J'ai appris, un
soir de bringue, que ma femme allait sauter le pas car
elle est venue me le dire. Auparavant je lui avais dit que,
en déplacement, loin, je n'avais pas pu résister aux charmes
d'une beauté locale et que j'étais passé à l'acte plutôt
deux fois qu'une.
Elle m'avait demandé
de le lui raconter en détail en lui faisant l'amour....comment
était la fille...grande, bustée avec une belle croupe, des
hanches pleines pour bien pouvoir s'agripper, un coup de
rein souple, long, des râles de plaisir venant du fond de
la gorge...de la femelle à l'état brut, faite pour le rut.
Elle avait énormément
jouit ce soir là et le lendemain matin elle avait recommencé
et encore l'après midi en me faisant re raconter...
Pendant la bringue donc,
elle est venue me dire qu'un type qui lui plaisait venait
de lui proposer de la sauter, mais qu'elle voulait savoir
avant si j'étais d'accord, car elle allait s'éloigner de
la soirée et ne voulait pas que je me demande ou elle était
passée...que pouvais je dire, puisqu'aussi bien je ne m'étais
pas gêné avant.
J'avais regardé qui était
le type, pour savoir quel genre il avait et elle avait filé
à l'anglaise.
Un moment après je m'étais
esquivé de la soirée à mon tour, pour rentrer chez moi à
la campagne me disant que ne voyant pas ma femme se ferait
raccompagner. J'étais en même temps très excité et fébrile
car je ne pouvais m'empêcher de penser à ce qui se passait
pendant que je discutais avec les uns et les autres...ou
était-elle, que faisait-elle, comment faisait-elle, comment
était ce mec au lit, comment elle se faisait prendre, jouissait-elle
comme avec moi, avait-il une grosse bitte, plus grosse que
la mienne...était-il en train de la prendre en levrette,
lui promenait-il sa queue entre les seins, qu'elle a copieux,
se faisait-il sucer...ça ça me rendait hyper malade d'imaginer
la bouche de ma femme engouler un membre autre que le mien,
le sucer, le pomper pour en faire monter la sève...l'exciter
avec les dents et le re engouffrer...la salope...elle doit
être en train de jouir...
Bref j'étais pas mal
énervé.
Arrivant à la maison
je vis dans les phares une voiture garée en contrebas sur
le petit parking.
Je coupais instantanément
le moteur pour arriver en roue libre, sans faire de
bruit. La voiture ne me disait rien et je me dis que si
c'était un cambriolo il allait être content du voyage. Doucement
je grimpais l'escalier pour constater que la porte était
entrebâillée. Je décidais de passer par derrière le balcon
pour ne pas me faire avoir.
En fait, j'eus une sacrée
surprise, car, dans la chambre d'ami légèrement éclairée
par le couloir, il y avait ma femme, sur le dos, les cuisses
écartées, bien écartées, qui se prenait toute la longue
bitte du mec vu à la soirée.
Elle râlait de bonheur
les talons plantés dans le dos du copuleur, la jupe retroussée,
dépoitraillée comme une pute, trémoussant sa croupe pour
se faire emmancher encore plus profond.
"AH ah ah ah AH AH AH
AAAAAAAAAAAH salaud, AAAAAAAAH oui, baise moi, putain.......ouiiiiiiiiii......
fourre moi bien!!!!........ comme une salope...........je
vais te vider les couilles..........encore, encore, encore,
de la queue, de la queue, je veux de la queue, plein........,
partout..............aaaaAAAAaaaaaaAAAAAHHHHHH"
Ca m' a fait un choc.
Imaginer est une chose...voir en est une autre... voir et
entendre ça dépasse l'imaginaire.
J' étais partagé entre
l'envie de rentrer pour tout casser et le coté pervers du
voyeur qui zieute une belle partie de jambe en l'air.
Dans l'ombre de la terrasse
je restais tétanisé, à mater, me rendant compte que je me
tenais une érection d'enfer, tout en me disant que j'allais
me réveiller et que je n'aurais fait que rêver...
Franchement ça m' a perturbé,
mais je restais là, les yeux glués dans la chambre, pour
voir ce qui était, il y a peu pour moi, inimaginable. Les
deux salauds ne s'en faisait pas, eux...le type venait de
se retirer du ventre de ma femme, l'avait retournée à plat
ventre et il promenait sa bitte entre ses fesses pleines.
Avec sa main il avait remonté du jus d'entre ses cuisses
et lui en badigeonnait bien l'intérieur, pour venir après
un moment s'appuyer contre sa corolle et se mettre à pousser.
Putain........ il allait l'enculer, là, devant moi.....alors
qu'il fallait presque que je la supplie pour qu'elle accepte....elle
était en train de remonter son cul pour que l'autre l'enfile...bordel
de merde.....sortant ma queue je me mis à me branler comme
un malade....tout en continuant à regarder le membre du
mec rentrer tout doucement dans le cul de ma femme qui soupirait
d'aise à chaque poussée...et en plus ça m'excitait.
"OuaouHHHHHHHHHHHHhhhhhhhhh,
salaud, salaud de salaud, putain que ça fait mal de se faire
enculer et bordel que c'est bon.....AaAaaaaaaAAAAAAHHHH
oui!"
