TITRE : Rousse Nymphe
Catégorie : 
Plaisir Solitaire

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Cécile est une petite jeune femme, rousse et fluette, que j'avais recrutée il y a quelques années de cela. De petites taches de rousseur sur son joli minois, des cheveux mi-longs retenus en queue de cheval, une taille fine, des jambes de gazelle, des doigts fins, une bouche légèrement pulpeuse, des yeux verts, une voix de petite fille, telle était Cécile, jeune femme de 25 ans et déjà maman.

Nous avons travaillé ensemble durant trois longues années, avant qu'elle ne quitte mon service pour un poste de Direction. Notre collaboration fut toujours très chaleureuse. D'ailleurs, nous nous revoyons encore, lors de séminaires à travers la France.

Ce petit bout de femme, vous l'aurez remarqué, ne me laissa nullement indifférent. Je prenais un réel plaisir, quotidiennement, à travailler avec une secrétaire comme Cécile.

Je l'observais souvent lorsqu'elle frappait du courrier sur son PC. Ses doigts virevoltaient sur le clavier, sa bouche souriait ou boudait suivant son humeur, elle croisait ou décroisait ses jambes. Cécile s'habillait généralement avec des tenues moulantes qui mettaient en valeur son corps de nymphette. Sa chevelure rousse s'accordait parfaitement avec tous les tons de ses vêtements.

Il y eut entre nous une complicité, une qualité d'échanges, un respect d'autrui, une chaleur, une gentillesse, que jamais je n'ai retrouvé chez aucune autre assistante.

Souvent, nous déjeunions ensemble, à midi. Nous devisions sur l'équipe et sur l'organisation du travail. Elle me confiait ses doutes, ses questions, et nous échangions ainsi pendant deux bonnes heures. De fil en aiguille, chacun lâchait par-ci par-là une pensée intime, mais jamais à connotation sexuelle - encore moins érotique. En somme, nous étions comme de vieux amis dans une tendre complicité. Cependant, lors de ces déjeuners, nous nous regardions souvent les yeux dans les yeux en discutant, en nous souriant. Je regardais Cécile avec une telle tendresse qu'elle pouvait s'apparenter à du désir ou à de l'amour. Elle aussi me pénétrait avec ses yeux verts étincelants. Nous nous sommes souvent livrés à des confidences sur le lien qui nous unissait. J'ai également décrypté les oeillades que me lançaient Cécile comme des appels du pied, mais jamais elle n'enclencha une ébauche de drague à mon égard.

Peut-être aurais-je dû franchir le cap ? Je n'en sais rien. Toujours est-il que notre relation platonique fut très forte.

- Je t'aime tel que tu es, continue à conserver ton humanité.


Voilà ce qu'elle ne cessait de me dire lors de ces intimes moments.

- Je t'aime aussi Cécile, tu es ma secrétaire préférée, je souhaite que tu sois heureuse, lui répétais-je à mon tour.

Avec du recul, cela semble bien fleur bleue, me direz-vous. Vous avez certainement raison sur la forme, mais mon âme sait, elle, ce que je ressens encore maintenant pour Cécile.

A chacune de nos retrouvailles, le même élan de tendresse, de désir, d'amour, nous envahit. La communion de nos esprits se réalise instantanément. Cela correspond à des orgasmes psychiques, je pense.

Comme nous travaillions ensemble, Cécile se rendit compte, au fil du temps, qu'elle ne me laissait pas indifférent, de par son charme et son comportement professionnel. N'allez pas croire que je favorisais les belles jeunes femmes! Non, je me suis toujours refusé à me laisser aller à ce genre de sentiment! Certes, il est toujours plus agréable de réaliser des tâches ardues en compagnie de nymphettes, surtout si leur physique engendre l'imagination, chose qui se produisait avec Cécile.

Un jour, excédé par un bug ou une panne dans un programme informatique, je me ruai hors de mon bureau et demandai prestement à mon assistante de venir m'aider. J'avais une mine renfrognée, j'étais de mauvaise humeur. Cécile me rejoignit dans mon bureau, en me présentant son plus beau sourire. Ses yeux verts gentiment moqueurs me calmèrent un peu. Je lui expliquai ce qui n'allait pas et, d'autorité, ma nymphette prit un fauteuil et s'installa à coté de moi. Céline portait une mini-jupe noire, des bas couleur chair, un pull over noir en cachemire. Elle était assise très près de moi, sa cuisse droite frôlait la mienne. Elle se pencha pour attraper la souris du PC et ses soyeux cheveux roux caressèrent mon visage. Je respirai son parfum de violette. Je me décalai de quelques centimètres. Cécile me dévisagea et me lança de sa voix de fillette :

- Je ne vais pas te croquer, tu sais!

Elle continua à pianoter sur le clavier. J'admirai ses fins doigts danser sur les touches en réprimant une érection inopportune.

J'avais envie de l'embrasser, de la caresser, mais je chassai ces idées de mon esprit.

