TITRE : Révélation
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale
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J’ai vécu il y a quelques temps une pause midi très chaude que j’ai envie de vous raconter. Nous avions acheté une maison et fait pas mal de travaux de rénovation qui se terminaient.

     
     Un jour où il ne devait y avoir personne sur le chantier, j’ai décidé d’amener ma meilleure collègue à midi pour lui montrer la villa dont je lui parlais depuis des mois. Je suis professeur et on me dit très sexy malgré mes 38 ans. Il faut dire que j’adore m’habiller en jupe ou en robe pour montrer mes cuisses et que mes rondeurs ne laissent jamais indifférents.
     Ma collègue, mariée également, plus jeune - 33 ans -, est elle aussi très excitante à mon goût : brune, assez petite et menue mais avec des seins d’enfer qui doivent faire 95-100C.

     
     Nous sommes parties à midi avec l’idée de voir la villa puis d’aller au resto ensuite, les cours reprenant à 15 heures. J’étais en robe assez courte mais sage, string et soutien-gorge blanc, ma collègue en jeans et débardeur moulant. Quand nous sommes arrivées, pas de voiture garée devant, normal, et tout de suite on s’est dirigé vers la porte d’entrée du haut pour visiter d’abord l’intérieur. Nous sommes donc rentrées et je me suis dirigée vers la cuisine américaine où j’entendais du bruit. Et là, surprise : un mec d’environ 25 ans, en tenue blanche de peintre ouverte sur le devant était en train de se branler en lisant un SAS. Il était baraqué, très mat, de type arabe et il branlait sa queue lentement, assis devant la petite table ronde. Sa queue était impressionnante et je la fixais, incrédule, incapable de dire un mot : peut-être plus de 20 cm, épaisse avec un gland énorme qui pointait droit devant moi. Nous voyant débouler, il ne se démonta pas et tout simplement nous demanda ce que l’on faisait ici. Je lui expliquai lentement que j’étais la propriétaire et que personne ne devait se trouver là aujourd’hui et il expliqua, en gardant sa queue à l’air, que son entreprise en retard sur son programme leur avait demander d’intervenir dans la journée : lui et un collègue parti manger de son côté. Voyant que nous regardions son engin, il nous demanda presque arrogant si son sexe nous plaisait et si on voulait le goûter. J’allais répondre quand Florence, ma collègue, lui dit qu’effectivement il avait une très belle queue et lui, la regardant dans les yeux, lui répliqua :

     - Viens la goûter, me la sucer tout de suite alors.

     Incroyable, elle s’approcha, empoigna son engin et commença à le branler doucement décalottant complètement son gland. Il l’a mise à genoux entre ses cuisses écartées et lui caressant le visage il introduisit son pouce dans sa bouche en lui murmurant qu’il allait aimer décharger entre ses lèvres de suceuse. Florence se laissait faire et prestement il lui ôta son débardeur et fit sauter son soutien gorge : les seins bien pleins de ma collègue, fermes avec les tétons déjà tendus firent siffler d’admiration Hamid qui les prit en main en pinçant les tétons entre ses doigts. Elle soupira d’aise et me demanda d’approcher tout en disant à notre beau beur qu’il avait bien de la chance aujourd’hui d’avoir deux belles femmes prêtes à tout. J’étais toujours sans voix et elle me prit la main pour la guider vers la queue de notre étalon.

     Avec un petit sourire narquois, Hamid me regardait en train de le branler à mon tour :

     - Fais pas la bourgeoise coincée toi, tu vas aimer ça, tu es faite pour les grosses queues, y a qu’à voir ta bouche, tes seins et ton cul.

     Puis il commença à me caresser les cuisses tout en remontant rapidement vers mon entrejambe. Ses doigts écartèrent prestement mon string et il investit ma chatte trempée avec son majeur, son pouce s’attardant sur mon petit trou. Florence était passée derrière moi et d’un coup elle tira la fermeture éclair de ma robe et, aidée par Hamid, elle la fit tomber à mes pieds. Elle s’empara de mes seins lourds mais fermes et me caressa lentement pendant que mon peintre enlevait mon string et me branlait de plus en plus fort :

     - Tu mouilles bien ma belle, j’ai les doigts trempés. On va bien s’amuser avec toi !