Poussant un dernier coup,
il était rentré en entier et s'abattant sur les mains avait
commencé à limer, à pistonner, à bien bourrer le cul de ma
belle salope. Et elle en prenait et elle remuait pour que
ça baratte bien, et elle gueulait que c'était bon et moi
je m'astiquais le manche.... puis le type s'était mis à
pousser des cris tout en se mettant à l'enculer plus
frénétiquement et il se mit à jouir dans un long râle.
Ma femme s'était retournée
et avait mis la queue du type entre ses seins pour se caresser
avec, longuement.
Petit à petit le membre
redevenait dur et gros, puis, de plus en plus tumescent.
Ma femme avait commencé à lui donner des petits coups de
langue, puis, d'un coup avait englouti le chibre dans toute
sa longueur. Dans un râle de plaisir le mec avait envoyé
son ventre en avant pour la goinfrer à fond et la salope
elle en voulait, tirant d'une main sur la peau des couilles
et de l'autre malaxant ses nibards qui étaient copieusement
irrités, gonflés des pointes et bandants comme ce n'est
pas permis.
Poussant ma belle salope
en arrière il venait de lui replanter son membre dans la
chatte....
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii,
encore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, oooooooooooh, vas yyyyyyyyyyyyyyyyyy,
ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaaaaaaahhhhhhhhh, aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh,
oh que j'aime ça, tu es.............ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii,
raide, aaaaaaaah, gros, ooooooooohhhhhhhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaaaaa,
putain que ça rentre bien, vas y, vas y, vas y, non n'arrêtes
pas...............bourre, bourre, bouuuuurrreeeeeeee.
Le type lui avait saisi
les nibards et en tirait les pointes pour les faire raidir,
gonfler, durcir; il lui pétrissait la poitrine comme un
malade, à pleine main, se régalant de ces deux masses voluptueuses.
Lui prenant les jambes il avait placé icelles sur ses
épaules, pour bien dégager l'entrée de la chatte et avait
continué à pistonner, toujours cramponné aux nibards.
Ses mouvements allaient
crescendo, comme les cris de jouissance de ma femme, qui
donnait de grands coups de reins en avant pour bien se faire
mettre, en continuant à gueuler que c'était bon, qu'il lui
fallait de la queue, qu'elle en voulait, plus, toujours,
de la grosse, de la dure, de la longue, de l'endurante pour
belle salope...
Le mec baisait comme
un malade, à croire qu'il n'avait pas tiré depuis des semaines.
Sa bite rentrait et sortait à une cadence qui aurait rendu
malade un syndicaliste.
Il tringlait frénétique,
comme dans un état second, sans se douter un instant que
je pouvais débouler dans la turne.
Puis, dans un grand cri
et une série de rales de jouissance, le mec se mit à lui
décharger copieusement dans la chatte, tout en continuant
à limer pour faire durer le plaisir de l'autre salope qui
se secouait sur le manche comme si sa vie en dépendait.
Les mouvements de rut
allèrent décroissants et les jambes de ma femme retombèrent
à plat sur le lit, pendant que le mec sortait sa bite luisante
de mouille et de foutre...Putain ce qu'il lui avait rentré...
Je n'en pouvais plus.
J'étais malade de colère et de sexe....bordel ça n'allait
pas se passer comme ça.
En peu de temps le bonhomme
s'était resappé et après un rapide baiser était parti.
Ma femme était encore
sur le lit la croupe en l'air. La bagnole du type démarrant
je déboulais comme un malade dans la maison me promettant
de faire une scène à tout casser.
Rentrant dans la chambre
il y avait une odeur de sexe et une chaleur de rut; je bandais
toujours comme un salaud et n'y tenant plus je me jetais
sur ma femme qui eut à peine le temps de réaliser qu'elle
se faisait de nouveau enfiler par un autre chibre. Je l'ai
limée comme un malade...il fallait que ma bitte reprenne
possession de son cul, de son ventre, que je mette du foutre
partout pour la refaire mienne...je baignais dans un jus
de stupre sentant ma queue limer dans le sperme d'un autre
mec. Tout en la bourrant je revoyais la scène précédente
où un putain de salaud était en train de rentrer sa
bitte là où je faisais glisser la mienne...c'était l'enfer!
Je n'ai pas tenu longtemps
et je lui ai balancé à mon tour tout le jus que j'avais
dans le sexe.
Après, seulement, j'ai
pu en parler avec elle, qui me dit qu'elle avait bien imaginé
que je rentrerais et qu'elle avait peur de ma réaction,
mais que ça avait augmenté son plaisir de savoir que j'allais
mater, que j'allais la voir en train de se faire sauter
comme une salope qu'elle devenait et que si j'avais dit
non elle aurait filé rencard au mec, en semaine, pour aller
se faire tirer dans un hôtel de Marseille. Ma femme me dit
que mon aventure précédente, que je lui avais raconté, l'avait
très excitée et avait déclenché chez elle une hyper envie
de baise, quelque chose de primitif. Elle me dit, pour continuer
à me faire flipper que, pendant que le type conduisait elle
lui avait sorti le membre et lui avait fait une pipe qui
avait failli les envoyer dans le décor quand il a jouit.
J'avais réveillé une
infernale salope... il allait falloir assumer.
Auteur

|