Cela s'est passé à l'époque où je m'apprêtais à la quitter. Je voyais
quelqu'un, une de mes étudiantes, et passais rarement la nuit à la
maison. Ma conjointe était au courant de ma liaison et de mes préparatifs
et, après la colère et les menaces d'usage, avait fini par accepter la
situation, mais m'avait demandé de rester encore quelques mois pour lui
donner le temps de trouver un locataire, un boulot, ou quelqu'un d'autre
pour payer les factures. J'avais consenti à rester encore trois mois.
Elle se mit à me faire des avances sexuelles que je rejetai invariablement
en lui rappelant que je ne pouvais trahir une personne avec laquelle je ne
vivais pas encore. Elle ne désarma pas, se baladant souvent toute nue dans
la maison et me disant que cela ne m'engagerait nullement, qu'elle voulait
juste profiter encore un peu de moi durant le peu de temps qui nous
restait. Je finis par céder. Cela faisait longtemps que je ne l'avais vue
aussi excitée. Elle me demandait de faire des choses que nous n'avions pas
faites depuis des années, de ces choses qu'une femme n'accepte
généralement de faire que comme une faveur, et très rarement. Je la
regardais parfois longuement dans les yeux ; elle jouait bien son rôle.
Quelques semaines avant mon départ, elle me demanda de l'aider à réaliser
un de ses fantasmes. Coucher avec B, un de mes clients et amis pour lequel
je traduis des manuels informatiques et qui m'avait avoué qu'il la
trouvait bandante (je le lui avais répété). Elle avait élaboré un scénario
détaillé qu'elle me demanda de mettre en oeuvre. Ses directives couvraient
tous les aspects de l'affaire, de la façon de m'y prendre pour lui
demander au temps que je devrai rester dehors pendant qu'ils baiseraient,
en passant par les questions difficiles que je poserai à B de sa part
(les femmes redoutent le refus).
Je demandai à B directement, passant sur certaines des instructions
qu'elle m'avait données - trop compliquées - s'il avait un côté voyeur et
aimerait voir des photos d'une femme à poil qu'il connaissait. Il me
regarda tout en avalant une gorgée de bière, puis me dit : « Continue ! ».
Je lui passai mon appareil photo numérique du côté de l'affichage à
cristaux liquides. Il s'en empara et regarda. Elle était torse nu, tenant
une feuille de papier, juste en dessous de ses seins, sur laquelle était
écrit "Salut B". Il leva des yeux étonnés sur moi, puis esquissa un sourire.
« Si tu tiens à en rester là, repasse-moi l'appareil et parlons d'autre
chose - je ne suis que le messager. Sinon, fais défiler la suite. »
Il fit lentement défiler les photos jusqu'à la dernière. Bien qu'assis en
face de lui, je savais quelle image il regardait. Complètement nue de face
; de dos ; à quatre pattes ; assise les jambes croisées ; assise les
jambes écartées et tenant un écriteau : "B, tu devrais venir prendre le thé
un de ces jours". Il commenta que son petit corps au ventre plat
ressemblait à celui d'une adolescente. En sortant du bistrot, il me dit :
« Samedi après-midi 3 heures ? Ma femme passe le week-end chez sa mère ».
Ça s'était passé mieux, et plus facilement, que je ne l'avais pensé.
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Il arrive à l'heure convenue. Elle est vêtue d'un pantalon noir serré et
d'un T-shirt blanc moulant qui fait ressortir ses tétons. Ils se mettent
tous deux à discuter politique internationale, leur sujet préféré, avec
passion comme si c'était l'objet de la réunion. Je roule un joint, le fais
passer. Ils tirent chacun dessus à grandes bouffées puis reprennent leur
conversation à bâtons rompus. Au bout d'environ 20 minutes, elle se rend
dans la cuisine pour préparer du thé. Elle me fait signe de la suivre.
