Le péage passé, je règle immédiatement le régulateur de
vitesse sur 130km/h. L'Audi accélère franchement jusqu'à
la vitesse sélectionnée dans un silence remarquable. Je
viens de quitter ma vieille 306 qui entamait son troisième
tour de compteur. L'A4 break qui m'a été attribuée sentait
le cuir neuf et n'a pas grand-chose de commun avec mon ancienne
monture. Je m'apprête à passer six mois à trois cent kilomètres
de chez moi pour me former à mes nouvelles fonctions. Pour
éviter de devoir trouver un logement, j'ai accepté l'invitation
d'une tante de ma femme qui habite à quelques kilomètres
de mon nouveau bureau. Je la connais un peu. Nous avions
séjourné à deux ou trois reprises chez elle, lors de week-ends
prolongés dans la Manche. Elle est restée célibataire par
goût de la liberté. Elle n'a pas d'enfant et, à l'âge de
la retraite, a trouvé un complément de revenus en louant
des chambres à des étudiants de l'école hôtelière voisine.
Après quelques kilomètres de route départementale, je stoppe
ma voiture dans un bourg pour acheter un bouquet de fleurs
pour mon hôtesse. Une jolie femme croise mon regard et m'adresse
un beau sourire qui me réchauffe le cœur. C'est fou
comme ma panoplie de jeune cadre dynamique fait de l'effet
! J'aurais croisé cette même femme en sortant de ma 306,
habillé d'un jean et d'un pull, elle ne m'aurait probablement
pas remarqué.
J'arrive enfin dans la rue étroite où habite Annie. Son
ignoble cabot répond dans un vacarme au coup de sonnette.
J'attends un moment et m'apprête à presser à nouveau le
bouton quand la porte de l'épaisse muraille s'ouvre. Une
jolie blonde aux cheveux mi-longs me fait face. Elle me
sourit :
- Vous êtes Laurent ?
- Euh, oui...
- Entrez, je vous en prie.
Je lui emboîte le pas dans l'étroit couloir. Ses cheveux
sautillent sur ses épaules fines. Elle porte un haut rose
et un pantalon gris clair qui dessine à merveille ses petites
fesses. On arrive dans le salon où Annie est en pleine conversation
téléphonique. Elle me fait un signe de la main et m'invite
à m'asseoir. La jolie blonde revient :
- Voulez-vous du café ?
J'accepte avec plaisir. La décoration est toujours aussi
démodée, mais les rideaux épais s'accordent parfaitement
avec le papier peint à gros médaillons. Annie continue sa
conversation et me fait des signes pour m'expliquer que
la communication dure depuis longtemps et qu'elle aimerait
bien abréger.
Mon café arrive sur un plateau, accompagné de quelques
biscuits secs.
- Je m'appelle Julie. Je suis à l'école hôtelière, j'habite
ici depuis le mois de septembre.
On entame une discussion pendant qu'Annie essaie en vain
de se débarrasser de son téléphone. Je regarde Julie me
parler de choses et d'autres. Lorsqu'elle sourit, ses grands
yeux bleus s'éclairent et son petit nez se retrousse. Elle
est vraiment à croquer. Annie nous rejoint enfin, ravie
d'avoir réussi à interrompre la conversation. C'était une
ex-collègue dépressive qui l'appelle sans cesse.
- Vous avez fait connaissance ? Dis donc, on n'a pas l'habitude
de te voir habillé comme ça, tu es superbe, qu'en penses-tu
Julie ? Cette question l'embarrasse un peu. Elle rougit
et dit juste oui en baissant la tête. Je suis surpris de
la trouver soudain si timide alors qu'elle paraissait très
à l'aise depuis mon arrivée.
