Ce matin Ben F., le DG, m'a convoqué en ma qualité de directeur d'une des
deux filiales européennes de notre groupe pour m'informer de la décision
des dirigeants de les fusionner. Notre société est un grand groupe
africain qui souhaite se restructurer notamment au niveau de notre
continent. Si j'ai bien compris, il ne restera qu'une filiale en Europe la
française que je dirige ou l'allemande dirigée par Didier H. en
conséquence qu'une place de directeur.
« Tu sais Michel combien je vous estime toi et Didier, mais
malheureusement les actionnaires décident et il va bien falloir que l'on
se sépare de l'un de vous deux.
Deux représentants du comité de direction doivent rendre visite aux deux
filiales le mois prochain afin de rendre leur analyse pour décider
laquelle des deux filiales absorbera l'autre.
Ils seront chez Didier dans quinze jours et chez toi à la fin du mois. Tu
as donc quelques jours de plus que Didier pour te vendre profites en bien
pour peaufiner ton dossier et que le meilleur gagne ».
Je suis sorti assommé par la nouvelle. Dans mon bureau, je repensais à ces
mots « Que le meilleur gagne !!! ». Certes, je connaissais parfaitement
mon boulot et ma filiale tournait bien. Mais j'avais 52 ans, j'étais un
cadre « maison », vendu sur place par l'ancien propriétaire de la société.
Didier avait 41 ans, était brillant, avait fait HEC et sa filiale n'avait
rien à envier à a mienne. Alors que le meilleur gagne sonnait comme
l'heure du chômage pour moi. Qui voudrait reprendre un cadre maison de 52
ans ?
Je ne parlais de rien à ma femme mais ma nuit fut très agitée. Comment
faire pour sauver ma place et mon confortable train de vie.
A partir de ce jour, je me mis à peaufiner mon dossier comme me l'avait
suggéré Ben. A la fin du mois Ben me convoqua à nouveau dans son bureau.
Dans le canapé trônaient deux blacks, en costume impeccable. A mon
arrivée, ils se levèrent et me serrèrent la main. Ils devaient bien
mesurer 1m90, avec mes 1,70 mètres j'étais le plus petit et le seul blanc.
Ben me présenta M. Théodore B et M. Félix R. Les fameux délégués.
Après m'avoir exposé clairement le but de leur visite et confirmé les
conséquences à brève échéance de celle-ci, ils s'installèrent dans mon
bureau commencèrent à consulter l'ensemble des documents que j'avais mis à
leur disposition.
Après avoir confié à mes collaborateurs la mission de répondre à toutes
leurs questions, je pris congé afin de les laisser analyser toute cette
documentation.
Je retrouvais Ben dans son bureau afin d'en savoir plus. Il m'informa
qu'ils avaient été très impressionnés par Didier, qui non seulement avait
démontré sa capacité à diriger sa filiale, mais aussi en avait profité
pour les accompagner dans les meilleurs endroits de la ville.
Décidément, la pression était pour moi. Que faire de plus.
Si sur mes capacités professionnelles, je n'avais pas de doute. Je n'étais
pas moins bon que Didier, mais pas non plus meilleur.. Donc, ce n'était
sur ce point là que je pouvais faire la différence. Paris by night. Bof.
C'est alors que je me rappelais avoir distingué une alliance chez chacun
de mes « clients ». Sachant à quel point la famille était importante en
Afrique, je compris que la différence était là. Didier était célibataire,
donc sans assise familiale, j'étais marié, avait deux enfants eux même
mariés. J'allais donc les inviter à dîner chez nous. Au coeur d'une
famille. Voilà mon atout gagnant.
Pendant, le repas du midi, je leur proposais donc ainsi qu'à Ben de venir
dîner chez nous le vendredi soir suivant afin de fêter la fin de leur
mission.
Le soir, j'informais mon épouse Marie-Laure de cette importante
invitation, sans lui préciser les risques. Ma femme est un véritable
cordon bleu et de ce côté je savais ne rien avoir à craindre.
Le vendredi matin en question, après avoir dit à mon épouse de se faire
belle et féminine pour le soir, je retrouvais mes deux juges à mon bureau.