Je laissais Cécile faire pendant tout le temps que prirent ses manipulations. Ensuite, elle m'expliqua posément comment pallier à tout nouveau souci, si, d'aventure, ce bug se reproduisait. Je buvais ses paroles une à une, en priant le ciel pour qu'elle ne baisse pas les yeux vers mon entrejambe.

Ensuite elle se leva et me dit, au creux de l'oreille :

- Tu sais, l'ordi, c'est comme une femme, il faut être patient.

Elle sourit et retourna à son poste.

J'ai mis plusieurs instants à atterrir, à décrypter son message. Je me dis que je me faisais des idées, mais mes pensées allaient sans cesse vers ma secrétaire rousse et quelque peu coquine.

Le soir venu, elle s'enquit de ma personne, pour savoir si je me portais bien et, d'un sourire à damner un saint, elle me souhaita une bonne soirée. Je l'ai regardée partir en admirant ses fesses d'adolescente que moulaient à merveille sa jupe. Elle se retourna vers moi en attrapant son manteau et réitéra son sourire, suivi d'un :

- Je t'embrasse, mon boss préféré!

Je me retrouvai seul, dans ce bureau immense, vide de tous mes collaborateurs.

Après quelques minutes d'intense réflexion, je m'aperçus que Cécile avait oublié son écharpe noire. Je m'en saisis, la portai à mon visage, et j'en respirai l'odeur. J'étais sublimé par ce morceau de laine, excité également, car le parfum qui s'en dégageait me rappela l'épisode de la journée. Immédiatement, je fus pris d'un désir frénétique, d'une envie de posséder physiquement mon assistante chérie.

Je me ruai aux toilettes pour débuter une masturbation phénoménale en compagnie de l'écharpe de Cécile. Je laissai mon pantalon se tirebouchonner à mes pieds, baissai mon slip et, de la main droite, j'empoignai ma hampe. De la main gauche je me frottai le visage avec l'écharpe de Cécile. J'imaginais la main de ma secrétaire qui allait et venait sur moi, je pensais à sa rousse chevelure et à sa fine toison, cachant un fruit d'amour que j'avais envie d'embrasser. Je ressentais des sensations extraordinaires, une puissance inouïe, ma verge était raide et dure comme du teck. Mon gland violacé réclamait la bouche de Cécile. Au bord du précipice du plaisir où je me portais, je sentais mes jambes trembler, mon ventre se crisper, ma sève bouillonner dans mes bourses. Je tenais toujours de la main gauche l'écharpe de Cécile, mais je ne pouvais décemment pas éjaculer sur elle, cela est contraire à la bienséance.

L'interruption provoquée par cette constatation fit chuter ma tension sexuelle et m'évita de tomber dans le puits orgasmique. J'accrochai l'écharpe à la patère de la porte. Ma hampe tressautait devant moi, je devais avoir l'air d'un incube. Il était hors de question pour moi de me laisser dans un tel état, alors je repris mes caresses, en ayant pris la précaution de conserver un mouchoir en papier à proximité. Je voulais jouir de chaque instant, c'est le cas de le dire, alors je ralentissais les mouvements de ma main dès que je m'approchais du point de rupture. J'admirais mon érection, elle me semblait plus importante que de coutume. Ma hampe était si sensible que je me caressais légèrement avec deux doigts. Je voyais le liquide annonciateur du plaisir perler au bout du gland, mais je voulais encore prendre mon temps. Je transpirais abondamment, des gouttes de sueur tombèrent sur mes chaussures vernies et sur mon pantalon tirebouchonné. J'étais toujours debout, adossé à la paroi des toilettes, me masturbant en pensant à Cécile.

J'étais à bout, je ne pouvais plus retenir la lave en fusion qui réclamait sa liberté éjaculatoire. Un spasme, un cri, un éblouissement. Enfin, la liberté tant attendue! Je me déversai longtemps, en gémissant et en criant "Céciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiile !!!!!!!" Je dus me retenir à la poignée de la porte pour ne pas chuter, tant le plaisir était pharaonique.

Je restai de longues minutes adossé au mur, les yeux fermés, le cerveau vide. Je repris petit à petit ma respiration normale.

J'avais l'air hagard, hébété, comme si je venais de traverser une tornade. Mes yeux firent un tour d'horizon de mon environnement immédiat. Je constatai que j'étais un cadre dynamique, les fesses et jambes nues, le pantalon froissé à mes pieds, ma cravate à mon cou, poisseuse de sperme. Trempé de sueur, je remarquai les traînées blanches dégoulinant sur le mur face à moi. J'avais aspergé à tout va les toilettes, mais j'étais heureux du bonheur que m'avait procuré Cécile.

Ma mission immédiate fut de me rajuster, de tout nettoyer, de reprendre une apparence présentable et, surtout, de cacher ma cravate, témoin de mon plaisir. Sans oublier, évidemment, de reposer l'écharpe de Cécile sur son porte-manteaux.

Voilà une autre histoire vécue avec passion.

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