TITRE :  Rousse Nymphe (suite)
Catégorie : 
Histoire au bureau
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Le lendemain matin, j'arrivai au bureau la tête encore pleine de mes exploits solitaires de la veille. Je saluai les premiers collaborateurs matinaux tout comme moi et m'installai à mon bureau. Mon assistante arriva quelques minutes plus tard. Elle me salua d'un "bonjour patron" et me fit deux bises. Cécile était vêtue ce matin là d'un tailleur-pantalon noir et d'un spencer assorti. Je reluquais ses petites fesses d'adolescente, elle surprit mon regard admiratif et me sourit gentiment. Je vaquais à mes occupations toute la matinée et j'enchaînais rendez-vous après rendez-vous. Cette activité me permit de me ressaisir, et d'évacuer ma nymphette rousse de mes pensées. A mon retour vers 15 heures, Cécile vint me voir pour me faire signer le courrier du jour. Elle me dit :

- J'avais oublié mon écharpe hier soir au bureau.

- ah, dis-je tout penaud.

- Oui, ce matin j'ai senti ton parfum en la prenant en main.

Je bafouillais une réplique inintelligible en sentant mes joues rosir. Elle me regarda avec ses yeux verts rieurs et me fit un sourire coquin. Cécile était debout face à mon bureau, j'étais assis là à la regarder. Son parfum de violette m'enivrait, j'étais pétrifié par l'idée que les taches de mon plaisir aient pu maculer ce bout de laine.

- Tu sais, me dit-elle, un beau mec comme toi ne doit pas rester célibataire, ce n'est pas bon

Mon assistante savait que ma dernière petite amie m'avait quitté, elle en fut très peiné pour moi. A cela, je lui rétorquais que je pouvais me prendre en main tout seul, je n'étais plus un gamin. Elle sourit encore davantage et dit :

- Oui, tu sais te prendre en main, je l'ai remarqué.

Je ne saisis pas immédiatement son jeu de mot, mais au bout de quelques secondes, je me sentis devenir rouge comme une tomate, la sueur perlant sur mon front.

- Oooh, tu rougis comme un puceau pris sur le fait, comme c'est mignon, me dit-elle pour me taquiner.

Je ne savais plus à quel "sein" me vouer, tellement j'étais mal à l'aise.

Mon assistante me confia ensuite :

- Hier soir, je suis retournée au bureau pour chercher l'écharpe oubliée. Ne la voyant pas accrochée au porte-manteaux, j'ai fureté partout. Je suis passée devant la porte des toilettes, car j'entendais des gémissements étouffés. Ne t'ayant pas vu au bureau, j'ai pensé que c'était toi qui avait un malaise. Mais j'ai vite compris en tendant l'oreille que les toilettes diffusaient des râles de plaisir. Je suis donc restée derrière la porte pour t'écouter jouir.

- Mon Dieu !, ai-je réussi à dire, paralysé par la suite qui m'attendait.

- Et, je peux te dire mon Boss chéri que lorsque tu as crié mon prénom en jouissant, j'en fus très extrêmement touchée.

- Mais, mais....

- Tsst Tsst, ne dis rien, tu t'es pris en main tout simplement, mais je dois avouer qu'en tant qu'assistante, de savoir que mon patron se masturbe en pensant à moi, cela a quelque chose de très touchant, surtout en sachant que tu étais juste derrière la porte. Je ne pus rien dire, j'étais pris la main dans le sac.

Cécile tenta de me rassurer en me confirmant qu'à part elle, personne n'était au courant, elle me fit également remarquer que je fus très prévenant de ne pas avoir maculé son écharpe. Je ne dis plus aucun mot, je ne sus d'ailleurs quoi dire.

- Ne t'inquiète pas, cette discussion restera entre nous. Ce sera notre petit jardin secret, mon petit boss chéri.

Sur ces derniers mots, elle quitta mon bureau en me lançant un clin d'oeil. Je restais seul avec moi-même en tentant d'évaluer les conséquences de mes actes et de ce que m'avait dit Cécile. Apres mure réflexion, je décidais, qu'aucune preuve ne subsistant, il était inutile de me faire un sang d'encre. Cependant, je m'interrogeais sur ma relation avec ma secrétaire. "Vous avez un nouveau message" s'afficha sur mon écran. Je cliquais et vu que le mail provenait de Cécile. Je l'ouvris et lu :

"Mon Boss chéri. Je désirais te dire d'autres mots tout à l'heure, mais par pudeur je n'ai pas osé, alors je te les écris. Comme je te l'ai dit avant, j'ai été très touchée par ce que j'ai entendu hier soir. Jamais, je ne pouvais imaginer que je te faisais un tel effet. Apres tout, c'est toi qui m'a recrutée et cela je ne l'oublie pas. Je suis une femme mariée et maman d'un petit garçon, cela tu le sais aussi, mais je ne suis pas insensible à ce que j'ai découvert te concernant.