     Je jouis rapidement dans des râles obscènes et me retrouvai à genoux caressant les grosses couilles bien pleines de mon nouvel amant, Hamid dirigeant son gland vers ma bouche. Complètement soumise, j’ai ouvert les lèvres et je me suis mise à lécher consciencieusement la longue bite bien dure qu’il me présentait avant d’emboucher son gland énorme et de le sucer comme une folle. Il aimait ça et râlait en disant que j’allais prendre son sperme dans tous mes trous. Moi aussi j’aimais ça, sucer une belle queue bien dure avec un gland aussi gros et aussi doux. Ma collègue avait enlevé jeans et slip et se laissait elle aussi caresser la chatte et le cul complètement excitée. Hamid pris son portable et avertit son collègue qu’il devait revenir à la villa avec des capotes pour deux sans lui préciser ce qui se passait. Sa queue grossissait encore sous l’action de mes caresses et de ma langue et je m’attendais à prendre ses jets à tout moment. Mais il était endurant et Florence qui gémissait sous les doigts qui lui branlaient alternativement la chatte et son petit trou me demanda de la laisser s’empaler sur ce pieu complètement tendu :

     - J’ai envie de ta queue, prends-moi, lui dit-elle.

     
     Hamid me demanda de prendre une capote dans sa poche et d’habiller sa queue : cela fait ma collègue enjamba les cuisses de Hamid qui la guida sur son sexe. Elle se fit transpercer la chatte d’abord doucement puis le rythme s’accéléra : elle le réclamait toujours plus profond, les seins tendus vers la bouche de notre étalon qui lui suçait les tétons qui pointaient comme deux petits dards. Elle criait de plaisir, sa chatte dégoulinant sur les couilles toujours remplies que je me suis mise à lécher remontant vers le pieu bien raide qui coulissait dans son ventre. Je lui ai même léché son magnifique petit trou bien ouvert dans lequel j’ai introduit ma langue. Elle s’empalait toujours plus vite et plus profond, criant que c’était trop bon, et elle jouit rapidement secouée par des spasmes de plaisir. Hamid l’enleva de sa queue et n’ayant toujours pas déchargé m’annonça que c’était mon tour, qu’il allait me défoncer et m’inonder et dans un sourire je lui dis que je n’attendais que ça. Il me fit tourner sur moi-même, m’enleva le soutien-gorge qui emprisonnait toujours mes seins et quitta sa tenue de travail. Il m’a mise sur le plan de travail carrelé les cuisses bien écartées, la chatte ouverte à la bonne hauteur et pointa sa queue nue maintenant. Il bandait comme un âne et me dit que mes seins, mon joli cul et ma bouche de suceuse l’excitaient comme jamais. Je n’avais jamais vécu une situation pareille et je n’imaginais pas me faire baiser un jour par un jeune mec aussi bien monté que lui. Je pensais à mon mari, en déplacement ce jour-là, qui me trouvait trop sage et qui surtout pouvait téléphoner à tout moment. En me maintenant les cuisses bien ouvertes il commença à enfiler sa grosse pine dans ma chatte : j’étais trempée et je la sentais m’ouvrir en deux jusqu’à venir en butée. Il ressortit, me renfila et commença à me pistonner faisant tressauter mes seins dont les tétons étaient tendus et durs. Je sentais son gland énorme, grossir encore, me fouiller au plus profond puis ressortir exciter mon clitoris et replonger ensuite au fond de ma chatte. Il me possédait complètement, ouverte au maximum pour bien sentir ce pieu en moi, mon plaisir montant petit à petit sous ses coups de reins vigoureux et ses caresses sur mes seins gonflés de désir. Florence vint m’embrasser et je lui dis que c’était trop bon, que j’étais remplie comme jamais, que je me sentais comme fendue en deux. Elle me sourit et me dit que vu l’engin qui me ramonait elle trouvait ça normal, lorsque tout à coup j’explosai dans une jouissance incontrôlable, un orgasme comme jamais qui me fit crier de plaisir, pousser des « encore » de démente, gémir comme une chienne. Le sexe qui me labourait grossissait encore et enfin il gicla en moi, libérant des jets de sperme que je sentais me remplir. Hamid se retira et en tenant sa queue finit de gicler son sperme sur moi, ses longs jets impressionnants atteignant mes seins. Il m’avait rempli la chatte, arrosé la poitrine et le ventre et, satisfait de lui, il me massa les seins avec sa semence avant de me faire lécher ses doigts :

     - Tu es bonne, tu m’as vidé les couilles comme jamais. Les bourgeoises comme toi sont toujours bonnes à baiser mais toi alors, tu m’excites encore plus avec ta jolie coupe au carré de femme bien sage et tes beaux seins. Goûte-moi, et je te garantis que tu vas en avoir encore, dit-il me rappelant qu’il avait encore ma bouche et mon cul à honorer.
     - Mmmm, c’était trop bon mais…

