Accablée de chaleur, la blonde Sonia se redressa
en poussant un profond soupir. Bigre, il fait si lourd !
Du revers de l'avant bras, elle essuya son front humide,
puis, un sourire de satisfaction illuminant son visage,
contempla son travail. Ses grands yeux bleus brillaient
de contentement. Elle jeta les
fleurs fanées qu'elle venait de couper dans la brouette
qu'elle traînait avec elle. De la main, elle repoussa
une grande mèche blonde qui barrait son visage et se pencha
à nouveau pour en couper d'autres. Malgré sa légère
robe d'été à fines bretelles, la canicule pesait sur
elle. Pourtant, dessous, elle était
simplement vêtue d'un tout petit slip qui cachait à
peine le triangle d'or de son pubis. Le tas de végétaux,
dans la brouette, augmentait de façon régulière.
Elle était au paradis, la grande blonde, parmi ses plantes
et dans les senteurs entêtantes de ses fleurs préférées.
Pour elle, le jardinage était une manière d'évacuer
le stress. Absorbée par sa tâche, Sonia ne remarqua pas
les lourds nuages qui s'amoncelaient peu à peu, ni
l'atmosphère devenue moite et étouffante.
Brusquement, la pluie se mit à tomber. Pendant quelques
secondes se fut une pluie fine, mais, bien vite, l'ondée
se transforma en une cataracte de grosses gouttes tièdes
qui frappaient le sol avec fracas. En moins de temps qu'il
ne faille pour le dire, Sonia fut trempée, sa robe imbibée,
ses cheveux dégoulinants,
son visage ruisselant. L'eau s'insinuait sous
le fin tissu, glissant dans son dos, entre ses seins nus
sous le vêtement, gagnant peu à peu son mini slip.
Aussi rapidement qu'elle le put, Sonia empoigna la
brouette et, à grand pas, se dirigea vers la cabane en bois
au fond du jardin, la tête rentrée dans les épaules, le
dos rond, poussant de petits cris. Une fois son matériel
à l'abri, elle fit le chemin en sens inverse en courant
sous la pluie battante.
Sa robe lui collait au corps, à la manière d'une seconde
peau, un peu comme si elle était toute nue. Les pointe de
sa généreuse poitrine tendaient le tissu de coton. La jeune
femme passa en courant le seuil de la porte donnant dans
la buanderie et stoppa net, à bout de souffle. Elle resta
là un instant pour
reprendre sa respiration. Ses cheveux ruisselaient sur sa
jolie robe d'été, qui, elle-même, dégoulinait sur ses
jambes, mouillant ses pieds et le carrelage autour d'elle.
Un éclair violet stria le ciel, suivi tout de suite d'un
coup de tonnerre assourdissant qui arracha un petit cri
de surprise à Sonia.
- Je suis là !
C'était la voix rassurante de Fred, son compagnon.
Elle le vit approcher, grand et élancé, en slip de bain,
trempé lui aussi. Il se planta devant elle et la regarda
de la tête au pied.
D'abord les cheveux collés par la pluie, sont visage
constellé de gouttes brillantes, une perle humide dans ses
longs cils à l'oil gauche, sa robe collée à la peau
qui faisait ressortir toutes ses sensuelles rondeurs. Plus
le regard de Fred baissait, plus la bosse dans son slip
de bain grossissait. Le tissu imbibé ne cachait plus rien.
Il s'attarda sur ses seins ronds dont les tétons pointaient
toujours au travers de l'étoffe. Il put même remarquer
l'emplacement du nombril tant le vêtement lui collait
au corps.
- tu sors de la piscine ? S'enquit Sonia qui n'avait
pas encore remarqué l'érection de Fred.
-Oui, je me suis laissé surprendre comme toi ! Dit-il, en
soulevant la robe de sa compagne pour regarder dessous.
Le mini slip était passé du blanc immaculé au gris, tant
il était trempé. Des gouttes tombaient du renflement de
son sexe jusqu'au sol. D'autres glissaient lentement
le long de l'intérieur de ses cuisses et finissaient
leur course dans ses sandales de cuir. Fred lui tira doucement
le bras pour la faire pivoter.
Il contempla un instant la cambrure de son dos et l'arrondi
de son joli cul. Le tissu ainsi collé laissait entrevoir
la fente entre les deux fesses. Le jeune homme passa la
main sur sa verge au travers du tissu de son slip de bain,
elle était dure et palpitait.
