Je m'entends très bien avec Sandra, ma femme. Mais, je
suis cinq jours par semaine sur la route, alors, même si
elle vient me faire la fête quand je rentre, le reste du
temps la vie continue comme on dit . Surtout, que côté sexe,
ce n'est pas pour me vanter mais j'ai, je pense, des appétits
plus grands que la moyenne. Et , comme le dit souvent ma
femme :
" Toi, tu es comme ton camion, pour bien faire, il faut
te décharger tous les jours ".
Mais sur la route, je ne suis pas malheureux. Les routiers
arrivent toujours à trouver leur bonheur, du moins les plus
malins.
Moi, si mes collègues me surnomment, " Taureau Futé ",
ce n'est pas seulement parce que je suis du signe du taureau,
si vous voyez ce que je veux dire !
Auprès des femmes, les routiers ont davantage la cote qu'on
ne le pense.
Tenez, pas plus tard que la semaine dernière, il m'est
arrivé une histoire pas triste.
Il était 23 heures lorsque j'ai garé mon "bahut ", sur
le parking d'un " routier " au nord d'Aix-en-Provence.
Comme d'habitude, j'ai croqué un bout en salle, puis je
me suis levé pour prendre mon café au comptoir. A côté de
moi, il y avait un couple de 30-35 ans, chacun un verre
de whisky à la main.
Franchement, je me demandais ce qu'ils faisaient là ! Lui,
avec son costume gris et ses petites lunettes, donnait plus
l'impression d'être expert-comptable que de " barouder"
au volant d'un 18 tonnes. Sa femme avait un côté apprêtée,
style secrétaire de direction. Elle portait des chaussures
à talons hauts et une petite robe noire, très courte, qui
ne cachait rien de ses formes.
Quand elle se tournait vers moi, je n'avais aucune peine
à distinguer le haut de ses cuisses et même sa petite culotte.
J'avais la nette impression qu'ils m'observaient et parlaient
de moi à voix basse.
Le type m'a alors demandé si j'avais du feu , puis il m'a
dit qu'il aurait besoin de consulter une carte routière.
Comme je l'avais laissée dans ma cabine, il m'a dit :
"Je vous offre un verre et on vous accompagnera sur le
parking. Sandra, meurt d"envie de voir à quoi ressemble
la cabine d"un poids lourd ".
Elle s'appelait Sandra, comme ma femme, signe du destin
...
Ma bière terminée, on se dirige tous les trois, vers mon
Renault Magnum. Je tends la carte routière au type qui s'appelait
Brice et j'aide sa femme à monter dans la cabine. Elle est
restée un moment à la place du conducteur, puis elle m'a
demandé où je dormais. J'ai ouvert le rideau et elle s'est
allongée sur la couchette " juste pour voir si c'était confortable
", a-t-elle dit. Elle s'étirait et écartait les jambes,
sans se soucier le moins du monde du spectacle impudique
qu'elle m'offrait.
Par la vitre, je voyais son mari, une torche à la main,
qui était penché sur la carte routière entièrement dépliée.
Soudain j'ai senti une main qui courait sur le haut de ma
jambe.
" Ma première fois, cétait avec un routier. C"était....délicieux
! ", m'a glissé Sandra en plaquant la paume de sa main sur
mon sexe. J'ai bandé très dur d'un coup. A genoux, elle
m'a alors " débraguetté ", elle a pris mon sexe dans sa
bouche. Ses lèvres allaient et venaient du haut vers le
bas, s'attardant sur mon gland , ses doigts caressaient
mes bourses.
" Attends, ton mari... ", lui ai-je dit .
" Détends-toi, c"est une idée à lui " me répond la femme
toute excitée.
Tranquillisé, j'ai mis une main entre ses cuisses, écarté
sa petite culotte. Son sexe était trempé. Elle continuait
à me sucer, s'attardant surtout sur mon gland gonflé. Je
me suis retiré de l'entrave de ses lèvres, pour ne pas jouir.
J'avais une folle envie de la prendre, là, tout de suite.
Alors je me suis mis à genoux, et j'ai levé ses jambes.
" Attends, me dit-elle , et mon mari, tu y penses ? ".
Elle a rajusté sa robe et m'a entraîné à l'extérieur du
camion. J'étais aussi déçu que surpris. J'avais un mal fou
à remballer ma queue dans mon jean. En fait, le mari nous
observait, l'oeil collé contre la vitre. J'ai ouvert la
portière, je l'ai découvert en train de se branler, le pantalon
tombant sur les genoux.
C'était plus fort que moi, j'ai dit à sa femme de se pencher
en avant en prenant appui sur l'aile du camion. J''ai relevé
sa robe et enfoncé mon membre dans son intimité trempée.
Brice s'astiquait fébrilement en nous regardant.
Il tournait autour de nous, lui caressait les seins et
lui lançait :
"Ca te plaît que je te regarde en train de te faire bourrer,
hein ma p'tite salope ! Ne jouis pas tout de suite, c'est
moi qui te dirai quand tu auras le droit de prendre ton
pied ! "
Nous étions seuls sur le parking, mais j'entendais les
clameurs qui s'échappaient du restaurant qui n'était distant
que d'une vingtaine de mètres.
J'avais chaud, je donnais des coups de reins de plus en
plus vigoureux. Le mari introduit alors un doigt humecté
de salive dans l'anus de sa femme. Elle lâcha un petit cri,
et accentua sa cambrure.
Brice me dit alors, sur un ton qui ne supportait aucune
contradiction :
« Maintenant, je veux que tu l'encules ! ».
« Attends, t'as vu le gourdin que j'ai..j'ai peur de lui
faire mal » ai-je répondu.
« Fais ce que te dit mon mari », m'a lancé Sandra.
Je m'exécutai aussitôt. J'ai changé de capote et, enfilai
doucement mon gland dans son étroit conduit anal. Je faisais
mon chemin. Elle émettait de petits cris rauques de plus
en plus sonores. J' accentuais mes coups de boutoir. Là,
elle hurlait carrément. Brice ne se branlait plus, sa femme
le suçait à présent. D'une voix asphyxiée, il lui a dit
:
« Là, maintenant, jouis..Vas-y ! »
Puis, il s'est retiré pour asperger d'un abondant jet de
semence, le visage de Sandra qui a joui, sans retenue. Je
me suis empressé de retirer ma queue de son cul pour gicler
sur ses reins.
Tout en se rhabillant, ils m'ont remercié, en disant qu'ils
avaient été heureux de faire ma connaissance.
En démarrant mon camion, je les observais.
Ils s'embrassaient en rentrant dans le restaurant...
Peut-être, une autre cabine à visiter ...
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