L'inspection se termina vers midi. Nous partîmes déjeuner et passâmes le
reste de l'après-midi à un dernier jeu de questions-réponses. Ils
semblaient satisfaits. Ce que me confirma Ben discrètement. Ils
n'arrivaient pas à nous départager professionnellement.
Vers 19h00, nous partîmes direction la maison. Je prévins discrètement
Marie-Laure de notre arrivée. Parvenus à destination, avant même de
sonner, la porte s'ouvrit sur ma ravissante épouse. Elle se doutait que
cette réception était importante et s'était apprêtée en conséquence. Le
coiffeur avait fait merveille avec ses longs cheveux blonds qui
cascadaient sur ses épaules. Son petit chemisier blanc à jabot cachant sa
poitrine que l'on devinait bien remplie sans être importante, sa jupe
arrivant aux genoux, puis ses jambes gainées de noir terminées par des
escarpins à hauts talons fin de la même couleur offrait le tableau de la
femme idéale. Malgré ses 48 ans Marie-Laure en faisait 10 de moins.
J'embrassais Marie-Laure, en la remerciant discrètement et constatais par
la même occasion au touché la présence de porte-jarretelles que nous
affectionnant tant dans notre intimité. Elle me sourit, tout aussi
discrètement, et me rendant mon baiser, me dit « c'est pour après leur
départ pour te détendre ».
Je présentais Théodore et Félix à Marie-Laure qui connaissait déjà Ben et
nous passâmes au salon pour déguster quelques coupes de Champagne. Ma
femme était une hôtesse remarquable et chacun pu en juger tant elle était
attentionnée pour chacun d'entre nous.
Après un repas fabuleux qui ne reçu que des compliments nous retournâmes
au salon pour quelques verres de digestifs et autres. L'ambiance était
détendue et nos invités semblaient apprécier cette soirée et nos alcools.
Si mon épouse et moi-même étions sobres Ben, Félix et Théodore étaient
déjà bien partis et parlaient parfois dans un dialecte qui m'était inconnu
mais qui semblait bien les faire rire tous les trois.
Lors que j'étais descendu dans la cave pour chercher un vieil Armagnac que
je voulais leur faire goûter, Ben me rejoignit.
« Tu sais ce qu'ils disaient me dit-il ? »
« Non, mais cela vous faisait bien rire » lui répondis-je
« Hé bien que ta femme leur plaisait beaucoup et que si elle était
gentille, elle ferait certainement pencher la balance, car ils préféraient
la baiser que de baiser Didier. Je te résume car c'était plus détaillé et
crus. C'est à toi de voir. »
Puis il tourna les talons et remonta, me laissant là comme un con avec ma
bouteille à la main.
Je remontais enfin de la cave avec en tête, ce que venait de me dire Ben
et servis l'Armagnac. Tous trois parlaient, de plus en plus souvent dans
le dialecte et riaient. Je me doutais maintenant de la raison et de la
cible de leurs rires.
Marie-Laure était partie dans la cuisine, nous laissant deviser entre
hommes.
Vers une heure du matin, Ben se leva et me dit en me fixant, « nous allons
partir, c'est dommage, mais tant pis il faut bien faire des choix dans la
vie et les assumer. »
Cette phrase était pleine de sous-entendus, surtout que Félix et Théodore
avaient fait silence et me regardaient aussi avec insistance.
Il me fallait faire un choix. sans réfléchir je lui répondis « attendez je
vais chercher ma femme pour qu'elle vous salut ».
Je partis presqu'en courant dans la cuisine. Ma femme fut surprise par
cette brusque arrivée et me regarda inquiète « Tu en fais une tête, qu'est
qu'il t'arrive ? »
Je racontais tout à Marie-Laure et conclu par la confidence de Ben.
« Les salauds » me dit-elle, « Que vas-tu faire ? »
« Je ne sais pas » lui répondis-je « soit le chômage, pour une longue
durée à mon âge. Il va falloir restreindre énormément notre train de vie,
soit en passer par leurs exigences, mais ça je ne peux pas te le
demander ».