En attendant le dîner, je décharge mes affaires. Julie
m'accompagne à l'étage où Annie ne monte plus à cause de
ses problèmes de genoux. Elle ouvre la porte de ma chambre
et me désigne la salle de bains et les toilettes que je
connais déjà, puisque j'ai déjà dormi ici. La chambre de
Julie est voisine de la mienne. Je vais donc devoir partager
la salle de bains dans laquelle elle avait colonisé tous
les espaces de rangements. Je refuse sa proposition de dégager
la moitié de ses affaires en lui soulignant qu'une seule
tablette suffit à poser toutes mes affaires de toilette.
Elle rit de ma remarque et ses yeux reprennent leur bel
éclat.
Revenant dans la chambre, je cherche en vain une prise
près du bureau pour brancher mon PC portable et mon chargeur
de téléphone. En parcourant la pièce, je finis par trouver
deux prises derrière l'armoire. Je redescends l'escalier
pour demander à Annie la permission de modifier l'aménagement
de la chambre, ce qu'elle accepte sans problème. J'entreprends
donc un déménagement complet de ma chambre. L'armoire était
placée à un endroit illogique, mais servait de cache misère
devant des saignées qui avaient été mal rebouchées dans
le mur. En haut de la saignée se trouve une barrette de
dominos qui doit alimenter une applique dans la chambre
de Julie.
Une fois ma réorganisation terminée, nous descendons pour
le dîner. Une bonne odeur de nourriture mijotée me met en
appétit. J'avais oublié qu'Annie était un cordon bleu. Mon
séjour va devenir un périple gastronomique ! Annie parle
beaucoup. Elle demande des nouvelles de la famille, me parle
de sa région, de la retraite, de son choix de célibat...
je l'écoute et je m'aperçois au fil du repas qu'elle doit
souffrir de ne pas avoir d'enfant. Elle est ravie de nous
avoir, Julie et moi autour d'elle ce soir.
Julie débarrasse et Annie continue son monologue dans le
salon où nous nous installons pour le café. Julie nous laisse
pour aller se coucher. Elle embrasse Annie et se penche
vers moi. Je l'embrasse à mon tour. Le contact de sa joue
me fait frémir. Je n'ai pas ressenti cette sensation depuis
bien longtemps. Au bout d'une demi-heure, j'écourte la conversation
pour aller, à mon tour, me coucher.
J'ouvre quelques dossiers pour préparer ma première vraie
journée dans l'entreprise. L'éclairage de la lampe de bureau
laisse le reste de la pièce dans l'obscurité. Je remarque
soudain un point lumineux sur le mur, assez haut, à l'endroit
où se trouvait l'armoire avant que je ne la déplace. Je
me lève de ma chaise et m'approche du mur. Les fils électriques
traversent le mur par un trou d'au moins deux centimètres
pour alimenter l'applique de Julie. Je pose mon œil
contre le mur en prenant garde à ne pas m'électrocuter contre
les dominos. Les fils gênent un peu ma vision, mais je distingue
sans mal le lit et l'armoire de Julie. Je ne la vois pas.
Elle doit être assise à son bureau. Je retourne à mes occupations,
un peu troublé par cette trouvaille.
Quelques instants plus tard, j'entends des pas dans la
pièce voisine. Je me glisse vers le mur et colle mon oeil
contre le trou. Julie est debout devant son armoire ouverte.
