieur et qui lui disait qu'il était prêt à lui obéir, sans même savoir à quoi il allait devoir obéir. Moment d'une rare intensité dont je savourais toutes les conséquences.

A peine ai-je prononcé ces mots, j'attirais Jacques vers moi pour l'embrasser à pleine bouche. Puis je posai ma main sur sa braguette en regardant mon mari .

- Enfin, une vraie bite !

J'invite Jacques à prendre place sur le canapé. Moi je me rassois en face de mon mari.

- Je te présente Jacques, mon amant depuis maintenant quelques mois. Je me suis toujours demandée comment tu as pu être aussi aveugle et ne rien deviner de notre liaison. C'est vrai que jusqu'à présent, je t'ai permis de me baiser comme si de rien n'était. Mais vois-tu, Jacques n'aime pas que je continue à me faire baiser par quelqu'un d'autre que lui ! Alors, il fallait trouver une solution et, comble du comble, tu y as fortement contribué en souhaitant devenir mon esclave. Jacques, je te présente Eliane, en effet c'est comme cela que je l'appellerai désormais.

Jacques regardait la scène avec fascination.

- Ah, je ne t'ai pas encore dit que Jacques est un excellant chirurgien. Et tu vas t'en rendre compte par toi-même. Il va procéder à une petite intervention sur ta quéquette. Non, ne t'inquiète pas, il ne va pas te castrer ! Il va juste poser deux petits anneaux.

Cela dit, je me lève et détache la laisse de la table basse. J'entraîne mon mari vers notre chambre à coucher et je le pousse sur le lit. Puis nous lui attachons les pieds aux barreaux en les écartant au maximum. Je prends en main sa petite bite toute molle et rabougrie. Je lui explique que nous allons poser un anneau sur son prépuce en lui montrant l'endroit.

- Nous allons en poser un autre là, à la base de ta bourse, au plus près de ton anus. Puis nous tirerons ta bite par-dessus les couilles et je joindrais les deux anneaux avec un petit cadenas dont je serai seule à détenir la clé. Ta queue sera en permanence collée contre tes couilles. Pour pisser, il faudra que tu fasses comme nous les femmes, car il te sera impossible de la prendre entre les doigts. C'est en plein air que tu comprendras ton malheur. Enfin, tu feras comme moi. Et pour bander, je crois que c'est tout simplement impossible .

Pendant que je parlais, Jacques avait tout préparé. L'intervention dura à peine 10 minutes pendant lesquelles mon mari nous implorait, mais son bâillon nous épargnait ses jérémiades.

Pour lui prouver que je disais vrai, je me suis agenouillée devant Jacques et après avoir sorti sa bite, je la pris dans la bouche pour lui administrer une fellation comme mon mari les aime tant. Toujours étendu sur le lit, celui-ci soulevait la tête pour mieux voir mes lèvres rouges aller et venir le long de la queue bien dure de mon amant. Ses yeux étaient exorbités et quand Jacques s'est arc-bouté pour éjaculer dans ma bouche, mon petit cocu a poussé un cri. Nous en avons bien ri ensuite, mon amant et moi. D'assister à la pipe avait fait bander mon mari, et les anneaux interdisant l'érection, la douleur et la gêne qu'il ressentait ont provoqué une éjaculation incontrôlée. Son sperme coulait sur son anus, puis sur les draps. Sa bite ressemblait à un boudin à demi mou qui donnait à l'ensemble un air franchement ridicule.

- Tu vois, ai-je remarqué en tamponnant mes lèvres gluantes avec un kleenex, je savais bien que j'arriverai à te faire jouir sans te toucher et tout en t'interdisant de bander. Dorénavant, il en sera toujours ainsi et tant pis si tu n'arrives pas à jouir. Moi, je n'en jouirai que davantage ! Regarde, je t'en apporte la preuve .

Je me tournais vers Jacques. Je l'embrassais et le caressais très doucement jusqu'à ce que sa bite redevienne dure. Ceci ne mis pas beaucoup de temps à la grande stupéfaction de mon mari.

- Viens Jacques, mets-moi ta grosse bite dans ma petite chatte brûlante et montre à ce petit cocu comment un vrai mec baise SA femme ..