- Pourquoi me regardes-tu comme ça ? S'enquit-elle,
sous le regard insistant de son compagnon.
- On dirait que tu es toute nue ! Répondit-il en lui prenant
la main pour l'attirer vers l'extérieur.
- Eh oh ! C'est le déluge là dehors ! S'écria
Sonia en résistant.
- T'Occupes ! Viens !
Fred l'entraîna vers le salon de jardin en pierres,
fabriqué par lui-même. Là, dans le vacarme assourdissant
de la pluie sur le ciment de la cour, il fit glisser son
slip de bain, libérant son sexe tendu par le désir.
- Mais... Je... qu'est-ce que tu fais ? S'enquit-elle.
Il fit remonter la robe de Sonia jusqu'à sa taille
et la coucha sur la table de béton.
- tu es trop belle comme ça, j'ai une furieuse envie
de te baiser ! Gronda-t-il, en embrassant ses cuisses mouillées.
- J'ai l'impression d'être sous la douche,
fit-elle en tentant de chasser de ses mains l'eau qui
dégringolait sur elle, l'aveuglant.
Fred se mit à genoux, déchira le mini slip et plongea son
nez dans la douce toison pour dévorer littéralement le puits
d'amour de Sonia. Ses jambes pâles posées sur les épaules
de Fred, la robe troussée jusque sous la poitrine, la pluie
faisait un bruit mat sur la peau tendue de son ventre. Le
jeune homme
lécha le haut des cuisses et le bas du ventre d'une
langue gourmande. Le désir embrasa la jeune femme, comme
le feu aurait enflammé un bidon d'essence.
Elle était cambrée, s'offrant à son amie et à la pluie
fraîche.
- Ah Fred ! Bouffes-moi ! Oui, mon amour, bouffes-moi !
Sa voix était à peine audible dans le fracas des trombes
d'eau qui tombaient du ciel. Fred plaqua fiévreusement
sa bouche contre le sexe de sa compagne et insinua sa langue
dans ses profondeurs intimes, humides et chaudes. Il la
fit voyager plusieurs fois du clitoris jusqu'au milieu
de la raie des fesses, la plongeant de temps à autre dans
les profondeurs vaginales. La pluie claquait sur son dos
et son crâne, éclaboussant aussi le pubis et les cuisses
de la blonde. Sonia se trémoussait de plaisir sur la table
dure et rugueuse qui lui grattait le bas du dos et son joli
petit cul. Elle gémissait, poussait de petits cris plaintifs,
elle suffoquait sous les trombes d'eau. Soudain, ce
fut le cri strident de son premier orgasme, tout son être
tendu, puis se relâchant subitement pour choir, pantelante,
sur la table. Fred ne lui laissa pas le temps de reprendre
son souffle. Il l'obligea à se remettre sur pieds et,
avec impatience, tira sur sa jupe pour la faire passer au-dessus
de sa tête. Sonia se tortilla pour l'aider et, cette
fois, se retrouva entièrement nue sous la pluie battante.
Fred lança au loin, sans regarder, la robe au tissu alourdi,
qui alla finir sa course pendue dans les branchages d'un
noisetier.
Le garçon admira sa compagne nue sous l'averse qui
n'avait pas diminué d'intensité. L'atmosphère
était maintenant saturée de l'odeur d'herbe mouillée
et de mousse chaude. Sonia se penchait en avant, puis en
arrière en riant, offrant son corps nu à la pluie. L'orage
qu'on craignait violent, s'éloignait rapidement,
laissant les cumulo-nimbus se déverser sur la terre. Sonia
était maintenant à genoux, sur le ciment de la cour, agrippée
aux hanches de son ami, passant sa douce langue experte
sur le pénis de celui-ci.
- Allez Sonia, suces-moi ! Fais-moi jouir avec ta bouche
! Prends ma queue, tu sais si bien le faire !
Le ton de sa demande était presque suppliant. Tandis qu'elle
engloutissait la queue de son ami, il enfouit ses mains
dans ses cheveux blonds. Il avait vu sur son dos trempé
et luisant. La verge de Fred disparaissait et reparaissait
de la bouche de la blonde avec le rythme régulier d'un
métronome. Sonia sentait les gouttes de pluie sur elle,
comme autant de gifles sur ses reins et ses fesses. Elle
glissait rapidement le long de son dos, sur l'arrondi
de son cul, s'insinuant aussi dans la raie de ses fesses
pour finir dans la toison de son pubis. Que de frissons,
que de sensations électrisantes.
