TITRE : Sacrée Célia
Catégorie : Histoire Extra conjugale

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Romain, cadre dans une société informatique, est en déplacement pour quinze jours. Il est âgé de trente-neuf ans. Il est marié avec Célia, jolie blonde de trente-quatre ans. Ils ont un fils, Didier, âgé de seize ans. Son mari n'étant pas là, Célia occupe son temps à faire du rangement, mais surtout passe des après-midi coquines avec son jeune voisin César, très beau métis de dix-sept ans, copain de son fils. Elle est allongée sur le lit. César est à genoux, dos à elle. Elle a passé une main autour de sa taille et lui caresse la queue. César pousse des petits râles de plaisir.

- Tu te régales, dit Célia. Tu sens ce que je fais avec mon pouce sur ton gland tout décalotté.

Elle le prend par le cou de l'autre main et le force à se pencher sur elle, en arrière.

- Voila, comme ça je pourrai te caresser les couilles aussi. Tu es pas mal monté pour ton âge, tu sais. J'aimerais bien savoir si mon fils en a autant. J'espère que j'aurai l'occasion de les comparer toutes les deux.

Tout en faisant rouler les jeunes testicules entre ses doigts, Célia entame une lente masturbation. Le gamin commence à gémir. D'autant plus que dans cette position, il est tendu au maximum.

- Madame, si vous saviez comme je suis bien, que c'est bon ce que vous me faites.

- Et moi, soupire Célia, à force de te tripoter, ma chatte est toute mouillée. Elle a besoin d'un bon coup de queue la salope. Prend-moi, s'il te plaît.

- Comme vous aimez, madame, en levrette c'est ça ?

- Salaud, tu sais ce que j'aime, toi. Tu vas encore me faire gueuler, hein ? Tant pis, mon minou a besoin d'être calmé.

Les deux corps pivotent et se mettent en position. Célia cambre ses reins pour mieux offrir sa croupe à son jeune amant.

- Vas-y, met-la moi, supplie-t-elle.

Le jeune métis s'avance et pénètre la chatte de Célia. Elle pousse un cri de plaisir. Elle se cambre davantage et parvient à passer ses bras en arrière, autour de la nuque de César. Là, elle est totalement offerte. Ses petits seins pointus sont tendus au maximum. Ses bouts ont doublé de volume. César ne se prive pas pour les caresser. Il arrache des cris à Célia quand il lui pince les bouts.

- Ha... ha..., gémit-elle, et mon petit clitoris, je t'ai appris comment le dompter. Il faut bien le décalotter et bien le gratter. Voilaaa... comme çaaaa... hou... hou... Sale black, tu me fais jouir, salaud. Viens toi aussi, vide-toi les couilles dans ma petite chatte, régale-toi.

Effectivement, César éjacule dans un cri de bête. Des jets interminables, puissants.

- Putain, dit Célia, à ce régime, tu vas toutes les remplir.

Le couple s'embrasse violemment et César prend congé. Célia se rend à la salle de bains.


"Merde, mais il est dix-sept heures, s'affole-t-elle. Je dois récupérer mon fils au lycée."

Elle enfile une petite jupette et un bustier. Au moment d'enfourcher son scooter, elle s'aperçoit qu'elle n'a pas mis de string. Elle décide d'emprunter les petites routes moins fréquentées. Arrivée au lycée, Didier l'attend en compagnie de Noémie, la mère de César, prof de gym de Didier. Elle s'arrête et, gênée, tire sur la jupette pour cacher son entre-jambes. Mais Noémie a bien vu la petite fente de la blanche, garnie d'un léger duvet blond. Un petit sourire éclaire son visage.

- Alors maman, qu'est-ce-que tu faisais ? Heureusement qu'il y avait Noémie.

- Excuse-moi, se confond Célia, des travaux sur la route.