Elle sort des vêtements, puis les range, en prend d'autres
et les pose sur la chaise. Elle sort une chemise de nuit
en coton qu'elle lance sur le lit. Mon cœur bat de
plus en plus vite et mon souffle s'accélère. Elle referme
la porte de l'armoire et s'admire dans le miroir en pivotant
des hanches pour regarder son profil. A prendre des poses
de mannequin et à se sourire dans le miroir, je la trouve
adorable. Elle rajuste son pantalon, pose ses mains sur
ses seins, et s'envoie un baiser dans son reflet. Elle se
retourne pour regarder ses fesses, les relève avec ses mains,
les rapproche, les écarte puis refait face au miroir. Elle
relève son haut sous sa poitrine, son ventre est parfaitement
plat et doré. Elle retire son haut et déboutonne son pantalon,
en un éclair, elle est en sous-vêtements. Elle porte un
soutien-gorge et un string blanc. Je sens mon sexe appuyer
sur le mur. Elle dégrafe son soutien-gorge qui tombe au
sol et baisse son string. Je reste bouche bée devant son
corps nu. Elle est parfaite, des seins pas très gros mais
d'un galbe parfait, de petites aréoles rose pâle et des
mamelons pointus. Je ne vois que ses fesses, le miroir ne
me renvoyant pas l'image de son sexe. Sa taille très fine
accentue la courbure de ses reins. Elle prend un tube de
crème et en applique une couche sur ses jambes en posant
son pied sur le bord du lit. Ses mouvements sont lents et
appliqués. Elle pivote pour changer de jambe et j'entrevois
un court instant sa toison blonde.
Julie s'assoit ensuite au bord de son lit face au miroir
et se cambre en arrière en posant les mains sur ses genoux
écartés. Elle s'observe un instant, puis masse doucement
ses cuisses en remontant lentement vers son sexe. Elle abandonne
ses cuisses pour se consacrer à ses seins. Avec la même
douceur elle les entoure de ses doigts et les caresse d'un
mouvement circulaire. Je l'entends respirer plus fort. Je
libère mon sexe de l'emprise de mon pantalon. Ma main reste
dans mon caleçon et je donne à mon sexe une caresse aussi
douce que celle que Julie donne à ses seins.
Elle arrête subitement et empile les deux oreillers de
son grand lit. Elle s'assoit dans le lit, face à moi, le
dos appuyé contre les oreillers. Ses jambes sont repliées
et largement écartées. Je distingue à présent parfaitement
son sexe. Sa toison est épaisse, mais ses lèvres sont presque
glabres. Ses mains reprennent immédiatement le chemin de
ses seins. Rapidement une main descend caresser son ventre.
Parfois, elle descend jusqu'en haut de ses cuisses et remonte
sur son ventre. Son sexe devient luisant. Ses doigts quittent
son nombril pour frôler l'intérieur de ses cuisses. Parfois,
son souffle laisse échapper des légers gémissements. Ma
main continue à masser ma verge, mon plaisir devient intense.
Julie semble de plus en plus excitée, ses caresses légères
ont laissé place à des mouvements plus appuyés. Elle pince
ses mamelons entre son pouce et son index. Son bassin ondule
au rythme de ses caresses. Ses doigts atteignent ses chairs
mouillées. Elle entre une phalange dans son vagin et la
ressort aussitôt pour titiller son clitoris. Elle rentre
complètement son index dans sa chatte et le fait aller et
venir au plus profond, le ressort, le lèche et l'enfonce
à nouveau. Sentant la jouissance arriver, j'attrape un paquet
de mouchoirs dans ma poche et en déplie trois.
Julie ne tient plus en place, elle se tourne sur le côté,
puis sur le ventre, sa main ne quitte plus son sexe enflammé.
Elle reste sur le ventre, les jambes écartées, je vois ses
doigts brillants aller et venir dans sa fente. D'un bond,
elle se retourne sur le dos, saisit un oreiller et le plaque
sur son visage pour étouffer ses cris. Je sens une longue
giclée souiller les mouchoirs puis d'autres tout aussi puissantes.
Je me retiens pour rester silencieux.
Je retourne à mes dossiers, mais je ne parviens plus à
me concentrer. Le corps de Julie me hante. Je décide donc
d'aller dormir.
6h30 : Le réveil me rappelle à la dure réalité. Mes premières
pensées sont pour ma voisine de chambre. Je descends sans
bruit dans la cuisine pour prendre un bon petit déjeuner.
Je me bats avec le beurre trop dur quand Julie apparaît
dans l'encadrement de la porte. Elle porte une chemise de
nuit en coton trop petite pour elle avec une tête de Minie
sur sa poitrine.
