Mon premier émoi, c'était quand je ne devais avoir que 6 ans, je me suis
habillé avec le tutu rose de ma petite voisine. Avec ce juste au corps de
satin qui moulait mon corps je ressentais une sorte de peur dans mon
ventre, je ne savais pas ce que c'était. Ce désir suffocant, je ne l'ai
jamais oublié.
Les années passèrent et, au lycée, j'admirais une fille de ma classe ;
Yasmina , un peu plus mûre que les autres. Ses jambes blanches avaient
l'air toutes douces dans ses collants. Ses fesses encore juvéniles
étaient adorables, tout comme ses jolis cheveux bouclés et son sourire
aguicheur qu'elle savait déjà rendre sexy avec du rouge à lèvres. Ses
ongles longs, sa peau satinée, ses longs cils : elle était belle et tous
les garçons du collège n'avaient d'yeux que pour elle.
Moi, je rêvais de lui ressembler. J'étais encore un petit garçon, mes
jambes étaient fines et lisses comme celles d'une fille. Seul dans ma
chambre, je me regardais dans la glace, avec un collant de ma grande soeur
et une chemise de nuit de ma mère. Souvent, quand tout le monde dormait
j'allais chercher dans la salle de bains, du rouge à lèvres et du fond de
teint, je choisissais des chaussures de ma soeur et je retournais dans ma
chambre sans faire de bruit. Je fantasmais sur les catalogues de vente par
correspondance, m'imaginais vêtu avec les ensembles de lingerie sexy que
j'y voyais et me faire dépuceler par un ami de mon père était mon fantasme
le plus ardent. J'avais honte de ces désirs car je ne pouvais pas imaginer
être un pédé, la honte suprême dans la cité. Pourtant, je portais souvent
mon collant sous mes habits pendant la journée. Pendant quelques années
encore, je me cachais pour me transformer en fille. J'ai toujours été très
mince, et mon corps lisse d'adolescent était très féminin, surtout dans
les petites robes de ma soeur. Maquillé, avec des boucles d'oreilles et un
serre-tête dans mes cheveux noirs, je me trouvais mignonne et j'adorais me
regarder dans la glace, apprenant à marcher avec des talons hauts. Souvent
aussi, quand je faisais ma toilette, je fouillais dans le bac à linge et
j'essayais les slips de ma soeur. J'adorais les strings qui me rentraient
dans mes tendres petites fesses vierges. De plus en plus, je portais les
dessous de ma grande soeur et j'étais, comme tous les mecs de mon quartier,
habillé en survêtement dans la rue.
A la cité, quand nous n'étions pas en classe, nous passions notre temps
dehors, à jouer au foot, à faire du vélo, à se raconter des histoires de
la cité. J'étais encore un ado, je cachais mon secret car je ne voulais
pas qu'on pense que j'étais une tapette, je ne pensais pas l'être
d'ailleurs. C'était le 8 mai, et un de nos copains nous a dit de venir
chez lui, il avait un film de boule et ses parents n'étaient pas là. Je
n'avais encore jamais vu de porno et je ressentais la même excitation que
lorsque enfant, j'avais porté le tutu rose. En plus, comme au collège,
j'admirais les corps des starlettes que je voyais dans ce film. Les voir
en porte-jarretelles, sucer et se faire baiser me procurait autant de
plaisir que mes copains, sauf que moi je m'identifiais à elles ! Le mec à
côté de moi sur le canapé bandait tellement qu'il a baissé son froc et a
commencé à se branler. Les autres ont hésité puis se sont finalement mis à
s'astiquer à leur tour. Sous mon survêtement, j'avais un slip en dentelle,
le sous-tif assorti et un collant. Il était hors de question que je me
dévoile, ça aurait été terrible ! Je n'osais plus trop parler, pour ne pas
attirer l'attention et je restais fixé devant le film.
