TITRE : Séjour à la montagne
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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La semaine dernière nous avions réservé dans les hautes alpes dans une petite pension qui mettait à disposition des appartements. Nous avions décidés de partir avec un couple d'amis et leurs deux garçons de 12 et 14 ans. Nous avions l'habitude de partir plutôt seul, mon mari ayant toujours envie de vivre à son propre rythme, mais pour une fois depuis le départ de nos filles, notre fils se trouvait seul et l'idée d'avoir des copains de ski l'enthousiasmait et puis pour une semaine de vacances "sportives".
Nous n'étions jamais parti en vacances ni en WE avec ces amis que nous avions rencontrés assez récemment par l'intermédiaire de l'école. La décision avait été rapide en décembre avec cette envie de quitter Paris et de prendre l'air des cimes pendant les vacances de février.
Véronique et Bruno avaient notre âge 42 ans lui brun assez sportif d'allure, elle blonde un peu ronde et très rigolote, toujours de bonne humeur. Je m'appelle Catie et mon mari Laurent, je pratique la course à pied et beaucoup de natation, Laurent ne fait aucun sport régulier.

Laurent comme d'habitude occupé par son boulot devait nous rejoindre en train lundi soit deux jours après notre arrivée.
Nous sommes arrivés vers 10h du matin ayant pris la route vers 3h du matin pour arriver sans les embouteillages.
La pension était charmante, la propriétaire nous fait visiter les appartements, au dernier étage, un petit studio pour nous trois avec un grand lit et deux petits lits superposés et une salle de douche, juste à côté un appartement plus grand (quoique, on est à la montagne) avec un coin chambre avec un grand lit, un canapé lit, et deux autres petits lits et une salle de bain;

Nous descendirent chercher les premiers bagages, les enfants avaient déjà squatté notre petit appartement avec leurs jeux de société. C'est alors que Véronique me dit "Dis on pourrait mettre tous les garçons dans votre appartement, c'est juste à côté on pourrait les surveiller facilement et ce sera plus facile pour nous de traîner le soir si on le souhaite".

Je dois avouer que cette idée ne m'enthousiasmait pas beaucoup, car j'aime bien mes aises et je supposais que Laurent serait de cet avis, mais mon amie insistant j'ai dis ok, tout en me demandant ce que Laurent en penserait à son arrivée.

A midi une fois les affaires posées, mais pas encore rangées, nous sommes allés louer les skis, acheter les forfaits, grignoter au pied des pistes et faire quelques descentes de ski pour se mettre en jambes pour le lendemain.

A 16 h tous épuisés par la route et les quelques descentes nous sommes rentrés dans notre pension au pied des pistes, c'était pratique finalement puisque les garçons avait leur clé d'appart et donc pouvaient être autonome.

J'avais envie de me doucher après tout ces efforts, c'est là que je me suis rendu compte que la promiscuité devenait plus gênante, surtout avec des amis que l'on ne connaissait pas très bien.

Après la douche prise chacun notre tour, J'ai rangé les bagages, Bruno dit "avant de faire les lits on va tirer au sort qui dort dans la salle ou dans le coin chambre" A vrai dire il n'y avait pas grande différence le coin chambre n'ayant pas de porte et donnant vue directe sur le canapé lit, la seule différence était que tous les matins et soirs il faudrait plier et déplier ce canapé.

Je suis tombée sur le canapé lit

Le soir après le repas pris dans la salle commune de la pension, nous ne pensions qu'à une chose dormir pour récupérer de cette longue journée. Les enfants furent couchés et endormis dès 20h30.

Les adultes aussi, je n'arrêtais pas de bailler et me précipitais dans la salle de bain, une douche et j'enfilais un joli mon pyjama de soie, Bruno m'aida et déployer le canapé et je m'allongeais pour dormir,
Mes amis avaient investi la salle de bain et laissé juste une petite lumière au pied du lit dans la chambrette.
Quelques minutes plus tard Bruno et Véro sortirent tous deux en peignoirs. J'aperçu discrètement Véronique laisser son peignoir et se glisser nue dans le canapé et Bruno nu de dos faire de même. Je m'endormis épuisée.

