TITRE :  Sexe à Rio
Catégorie : 
Histoire interraciale
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Tout a commencé quand mon mari a été transféré dans une usine de Rio de Janeiro. Mariés depuis 5 ans, c'était la première fois qu'un travail nous amenait à vivre dans un grand centre urbain. Je ne savais pas comment ce serait de vivre loin de ma famille mais comme une femme obéissante, j'ai suivi mon mari. Il avait 35 ans et c'était l'occasion pour lui d'améliorer sa vie professionnelle. Je n'avais pour ma part que 26 ans et j'élevais simplement notre petite fille de 4 ans. Mon mari, 1m75, un peu chauve est un mec très en forme physiquement. Moi je suis blonde, des cheveux droits aux épaules, 1m70, la petite épouse correcte quoi !


Avant de me marier, j'étais plutôt mince mais la grossesse avait apporté à mon corps de belles formes pleines doont je ne me plaignais pas. Des jambes galbées et bien bronzées, une taille bien modelée avec beaucoup d'exercices à l'académie de gymnastique ainsi qu'une peau très claire. J'avais enfin, un joli visage, des lèvres charnues et des fesses voluptueuses. Mon mari avait été jusque là le seul homme de ma vie. J'avais du mal à atteindre l'orgasme avec lui mais malgré cela, je l'aimais beaucoup. Nous avions une fillette merveilleuse. J'adorais allumer mon mari et je me plaisais à allumer aussi les autres hommes dans la rue. Mais jamais il ne me serait venu à l'esprit de tromper mon mec.


Installés à Rio de Janeiro dans un charmant appartement, je passais mes journées à lire des magazines après avoir laissé ma fille à l'école. Parfois je faisais des promenades dans les endroits les plus touristiques. Les gens de mon immeuble étaient simples et gentils pour la plupart, c'était un quartier vraiment sympa. Puis j'ai rencontré Julia. Julia aussi était nouvelle dans l'immeuble et nous avons sympathisé un lundi dans l'ascenseur par hasard. Elle se démerdait avec des sacs de provisions et j'ai offert de l'aider. Elle a accepté puis m'a invité à prendre un rafraîchissement et pour parler un peu.


C'était une brune agréable, 24 ans, pas très grande mais jolie du visage et avec de belles formes. Comme elle était vachement amusante, nous nous sommes senties bien ensemble et avons basculé dans les confidences. J'appris alors que son mec avait été emprisonné six mois plus tôt. Enfin, comme nous bavardions depuis un moment, je l'invitai chez-moi le lendemein et je la quittai pour aller chercher ma fille.


Le lendemain, Julia passa chez moi et nous avons décidé d'aller à la plage. Je n'étais pas très proche du soleil car je tenais à la clarté de ma peau. Julia me complimenta sur le fait que j'attirais le regard des hommes.

- Tu es très jolie, me dit-elle, as-tu des désirs de faire l´amour avec d'autres hommes ?

Jamais je n'avais senti de désir pour les autres hommes... J'hésitai un peu à répondre mais je la remerciai pour l'éloge. Nous avons donc décidé Julia et moi, de revenir tous les jours à la plage pour affoler les hommes et nous jouer d'eux. Julia finit par me confier que pour se satisfaire sexuellement, elle visitait son mec à la prison. Au centre de détention, les responsables avaient aménagé de tout petits locaux pour permettre les rapports sexuels des détenus et éviter ainsi des rebellions. Julia adorait s'y rendre car lorsqu'elle baisait avec son mec, elle pouvait aussi entendre les gémissements des autres à travers les cloisons. Cela l'excitait énormément. À force d'en parler, je finis par en avoir envie aussi et elle me proposa de l'accompagner pour satisfaire son homme ou un autre, à mon choix. Et je suis rentrée chez moi, imaginant cette là ce que ce devait être que de me retrouver entre les mains d'un détenu, moi une femme mariée et une mère de famille respectable...


J'étais déchirée entre l'enthousiasme et la honte mais je n'aurais jamais le courage d'une telle aventure, c'était imaginaire! J'ai essayé de ne plus penser à cela. Puis un jour Julia m'a appelé pour m'inviter avec elle visiter son homme. J'ai admis que j'étais excité mais que je n'avais pas le courage. Mais Julia finit par me convaincre. Nous avons décidé de notre excursion pour le jeudi. La nuit, dans mon lit, j'éprouvais un mélange de peur et d'excitation. J'avais une crainte incroyable des conséquences que cela pourrait avoir sur mon mariage si cela venait aux oreilles de mon mari.