Après de longues minutes de réflexion Marie-Laure dit « Cela fait des
années que je profite largement des fruits de ton travail, alors pour une
fois que je peux t'aider, si tu en as besoin je ferai ce que tu veux,
décides ! »
« Tu es certaine, tu ne me le reprocheras pas ? »
« C'est si je ne le faisais pas que je me le reprocherais »
« On y va alors ? »
« On y va ! »
« Tu devrais retirer ton soutien-gorge, ce serait plus explicite »
Marie-Laure ouvrit son chemisier, retira son soutien-gorge et referma son
chemisier, non sans oublier de fermer les trois derniers boutons du haut.
Nous quittâmes la cuisine et nous dirigeâmes vers le salon la main dans la
main, comme deux animaux que l'on traîne à l'abattoir.
Lorsque nous entrâmes dans le salon, nos trois invités étaient debout et
devisaient. Ils nous regardèrent et je vis leur visage s'éclairer. Il est
vrai qu'ils devaient avoir compris notre accord à la simple vision de
Marie-Laure dont les seins libérés semblaient avoir leur vie propre sous
le chemisier et dont le décolleté était maintenant très prometteur.
« Vous allez bien prendre un dernier verre avant de nous quitter »
proposais-je
« Oui, si c'est Madame qui nous sert » répondit Félix.
Ils prirent place tous les trois dans le canapé et attendirent.
Nous étions tous les deux debout au milieu du salon. Marie-Laure se
dirigea vers la table basse, prit la bouteille, servit chacun des verres
et se redressa.
« Non » ordonna Félix qui semblait prendre les choses en main « restez
donc penchée, pour nous laisser admirer ce merveilleux tableau ».
Marie-Laure se pencha à nouveau, les mains appuyées sur la table. Grâce à
la glace fixée au-dessus du canapé, je pouvais avoir la même vue qu'eux
sur ce que leur offrait mon épouse.
Son décolleté était largement baillant permettant de voir distinctement sa
poitrine libre pendre sous elle.
« Relevez la tête et regardez-nous afin de libérer notre champ de vision »
demanda Félix.
Marie-Laure obéit cambra ses reins, releva la tête laissant ses cheveux se
répandre sur ses épaules et offrit la vision de ses seins à nos «
invités ».
Malgré cette humiliation d'être ainsi obligé d'offrir ma femme et
d'imaginer ce qu'elle devait penser, je me rendis compte que je commençais
à bander. J'avis d'autant plus honte que je vis une larme couler sur la
joue de ma tendre épouse.
C'est le moment que choisit Félix pour s'adresser, toujours dans son
dialecte, aux deux autres et que tous trois se mirent à rire.
La colère aidant, je ne pus m'empêcher de leur dire « Vous pourriez avoir
au moins la politesse de nous parler dans une langue que l'on puisse
comprendre et éviter de trop profiter de la situation ! ».
Félix me répondit « Vous avez tout à fait raison et nous vous prions de
nous excuser, cela ne se renouvellera plus. Je disais à nos amis qu'avec
une si belle paire de nichons votre femme ne devait pas pleurer et que si
elle savait ce qu'on allait lui mettre, elle sourirait aux anges et en
redemanderait comme une bonne salope qu'elle devait être et qu'en plus
elle servait votre carrière ! ». Avant, même que j'ai eu le temps de
répondre, il plongeât la main dans le décolleté de Marie-Laure et lui
caressa les seins sans aucune retenue.
« Ses seins remplissent bien les mains d'un honnête homme, sa peau est
douce et ses pointes sensibles, elle a l'air d'aimer ça la cochonne, vous
devriez essayer mes amis » continua Félix en libérant la place.
Il avait raison, Marie-Laure adorait que je lui caresse ses petites
pointes. Maintenant, c'étaient les mains de Théodore et de ce salaud de
Ben qui profitaient des seins de Marie-Laure. Ce dernier que nous
connaissions depuis 10 ans, qui n'avait jamais osé une seule allusion ou
un geste de déplacé envers ma femme semblait se rattraper d'une certaine
frustration. Il est vrai, que contrairement aux deux autres, avec son
ventre énorme, son visage aplati, il ressemblait plus à un gorille qu'à un
Apollon. Il ne devait jamais avoir espéré, autrement qu'en payant,
profiter ainsi d'un tel corps. Marie-Laure d'ailleurs l'ignorait savamment
lorsque parfois il venait prendre un verre à la maison le soir après le
bureau pour parler de dossiers.