Le lendemain matin branle bas de combat tous au ski de bonne heure. Une excellente journée sous le soleil.
Dîner sympa dans la salle de la pension auprès d'une belle cheminée où crépitait un bon feu de bois.
Les enfants étaient fatigués mais encore excités de cette première journée,
Pendant que je m'occupais des enfants (ah les lectures du soir !!) Bruno et Véro squattèrent la douche les premiers et nous nous retrouvâmes tous pour faire les câlins des bambinos.

Je pu enfin me détendre sous une douche bien chaude et méritée. En sortant de la douche enveloppée dans mon peignoir quelle ne fut pas ma surprise de voir Véro, allongée sur le lit dans la chambrette, nue sur le ventre se faire masser à l'huile par Bruno. Bruno avait un paréo autour de taille. Ils étaient plutôt cool les copains. Je pense que je rougis un peu. Véro me dit " après le sport cela fait du bien ". J'avoue que les voir tous les deux ainsi me donna chaud. Je voyais Bruno accroupi au dessus de son corps l'enduire d'huile et l'envelopper fermement de ses mains. J'allais jusqu'au canapé et m'allongeais sur le côté et pris un livre pour me donner de la contenance mais je ne pouvais m'empêcher de les regarder.

Véro en se retournant sur le dos nos regards se croisèrent. Je me replongeais dans ma lecture mais mon regard était sans cesse attiré par eux. Je voyais les mains de Bruno glisser sur le corps de Véro elle avait les yeux mi-clos et semblait goûter avec délice. C'est alors que j'entendis Véro me dire " viens nous rejoindre, on va te masser, je dois vous avouer que je bafouillais un peu entre gêne et désir, et que va penser Laurent s'il apprend ??? "

Depuis mon mariage je n'avais jamais connu d'autres aventures même si de temps en temps avec quelques copines on rêvait toutes de quelques fantasmes.

Je ne bougeais pas dans un premier temps, puis Véro insistait.
Je me suis levée enveloppée de mon pyjama de soie pour rejoindre le lit.
Véro s'était dressée, elle était belle nue, son sexe presque rasé. Bruno était resté sur les genoux son paréo noué autour de la taille. Il me regardait en souriant. Véro dénoua la ceinture de mon haut de pyjama et fit glisser ce dernier laissant apparaît mon torse nu je voyais le regard Bruno posé sur mes seins. Gênée je crois que je rougis et m'assis sur le bord du lit dos à Bruno.