Le lendemain matin, je me suis longuement préparée. J'ai mis une robe discrète, descendant au dessus du genou avec un décolleté bien modeste. Arrivées à la prison, nous avons marché dehors dans la cour menant aux petites pièces pour baiser. Là, un homme châtain et musclé est venu à la rencontre de Julia et elle l'a embrassé. Il n'était pas très beau mais il semblait fortement musclé. Julia m'a présenté et il m'a donné un coup d'oeil de la tête aux pieds. J'étais petrifiée. Nous avons parlé un petit peu et il nous a mené aux baraques. Mais comme ces espaces étaient très petits, il a renoncé a me prendre dans le sien avec Julia et m'a plutôt présenté à son copain Rubens, un black dans la trentaine avec une cicatrice au visage. Nous nous sommes assis sur les bancs proches des cellules et nous avons discuté des aménagements. Ensuite Julia m'a dit qu'elle voulait se retrouver avec son mec et qu'elle me laissait donc en compagnie de Rubens.


Rubens ne mit pas longtemps avant de me courtiser. Nous avons passé un bon moment à parler de chose intimes, j'étais en train dévoiler à un inconnu tout un côté de moi que j'avais caché jusqu'à présent. Je sentais mon corps avoir par instant des bouffées de chaleur intérieure que j'essayais de cacher en resserrant fortement mes cuisses. À un de ces moments, Rubens a placé la main sur ma cuisse, j'ai retiré ma jambe mais il n'a pas enlevé la main. Au contraire, il m'a étreinte et a commencé à lécher mon oreille puis mon cou... Mes yeux se sont fermés et ma respiration s'est accélérée. C'était la première fois qu'un homme, autre que mon mari me faisait cela. Je n'avais pas la force de refuser. Il a caressé ma poitrine et poser sa main sur ma vulve avant d'y plonger un doigt qu'il a ressorti tout mouillé. J'étais complètement excitée.


Il y avait un matelas sans drap dans le petit lieu réservé aux détenus. Il m'a tiré dans cette pièce et allongé sur la couche. Ensuite il a retiré ses fringues et de son pantalon a surgi une bite énorme. Rubens a alors baissé ma robe et éclaté le verrou de mon soutien-gorge. Il prit le bout de mon sein droit dans sa bouche et se mit à le sucer. Ses mains me caressaient le clitoris, je fermai les yeux... Je sentais des doigts qui m'envahissaient le vagin, qui tournaient autour de mon clito, qui le pinçaient pour l'exciter, et bien sûr mes seins toujours sucés.


Je me suis penchée ensuite pour prendre le membre énorme de Rubens dans ma bouche et le sucer. Dans un mouvement rapide et abrupt, il a forcé ma tête pour que j'avale son zob. J'ai sucé avec goût mais pas longtemps car sans prévenir, il a inondé ma bouche avec sa semence abondante.


Rubens se leva, me prit aux épaules et me coucha sur le dos. Il prit un coussin qu'il passa sous mes fesses, ce qui eut pour effet de soulever mon sexe. Il a commencé à sucer ma vulve puis y a enfilé la langue très profondément tout en revenant mordiller mon clitoris souvent. Je me tournai vers lui, pris son sexe dans ma main et passai le gland sur mes lèvres intimes pour exciter mon clito. Après cinq au six passages, il était devenu très gros. Puis je m'introduisis le bout de gland dans le vagin et je me mis à pousser fortement du bassin pour engloutir en entier cette queue de 20cm de plaisir. Sentir ce sexe buter au fond de mon ventre m'a fait avoir un orgasme instantané, je mouillais profondément.


Le mec noir ainsi emmanché me retourna sur le dos et je vis ce grand noir au-dessus de moi qui me limait avec ardeur. J'étais bien, mon baiseur poussait des gémissements en cognant au fond de ma grotte. Mon corps sursautait à chaque coup de boutoir. Je haletais, je poussais parfois de petits cris. Je sentis de puissantes giclées de sperme m'inonder, j'eus encore des éblouissements et je sentis d'innombrables orgasmes me submerger, mon corps en entier se mit à trembler. Il se retira et se coucha sur le dos, le sexe dégoulinant de mon foutre et du sien, encore raide. Je fixais le membre viril qui avait conservé sa forme. Des gouttes crémeuses en jaillissaient sur le sol et sur sa cuisse. Je risquai un sourire auquel il répondit en me remerciant pour ce moment fabuleux.


Tout cela a pris approximativement 40 minutes, la visite tirait à sa fin. J'y suis retourné encore trois fois par la suite. Puis je me suis finalement lancé dans une chasse aux aventures, chasse qui depuis n'a de cesse.

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