Tu me regardais avec cet amour plein les yeux,
ces étoiles qui brillent rien que pour moi. Je savais qu'un
jour tout finirai ici, tu as finit par céder, faible chose,
petite chose que ce soir je vais prendre. Tu ne cesses de
dire que tu m'aimes, que tu es prête, que tu t'es réservée
pour moi. Ceci ne sont que des mots, qui je dois dire attisent
mon désir, lentement je t'accompagne vers ce lit, tu as
loué la chambre, toi qui ne disais n'avoir jamais eu ce
genre d'envie. Et pourtant la réservation est à ton nom,
pourtant c'est toi qui as proposée de venir nous détendre
ici.
Tu t'assois enfin écartant légèrement les jambes, pour que
je puisse voir, cette culotte que je vais retirer avec tant
de désir. Je reste debout, sentant mon désir monter de plus
en plus, tu me demandes de venir plus près de toi. Je suis
étonnée que tu prennes tant d'initiative, tu attends ça
depuis tellement longtemps?
Je me rapproche et cette odeur sucrée envahit mon corps,
pourrais je te donner ce que tu attend. Je passe alors lentement
ma main sur ta cuisse, cette jupe est bien courte, encore
une façon de me faire succomber? Lentement je remonte ma
main le long de ta cuisse, je passe ma main sur ta culotte,
dis moi elle est bien trempée? Je frotte ma main contre
cette endroit mouillée et déjà tu frémis, tu me supplies,
de te prendre, mais j'ai a peine commencée.
Je t'allonge alors sur le lit, ce soir je devrais assurée
comme jamais. Je retire lentement cette culotte qui me gène,
je veux te toucher plus profondément, mais c'est trempée,
ma langue je veux sentir ma langue laper cette mouille,
lentement ma langue rentre en contact, j'inspire fort ton
odeur, tu te tord, as tu honte de l'odeur que tu dégage,
moi elle m'excite comme jamais. Je lape comme un chien,
comme une chienne, ce liquide, tu n'en peux plus tu me supplies
d'arrêter et pourtant tes mains bloquent ma tête entre tes
jambes. Tu en veux donc encore plus, je sais ce que tu veux
mieux que qui compte, mon doigt s'approche alors de ton
sexe humide, je le contourne lentement, hésitante, quel
trou pourrais je boucher en premier, ma langue titille toujours
ce bouton de chair qui te fais hurler, tu veux me sentir
au fond?
Mais dans quel fond, mon doigt entre délicatement entre
tes lèvres, tu le sens? Tes gémissements me le prouvent,
mon doigt va et viens, tu veux encore plus?
Un deuxième entre dans ton corps, j'accélèrent mes mouvement,
combien de temps vas tu tenir? Combien de temps vais je
tenir, je sens déjà ma culotte s'inonder. Je veux te sentir
aussi en moi, mais je dois d'abord t'apprendre.
Ma langue commence à s'engourdir, ma mâchoire me fait mal,
mes doigts tremblent, cela fait des heures que je te lèche
comme une chienne, cela fait des heures j'ai bien l'impression
que tu jouis sans moi. J'aimerai me coller nue contre toi,
que toi aussi tu me fasses jouir, que tu me prends, mais
tu me supplies de ne pas m'arrêter, et je suis ton esclave.
Tu me demande de jouir avec toi, mes comment pourrai je?
Il me faut plus, de ma main libre je me touche, mes tétons
son en feu, il faudrait quelque chose pour les refroidir.
"Prend mes seins dans ta bouche" ce n'était pas une propositions,
mais un ordre, et toi petite cochonne ça t'as encore plus
excité et tu a exécuter mon ordre, tu a enlever mon t-shirt,
dégrafer mon soutien gorge, tu continuer de trembler, même
si ma langue n'aspirai plus ton clito, mes doigts continuer
de bouger en toi. Tu a poser tes lèvres sur un sein, prenant
l'autre dans ta main, tu as relevée la tête les joues rouges,
les plaisirs? La honte? Tu éprouver tout ça a la fois. Toi
la soit disante pour hétéro, tu me demande de t'apprendre
a me donner du plaisir, tu me demande de te donner des ordres.
J'ai ris à ce moment, je crois que si tu n'avais pas reculé,
rouge de honte j'aurai jouis sans rien te faire faire.