- Bonjour, vous avez bien dormi ?
- Très bien, mais je préfèrerais que tu me tutoies, j'ai
l'impression d'être un grand père !
- D'accord, je vais essayer.
Julie ouvre un placard pour sortir son bol. Elle se hisse
sur la pointe des pieds puis sur une jambe. Mon regard se
porte sur le bas de sa chemise de nuit qui ressemble plutôt
à un T-shirt. En extension maximale, elle couvre à grand-peine
ses jolies petites fesses. Elle s'assoit face à moi et s'étire
comme un chat. Elle veut savoir ce qui me fait rire. Je
lui avoue donc que lorsqu'elle s'étire, Minie a les oreilles
qui gonflent dangereusement. Elle sourit timidement et rougit.
Je regrette de l'avoir gênée quand elle me répond qu'elle
a achetée cette chemise de nuit quand elle avait 13 ans.
A cette époque, elle n'avait pas de seins ou si peu. Comme
elle n'arrive pas à s'en séparer, elle continue à la mettre.
« Tant pis pour les oreilles » dit-elle en gonflant sa poitrine,
comme pour me faire remarquer l'effet sur Minie. Je remarque
à ce moment que ses seins pointent. Il n'était plus l'heure
de contempler le corps de rêve de ma compagne de petit déjeuner.
Je me lève donc rapidement de table, sans remarquer l'importante
bosse sur mon pantalon. Ce détail n'échappe pas à Julie
qui ne me fait aucune remarque, mais dont le regard appuyé
en dit long.
Les jours s'enchaînent ainsi. Les repas d'Annie sont délicieux,
les moments volés à l'intimité de Julie tout autant. Un
soir, à mon retour vers dix neuf heures trente, Annie est
seule avec son satané cabot. J'attends quelques temps avant
de lui demander d'un air détaché où est Julie. Elle me répond
qu'elle est en stage de serveuse dans un restaurant de la
ville et qu'elle ne rentrerait que vers minuit.
Soirée épouvantable, je suis d'une humeur massacrante.
J'imagine le regard des clients sur « ma » Julie. Peut-être
même qu'elle va se faire baiser par l'un d'entre eux. Il
est vingt-deux heures. Je suis incapable de dormir, incapable
de travailler, je veux Julie. Je suis jaloux et me rends
compte que je l'aime.
Enfin vers minuit et demi elle rentre. Aussitôt je rejoins
mon observatoire. Elle porte une robe en satin pourpre à
col mao et des escarpins. Ses cheveux sont coiffés en chignon
et sa peau est discrètement maquillée. Dans cette tenue,
on lui donnerait bien plus que ses dix-neuf ans. Elle fait
glisser la fermeture éclair de sa robe qui tombe au sol.
Elle porte des dessous noirs en dentelle fine et est plus
désirable que jamais.
Sans comprendre ce que je suis en train de faire, je quitte
mon poste d'observation pour frapper à sa porte. Quelques
secondes plus tard la porte s'ouvre, Julie a remis sa robe
et me regarde avec un air interrogateur. Je prends conscience
de la délicatesse de la situation, mais il est trop tard
pour faire demi-tour. Je lui demande la permission d'entrer
et sans lui laisser la possibilité de m'interrompre, lui
dis mes sentiments pour elle. Elle semble abasourdie, me
rappelle que je suis marié. Je lui fais donc part de la
situation quasi irréversible de mon couple qui m'a motivé
pour quitter ma région. A court d'arguments, je lui demande
ce qu'elle en pense. Elle ouvre le tiroir de sa table de
nuit et en sort une photo. Je sens tous mes espoirs s'effondrer.
Elle va me tendre la photo de son mec laissé on ne sait
où, mais auquel elle a juré fidélité. Elle me tend à l'envers
cette photo d'identité. Après une hésitation, je la prends,
résigné, et la retourne. C'est moi !