- Sonia ! Ma Sonia ! Je viens ! Je viens !
La verge de Fred vibra dans sa bouche. La jeune femme recula
son buste et, se mêlant à l'averse, de longs et puissants
jets de sperme éclaboussèrent son visage puis ses seins.
- Sonia, ma douce Sonia ! Dit-il, encore essoufflé.
Il l'aida à se remettre debout. Leurs deux corps luisaient,
on aurait dit deux gladiateurs face à face. Il la saisit
à bras le corps et l'allongea sur la table de béton
recouverte d'une pellicule d'eau. Puis, Fred alla
s'asseoir sur le dossier d'une des chaises, les
pieds sur l'assise, face à elle. De là-haut, il avait
une superbe vue sur la nudité de Sonia. Cette fois la pluie
fouettait tout le devant de son corps. Cette douce douleur
ravivait ses sens et faisait monter en elle un nouveau désir,
faisant pointer ses seins, lui donnant la chaire de poule.
Elle se passa lentement les mains sur le visage et la poitrine,
étalant la semence de son amie qui se diluait dans l'eau
de pluie. Les gouttes qui tombaient drues, claquaient sur
sa peau et provoquait de minuscules gerbes autour d'elle.
La flotte s'évacuait en petites rigoles par les quatre
bords de la table. Fred et Sonia devaient presque crier
pour passer au-dessus du bruit de la pluie. Cette situation
peu ordinaire, plus un peu de peur provoquée par les éléments
déchaînés, excitait la blonde qui avait envie de jouir
à nouveau. Sans quitter son ami des yeux, Sonia écarta les
jambes et entreprit de fouiller son intimité. Elle se masturbait
doucement de ses deux mains.
Elle se mit à onduler langoureusement des reins et du bassin.
De sa main gauche, elle jouait avec son clitoris, tandis
qu'elle insinuait les doigts de l'autre main de
plus en plus profondément dans son vagin. La jolie blonde
gémissait de plus en plus fort. Son ventre se creusait de
plus en plus rapidement au fur et à mesure des vagues de
plaisir qui l'assaillaient. Là-haut, sur sa chaise,
Fred, qui dégoulinait de partout, exhibait un sexe qui avait
de nouveau fière allure. Les mouvements de Sonia s'accélérèrent.
Maintenant, elle se tortillait comme une possédée, nue sous
la pluie, sur sa table de béton. Sonia adorait se masturber,
elle aimait toucher son entre cuisses, fouiller son intimité,
surtout si Fred la regardait faire. Mais là, en plein air,
à poils sous la flotte qui lui martelait les seins et tout
le reste, c'était encore plus excitant. Sonia se laissa
totalement emporter par la jouissance dans un long cri rauque.
Fred quitta le dossier de sa chaise et se précipita vers
elle, pour sucer avec gourmandise ses doigts luisants de
sa liqueur de fille.
A nouveau, le jeune homme fouilla de sa langue les replis
intimes de la blonde, à la recherche de ce nectar qu'il
aimait tant. Puis, il se remit droit, fit claquer sa langue
et contempla ce corps pâle scintillant de pluie. Elle lui
tendit les bras :
- baises-moi ! J'ai tellement envie de ta bite au fond
de moi !
Obéissant, il s'empara de ses jambes, les leva et pénétra
en elle, brutalement, comme elle aimait, jusqu'au fond
de son ventre.
- Baises-moi ! Violes-moi ! Mon Fred ! Défonces-moi ! Cria
la jeune femme, cramponnée aux rebords de la table.
Il ne fallut pas lui dire deux fois. Survolté, Fred donna
de grands coups de reins, secouant sa compagne qui poussait
un petit cri à chaque assaut. Bientôt leurs voix se mêlèrent,
étouffées par le bruit de la pluie claquant sur leur peau
et sur le sol. Le garçon passa ses avant-bras en dessous
des fesses de
son amie, tandis qu'elle enlaçait sa taille de ses
jambes. Ses assauts se firent plus brutaux, plus profonds,
ponctués par les cris stridents de Sonia, qui se caressait
les seins. Soudain, la jeune femme sentit le pénis de Fred
agité des spasmes de l'orgasme, puis sa semence se
répandit au fond de son ventre.
