Cécile se retrouvait allongée sur la moquette
entre mes cuisses. Ses mains blanches tenait fermement la
base de ma hampe érigée pendant que sa bouche de poupée
me suçait frénétiquement. J'ai pensé que si elle continuait
ainsi elle allait m'aspirer tout entier.
- J'ai soif de ta sève et j'en veux encore, furent ses
mots de l'instant.
Je gémissais couché sur la moquette de mon bureau. Les
yeux fermés je me laissais aller à cette délicieuse sensation
d'être à la merci de mon assistante. Cette pensée soudaine
déclencha une nouvelle érection puissante.
La bouche de Cécile cessa toute succion. Ma poupée leva
ses yeux verts vers moi, elle admira l'oeuvre de sa douce
caresse buccale
- Tu es prêt ?
- Oui, oui, lui dis-je !
Je voyais ses yeux étinceler d'un feu étrange, ses prunelles
dilatées.
- Alors je voudrais que tu jouisses en moi
- Hein ? mais tu ne veux pas car tu es mariée
- Oui je sais, mais tu vas aller et venir entre mes fesses,
mon Balou.
Je regardais Cécile les yeux écarquillés. J'appréhendais
cela au vu de sa petite taille et de ses fesses d'adolescente.
- Mais je vais te déchirer voyons
Elle éclata de rire et me lança :
- Allons, allons, j'en ai envie et j'ai l'habitude. De
toute manière comme ça j'ai l'impression de ne pas tromper
mon mari.
Cécile se mit à quatre pattes, en me présentant ses fesses.
- Allez mon chou, viens vite sodomiser ta petite secrétaire,
car elle en meurt d'envie
Mon érection toujours aussi puissante, je m'agenouillais
derrière elle et vis effectivement que la rondelle de son
pertuis était extrêmement dilatée.
- Mouille avec ta salive, mon chéri, tu verras ça passe
tout seul, Vite !! je suis chaude !! Allez !
J'humidifiais son pertuis avec ma salive et mes doigts.
Je regardais cet orifice qui attendait ma hampe. Il bougeait,
on aurait dit qu'il était animé d'une vie propre. J'introduisis
d'abord un doigt, mais deux immédiatement après, car je
me rendis compte de l'élasticité de ce puits de perdition
de Sodomite
Ma hampe en main, je frottais mon gland à l'entrée
- Vas-y, pousse d'un coup ! me cria Cécile
Et je m'exécutais au pied de la lettre.
Une seule poussée suffit à me plonger dans un délice doux
et chaud, j'agrippais les hanches de ma secrétaire en admirant
les courbes magnifiques de son dos et de ses fesses. Je
ne bougeais pas encore.
Cécile gémis de contentement
- Hummm, merci! Je suis remplie comme j'aime, tu es vraiment
très gros mon chou. Allez, vas-y ,n'aies aucune crainte,
je vais jouir comme une folle en me massant mon minou et
en me délectant de ton assaut anal.
J'étais dans une autre dimension. Je me demandais si c'était
moi le cadre dynamique qui enculait sa secrétaire, un vendredi
soir, dans son bureau. Mon cerveau disjonctait complètement.
Je me voyais aller et venir entre les fesses de Cécile.
J'entendais ses râles et ses cris de charretière. "Mon Dieu,
quel langage cru !" pensais-je. Ma tête bourdonnait.
- Plus vite !!
Elle grognait des insanités monstrueuses à notre propos,
cela devait la faire jouir davantage.
J'augmentais ma cadence de pistonnage, en me disant que
je franchissais un interdit, je me sentais délicieusement
sombrer dans l'abondance de la luxure en compagnie de ma
secrétaire. La sensation exquise de labourer les reins de
Cécile accrut encore mon plaisir de quasi domination.
Nous criâmes ensemble à l'apogée du plaisir, je déversais
ma lave en fusion dans les entrailles de Cécile. Le temps
s'était arrêté. La jouissance qui nous animait permit à
nos âmes de communier ensemble dans une dimension de stupre
et d'amour.
Le plaisir passé nous restâmes encore soudés l'un à l'autre,
elle toujours à quatre pattes et moi agenouillé et collé
à ses fesses. Nous ne prononcions aucune parole. Mon bureau
sentait le sexe et le sperme. Une fine pellicule de sueur
filmait nos corps.
Cécile fut la première à réagir. Elle se leva et me dit
:
- Fabuleux ! tu as été génial !
Je l'enlaçais tendrement dans mes bras, nous laissâmes
nos bouches nous enivrer de baisers tendres et retenus.
A regret, nous nous séparâmes, car l'heure tournait. La
nuit était tombée. Seule la veilleuse du bureau nous éclairait.
Nous nous rhabillâmes en hâte. Cécile fit une halte aux
toilettes pour se refaire une beauté après toutes ces émotions
orgasmiques et ces corps à corps. Je me sentais courbaturé,
j'avais la tête vide, mais heureux comme un pape.
Cécile me rejoignit et me dit :
- Merci Balou de m'avoir donné tout ça, tu es un ange
Elle déposa un chaste baiser sur la joue.
- Cécile, que dire, tu m'as tant donné toi aussi. J'ai
adoré. Tu es une jeune femme experte sous tes airs de maman
sage et rangée.
Elle sourit, me posa un doigt fin sur la bouche. L'instant
était magique.
Nous quittâmes la société en nous souhaitant bon week-end.
Les jours, les mois, les années passèrent. Cécile et moi
n'avons plus jamais renouvelé cette expérience, certainement
à notre grand regret à tous les deux. Nous avons travaillé
ensemble 5 ans en toute transparence l'un envers l'autre.
Une collaboration et un dévouement réciproque de tous les
instants. Plus tard Cécile a quitté mon service pour prendre
un poste de direction à l'autre bout de la France.
Maintenant presque 8 années ont passé. Je vois Cécile une
à deux fois par an lors de séminaires ou de réunirons extraordinaires.
Nous sommes restés très proches à travers nos échanges de
mails et nos coups de téléphone.
J'ai vieilli, elle aussi car le boulot nous "suce" notre
énergie, mais nous aimions notre job.
Je pense souvent à elle et je sais que c'est réciproque,
elle me le dit souvent, nos sommes devenus de vrais amis.
Je vous avouerais, cher(e)s lectrices et lecteurs, avoir
longtemps hésité pour poster ce texte, mais il le fallait
pour nous deux. Je sais que Cécile lira un jour ces mots
et elle se reconnaîtra.
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