- C'est pas grave, je suis pas à dix minutes près. Au fait, vous pouvez venir à la maison un de ces jours ? Je dois sortir le dossier de votre fils à l'ordinateur, répond Noémie avec un sourire vicieux. On prendra le thé. Les enfants seront en colonie.

- Mais avec plaisir, madame. Disons lundi, ok ?


Didier s'impatiente. Il lui tarde de rentrer.

- Maman, on peut passer par les chemins forestiers ?

- Comme tu veux mon chéri. C'est plus court.

Didier prend sa mère par la taille. Même si elle ne roule pas vite, la jupette a tendance à se relever. Didier la plaque entre les cuisses. Célia fait une légère embardée. Il semble remarquer que sa mère n'a rien dessous. Il veut en avoir le coeur net. Il glisse deux doigts entre les cuisses et arrive au contact de la fente. Il caresse les lèvres humides et remonte vers le clitoris, qu'il décalotte. Il le taquine en faisant tourner son majeur. C'est la caresse préférée de Célia. Elle sent une agréable chaleur envahir son ventre. La jouissance est proche. Elle préfère se garer. Elle se cambre en arrière pour mieux s'offrir aux caresses de son fils. L'autre main a saisi les seins. Il fait rouler les bouts durcis par le désir, du bout de ses doigts.

- Qui... mais qui t'a appris à caresser comme ça, mon trésor ?

- Ah, répond-il narquois, j'ai un bon professeur dans ce domaine.

- Vas-y mon chéri, ton doigt, bien sur le petit bouton de ta maman. Que c'est bon mon dieu. Oui... oui... regarde ma petite chatte comme elle coule. Tu me fais crier salaud, comme ton co...

- Quoi ? Mon copain, c'est ça que tu allais dire, n'est-ce pas maman ?

- C'était un accident, répond-elle, ça n'arrivera plus.

- Il t'a caressée lui aussi, ce salaud ?

- Plus que ça mon chéri, il a donné un bon coup de queue à la petite chatte de ta maman. Ne m'en veut pas, s'il-te-plaît. Allez, pour me faire pardonner, c'est toi qui va conduire. Tu veux ?

À peine en place, Célia prend son fils par la taille. Dans la minute qui suit, ses attributs sont exposés aux quatre vents. Elle soupèse les couilles, comme si elle voulait les comparer à celles de César. Puis elle remonte sur la queue en érection et fait coulisser le prépuce pour libérer le gland. Elle lui décalotte entièrement la queue. Il met sa main sur celle de sa mère pour lui faire comprendre qu'il aimerait lui aussi une petite gâterie. Elle commence à faire des va-et-vient sur la bite de son fils. C'est maintenant lui qui se gare.

- Oh maman...

Célia colle sa bouche à l'oreille de Didier.

- Tu aimes, mon trésor, murmure-t-elle. C'est bon de se faire taper une petite branlette par sa maman. Regarde comme j'ai bien décalotté ton petit oiseau, comme je vais le faire pleurer. Vas-y mon chéri, lâche toi.

- Je viens maman, oui... ha... putain que c'est bon. Comme tu me fais gicler. Il crache comme ça, César ?

- On en discutera sous la douche si tu veux, d'accord ? Maman te taillera une bonne pipe. Tu verras comme c'est bon. Ton copain se régale quand je lui en taille une. Et toi, tu feras comme lui, tu gratteras bien mon clitoris, et comme lui, tu rentreras tes doigts dans la petite chatte toute mouillée de maman et tu la branleras. Après, on ira au lit. Le programme te plaît mon chéri ?

- Oh oui maman, comme je t'aime. Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux.

Mais Didier est jeune. Il ne tient pas la distance devant l'appétit féroce de sa mère.

- Tu veux qu'on appelle César, mon chéri ? Tu verras comme il s'amuse avec la chatte de ta maman.

- Oh oui maman, il faut bien qu'on soit deux pour te satisfaire.



Frankie



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