Julie me regarde dans les yeux, m'adresse son plus beau
sourire et me tend les bras. Je me jette à son cou et nous
restons un instant comme ça, serrés l'un contre l'autre.
Nos joues se frôlent, nos lèvres s'approchent lentement.
La bouche de Julie tremble. Mes mains caressent ses cheveux
tandis que nos bouches s'ouvrent l'une à l'autre. Ses mains
se referment sur mon cou. Elle ouvre parfois les yeux, me
sourit et replonge au plus profond de notre baiser. Nos
corps se serrent l'un contre l'autre. Mon sexe s'appuie
entre les cuisses de Julie qui entament de discrets mouvements
de va-et-vient. Mes mains abandonnent sa chevelure pour
descendre dans son dos jusqu'à sa taille. Sa langue quitte
la mienne pour lécher mon lobe. Elle accentue ses ondulations
du bassin. Mon sexe frotte délicieusement le sien. Mes mains
descendent sur ses fesses. Ah, ses fesses ! Jamais je n'avais
touché un aussi beau cul. Je remonte mes mains pour baisser
la fermeture de la robe. D'un mouvement de bras, Julie s'en
sépare. Mes mains reprennent aussitôt le chemin de ses fesses.
Elles sont chaudes et leur peau est d'une extrême douceur.
Nos corps basculent sur le lit, Julie est allongée sur
le dos, je suis appuyé sur un coude contre elle. Je quitte
ses fesses pour lui donner un baiser d'amour tout en tendresse.
C'est elle qui retire son soutien-gorge et qui d'un air
malicieux pose ma main sur son sein. La douceur de ses fesses
n'était rien à côté de celle de ses magnifiques seins. Ils
sont d'une fermeté incroyable. Leur pointe est dressée et
m'incite à les titiller du bout de ma langue. Je descends
donc le long de la gorge de ma belle et pose ma bouche sur
sa pointe. J'ouvre ma bouche et je pose ma langue sur son
aréole pour qu'elle en sente la chaleur. Elle gémit lorsque
ma langue entoure lentement son mamelon. Ma main parcourt
son ventre. Je sais par mes séances d'observation qu'elle
aime se caresser autour du nombril. Je m'y attarde donc.
Ses ongles griffent mon cuir chevelu quand ma main se referme
sur son mont de Vénus. Mon doigt passe et repasse sur la
forme de son sexe creusant un sillon dans le tissu de sa
culotte qui devient de plus en plus mouillée.
J'abandonne mes caresses pour me déshabiller. Julie me
regarde. Quand je baisse mon pantalon, debout devant le
lit, sans me quitter des yeux, elle glisse sa main dans
sa culotte et se masturbe. Je baisse mon caleçon. Elle me
demande d'approcher dans un grand sourire et prend mon sexe
dans sa main. Elle le regarde, le caresse, s'approche et
me regarde en attendant une réponse.
- Tu peux le lécher si tu veux...
- Je veux te sucer !
Elle prend mon sexe en bouche et commence une succion malhabile.
Elle y met de la bonne volonté pour me prendre profondément
en elle et me donner satisfaction. Je pense que c'est pour
elle la première fois. Même si la méthode n'y est pas, elle
est si belle et si volontaire, que je sens ma jouissance
approcher, je me retire de sa bouche, elle semble déçue.
- C'est pas bon ?
- Si, mais si tu continues, je vais jouir dans ta bouche.
- Et alors ?
Elle me reprend de plus belle, et excité par cette réaction,
personne ne m'ayant toléré cette liberté jusqu'alors, je
jouis à grosses giclées dans la bouche de Julie. Je n'ai
pas repris mes esprits qu'elle me gratifie d'un large sourire.
Je lui demande ce qu'elle a fait de mon sperme. En riant,
elle ouvre la bouche et me désigne sa langue de son index.
Elle a tout avalé !