Je n'arrête pas de penser à toi, hier soir aussi, je fus très remuée. Si tu le souhaites, nous en reparlerons en privé.

Bises.

Cécile."

Je lui répondis par un simple "ok" et je détruisis le mail.

Le reste de la journée se déroula normalement. Mon assistante débordait d'énergie et de prévenance à mon égard. Je découvris qu'elle maîtrisait parfaitement son job, qu'elle mettait ses qualités professionnelles et ses connaissances au service de mon groupe. Cela me renforça dans mes qualités de recruteur. Nous étions vendredi soir. Le week-end s'annonçait pour ma part assez calme. Mes employés quittèrent les lieux rapidement, sauf Cécile. Elle vint vers moi.

- As-tu quelques minutes à m'accorder ? me dit-elle de sa petite voix de poupée, en me sondant de ses yeux verts.

- Bien sûr, Cécile.

Je la regardais s'asseoir en face de moi, croiser ses jambes de gazelles. J'étais un peu embarrassé, mais je l'ai laissé s'exprimer en premier.

- C'est par rapport à mon mail de ce matin, que j'aimerais te parler.

- Je t'écoute.

Cécile se livra encore davantage, qu'elle ne l'avait fait lors de nos déjeuners ensemble. Elle me confia que l'épisode de la veille lui avait permis de jeter un regard différent sur ma personne. Elle se doutait bien qu'un lien fort nous unissait et ce qu'elle savait maintenant lui plaisait beaucoup. Je l'écoutais avec ravissement et me sentis rassuré par ses paroles.

- Tu es belle Cécile, tu as un charme fou. Chaque jour qui passe renforce ma conviction. En fait tu sais je pense que ta grâce m'a envoûté, et je n'ai pas pu résister à en jouir.

- Hummmm merci, je comprends ton état, j'en suis très flattée. Tu es seul depuis plusieurs mois, tu as des pulsions comme tout le monde, je ne peux pas t'en vouloir. Et je te promets que ce jardin secret restera entre nous. Puis-je te poser une question intime ?

- Euh oui. dis-je

- Ok je me lance. Dis moi est-ce que le plaisir que tu ressens en te masturbant est-il aussi intense qu'en faisant l'amour avec une femme ?

Céline se passa sa petite langue rose sur sa lèvre inférieure en attendant ma réponse. Je sentais la situation m'échapper et dévier délicieusement vers une intimité jamais atteinte avec Cécile. J'avais très chaud tout d'un coup. Je me raclais la gorge avant de répondre :

- Lorsque je me livre à cela, j'imagine que ce sont tes mains qui me caressent, je te vois avec moi, sous moi en train de gémir sous mes assauts. J'entends ta voix de poupée chanter son plaisir, j'embrasse ton corps d'adolescente. Toutes ces visions décuplent en moi un telle vigueur que la jouissance devient toute aussi intense qu'avec une femme. Céline me regarda longuement sans rien dire. Ses joues en feu avec son regard de braise, elle se rapprocha de moi et me susurra :

- En as-tu envie là ?

Je la regardais émerveillé et dis :

- Oui, à la folie.

Elle se leva me pris la main et la serra fortement.

- Alors faisons-le, j'en meurs d'envie moi aussi.

Je me levais et fermais la porte à clé. Cécile se leva. Je la pris dans mes bras, elle se mit sur la pointe des pieds et déposa un baiser doux sur mes lèvres. Ce contact électrisa mon corps tout entier, elle mit ses petites mains à mon cou et m'attira fortement vers elle. Notre baiser fut long et fougueux. Je laissais mes mains agripper ses fesses, je les massais tendrement, quel délice ! Elle gloussa et entreprit de me déboutonner, je l'aidais pour accélérer le mouvement. Elle se déshabilla prestement en jetant ses vêtements aux quatre coins de mon bureau, je faisais de même.

