Nous sommes Marie et Chris, un couple de 58 ans chacun, libertins et,
alors que d'ordinaire, mon épouse Marie est narratrice de nos sorties et
expériences sexuelles, pour une fois, j'ai été désigné rédacteur au
prétexte de quelques jours de vacances. Marie exagère toujours, c'est
ainsi !!! Les femmes ont paraît il toujours .. ! Donc acte !
Dégagés pour une fois de nos nombreuses obligations familiales, diverses,
variées et nombreuses, nous avons décidé de passer simplement la soirée du
31 Décembre dans un club libertin de Marseille que nous fréquentons
épisodiquement, le 4 sans coup.. Quel nom prétentieux??
Soulagés de ces obligations, nous sommes arrivés à ce club vers 21heures.
Après un passage au vestiaire où Marie a pu se mettre en tenue de
circonstance, nous avons rejoint la pièce de danse avec le bar, les
chaises hautes devant celui-ci et les banquettes tout autour de la salle.
Ce qui est appréciable dans ce club, c'est la capacité qu'ont les
animateurs à s'adapter facilement à la clientèle. Ce 31 décembre, il y
avait sept couples dont cinq qui, comme nous avaient largement franchi la
cinquantaine, c'est un peu la spécialité de ce club d'être ouvert aux
couples mûrs ! Les animateurs ont donc pu privilégier de la musique des
années soixante-dix pour notre plus grand plaisir. Il y avait également
six Messieurs seuls, un jeune qui n'a pas bougé de son siège à part pour
se ravitailler au comptoir du bar, trois qui étaient à priori venus là
pour voyeurisme, ils étaient en serviettes ou peignoirs, suivaient les
couples allant à la balnéo, se masturbaient plus ou moins semble t'il, et
deux Messieurs dans la cinquantaine normalement vêtus, en soif, très
certainement, de féminités.
Franchement, nous n'avons pas regretté notre sortie car nous y avons pris
l'un et l'autre beaucoup de plaisirs.
Marie avait repris sa mini jupette écossaise plissée qui, très sincèrement
la met véritablement en valeur. Cette mini jupe ne couvre que le haut de
ses fesses et lorsqu'elle se déplace ou qu'elle danse, son arrière train
est du plus bel effet. Elle avait un porte-jarretelles blanc des bas
couleur écru et un tout petit string laissant croire, vu de l'arrière,
qu'elle n'avait rien.
Nous avons dansé, puis avons sympathisé avec un couple de nos ages qui
dansait aussi. La dame est ce que l'on appelle un peu ronde, aux formes
généreuses mais bien proportionnée.
Pendant que l'on danse, le Monsieur, comme s'il n'en avait pas assez,
passe sa main sur les fesses de Marie qui se laisse faire à plusieurs
reprises. Elle se blottit, dans ces moments, très fortement contre moi.
L'un des deux Messieurs mûrs est assis au bar sur un tabouret haut. Il ne
perd rien de ce manège et, tandis que nous continuons à danser, se
soustrait de son siège, s'approche de nous et nous demande la permission
de se joindre à la danse. Marie accepte ! Elle ne peut pas, dès lors se
plaindre du manque de caresses. Elle est blottie contre moi, le monsieur
qui répond au prénom d'Olivier la palpe de partout avec un faible pour son
fessier qui « lui tend les bras » en quelque sorte ! L'ambiance monte vite
d'autant que l'animateur à qui cette scène n'échappe pas non plus, a remis
des slows et éteint trois ou quatre lampes. L'autre couple est resté prés
de nous, le monsieur, Rolland, est un peu contrarié de cette situation
nouvelle. Tandis qu'Olivier poursuit ses caresses, je propose discrètement
à Marie de laisser ma place à Rolland, je m'occuperai de son épouse. Elle
accepte discrètement à condition que je reste cependant tout prés. Je le
lui promets, c'est normal, je suis son gardien ! Dans ces pratiques, c'est
la complicité qui importe. Trente secondes plus tard, j'ai quitté Marie
pour prendre Maryse dans mes bras. Quand je dis prendre, c'est le terme
approprié. Maryse est une belle plante de 1,70m pour 82 kg, je n'aurai
connaissance de son poids réel que bien plus tard, et surtout un tour de
poitrine de 100 bonnet C ou D, je ne m'en souviens déjà plus.