Véro doucement me dit allonge toi sur le ventre, elle me fis signe de retirer mon bas en disant " il ne faudrait pas qu'il soit tâché par l'huile.
Je me glissais sur le ventre à côté d'elle. Véro me laissa un peu de place elle se redressa pris la bouteille d'huile et m'enduisit des pieds à la tête. Puis elle commença doucement à me masser les épaules, et le bas du dos. Doucement je me détendais, je dois dire que je suis arrivée un peu crispée. Après 15 minutes, la chaleur du massage commençait à envahir mon corps.
Je sentis des mains plus larges que celle de Véro qui prenaient le relais. Bruno me massait le creux des reins de façon énergique. Je tournais la tête et vis Bruno à genoux à côté de moi, Véro s'est levée pour chercher de l'eau.
Bruno me dit "tu te retournes ? " : j'eu un moment d'hésitation, me trouver nue seins à l'air et le sexe exposé à sa vue me gênais. Véro très cool revenait avec sa bouteille d'eau, alors ce massage on continue sur le dos ?
Je me retournais abandonnant mon corps à leur vue, mon sexe était presque rasé, juste une petite touffe en haut.
Ce fut Bruno qui m'enduisit d'huile, je frémis quand il passa doucement entre mes seins, mes tétons étaient en érection, Véro me massa les jambes et Bruno passait de longs massages sur le côté, il remontait sur mon ventre en terminant en cercle. Les yeux clos je me laisser bercer par ce massage à quatre mains. Quand j'ouvris les yeux Véro s'était installée à cheval sur une de mes jambes qu'elle pétrissait doucement et Bruno était toujours sur le côté. Mais il avait ôté son paréo et son sexe brun ballottait au rythme du massage. Il était bel homme.
C'était anachronique que de se trouver après deux soirs, allongée nue entre un couple d'amis, je me demandais qu'est ce que j'allais dire à Laurent (rien sûrement).
Les mains de Bruno descendaient de plus en plus bas, elles glissaient sur mon sexe tout d'abord doucement et je sentis progressivement une pression plus forte, par réflexe je serrais les jambes, mais Véro à cheval sur une de mes jambes bloquait toute tentative. Sa main s'arrêta sur mon sexe, je lui attrapai le bras ; il ne bougea plus, j'étais rouge pivoine, nos regards se croisèrent. Je crois qu'il vit dans mes yeux un mélange d'envie et d'inquiétude. Je n'osais rien dire.
Véro pris dans sa main le sexe de son homme et commença à le caresser. Bruno repris son massage, il était très doux ses doigts passaient sur ma vulve, je sentais le désir monter, un peu de liqueur s'échappait, il redoubla ses caresses, roulant sur mon clitoris complètement en érection, Véro caressait son sexe bandé au dessus de moi. Cette situation était excitante, j'haletais offrant mon sexe aux mains de Bruno. Je me sentais au bord de la jouissance.
Tout à coup Véro l'écarta et plongea la tête sur mon sexe désormais trempé, sa langue agile trouva mon bouton, Bruno, lui s'était placé derrière sa femme son sexe bandé, il la pénétra pendant qu'elle jouait avec mon sexe de longues minutes relâchant la tension quand elle devenait trop vive. Je sentais les coups de reins de Bruno à travers les lèvres de mon amie. Mon corps s'était abandonné comme si je m'étais désinhibée, je jouis plusieurs fois sous les lèvres de mon amie. Elle semblait elle-même au bord de la jouissance. Le souffle de Bruno s'accélérait, je sentis mon amie jouir, elle s'allongea sur moi, m'enlaçant de ses bras.

Depuis que j'ai quitté la vie étudiante je n'avais pas fait l'amour avec une fille, que c'était doux. J'étais encore excitée par la situation. Bruno était resté debout au pied du lit, il s'allongea à côté de nous deux enlacées. Sa main caressait les fesses de Véro, il descendait sa main le long de son sexe et venait s'attarder ensuite sur ma vulve, j'étais complètement trempée et je sentais ses doigts jouer avec mes lèvres.
Véro se redressa, me demanda de glisser un peu vers le bas du lit, j'avais les jambes pendantes hors du lit, elle s'agenouilla au dessus de ma tête son sexe au dessus de mes lèvres, elle commença à s'approcher en me demandant de la prendre dans ma bouche, avec ma langue et mes lèvres je saisis son sexe, elle était très excitée et son bassin allait et venait. Bruno s'était redressé et pied du lit pris mon sexe dans sa bouche, il m'aspirait, j'haletais de plaisir, tout en léchant le sexe de Véro. Puis ses mains remplacèrent sa bouche, il m'introduisit deux doigts dans le vagin et commença un lent va et vient, je gémissait !!, il arrêta d'un coup, je redressais la tête, Bruno s'était approché le sexe brun tuméfié, un peu paniquée je lui dit mets préservatif, Véro me dit ne crains rien.
Son sexe s'approcha de mes lèvres il le poussa doucement une chaleur m'envahi, j'écartais les jambes au maximum pour profiter de son sexe, et haletais comme une folle à chaque coup de butoir, mes seins volaient, avec rage il soufflait et rugissait, moi je hurlais, pendant près de dix minutes il me fit l'amour. Je sentis une immense giclée de sperme au fonds de moi, dans un dernier hurlement il se retira et le dernier jet gicla sur mon ventre en sueur.
Véro était restée près de moi à me caresser. il s'allongea tout contre moi et nous nous câlinèrent pendant un long moment. Nous endormîmes tous les trois dans le lit.
Le matin je me suis réveillée blottie contre Véro, Bruno était déjà sortit.
Les enfants tambourinaient à la porte, d'un bond j'enfilait mon peignoir et alla leur ouvrir.
Ils étaient déjà prêts pour le petit déjeuner. Je m'habillais en hâte et les descendis prendre des forces.
Nous nous retrouvâmes tous sur les pistes avec Bruno qui était déjà parti de bon matin pour changer ses skis. Durant la journée nous ne fîmes aucune allusion à ce qui s'était passé la veille.
J'appréhendais un peu car Laurent arrivait ce soir et je souhaitais qu'il ne sache rien de ce qui s'était passé. Je suis allée le chercher à la gare, Bruno et Véro s'occupaient de mes deux lascars, ravis d'être en vacances avec des copains.