Dans la cuisine, elle me chuchote en chinois : « Demande-lui s'il veut me
voir en négligé ». Je vais rejoindre B sur le canapé. La défonce m'a
désinhibé et je lui fais part de ce qu'elle m'a dit sans aucune
hésitation. Il me regarde en souriant pendant quelques instants puis hoche
la tête.
Elle revient avec un plateau, distribue les tasses et y verse le thé. Elle
reste debout devant nous, semble chercher ses mots, puis me dit en chinois :
« Tu lui as demandé ?
- Oui !
- Ca l'intéresse ?
- Beaucoup ! »
Elle se mord la lèvre inférieure, puis dit en anglais : « Il fait vraiment
très chaud, je vais enfiler quelque chose de plus léger ».
Lorsqu'elle est dans la chambre, j'explique à B qu'elle me parlera de
temps à autre en chinois pour que je fasse l'intermédiaire. Il me répond
qu'il comprend très bien. Elle m'appelle. Lorsque je rentre dans la
chambre, elle porte sa courte chemise de nuit blanche transparente à
froufrous, qui ne cache absolument rien de son corps et révèle son sexe
épilé de frais. Elle me demande si je suis excité, comme si elle voulait
être rassurée. En guise de réponse, je lui prends la main et la pose sur
ma bite en érection. Je retourne dans le salon. Elle arrive peu après. Son
visage est tout rouge, et elle s'efforce de sourire. Elle prend une
chaise, la place juste en face du canapé et s'y assied - comme elle
l'avait prévu dans son scénario. Pour couper le silence, je relance la
conversation sur la politique économique chinoise. Très vite, elle reprend
contenance et se met à parler avec B. Je roule un autre joint, le passe.
Elle met ses pieds sur la chaise. Comme elle continue de parler, faisant
des gestes amples avec les deux mains, elle écarte progressivement les
genoux jusqu'à ce que ses cuisses fassent un angle de 90 degrés. Sa chatte
imberbe et son anus s'offrent à nos regards. B a bien du mal à la fixer
dans les yeux. Quand elle finit sa tirade, elle semble prendre conscience
de sa posture et, de nouveau, le sang lui monte aux joues et aux oreilles.
Elle ferme les yeux, attend quelques secondes, puis se lève et s'engage
dans le couloir menant à la chambre à coucher. B me fait un petit
sifflement admiratif mais ne dit rien. Je l'entends bientôt qui m'appelle.
Elle se tient debout près du lit. Je pose mes mains sur ses épaules, puis
les descends jusqu'à ses fesses. Elle me repousse doucement.
- Tu crois qu'il est d'accord ?
- Je pense.
- S'il est d'accord, dis-lui de venir et va-t-en. Reviens dans une heure.
B semble hésiter. Je lui dis lui qu'elle est chaude et a vraiment envie de
baiser.
- Et toi ?
- Je vais faire un tour. Je reviendrai dans une heure.
- Et qu'est-ce que...
- C'est à vous deux de décider.
Il se dirige vers la chambre. Il fait près de 100 kilos mais, d'une
hauteur de 1,95 m, il les porte bien. Il a cinquante ans, les cheveux
grisonnants et un visage ressemblant à celui de George Clooney. Un bon
brin de géant. Pendant quelques instants, je l'imagine sur ma petite
salope de 1,50 m et 45 kilos. Quand il est entré dans la chambre, je sors
de la maison, referme la porte derrière moi et me dirige à pied vers le
bistrot du coin.
Je reviens exactement une heure après. B est assis sur le canapé et elle
s'occupe à débarrasser la table basse, nue. Quand elle m'aperçoit, elle se
redresse et me dit : « On a décidé quelque chose pour ce soir. B va
t'expliquer ». Je ne suis donc plus l'intermédiaire, et c'est moi qu'on
informe. Elle repart dans la cuisine avec un plateau et les tasses vides.
Elle en ressort pour nous annoncer qu'elle va prendre une douche.