Maryse est toute moite, elle m'offre une vision même imparfaite à cause du
manque de lumière sur un décolleté osé, humm, c'est apétissant. Elle se
love contre moi, nous dansons, je la serre par la taille, elle est très
câline, et de là où je suis je remarque que Marie n'est pas en restes.
Elle « bécaute » Rolland, qui ne se soucie déjà plus de sa moitié, Marie a
déjà pris une allure de Gordini en écartant ses jambes pour permettre à
Olivier d'aller plus loin dans la conquête de son intimité. Franchement,
elle est sexy ma Marie avec ce fessier dodu juste ce qu'il faut, qui fait
perdre le nord aux hommes.
Je palpe Maryse, vêtue d'une jupe un peu ample, je caresse son fessier
imposant par dessus le tissus, elle se laisse faire, je devine des bas
mais en cherchant , je ne remarque aucune culotte, peut être un string
ultra léger. Au fond, je suis là pour savoir, je lui pose tout droit la
question et elle m'avoue être cul nu sous sa robe, la coquine ! Au fond,
elle a raison car, à coté de nous , Olivier est accroupi, il vient de
retirer la culotte de Marie qui essaie de s'en défaire alors qu'elle est
restée accrochée à une de ses chaussures. La situation redevient enfin
normale et Olivier me confie le string de Marie que je « flanque » dans ma
poche. D'une main discrète, je fouille sous la jupe de Maryse et y
découvre un sexe tout lisse, déjà plein de cyprine ! elle est
manifestement en forme. Du même coup, elle approche sa bouche de la
mienne et d'une langue agile fouille cette cavité. Elle aussi a écarté les
jambes !! décidément !!! Grâce à mon autre main, je libère un sein
prisonnier d'un soutien gorge tendu !! Quelle mamelle mes amis ! Une vraie
laiterie ambulante en puissance. Je saurai plus tard que Maryse a eu trois
maternités et qu'elle nourrissait jusqu'à l'age de un an sans problème.
une véritable production laitière !
A côté, Marie est de plus en plus dénudée, elle a la poitrine à l'air et
maintenant embrasse goulûment Olivier tandis que Rolland lui caresse
l'intérieur du fessier. Je commence à bander sérieusement. C'est une
situation presque orgiaque, le point de non retour semble atteint.. Maryse
s'en rend compte et d'une main discrète, trouve mon sexe qu'elle caresse à
travers le pantalon. Une vraie salope cette Maryse !!! Je bande vraiment!
Conscients que nous allons aller plus loin, c'est désormais un endroit
plus adapté qu'il nous convient. Le club dispose à l'étage de trois
espaces câlins réservés aux pratiques de l'amour. Je propose au petit
groupe de rejoindre l'une de ces pièces, tout le monde accepte sans se
faire prier. Nous récupérons des serviettes auprès des responsables du
club et faisons un détour par les vestiaires pour nous permettre d'y
déposer nos vêtements superflus et récupérer le matériel de protection
nécessaire à la pratique de l'amour partagé. Olivier, en passant a même
commandé une grande bouteille (1,5litres je crois) de blanquette de Limoux
de type brut. Ce club, en effet, de par les origines de son patron a banni
les mauvais champagnes au profit de cette blanquette qui donne
d'excellents résultats, notamment sur le plan aromatique. Cinq verres et
le fameux breuvage nous sont livrés sur une petite table basse dans cette
pièce baignée d'une lumière rouge et dont le sol est recouvert d'épais
matelas recouverts de draps aux couleurs bariolées. Ces draps sont changés
chaque jour contribuant ainsi à l'excellente réputation de ce petit club.