La soirée fut sympa, Laurent bien que fatigué par presque une journée de travail et transport se détendait. J'étais contente de le retrouver. Car je dois avouer que je culpabilisais de m'être lâchée comme jamais hier soir.

Laurent découvrit l'espace de logement où durant quelques jours nous serons amenés à vivre en promiscuité, je lui faisait l'article tout en lui indiquant que le tirage au sort nous avait laissé le canapé lit dans le salon. Il trouva cela plutôt sympathique. Il alla sous la douche. Ce soir là tout le monde se coucha bien sagement nous crevé par une première journée pleine de ski et lui de son voyage.

Matin branlebas de combat, le soleil est au rendez vous pour une superbe journée de ski. Le soir tout le monde avait pris des couleurs, les enfants étaient ravis et épuisés par cette intensive journée de cours. Nous les adultes avions enchaînés les pistes. J'avais les jambes fourbues en cette fin de journée.

Après le dîner rapidement pris, nous couchâmes les enfants trop contents de se retrouver seuls pour faire la foire dans leur petit appartement.

Moi j'appréhendais un peu les soirées, je n'avais pas vraiment envie que Laurent apprenne ce qui s'était passé il y a deux jours.
Nous sommes passés sous la douche tous les deux, cela fait un bien fou, une douche brûlante après le Ski. J'ai enfilé un peignoir et Laurent s'est rhabillé, Bruno et Véro passèrent à leur tour sous la douche, Véro toujours très cool sortie une serviette autour des reins et une serviette autour du cou, on devinait ses seins, je surpris le regard appuyé de Laurent, quand à Bruno il était en peignoir comme moi. Une fois séchée Véro enfila un peignoir.

Visiblement ni Véro et Bruno ni Laurent d'ailleurs avaient envie de se coucher ; alors que moi j'étais crevée. Véro suggéra de faire un UNO un jeu de carte qui peu se jouer à plusieurs. On fit deux équipes. Laurent et moi contre Véro et Bruno avec 100 allumettes dans chaque camp et dix parties, les premières parties furent endiablées, à tel point que pour annoncer le Uno, les mains volaient. Arrivés à la cinquième partie il ne leur restait plus que 10 allumettes. A la sixième ils perdirent tout. Véro dit alors " on vous emprunte des allumettes si on ne peut les rembourser avec les gains on aura un gage choisi parmi une liste de 8 petits papiers pliés dont un ou deux seront tirés au sort par le perdant, chaque personne à le droit de mettre 2 gages et on s'engage à les exécuter ". Tout le monde fut d'accord.

La partie tourna rapidement court au détriment de Véro et Bruno qui au 9ème tour avaient perdu tout ce que l'on leur avait donné comme allumette.

On mis dans un bonnet tout les petits papiers et Véro tira la première elle annonça : " le couple perdant doit masser le couple vainqueur ".