Elle m'embrasse à pleine bouche. Elle a un goût de sperme
prononcé, mais je dois dire que ça m'excite beaucoup. J'essaye
de reprendre le contrôle de la situation, j'avoue qu'elle
a marqué un point.
Je l'invite à s'allonger sur le ventre. Je reprends mes
caresses qui me paraissent finalement bien soft par rapport
à la pipe qu'elle vient de me faire. Je lui caresse les
pieds et je remonte lentement vers ses mollets, l'arrière
de ses genoux et enfin ses cuisses. Elle gémit de plus en
plus fort, écarte ses cuisses, soulève ses fesses et s'agite
dans tous les sens. Ma langue atteint maintenant ses fesses.
Je m'attarde sur ce magnifique petit cul en le caressant
d'une main aussi légère que de la soie. Je retire la culotte
de Julie pour embrasser l'intérieur de ses fesses. Sa culotte
est couverte d'une couche humide. Mes doigts descendent
vers son sexe tandis que ma langue vient mouiller son anus.
Ses lèvres sont trempées et mes doigts la pénètrent sans
difficulté. Ma langue décrit de petits ronds sur l'anneau
de Julie qui étouffe tant bien que mal ses cris. Parfois,
ma langue descend de son anus à son clitoris en goûtant
longuement aux délices de sa mouille.
Je l'embrasse à nouveau, elle me serre très fort contre
elle. Mon sexe s'appuie contre le sien, et avant de le faire
entrer, je le fais glisser sur son clitoris gonflé d'envie,
sur ses lèvres ouvertes et sur son anus brûlant.
Mes va-et-vient sont lents et appliqués. Nos bouches échangent
de longs baisers. Mes doigts caressent tout son corps. Soudain,
les gémissements de Julie deviennent plus forts. Son corps
se raidit, son sexe se contracte autour du mien et elle
me griffe le dos. Elle parait épuisée, perdue. Je la laisse
reprendre ses esprits avant de reprendre mes caresses. Sa
pipe m'ayant rendu endurant, je me sens prêt pour lui donner
un second orgasme.
Je caresse son dos pendant qu'elle reprend son souffle
et je redescends dans le creux de ses reins. Les yeux clos,
elle pousse un « humm » qui en dit long sur ce qu'elle ressent.
Je reste donc dans cette zone en descendant quelque peu
vers ses fesses. Mes mains frôlent son cul avec la plus
grande douceur. Elle soulève son bassin et écarte ses fesses.
J'hésite un peu
- Tu veux que je te prenne par là ?
- Pourquoi pas ?
- Tu l'as déjà fait ?
- Non, mais tu sembles maîtriser le sujet.
- Il faut lubrifier...
Julie court à la salle de bains et revient avec un tube
de vaseline.
- Ca va, ça ?
- Parfait.
J'enduis l'anus de Julie de cette pommade, elle en couvre
généreusement mon sexe, et se plante à quatre pattes devant
moi. J'ai un peu le trac, car je n'ai qu'une expérience
de sodomie, et elle n'était pas très réussie. J'appuie sur
l'anus de Julie et mon gland disparaît en elle. Je marque
un petit temps d'arrêt avant de reprendre doucement les
mouvements de va-et-vient. Je caresse ses fesses. Elle recommence
à gémir, ce qui me rassure. Je la pénètre plus profondément,
elle semble apprécier. Elle est si belle dans cette position
que je sens que la jouissance ne se fera pas attendre. Au
moment où je me sens prêt à jouir, Julie dit :
- Oh, mon amour, j'adore ça, encule-moi, jute dans mon
cul.
Surpris par la crudité soudaine de ses propos, j'éjacule
au plus profond de son rectum.
Mon séjour chez Annie est terminé. Après une très belle
nuit d'amour, je quitte ma Julie. On s'appelle tous les
jours et on se voit dès qu'on peut. Elle aura bientôt fini
son école, ensuite, elle viendra vivre avec moi.
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