A l'écran, la blonde se prenait une bite dans le cul, tout en suçant simultanément deux
mecs qui lui balancent des obscénités. Dans la pièce, mes potes avaient
tous la queue dans leur main. Le gars à côté de moi fut le premier à
éjaculer et je me sentais excité de voir toutes ces bites dures devant
moi..Il me regardait et me dis de me branler aussi, de pas me gêner. Je
faisais l'indifférent et lui : « t'aimes pas le film ? Sont bonnes les
salopes hein ? » Je répondais « oui... elles sont canons ». Et lui : « bah
vas-y mec, fais-toi plaisir, t'as peur ou quoi, on est entre nous t'as vu !
T'as honte de ta petite queue ? » A ce moment, je sentis qu'il valait mieux
que je m'en aille. Les autres se marraient tout en continuant
scrupuleusement leur masturbation. Je me lève et, sans avoir le temps de
dire salut, le gars attrape violemment mon pantalon avec ses deux mains
encore pleines de son sperme et il me le baissa jusqu'aux chevilles en
rigolant. Il faillit s'étrangler et moi, je me suis retrouvé terrorisé, en
collant et slip de fille au milieu de mecs de ma cité. La pire des
situations !!!! « Sale pédale! C'est pour ça tu voulais te barrer ! T'es
une tantouze ! ».
Les mecs se sont retrouvés un peu désorientés sur le
moment mais, apparemment, l'excitation sexuelle de cet après-midi d'été
leur a donné des idées. Ils se sont regardés, m'ont demandé de leur montrer
tout ce que je portais, je me suis déshabillé. Les gars m'ont traité de
tous les noms « fils de pute ! sale trav' ! tapette ! » Les mecs se
déchaînaient, transpiraient, bandaient et la vision de mon petit cul
efféminé et de mon corps imberbe de jeune garçon les rendait littéralement
incontrôlables. Leur excitation devenait si forte qu'ils se chauffaient
par les injures qu'ils me balançaient. Ils s'étaient mis à m'insulter
comme une fille et ne s'arrêtaient plus! De « petite catin » à « sale
chienne », j'étais servi ! Dans le film, la jolie blondinette aux
allures innocentes se fait complètement déchirer l'anus et la chatte par
deux salopards! Dans le salon, un des gars me dis que personne ne
répéterait que je suis une petite salope mais qu'il fallait que je leur
donne entière satisfaction. Il me fit mettre à genoux et me dis de prendre
modèle sur le film.
J'étais très jeune mais j'avais tellement rêvé de ça que je m'appliquais à
faire le mieux possible la première pipe de ma vie. Je caressais les
couilles comme si j'avais de l'expérience, je suçais en faisant des petits
bruits de vicieuse, des petits gloussements aigus, des bruits de
mastication et des halètements comme une vraie fille. Les gars regardaient
le film, me donnaient des coups sur les fesses, m'insultaient, et
attendaient leur tour pour se faire sucer la queue. J'avais honte, mais je
me sentais bien dans cette position, à quatre pattes devant le canapé où
trois lascars attendaient que ma bouche leur donne autant de plaisir
qu'une meuf. C'était tellement excitant que je ne parvenais plus à
respirer, je réalisais mon fantasme mais j'avais peur des conséquences..
Chaque fois qu'un mec jouissait, j'avalais son sperme pour faire comme
dans le film. Ils déchargeaient leur jus chaud dans ma bouche et j'avalais
tout sans perdre une goutte !!! Je pris encore quelques grosses décharges
dans la bouche et sur le visage et finis par téter les glands des mecs,
histoire de les remercier de ne pas répéter tout ça dans le quartier.
L'après-midi se termina par encore quelques fellations. Un des mecs se
branla la bite tout en exigeant que je lui lèche le cul!! Je suis rentré
chez moi avec la peur que tout le monde sache ce qui venait de se passer
mais je ressentais un vrai bonheur. Pour mes potes, j'avais été une
fille. Je n'avais fait qu'en rêver jusqu'à ce jour. Je découvrais que
j'aimais ça, que le goût de leur bite m'avait plu et je n'avais qu'une
envie : recommencer......
Salomé
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