Au fond de cet espace, un fauteuil pour les voyeurs, une petite poubelle
et deux rouleaux de papier ménager.
Olivier, en seigneur ouvre la bouteille et sert prioritairement ces deux
dames, vient ensuite notre tour. Nous trinquons, l'ambiance est agréable,
propice à l'amour !
Marie n'a conservée que ses bas et son porte jarretelles, Maryse a
également des bas, et un petit bustier en lycra replié sur son ventre afin
d'en camoufler certaines proéminences. Les trois Messieurs, nous sommes
nus comme des asticots .
Le premier verre est rapidement absorbé, ces danses nous ayant assoiffés !
Une nouvelle tournée est servie, sans refus des uns et des autres. Je
remarque que Maryse n'est pas la dernière à tendre son verre, sa tendance
à prendre du poids est certainement liée à sa gourmandise pour les bonnes
choses. Marie, ayant constaté l'état d'érection manifeste de ses deux
cavaliers, et particulièrement celui d'Olivier lui propose une fellation à
la blanquette ! Il n'imaginait pas une telle entrée dans le sujet, mais ne
refuse surtout pas. Marie emplit sa bouche de ce breuvage et délicatement
se penche sur le sexe d'Olivier, l'introduit dans sa bouche délicatement
en ayant pris la précaution de ne rien perdre ou presque de ce précieux
breuvage. Manifestement Olivier apprécie !!!, ses propos quelque peu
incohérents en témoignent. Il faut avouer que marie est experte dans la
pratique de la fellation. Un de nos amis, Jean Claude, aujourd'hui âgé de
soixante et onze ans, qui a été notre première connaissance libertine il y
a vingt cinq ans déjà honorait Marie alors enceinte de notre fille. Il
vient encore parfois pour une bonne et longue fellation. Il sait s'y
prendre, le bougre, il apporte des bouquets de fleurs géants, Marie adore
les fleurs, et si, à la suite de cette fellation, il ne peut aller plus
loin, il utilise un vibrateur qui produit chez Marie une jouissance
garantie.
Rolland a une vision panoramique sur le postérieur de Marie agenouillée
entrain de pomper Olivier avec cadence et application. Il lui caresse donc
la croupe et lui masturbe le mont de vénus, ce qu'elle semble apprécier.
Pour ma part, la poitrine de Maryse me passionne de plus en plus, après
avoir caressé chaque téton, je me suis laissé entraîner à les sucer !
Maryse me propose un 69 en restant au dessous. Bien que correctement
enveloppée, elle sait écarter les cuisses et je comprends à sa façon
d'agir qu'elle n'est pas novice en amour. J'excite son clitoris et déjà
elle débute un mouvement cadencé avec son bassin. Ses caresses auprès de
mon sexe sont du meilleur effet. L'embonpoint de Maryse m'excite !!!
Nous en sommes là, depuis dix, douze, quinze minutes peut être ????
lorsqu'un bruit de primate emplit notre alcôve. Marie a eue raison de la
résistance d'Olivier, lequel vient de tout lui envoyer dans la bouche. La
pauvre se trouve brusquement en quête de serviette ou quelque chose de
semblable. En effet, marie accepte l'éjaculation en bouche depuis
longtemps mais n'avale rien par crainte de prendre du poids ! La semence
d'homme qui, à ses dires, est délicieuse au niveau gustatif, est par
contre très calorique. Rolland qui attend son tour lui tend un rouleau de
papier. Il est très excité par ce qu'il vient de voir, il s'équipe d'un
préservatif et enfile aussitôt Marie en levrette. Rapidement, elle ne
tarde pas à prendre le relais d'olivier dans ses propos incompréhensibles.