A force, de lui triturer ainsi les seins sans ménagement, bientôt le
chemisier de Marie-Laure céda jusqu'à son nombril, libérant complètement
sa poitrine et l'espace nécessaire à un accès total et faillit lui faire
perdre l'équilibre. D'un bon Félix se leva et l'attrapa en même temps que
moi pour l'empêcher de tomber, puis la remis en position. Mains posées,
chemisier grand ouvert et ses deux seins pendant se reflétant dans le
verre de la table basse. Rapidement Théodore et Ben reprirent la danse de
leurs mains sur la poitrine de Marie-Laure qui semblait les hypnotiser.
Félix fit alors le tour de mon épouse, lui flatta les reins et se tournant
vers moi, me demanda de lui présenter le cul de ma femme.
Je m'approchais et tendant la main vers le fessier de Marie-Laure, je lui
dis « Les fesses de ma femme ».
« Non, c'est pas comme cela, je veux que tu me découvres complètement les
fesses de ta femme et que tu me dises, je t'offre le cul de ma salope de
femme ».
Je restais interdit, déjà je n'avais jamais parlé ainsi à mon épouse et je
me sentais ridicule.
Félix qui semblait être la mâle dominant de la soirée me dit « Alors
j'attends, il faut savoir offrir pour gagner ! ».
Je m'approchais de Marie-Laure, pris le bat de sa jupe dans mes mains et
la releva sur ses reins en disant « Je t'offre le cul de ma salope de
femme ! ».
Théodore et Ben qui s'étaient arrêté pour regarder la scène s'exclamèrent
en même temps « En plus elle a un porte-jarretelles la cochonne.
j'adore ».
Félix me dit, « Il me semble que je ne vois pas tout son cul. »
Je pris alors l'élastique de son string et le descendis le long de ses
jambes puis me relevant je dis à nouveau « Je t'offre le cul de ma salope
de femme ! ». Inconsciemment je sentais que j'y prenais plaisir.
Félix se recula et dit « Merci, je l'accepte et vais l'enculer à ma guise.
Regardez c'est pas beau, une femelle qui attend la saillie ? »
J'étais très choqué de l'entendre parler ainsi de Marie-Laure, j'aurais
voulu lui mettre mon poing dans la figure et les chasser de la maison,
mais nous étions allez déjà trop loin et je ne pouvais pas. Il le savait
et jouait avec nous. C'était la règle du jeu. Le gain une place en or avec
une rémunération conséquente, le risque le chômage. Il voulait savoir
jusqu'où nous étions prêts à aller pour conserver mon poste et allait nous
pousser dans nos derniers retranchements.. A nous de décider de la
dernière limite à ne pas dépasser en espérant qu'il la fera sienne.
Comme les trois autres, je me mis à regarder ainsi Marie-Laure, perchée
sur ses escarpins noirs, penchée en avant, les seins pendants sortant de
son chemisier, la jupe relevée découvrant ses jolies fesses encadrées pas
le porte-jarretelles retenant ses bas noirs. C'est vrai qu'elle était
bandante ainsi et que ma queue me confirmait immédiatement mon impression.
Marie-Laure, tourna la tête, me regarda dans les yeux. Ce que j'y vis me
fit chaud au cour. De l'amour. Elle semblait dire, je fais cela pour nous,
laisse les jouer cela n'a aucune importance, je t'aime.
Tous les trois s'approchèrent et examinèrent le fessier de mon épouse.
« Ecartent tes cuisses pour nous montrer ta chatte » ordonna Félix.
Marie-Laure obtempéra. Félix s'approcha et pris chacune des fesses de mon
épouse dans ses mains et les écarta..
« Regardez ce joli petit trou qui demande qu'à être éclaté..On dirait
qu'il nous parle » et tous se mirent à rire.