Je demande à B de me raconter. Il semble hésiter. Je lui fais remarquer
que sans moi il n'y aurait rien eu. Il finit par me dire qu'ils ont baisé
comme des dingues pendant trois quarts d'heure sans s'arrêter. Qu'il ne
s'était jamais fait aussi bien sucer. Qu'elle l'a laissé se libérer dans
sa bouche et n'a pas recraché. Mon pantalon est sur le point d'exploser.
Il m'annonce ensuite le programme pour la soirée. Il nous invite au resto.
Elle et lui seront un couple, moi la troisième roue du carrosse. Ensuite
on reviendra tous ici et après, on verra. J'espère qu'il y aura quelque
chose pour moi, car je ne sais pas si je pourrai tenir longtemps sans
participer à l'action.
Elle revient de la douche, toujours à poil, et tend une serviette propre à
B. Celui-ci s'y dirige. Quand nous sommes seuls, j'essaie de lui faire
raconter. Elle me répond que ce sera pour une autre fois, peut-être,
qu'elle préfère me laisser dans l'ignorance pour l'instant, qu'après tout
nous ne sommes plus ensemble et qu'elle n'a plus de compte à me rendre.
Elle me donne le choix ; ou je les suis au resto et reviens avec eux ici,
ou je me trouve un endroit pour passer la nuit. Si je reviens avec eux, je
pourrai les regarder baiser. « Mais sans participer ou toucher,
s'empresse-t-elle de dire. Tu pourras toujours te branler, si tu n'as pas
honte de le faire devant B ». Je me demande si B est au courant de ce
nouveau développement.
Ils passent tous les deux au moins une demi-heure dans la chambre à
décider comment elle va s'habiller. Ils optent finalement pour sa petite
robe noire très courte. B l'assied sur la chaise faisant face au canapé,
s'assied sur ce dernier et fait un geste de la main. Elle écarte
légèrement les cuisses. Il ferme le poing et lève son pouce pour exprimer
sa satisfaction. Je m'assieds à mon tour sur le canapé. Me voyant faire,
elle écarte encore plus les jambes. Sa petite chatte m'est révélée dans
toute sa splendeur.
Au restaurant, ils ne me prêtent aucune attention. Ils se chuchotent des
mots à l'oreille, rient, s'embrassent. Au dessert, il lui passe même la
main entre les jambes. À son rictus, j'en déduis qu'elle se fait doigter.
A la fin du repas, lorsque je reviens des toilettes, je les trouve en
pleine discussion. Ils se taisent à mon arrivée. Elle se lève et se dirige
vers les toilettes sans rien dire. B se jette à l'eau :
« Est-ce que tu vas nous regarder ? » Son ton est presque autoritaire.
- Je ne sais pas encore. Et toi, qu'en penses-tu ?
- Je ne suis pas trop chaud, mais elle insiste pour te donner le choix.
Il se gratte la tête, puis met la main sur son menton.
- Après tout, si ça t'excite !
- Est-ce que tu l'as enculée cet après-midi ?
- Non.
- Alors fais-le ce soir, mais ne dis pas que cela vient de moi.
- Elle aime ça ?
- Pas vraiment, mais elle l'a déjà fait, et elle a l'air d'accepter pas
mal de choses de toi.
- C'est une idée !
Elle revient. Nous nous levons et partons.
Ils sont tous les deux sur le canapé et c'est maintenant moi qui suis
assis sur la chaise. Je leur passe un joint. Nous fumons en silence.
Lorsque le pétard est fini, elle se lève, vient se placer près de moi et
me demande de faire glisser sa fermeture éclair. J'obtempère. Sa robe
tombe par terre. Elle tourne sa nudité vers moi, me fait un sourire puis
se précipite sur les genoux de B. Elle met ses bras autour de son cou et
attire sa bouche vers la sienne. Ils s'embrassent. Il lui enfonce un doigt
dans la chatte. Elle écarte les jambes, se libère la bouche et pousse un
gémissement. B la prend alors dans ses bras, se lève en la soulevant sans
effort apparent, et l'emporte dans la chambre.