Je quitte cette position de 69 et propose à Maryse de lui faire découvrir
la pénétration par mon appendice mâle, elle accepte et pour me le prouver
s'agrippe à moi, nous nous lançons dans un bouche à bouche passionnel. Je
fais part à Maryse des performances apparentes de son mari, capable de
faire aussi rapidement monter vers des sommets sa partenaire. Elle m'avoue
alors que Rolland, en plus du préservatif a enfilé sur son sexe un anneau
vibrant qui augmente paraît il de façon significative les extases de
Marie. J'avais entendu parler de ce type d'accessoire mais ne l'ai jamais
utilisé. C'est à priori quelque chose à prévoir, Marie me le confirmera
plus tard.
Olivier sort progressivement de sa phase d'évasion fellatrice. J'équipe
mon sexe à mon tour d'un capuchon et attaque l'ascension, dans la position
du missionnaire, de Maryse qui s'est mise en position de réception.
Je pénètre Maryse qui a les jambes repliées, les cuisses parfaitement
écartées. La sensation m'est agréable, Maryse participe de façon active,
cadence mes allers et retours. Elle ne tarde pas à son tour à émettre
quelques sons bizarres, cela me motive, dans ces cas je sais faire durer
la partie. Franchement les deux gros seins tendus avec les pointes
irritées me fascinent. J'ai envie de toucher, de sucer, de téter. ! ces
seins tremblent parfois. Ils sont gros mais fermes, ils sont beaux.
Bien que concentré sur Maryse de plus en plus bruyante dans ses propos, je
capte à côté de nous des sons orgiaques en provenance de Marie, de
Rolland, tous deux encouragés par Olivier qui leur lance des qualificatifs
à la fois osés et cochons. Maryse a la respiration qui s'accélère,
manifestement, elle apprécie la partie ! Je tiens bon. J'en suis là dans
mon constat lorsque Maryse resserre ses cuisses autour de mon sexe et dans
un rugissement bestial part dans une jouissance incontrôlée. Je sais que
dans ces cas, il ne faut surtout pas arrêter, et loin de rester en
contemplation, je poursuis mes va et vient ! Maryse ne tarde pas à
extérioriser un second orgasme, puis un troisième presque aussitôt après.
La pauvre chérie, elle dégouline de transpiration, ne sait plus trop où
elle se trouve. Je décide d'arrêter là mes assauts et embrasse Maryse pour
la remercier du plaisir procuré et la faire également revenir à la raison.
A priori, à côté de nous, Marie a pris son pied elle aussi de même que
Rolland affalé sur le matelas, son sexe ayant perdu de sa superbe, de son
ampleur et de sa raideur. Olivier a eu le temps de reprendre ses esprits.
Il propose une seconde tournée de clairette jugée la bienvenue par tout le
monde. La bouteille est vidée !!! Nous prenons le temps de récupérer un
peu. Maryse s'est réfugiée auprès de moi tandis que Marie, la vulve à
l'air, est assise entre les jambes d'Olivier, lequel, malgré cet entracte
lui caresse les seins manifestement satisfaits de cette attention.
Marie nous avoue que l'anneau vibrant de Rolland a été pour elle une
réelle découverte et ne tarit pas d'éloges sur ce nouvel instrument.
Maryse nous fait comprendre que son mari est un passionné de femmes et
qu'à cet effet, il est toujours à la recherche de nouveaux gadgets pour
les satisfaire. Elle nous avoue avoir laissé son premier mari après avoir
eue un coup de foudre pour Rolland il y a déjà 25 ans, relation de
laquelle elle en a récupérée une fille arrivée avant leur mariage. Elle
nous précise avoir, malgré ses 57 ans autant d'envies à faire l'amour
qu'au début, entre nous, j'en sais quelque chose !! Maryse nous confie
aussi qu'avec Rolland, ils organisent ou participent régulièrement à des
soirées échangistes avec autant de passions qu'au premier jour. Rolland
souligne également le côté exhibition de Maryse qui sait, selon lui, et
malgré son age, provoquer les hommes par des tenues vestimentaires osées
ou des poses suggestives.