Nous nous retrouvâmes nus debout l'un en face de l'autre. J'admirais son cou gracieux, ses petits seins hauts perchés, les tétons durcis, sa peau blanche, sa toison rousse, ses cuisses de gazelles. Ma hampe pointait vers son ventre et je vis sa main fine se poser sur mon gland. Je laissais échapper un gémissement, car elle débuta de légers va et vient en enroulant ses doigts autour de mon membre. Quel délicieux moment. Sentir cette douceur sur moi. On aurait dit une main de soie. Enfin, je vis la main de Cécile aller et venir avec frénésie sur ma verge tendue de désir pour elle. Toujours face à moi, elle me souriait en me masturbant amoureusement. Je gémissais, je sentais un ouragan de plaisir se préparer à déferler dans mon être.

Soudain, je la vis s'agenouiller devant moi. Ses lèvres se posèrent sur mon gland, elle ouvrit la bouche, une langue rose apparut pour lécher chaque parcelle de ma verge. De part sa petite bouche, Cécile eut un peu de mal à débuter sa succion, elle me lançait des regards de femme heureuse. Je lui souriais béatement la regardant me prodiguer cette fellation de déesse. Sa langue rose courait le long de mon membre, ses lèvres douces et chaudes me tétaient admirablement. Elle sentit les soubresauts annonciateurs de mon plaisir et stoppa net tout attouchement, je me sentis frustré, mais je respectai sa décision. Cécile se redressa. Nous nous embrassâmes fougueusement. Je la pris dans mes bras, ma verge cognait contre ses cuisses, elle me caressa les joues de ses fins doigts et me souffla :

- Suce-moi, bois mon nectar s'il te plaît.

Elle s'allongea sur la moquette, cuisses écartées. Je m'accroupis entre ses cuisses. Mes mains caressaient la peau de soie de son ventre plat, je m'abaissais et ma bouche happa ses petits seins. Mes lèvres descendirent lentement vers le centre de son plaisir. Sa rousse et soyeuse toison accueillit ma bouche, je sentis son bourgeon déjà dressé et les effluves marines taquinèrent mes sens. Ma langue s'engouffra dans son ventre. J'étais allongé entre ses cuisses, ma hampe coincée sous mon corps, mais je me délectais à boire son jus d'amour. J'écoutais ses petits cris de souris, elle couinait et gémissait sous mes assauts buccaux. Soudain, son ventre se contracta et je la sentis jouir en silence sans hurler. Ma petite poupée couina de longs instants.

Cécile écarta mon visage d'entre ses cuisses et me dit :

- Masturbes-toi devant moi et jouis sur mon ventre, car je te le rappelle, tu ne peux pas me pénétrer, je suis mariée. Je pris ma verge dure dans ma main droite et débutais de longs mouvements d'avant en arrière en regardant mon assistante les yeux dans les yeux. Elle, également, se caressa en insérant 2 doigts en elle. Nous guettions chacun les réactions de l'autre car elle et moi voulions jouir ensemble. Je voyais les doigts de Cécile disparaître en elle. Cécile maintenant gémissait plus fort, elle haletait, ses joues étaient rouges, ses yeux brillants me regardaient.

- Viens vite mon balou, vite rapproche toi encore de moi et donne-moi ta lave chaude et grasse !

J'arrivais tout près de ma poupée qui entre temps s'était à nouveau allongée, car elle arrivait au point de non retour. A genoux au-dessus de son ventre et de sa poitrine, j'accélérais davantage mes mouvements masturbatoires. Elle hurla mon prénom et jouit par vague. Enfin ma libération arriva et j'éjaculais sans retenue aucune sur le corps de ma déesse. De longues traînées blanches atterrirent sur ces seins menus, dans ses cheveux roux, sur ces joues et son menton. Je continuai à jouir comme un damné, lorsque je vis Cécile plonger vers mon dard et me sucer les dernières gouttes de semence. Je m'écroulais sur le dos en entraînant ma poupée avec moi. Je me retrouvais les cuisses écartées, Cécile entre elles, elle recommença à me pomper.

- J'en veux encore mon chéri cria-t-elle !!!

Je fermais les yeux et hurlais littéralement de plaisir et de douleur, je ne savais plus. Mon gland était si sensible après la première éjaculation. Mais Cécile n'en avait cure. Par contre, elle stoppa sa succion pour que le bout de mon dard se désensibilise, elle s'activa à me caresser les bourses et à laisser sa langue lécher la fine peau de ma verge quelque peu ramollie.

- Tu es circoncis mon balou, humm c'est parfait ça, tu jouis mieux ainsi et tu es plus sensible.

Je relevais la tête, elle me souriait, son visage était maculé de sperme qu'elle entreprit de récupérer avec ses doigts pour les lécher ensuite.

- Tu vas bien mon cher ?

Je ne dis rien et elle replongea vers ma verge qui reprenait de la vigueur............

A suivre.

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