Comme chaque soir après une journée de travail bien chargée,
je prends le métro pour rentrer chez moi. J'arrive aux heures
d’affluence où tous les gens se serrent les uns contre les
autres. Je dois avouer que cela n'est pas si déplaisant
lorsque ce sont de belles femmes qui se collent à moi pour
que les gens puissent rentrer dans le wagon !
Ce soir là, une femme blonde d'une quarantaine d'années,
bien conservée, entre dans le métro dans lequel je suis
debout. Avec le flot de personnes arrivant derrière elle,
elle se retourne et, obligée, se colle contre moi. Sa fesse
droite touche alors ma main gauche. Comme je suis déjà en
chaleur, cette simple sensation suffit à m'exciter. Je sens
alors dans mon pantalon ma bite gonfler et se durcir. Mon
slip devient trop serré pour mon sexe excité. Ma main ne
semble pas gêner cette femme. Au contraire, elle s'appuie
de plus en plus sur moi. Mon cœur bat à cent à l'heure,
sentant une grosse chaleur monter jusqu'à ma tête. L'envie
de coller ma queue toute mouillée d'excitation contre son
beau cul m'obsède. J'ai peur de sa réaction mais cette envie
devient insoutenable. Je veux absolument que cette femme
d'âge mûr sente contre ses fesses les dimensions de ma belle
queue. Profitant d'un arrêt, je me tourne légèrement de
façon à avoir cette blonde bien en face de moi. Je mets
alors mon bassin en avant au démarrage du métro, de façon
à ce qu'elle sente mon sexe érigé et dur s'écraser entre
ses fesses au démarrage. La peur de me faire crier dessus
et l'excitation de la situation n'enivraient. Mon cœur bat
de plus en plus vite, de plus en plus fort. La blonde ne
dit rien ; elle se laisse faire. Soulagé, je me dis qu'elle
doit sûrement apprécier et que je vais enfin pouvoir en
profiter. Calant bien ma bite en fusion entre ses fesses,
je commence à remuer délicatement contre elle, prenant garde
de ne pas être découvert. Cette salope appuie elle aussi
afin de sentir au maximum mon sexe dans sa raie culière.
Je sentais bien son cul contre moi, ses fesses bien écrasées
contre mon ventre, ce qui m'excite incroyablement. Je sens
la peau épaisse de ma bite glisser sur mon gland rose et
tendre, trempé de mouille. Je crois que je vais étouffer
tellement j'ai chaud. Je manque d'air, mon cœur bat toujours
la chamade. Ma queue est plus grosse que jamais.
J'ai terriblement envie de jouir, d'éjaculer mon foutre
brûlant contre son cul, à m'en tacher tout le pantalon,
peu importe, mais le plaisir procuré ainsi n'est pas assez
fort. Je pose alors une main sur sa hanche pour l'agripper
et la coller contre moi au maximum. La dame à côté de moi
remarque alors la scène. Elle fait de grands yeux ronds,
choquée de me voir dans un tel état. Je m'en fous, l'excitation
est trop forte. J'aimerais tellement passer ma main devant
pour caresser ses seins lourds, mais là, on serait repéré.
J'écrase ma queue contre ses fesses, sentant celle-ci s'enfoncer
se plus en plus malgré le tissu. Je continue de faire aller
et venir la peau de ma queue contre mon gland pour me faire
jouir. J'ai terriblement envie de me vider les couilles,
pleines depuis si longtemps... Soudain, le métro s'arrête
à la station. Ma blonde partenaire descend du train, me
laissant ainsi au bord de l'orgasme, tout seul. Moi, je
reste dans le métro pour arriver à ma station. Les battements
de mon cœur ne faiblissent pas. J'ai toujours ma bite en
érection. Il aurait tant fallu que je me soulage... Je dois
attendre d'arriver chez moi pour enfin le faire. À peine
arrivé, je fonce dans les chiottes. Débouclant ma ceinture
avec précipitation, je baisse d'un seul coup mon pantalon
et mon slip en même temps, faisant jaillir ma queue. Je
prends alors mon pieu à pleine main et me mets à le masturber
sur toute sa longueur à une vitesse folle tellement je veux
jouir. L'odeur suave et humide de mon sexe en fusion envahit
alors les chiottes, me plongeant dans les vertiges de la
jouissance. Soudain, de violentes contractions envahissent
mon sexe jusqu'àmes couilles, de puissants et longs jets
de spermes non contenus giclent hors de moi et s’écrasent
en d'innombrables jets de foutre visqueux et brûlants sur
le couvercle des chiottes. Mon éjaculation est trop forte
pour viser dans la lunette. J'en fous partout, les jets
de spermes giclent dans tous les sens. Je cris mon plaisir
et ma jouissance, au risque de me faire surprendre par mes
parents postés dans le séjour. Les chiottes sont pleines
de l'odeur de mon sperme chaud et je m'efforce d'essuyer
avec du papier toilette. Ma bite reste toujours gonflée
à bloc d'excitation, même si elle ramollit un peu. Je la
range avec difficulté dans mon slip et je parsdirectement
dans ma chambre pour me remettre de mes émotions.
Auteur
|