Nous avons baisé comme des fous à demi couchés sur notre cocu. Du coup, il était aux premières loges pour voir « en gros plan » une autre bite que la sienne fourrer la chatte de sa femme. Pour finir, Jacques éjacula pour la deuxième fois de la soirée dans mon vagin. Je lui demandais de se retirer avec un petit regard vicieux pour mon mari.

- Maintenant, Jacques, tu vas assister à ma toilette intime !

Ceci dit, je me retournai et chevauchai la tête de mon mari. Rapidement, je lui enlevai le bâillon .

- Ouvre la bouche et nettoie ma chatte. C'est tout ce que tu mérites, petit vicieux.

Quand il eut fini, je le regardais dans les yeux et lui dit très calmement mais très fermement :

- Gare à toi si tu enlèves les anneaux sans ma permission . N'oublie pas que Jacques est chirurgien et qu'il pourrait très bien te débarrasser de tes petites couilles pour de bon ! Il paraît que c'est très facile et sans aucun risque, n'est-ce pas Jacques ?

Jacques me regarda avec un regard complice.

- Après tout, ce ne serait pas une si mauvaise idée, tu ne crois pas ?

Le lendemain nous lui mimes les cartes en mains, désormais Jacques viendrait vivre à la maison et mon mari nous servirait de bonne à tout faire, il n'aurait bien évidemment plus le droit de me toucher qu'avec la langue, spécialement pour me nettoyer, il devrait être en permanence en tenue de soubrette et n'aurait plus le droit que de nous appeler maître et maîtresse. Pour sa part, nous l'appellerons Eliane.

Après un court moment de réflexion, mon mari accepta à mon grand soulagement, j'avais en effet craint un instant qu'il ne se rebellât, mais son goût pour la soumission fut le plus fort.

Pour tester sa réelle volonté de soumission nous lui imposâmes une sorte de bizutage. A genoux il devait implorer la permission de Jacques de lui lécher les couilles.

- Maître puis-je vous lécher les couilles ?

- Plus poliment salope !

- Maître, s'il vous plait, puis-je vous lécher les couilles ?

- Vas-y salope !

Mon mari se rapprocha à quatre pattes de Jacques qui était assis dans un fauteuil, il lui lécha les couilles les avala entièrement les aspira, tout cela sous les yeux de sa chère épouse.

Voulant corser l'affaire je lui intimait l'ordre de lui lécher le trou du cul.

- Lèche lui le cul, tu n'es bon qu'à ça maintenant, lèche lui le avec la langue sortie comme on lèche une glace, voilà maintenant fais pénétrer ta langue dans son cul, tu vois c'est bon tu lèches le trou du cul de mon amant, tu sens bien son odeur, son goût, et tu vois ça lui plait, tu le fais bander et après il me baisera, regarde bien, regarde bien ce que tu n'auras plus jamais le droit de faire, ça te plait ?

- Oui maîtresse, je suis votre esclave dévoué.

- Dis "je suis votre esclave à peine bon à lécher les chattes et les trous du cul".

- Oui, je suis votre esclave à peine bon à lécher les chattes et les trous du cul.

- Bon, maintenant tu vas prendre Jacques par la queue et l'amener à l'entrée de ma petite chatte !

Mon mari s'exécuta sagement et me présenta la bite de Jacques dure et frémissante devant mon minou.

- Dis-lui maintenant que tu lui offres ma chatte !

- Monsieur je vous offre la chatte de ma femme, dorénavant il n'y aura plus que vous ou toute personne que vous désignerez à vous en servir, elle me sera interdite et je n'aurais plus le droit que de la nettoyer avec ma langue.

J'étais surprise qu'il ait pris une telle initiative, mais en même temps très satisfaite, il était donc parfaitement décidé à nous servir d'esclave sexuel.

- C'est bien, tu as compris quelle serait ta condition dorénavant.

- Oui madame.

Sur ce, Jacques d'un puissant coup de rein se débarrassa de mon mari et me pénétra jusqu'à la garde.

Je ne mis pas longtemps à jouir. Mon mari comprenant sa tache me nettoya le minou de la semence de mon amant.

- Remercie-le !

- Merci monsieur.


Remarques : Comment mon mari devient l'esclave de mon amant et le mien.



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