Tu as cachée ton corps avec tes mains, tu revenais a la
réalité, toi jeune fille de bonne famille, tu supplier une
inconnue de te faire jouir, mais crois tu qu'après ça je
t'aurai laisser partir. J'ai enlever mon bagguy, enlever
mon string, tu pouvais voir ma fleur trempée, j'ai écarter
lentement tes jambes, tu me disaient d'arrêter, pourtant
tes jambes s'ouvraient sans que je force. J'ai enlever ton
débardeur, tu n'avais pas mit de soutif, j'ai pris un des
tes seins dans ma main, je l'ai guidé vers ma bouche"fais
comme moi", j'ai pincer le téton entre mes lèvres, je les
lécher, mordiller, tes gémissement ne m'aider pas a me contrôler,
j'avais vraiment envie de te bouffer. Et tu me supplier
de continuer "alors fais quelque chose pour moi".
Cette phrase ta surprise, tu croyais vraiment que j'allais
te laisser prendre seule ton pied, et te regarder jouir
et partir? J'ai guidé ta main vers mon antre, tu as voulu
la retirer? Tu as voulu l'enlever? Mais ma main tenait fermement
la tienne, je t'ai forcer a rentrer un doigts, puis un deuxième,
te guidant, lorsque tu m'as entendu gémir, tu t\es débrouiller
seule, tu as commencé a aimé me toucher? Je t'ai allonger
sur le lit, je me suis mise au dessus de toi, te rend tu
compte que nous nous étions pas encore embrasser. Mes lèvres
se sont approcher des tiennes, tu a sortit ta langue, voulez
tu recueillir ta mouille qui restait sur mes lèves? Ou voulait
tu connaître le goût de ma bouche? Mais je ne t'ai pas laissé
m'embrasser? Pour ça il aurait fallu que je t'aime.
J'ai encore écarter tes jambes, tu te laisser bien faire,
tu te demander quel genre de chose je pouvais encore te
faire, moi même je ne savais plus trop quoi faire, j'attendais
de trouver l'inspiration, en regardant ton bassin aller
et venir, suivant le rythme de mes doigts. Je regarder ta
chatte mouiller, et j'enfonçais mes doigts plus profondément,
quelle belle image, quel magnifique spectacle, j'en ai mis
un troisième, tu as serré mon sein trop fort, du sang coulé
entre tes jambes, j'avais enfin ta virginité. Je voulu arrêter,
je penser que tu avais mal, mais la douleur t'exciter encore
plus? Tu à enfoncer mes doigts encore plus profondément
dans ton sexe, criant que je ne devais plus m'arrêter, c'était
toi qui me donner des ordres maintenant?
Mais j'ai arrêter, ton sang souiller mes doigts, j'ai pris
ta main et l'ai posé sur ton sexe encore rouge de sang,
il fallait que j'enlève se sang, si je voulais a nouveau
te laper, comme tu voulais, tu a pris les draps et tu t'es
essuyé, suppliant que je te lèche encore. Mais moi j'avais
une autre idée, j'ai collé mon sexe trempé contre le tien,
ça t'a surpris? Mais tu as encore plus gémit, ce contact
était nouveau? Il te troublait? Nos mouvement de va et vient
était en parfaite accord, comme si tu t'était entraîner
des heures a vouloir me faire jouir. Quel sensation éprouvais
tu? Tu as creuser mon dos avec tes ongles, criant, tu ne
supporter plus le plaisir que je t'apporter, mais moi je
continuais, j'aimais entendre tes cris, que tu supplie bien.
"Je vais venir, viens avec moi" enfin j'allais être libre
de me laisser venir, tu m'auras vraiment fatiguée, tu t'es
agité comme jamais, serrant mon seins d'une main et labourant
mon dos avec l'autre. Moi je levait ta jambes pour que tu
me sente bien, bientôt j'allais craquer, je me sentait devenir
brûlante, as tu sentit ça aussi? J'en pouvais plus et toi
tu hurler que tu venais, mais mes muscles allaient lâché,
et la j'ai sentit comme une inondation au niveau de mon
bas ventre, tu avais mouiller comme jamais personne ne l'avait
fait.
Enfin j'ai hurler moi aussi et je me suis laisser tomber,
sur ton corps nue.
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