Nous nous levâmes tous, Laurent dit en me regardant un peu gêné " comment fait-on ? "
Bruno : dit : " allons sur notre lit "
Véro dit " Laurent tu t'allonges à côté de Catie, mais il faut au moins enlever ton tee-shirt et ton jean "
Bruno alla chercher une bouteille d'huile de massage dans la salle de bain.
Bruno avait ôté le jean et son tee-shirt, il était resté en boxer, moi j'avais toujours mon peignoir sur le dos mais j'étais nue dessous. Avant que Bruno revienne je l'ôtai et mis sur le ventre, Laurent me voyant finalement laissa tomber son caleçon et s'allongea rapidement sur le dos. Allongés côte à côte il me pris la main et me fit un bisou sur les lèvres.
Bruno revint avec une grande bouteille d'huile,
Véro s'était installée au pied de Laurent et Bruno fit de même,
Véro enleva son peignoir et Bruno fit de même. Tous les deux nus au dessus de nous.
Bruno aspergea les dos d'huile et ils commencèrent à nous masser en cadence. Laurent était un peu tendu, il me serrait toujours la main. Il faut dire que pour lui la situation était inédite, moi j'étais plutôt décontractée.
Je sentais les mains fermes de Bruno sur mon corps, mon dos, Véro massait les fesses de Laurent, elle lui avait demandé d'écarter les jambes, je sentais à son air qu'elle lui massait l'intérieur des cuisses, il m'avait lâché la main et détendu il fermait les yeux.
Bruno me massait à son tour les fesses et m'avait sensiblement écarté les jambes, sa main descendait le long de ma raie des fesses. Je soupirais et mon sexe s'humidifiait.
Après ce long et langoureux massage, Véro donna le top en disant, on se retourne.
Laurent se retourna doucement, la vue de Véro nue à genou devant lui provoqua une érection, je m'étais retournée également, face à Bruno, il était nu également son sexe brun légèrement dressé.

D'un geste Bruno aspergea mon corps d'huile et celui de Laurent, Véro de ses mains étala l'huile sur Laurent et souplement elle colla son corps au sein et commença un body body avec ses seins, le sexe de Laurent était complètement dressé plein de désir, il me regardait un peu paniqué dans ses yeux, je lui souris il vit les mains de Bruno s'emparer de mes seins et les peloter, les exciter, Bruno saisi mon bassin et le souleva jusqu'à ses lèvres il me pris mon sexe dans la bouche et me suça à grand bruit, il me lapait, je ressentais une excitation terrible et commençait à haleter, Véro était égaleement exité par la situation, Elle enjamba Laurent attrapa son sexe dans la main et vint l'introduire dans son vagin, elle commença un va et vient d'abord doux puis de plus en plus fort en hurlant, laurent donnait des coup de reins avec des hon hon hon, j'entendais les bruits de succion, Bruno n'y tenait plus il me pris par devant allant venant avec son long sexe brun . Tous nous crions jouissons dans un formidable vacarme avec les encore encore ! ouhoui de Véro les coups de sexe de Bruno qui rentrait sortait j'hurlais trempée de désir. Bruno m'embrassait comme un fou, j'avais l'impression de mes premiers amours, j'étais insatiable, je voulais le dévorer, et à côté Véro elle aussi voulait jouir jouir. Bruno voulu au moment d'éjaculer sortir mais d'un geste je le gardais pour sentir le jets chaud du sperme m'envahir en plusieurs secousses. Nous restâmes un long moment collé l'un contre l'autre, son sexe collé au mien silencieux attendant la jouissance finale de Laurent et Véro.

Nous continuâmes à nous caresser les uns les autres mélangés tous les 4, Nous nous massâmes encore puis fîmes à nouveau l'amour. Cette soirée torride nous avait bousculé tout les deux, nous étions devenu avide d'expérience, envie de jouissance intense ;

Les vacances passèrent bien vite.
Bises

Cate

 

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