Puis, il mit son doigt dans sa bouche, l'humecta et le plaça sur la
rondelle de Marie-Laure et lentement mais inexorablement le fit
disparaître dans son petit trou. Je vis ce doigt noir s'enfoncer au fond
de Marie-Laure. Ma femme, se mordait les lèvres, les mains crispées sur la
table basse, subissant cette pénétration dont elle n'était pas une adepte.
Puis, le doigt ressorti pour s'enfoncer plus rapidement et plus
profondément.
Théodore en profita, pour s'agenouiller et glisser sa tête entre les
cuisses de mon épouse.
« Humm elle sent bon, j'ai envie de lui bouffer la chatte » et joignant le
geste à la parole il enfournant sa langue dans la chatte de ma femme à la
recherche de son petit bouton.
Marie-Laure adore ce type de caresse et rapidement cela lui fit oublier ce
doigt qui la violait et ne passa pas inaperçu. Son corps semblait vivre sa
propre vie et se cambrait pour rechercher cette langue qui lui faisait
tant de bien.
« C'est bon, elle a une super chatte, la cochonne et en plus elle en
redemande » dit Théodore entre deux coups de langue.
Ben fit alors le tour de ma femme et se retrouva devant elle. Il défit son
pantalon qui tomba au bas de ses jambes. Fit glisser son slip et retrouva
son pantalon et exhiba un sexe qui me sembla énorme. Très large et de très
bonne taille.
« Michel, tu m'en voudras pas, mais j'ai toujours rêvé de me faire sucer
par Marie-Laure. Elle m'énerve avec son air de petite bourgeoise hautaine
et j'ai envie de sentir ma queue baiser sa bouche de salope, je peux ? »
Avant même que je réponde, il avait attrapé la tête de Marie-Laure et
placé sa bite au niveau de ses lèvres.
« Allez petite salope ouvre ta bouche de bourgeoise, suces ma grosse queue
de black »
Son gland vint buter sur la bouche de Marie-Laure qui s'entrouvrit, il
continua et je vis son membre s'enfoncer entre les lèvres de ma femme. Il
maintint la tête de mon épouse et d'un coup de reins s'enfonça.
Marie-Laure s'étrangla, des larmes jaillir de ses yeux et elle recracha
son sexe.
« Ça va pas » dis-je « Ta gueule » me répondit-il « Quant à toi salope
reprend moi en bouche et suces moi bien à fond ». Il releva la tête de
Marie-Laure écrasa ses lèvres sur les siennes. Lui roula une pelle puis
remis sa queue devant la bouche de ma douce.
Marie-Laure en équilibre sur une main, un doigt dans les fesses et une
langue dans la chatte, s'empara du sexe de sa main libre et reprit sa
fellation.
« Tu es moins fière, salope avec ma bite dans la bouche, tu de doutais pas
que Ben avait une aussi grosse queue et qu'un jour il te baiserait, moi
si »
Je compris alors que Ben avait du certainement tout préparer dans cet
espoir et que les circonstances lui avaient permis d'assouvir son
fantasme.
Félix, avait profité de cette opération pour se libérer à son tour. Il
demanda à Théodore de se pousser et présenta son sexe à l'entrée de
Marie-Laure. Son gland écarta ses petites lèvres et lentement sa queue qui
était aussi de belle taille, pris possession de la chatte de Marie-Laure.
Après, un ou deux aller-retour il ressorti complètement et vint se placer
sur la rondelle de Marie-Laure.
Ma femme arrêta sa fellation et cria un « Non !!! Pas là !!! » en essayant
de se dégager. Mais Ben, la rattrapa et lui remis sa bite dans la bouche,
Théodore la bloqua et Félix d'un léger coup de reins fit pénétrer son
gland dans le petit cul de ma douce. De grosse larme coulaient sur les
joues de Marie-Laure, mais je n'eu aucune réaction. J'étais hypnotiser par
cette colonne de chaire noire qui s'enfonçait entres les fesses blanches
de mon épouse.