Rolland paraît effectivement être un sacré séducteur, un coureur de jupons
!!! Il s'approche de Marie, toujours entre les jambes d'Olivier et lui
prodigue de nouvelles caresses. Marie se laisse faire, elle n'a
manifestement pas épuisé sa réserve d'amour. Ses deux chevaliers
entreprennent à nouveau ma Marie qui semble trouver son vrai plaisir. De
cette nouvelle partie de jambes en l'air, elle en récupèrera une double
pénétration. Elle est allongée sur Olivier qui a retrouvé suffisamment de
vigueur pour la pénétrer tandis que Rolland a eu suffisamment de tact et
de patience pour préparer Marie à une sodomie délicate et complète de sa
part. J'en suis pour ma part, le premier surpris car Marie n'est pas une
grande fervente de la sodomie et refuse très souvent ce type de rapport
par manque de vraie préparation reprochant à ses cavaliers du moment le
coté bestial et trop rapide de cet acte. J'avoue que je ne pratique pas la
sodomie avec Marie mais que je ne vois aucun inconvénient à ce qu'elle,
selon ses propres expressions, se fasse enculer par d'autres dans la
mesure où un consensus entre eux existe à ce niveau. Tous les trois ont
retrouvé du plaisir semble-t'il si j'en juge aux rugissements et propos
incompréhensibles qui sortent de ces trois êtres emmêlés.
De notre côté, Maryse est toujours avec moi, ses lolos imposants me
fascinent toujours autant. Je les palpe à nouveau, les suce, les tétons
durcissent. Maryse me propose alors une masturbation complète à
l'espagnole, ce sont ses propos, avec ses seins. Cette proposition me
séduit. Je m'allonge, elle vient au dessus de moi excite d'abord mon sexe
avec ses mains, puis sa bouche, c'est entre nous délicieux ! et enfin
place ma verge tendue entre ses seins et amorce un va et vient . La
situation est féerique dans cette ambiance tamisée. J'ai les deux lolos de
Maryse en permanence sous les yeux . Je l'attire vers moi de temps à autre
pour un échange buccal et en profite pour palper ces deux ballons gonflés
à merveille. J'en perds un peu les pédales, je l'avoue. Toujours est il
qu'au bout d'un long moment, j'envoie ma semence sur la poitrine de Maryse
qui maintient sa position sur moi quelques instants. Je l'embrasse à
nouveau, elle se relève et me fait remarquer qu'avec ses mains elle
badigeonne
la totalité de sa poitrine ainsi que son buste de ce liquide visqueux aux
grandes qualités nutritionnelles de l'épiderme. Je ne la contredis surtout
pas.
A nos cotés, Marie et ses deux cavaliers en ont terminé de leur partouze.
Chacun reprend ses esprits, nous filons sous la douche, un groupe de
danseurs et danseuses est sur la piste. Il est déjà 23heures 45'. A
minuit, nous fêtons l'an neuf complètement nus! ou très, très peu vêtus
pour ces dames notamment.
Nous recommençons à danser. Olivier qui a invité Marie, l'embrasse et lui
fait discrètement promettre un rendez vous intime, nous échangeons nos
coordonnés. Maryse est là devant moi, à la lumière naturelle je la
contemple puis l'embrasse. C'est au fond une sacrée plante !!
Nous quittons ce club à trois heures ce Mardi premier Janvier, nous
regagnons avec Marie notre voiture et rentrons chez nous à 30 Km. de là.
Nous échangeons des propos sur l'intensité des plaisirs éprouvés au cours
de cette soirée de baise, c'était extraordinairement agréable. Puis les
propos de Marie deviennent discrets, je me tourne pour la regarder, elle
est entrain de sombrer dans un sommeil réparateur de tant d'efforts. Nous
retrouverons ce couple, j'en suis convaincu !!!
Chris.
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