- Ton foutre ! Ton foutre ! Oh oui, ton foutre ! Cria-t-elle,
à chaque jet du liquide séminal.
Sonia retomba à plat sur la table, provoquant clapotis et
vaguelettes sur la fine couche d'eau qui la recouvrait.
Ils échangèrent un regard, étonnés de ce qu'ils avaient
fait, puis éclatèrent de rire, un rire complice.
Le garçon grimpa sur la table pour s'allonger à côté
d'elle et, alors que la pluie diminuait sensiblement
d'intensité, tous deux s'assoupirent... Combien
de temps ? Sonia ne le sut jamais. Quelque chose la tira
de sa somnolence. Fred était encore assoupi prés d'elle
et la pluie tombait toujours en fines gouttes. Elle se redressa
sur ses coudes... Rien... Son bras droit glissa sur la surface
mouillée de la table. Ouf ! Elle avait réussi à éviter le
choc de son crâne sur le ciment. Quand elle s'allongea
à nouveau, sa tête dépassait de la table et pendait dans
le vide. C'est là qu'elle aperçut, à l'envers,
vu sa position, Betty, sa meilleure amie. Ils ne l'avaient
pas entendu sonné et, maintenant, elle était là, dans l'embrasure
de la porte de la buanderie,
l'air gênée. Néanmoins, poussée par la curiosité, elle
s'avança vers le salon de jardin. Betty était vêtue
d'un short et d'un petit débardeur qui laissait
voir la peau de son ventre bronzé. Elle se pencha pour faire
la bise à Sonia.
- C'est drôle de te faire la bise à l'envers !
Commenta la blonde en riant.
- Euh ! Il t'a sauté sur la table ? Demanda la brune
en désignant Fred de l'index.
- Oui, et je me suis même masturbé devant lui sous la pluie.
- Oh ! C'est excitant ! Ne bouges pas !
Toujours à l'envers, Sonia vit son amie quitter ses
vêtements pour se retrouver, elle aussi nue sous l'ondée.
Aussitôt son corps se couvrit de millier de gouttelette
s, comme autant de perles scintillantes. Contrairement à
elle, Betty avait la peau très mate, le bout de ses seins
tirait sur le brun, la toison
de son pubis était noire et bien fournie.
- Betty ? Mais que fais-tu ? S'enquit Sonia en voyant
son amie venir vers elle.
C'est la première fois qu'elle voyait de si prés
son mont de Vénus. Ho lala, de si prés ! Elle pouvait distinguer
l'agencement des poils, la naissance de ses grandes
lèvres, sentir l'odeur de son corps.
La blonde allait se redresser, mais son amie lui maintint
la tête à deux mains.
- Ne bouges pas. Tu vas simplement me goûter. Déclara Betty,
le plus naturellement du monde, en s'avançant encore
un peu.
Cette fois, le sexe de la brune était au-dessus du visage
de Sonia. Cette dernière tenta de résister à la pression
des mains qui poussait sa tête vers le haut. Peine perdue,
son visage se colla à l'entre cuisses de son amie qui
fit quelques petits mouvements de va et vient.
- Betty ! Betty ! Mais tu es une fille !
- Oui, et nous allons faire un 69 ! Tu vas me goûter et
moi je vais te goûter aussi, ainsi que le foutre de ton
mari qui ta baisé !
Sonia tenta de repousser des deux mains son amie, mais,
Fred qui s'était éveillé entre temps et ne disait rien,
arrêta son geste. Résignée, Sonia passa tout d'abord
une langue timide dans la fente tiède, puis, excitée par
les senteurs de Betty, se fit plus pressante, plus langoureuse
dans ses coups de langue. La brune commença à onduler du
bassin.
- Alors, c'est bon, Sonia ? S'enquit-elle.
- Oui, j'aime le goût de ton joli con !
Alors, Betty grimpa sur la table, au-dessus de son amie,
passa les mains sous ses fesses pour les soulever et plongea
son visage entre les jambes pâle de la blonde. A l'autre
bout, Sonia était toujours aux anges, les bras maintenant
passés autour de la taille de son amie, la fouillant d'une
langue experte, le tout sous la pluie et sous l'oil
de Fred dont le sexe était sur le point d'éclater.