Je reste assis quelques minutes et finis mon scotch. Ils ont laissé la
porte entrouverte. Je la pousse doucement. Ils font un soixante-neuf. Elle est
au-dessus bien sûr. Sa bite est de bonne taille ; elle doit ouvrir la
bouche en grand. Il l'a prend bientôt à la missionnaire. Ce qui m'excite
le plus c'est de les voir s'embrasser sur la bouche. Je décide de ne pas
me branler devant eux et sors de la chambre, refermant la porte derrière
moi.
Je vais dans la pièce à côté, mon bureau, où j'ai installé un lit d'une
personne il y a quelques mois. Je roule un dernier joint lorsque je
l'entends crier. Je retourne à leur porte et y colle une oreille.
- C'est OK, dit-il, on laisse tomber.
- Non, reviens ! Mais va doucement. Et mets-en aussi sur ta queue.
J'entends des petits ahanements étouffés, puis la voix de B qui chuchote.
Elle se remet à parler, « Oui, comme ça. Va doucement, mais ne t'arrête
pas ».
Elle gémit de plus en plus fort, poussant un cri de temps à autre. J'ouvre
la porte. Elle est étendue sur le dos, ses jambes en V maintenues par les
bras puissants de B. La queue de celui-ci est enfoncée de quelques
centimètres dans son anus. Lorsqu'elle m'aperçoit, elle s'écrit : «
Va-t-en ! ». Je ne bouge pas. B tourne la tête vers moi et se remet à la
pistonner lentement tout en me regardant d'un air satisfait. Quand elle
proteste de nouveau, il colle ses lèvres sur les siennes. Au bout d'un
moment, il cesse de l'embrasser, se redresse et la fixe droit dans les
yeux. Elle lui retourne son regard et pousse des petits cris.
Je m'approche et mes yeux passent de son visage à son entrejambe, où je vois
le membre de B s'enfoncer de plus en plus profondément. Au diable la gène
! Je déballe mon braquemart et l'empoigne. B l'enfile finalement jusqu'à
la garde et accélère la cadence. Les cris de J se transforment en
hurlements. B semble s'en délecter alors qu'il la regarde avec un sourire
presque sadique et que ses couilles claquent contre les fesses de la
malheureuse à chaque coup de boutoir. Elle finit par abandonner ses
hurlements. Son visage est contorsionné et sa bouche grande ouverte. Je
commence à me masturber. B pointe son index vers la bouche de J, me
faisant signe avec sa tête de me rapprocher encore plus près. Je me
positionne. La première giclée fait mouche. Elle ferme immédiatement la
bouche et le reste de l'éjaculation atterrit sur son nez et ses yeux, qu'elle
s'empresse également de fermer. B y met le paquet. Elle ne peut s'empêcher
de rouvrir la bouche pour reprendre ses cris. Des traces de mon sperme se
trouvent encore sur sa langue. B s'arrête finalement et s'affale à côté
d'elle sur le dos.
J'essuie les paupières de J avec des mouchoirs en papier. Elle rouvre les
yeux. Son regard semble vide. Je me rajuste et m'empare de mouchoirs
propres pour éponger son anus béant et dégoulinant de foutre. Je décide de
les laisser. Je jette un dernier coup d'oeil avant de refermer la porte -
ils sont tous deux allongés sur le dos, le regard fixé sur le plafond.
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La nuit, dans ma torpeur haschichienne, je les ai entendus rebaiser. Le
matin, quand je me suis levé, B était déjà parti.
Par la suite nous organisâmes quelques autres situations, y compris avec
l'une de ses copines, mais quand elle fut certaine que je ne la
quitterai plus (mes rapports avec ma maîtresse s'étaient détériorés), la
routine se réinstalla progressivement.
Jean-Claude
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