Bientôt elle se trouva complètement empalée. Je regardais ma femme. La
bite de Ben dans la bouche, ce dernier la tenant par les seins qu'il
malaxait sans douceur et l'insultant. Félix enfoncé dans son cul, qui
commençait lentement à bouger la libérant pour mieux la reprendre, les
mains bien plantées dans ses fesses. Pendant ce temps Théodore, baladait
ses mains et son sexe, qu'il avait lui aussi libéré, sur toutes les
parties du corps de Marie-Laure restées libres.
C'était à la fois humiliant et bestial de voir ma femme ainsi
soumise et violée, excitant et joli de voir ces membres noirs pénétrer ce
corps blanc de blonde. Ces colonnes de chaire pénétrer ses fesses, sa
bouche, jouer avec ses seins et son dos. Ces mains s'agripper ou la
caresser, ces seins pendre, ballotter à chaque coup de boutoir, remplir
ces mains baladeuses.
L'un après l'autre, ils lui pénétrèrent la bouche, la chatte et son petit
trou (qui était maintenant bien plus large).
A chaque fois, ce n'était qu'insultes, humiliations verbales, comme s'ils
semblaient se venger d'une attitude de ma femme.
« Salope, tu la sens ma bite dans ton cul... J'adore enculer les petites
bourgeoises comme toi. Vas suce ma queue cochonne. Ecartes ta chatte, sens
ma queue qui te baise comme une chienne etc. »
Après avoir profité de tous ses orifices à leur guise l'un après l'autre
ou ensemble en double voir triple pénétrations, ils obligèrent Marie-Laure
à s'allonger sur le dos sur la table basse. Puis après avoir chacun (voir
essayé à deux) leur tour pénétrer une dernière fois sa chatte en me
demandant de bien regardé « ma salope de femme se faire baiser », ils
entourèrent Marie-Laure et l'obligèrent à les branler jusqu'à voir leur
plaisir gicler sur son visage, ses seins et les poils de sa chatte.
Ils me demandèrent ensuite d'approcher et de me libérer. Après avoir fait
remarqué à Marie-Laure mon état et que la situation semblait m'exciter au
plus au point, ils ordonnèrent à Marie-Laure de me soulager à mon tour et
de me faire jouir sur son visage.
Une fois terminé, ils demandèrent à Marie-Laure de restée ainsi allongée,
nue, jambes écartées afin d'offrir à leurs yeux sa chatte, ses seins et
son visage maculés de leur sperme que l'on voyait couler lentement sur sa
peau. Il réclamèrent un dernier verre, qu'ils burent assis autour de la
table basse décorée du corps de ma femme en commentant encore une fois
avec force détails vulgaire, le corps de celle qui leur avait donné tant
de plaisir et qui ils étaient certains en avait aussi pris (ce que
j'appris plus tard n'était pas faux).
Avant de partir, ils me serrèrent la main en me donnant rendez-vous pour
le lendemain. Puis s'approchant de la table, l'un après l'autre, il sortir
leur sexe et urinèrent sur ma femme. En disant au milieu d'un éclat de
rire « une douche de bites, pour un garage à bites ».
Enfin seuls, je pris ma femme dans mes bras et la remerciais. Lui fit
couler un bain, l'aida à se laver et nous nous couchâmes sans un mot.
Depuis cette aventure, j'ai été licencié et suis un homme au foyer et
j'attends que ma femme rentre du travail. Elle a été embauchée par Ben
pour un salaire confortable et un travail dans nos cordes.
Marie-Laure s'occupe d'organiser des dîners d'affaires à la maison pour
les gros clients de mon ex-société. Là, en fin de repas ma femme est
systématiquement « offerte » à ces clients par Ben qui s'est bien rendu
compte que les hommes (et femmes) sont plus attirés par les bourgeoises
mûres et belles qu'ils ont l'impression de forcer que par des jeunes
professionnelles.
Je sais que Ben et Didier profitent aussi des capacités de ma femme au
bureau et que même parfois Félix et Théodore viennent se servir.
Marie-Laure est devenue une véritable salope pour notre plus grand
plaisir. Cette vie nous satisfait. Nous sommes plus complices que jamais
et elle nous permet, aujourd'hui, d'assouvir nos envies sexuelles qui ont
fortement évoluées et de conserver notre train de vie.
Pcai
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