C'est Betty qui jouit la première, inondant de sa mouille
le visage de la blonde. Dans la foulée, Sonia se retourna.
La brune se retrouva sur le dos, son amie assise sur son
visage. Fred en profita pour se lever et aller goûter la
liqueur de la brune. La pluie qui ruisselait du dos de Sonia
mouillait le visage de Betty, se mêlant à son propre nectar
et à la semence de Fred.
Sous la langue gourmande et insistante de celui-ci, la brune
eut un autre orgasme, qui provoqua celui de la blonde.
Les deux filles, repues de plaisir, se couchèrent côte à
côte sur la table de ciment. Pendant qu'elles se remettaient
de leurs émotions, Fred eut tout le loisir d'admirer
les deux filles. Le hâle de Betty contrastait avec la pâleur
de la peau de Sonia.
- Pendant que tu me butinais le coquillage, ton petit ami
a osé venir chiper mon nectar, et il m'a fait jouir
! Déclara la brune en se mettant assise au bord de la table.
- Oh le vilain ! Voilà qui mérite une punition !
Le ton de Sonia était emprunt de malice et de mystère.
- Viens avec nous ! Ajouta-t-elle, en prenant Fred par le
bras.
Il fut mené à quelques pas de la table, collé contre le
tronc du cerisier et, sans résister aux deux filles, par
curiosité, se laissa entraver les poignets, comme à un poteau
de torture. Elle le contemplèrent un instant. Son pénis
dressé, palpitait de désir devant les deux Vénus dénudées.
Il les imaginait déjà,
à genoux devant lui, se disputant âprement son sexe à sucer...
Quelle douce torture !
- C'était tellement tentant ! Dit-il, quand même un
peu inquiet, à l'intention de la blonde.
Sonia prit les attributs de Fred en mains, les soupesant,
les caressant dessus et dessous, échangeant quelques commentaires
avec Betty qui passait langoureusement ses main sur ses
seins et son - ventre, par provocation.
Regardes comme il frétille ! Le petit salopiot ! S'exclama
Sonia.
- Euh ! qu'allez-vous me faire ? Voulut savoir le garçon.
- Te torturer, pour te punir d'avoir goûté ma copine
! Répondit Sonia, toujours aussi mystérieuse.
Les deux filles s'enlacèrent et s'embrassèrent
avec fougue devant lui, leurs corps nus serrés l'un
contre l'autre, se séparant de temps à autre pour se
prodiguer force sensuelle caresses. Elle tinrent une conversation
entrecoupée de tendres baisers et de soupirs lascifs
- Comment n'ai-je pas osé plus tôt ? Soupira la Brune.
- Maintenant, Betty, on va se gouiner souvent, n'est-ce
pas ?
- Oui, ma Sonia, et pas plus tard que tout de suite !
- Et moi ? S'enquit Fred d'un ton plaintif.
Sans se préoccuper du jeune homme ivre de désir, elle s'allongèrent
sur l'herbe humide. Là, elles continuèrent à se caresser
et, de leurs langues expertes, s'offrir quelques brûlants
orgasmes.
- détachez-moi ! Je vous en prie ! Pleurnichait Fred de
temps à autres, croyant devenir fou.
Sonia se planta devant son ami et, avec un petit sourire
en coin déclara :
- Non, tu ne nous toucheras pas ! Tu es puni !
- Mais je n'en peux plus de vous voir comme ça...
- Mais on le sait, mon biquet ! Répondit sournoisement la
blonde.
Le duo s'approcha du poteau de torture et ensembles,
elles se trémoussèrent contre lui.
- Assez ! Assez ! Ma queue va éclater ! Pardon ! Pardon
! Ce soir je vous emmène toutes les deux au restaurant !
- Ah ! C'est vrai ? Fit Sonia soudain intéressée.
- C'est promis ! Répondit Fred à bout de souffle, comme
s'il avait remporté le 110 mètres haies.
- Et tu nous laisseras nous gouiner sans rien dire ?
- Oui, c'est promis aussi... Mais soulages-moi !
Il ne fallut que deux ou trois mouvements du poignet de
la blonde pour que le sperme jaillisse et finisse dans la
pelouse, sous les rires et les applaudissement
des deux vénus.
FIN
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