     
     J’avais joui comme jamais et j’étais encore offerte sur le plan de travail, cuisses ouvertes, quand est arrivé son collègue, Karim, qui tout surpris de la situation ne savait pas quoi dire. Il était encore plus jeune que l’autre et taillé comme un décathlonien. Il sortit la boite de capotes qu’il avait achetée et Hamid lui expliqua que nous avions le feu au cul, que l’on aimait les grosses queues et qu’il allait devoir assurer. Karim se déshabilla en un tour de main, exhibant une musculature impressionnante et une queue qui commençait à prendre du volume laissant entrevoir un engin tout aussi impressionnant que celui de Hamid. Il commença à se la caresser tout en expliquant qu’il n’avait jamais baisé des femmes comme nous et visiblement ça le faisait bander dur.

     - Putain les seins que vous avez, j’ai envie de gicler dessus mais je crois que j’ai envie de faire tous vos trous mes belles salopes.

     
     Voyant que j’étais sous l’emprise de son copain, il s’approcha de Florence et la prenant par les épaules il la mit à genoux devant lui, lui baladant la queue sur le visage avant de forcer ses lèvres avec son gland. Pas rassasiée elle le prit en bouche et commença à le sucer avec application.
     Hamid me fit descendre du plan de cuisine, me caressant les fesses au passage et il m’embrassa à pleine bouche. Complètement folle je lui répondis et nos langues se mêlèrent dans un baiser sauvage. Puis tout en s’asseyant il me mit lui aussi à genoux entre ses cuisses. Sa queue avait déjà repris du volume et il m’ordonna de le sucer. Il avait compris qu’il avait la situation en main, que j’étais déjà complètement soumise à son emprise et qu’il pourrait faire ce qu’il voulait de moi. J’empoignais son sexe et tout en le branlant doucement je me mis à lui lécher le gland, ma langue et mes lèvres le faisant gonfler tandis que sa queue s’allongeait et durcissait. Mon amant poussait des soupirs d’aise, me traitant de salope bonne à mettre, de chienne en rut, me félicitant pour mes dons de suceuse. Je lui donnais raison en avalant sa queue au maximum, caressant ses grosses couilles, léchant sa tige sur toute la longueur, aspirant son gland énorme et le léchant sur tout le pourtour. Je le sentais venir et quand il se crispa en me prenant par les cheveux je l’embouchais pour recueillir sa semence entre mes lèvres tout en le regardant dans les yeux. Je le vis céder à son plaisir en me plaquant sur son sexe et il explosa dans ma bouche : je pris un jet de sperme au fond de la gorge qui me fit reculer et prendre le reste de sa jouissance sur le visage et les seins. Il avait bien rechargé ses couilles et hurlait de plaisir à chaque giclée qu’il m’envoyait, j’avalais la giclée initiale et reprenais en bouche son gland pour sucer son jus et nettoyer ce sexe dont j’étais l’esclave. Je lui avais vidé les couilles jusqu’à la dernière goutte et son sexe dégonflé pendait entre ses cuisses.

     
     Pendant ce temps Karim avait enfilé Florence par derrière et la pistonnait de toute sa longueur. Elle était secouée comme une poupée, la queue de Karim la transperçant à chaque poussée. Ils baisaient comme des bêtes, Florence à moitié allongée sur le plan de travail, les jambes bien écartées, le jeune beur la tenait par les hanches, lui caressant le cul. Il lui a introduit le pouce dans son petit trou en même temps qu’ils jouissaient. Il était collé à elle, sa queue l’enfilant complètement, et il éjaculait au fond de sa chatte en continuant de la bourrer par petit coup.
     Hamid se caressait doucement la queue en me regardant me rhabiller car il fallait qu’on retourne au collège à l’heure. Il a attrapé mon string et me dit qu’il le confisquait pour aujourd’hui. Je protestais, le suppliais de me le rendre, lui promettais tout ce qu’il voudrait mais il resta inflexible. Il voulait que j’aille en cours sans culotte et surtout que je revienne ensuite chercher ce string. A mon âge je me laissais dominer par ce pervers et je sentais bien que ça me plaisait : j’étais désirée par un superbe mec, jeune, endurant, avec une belle grosse queue et qui s’en savait s’en servir. Ca faisait longtemps que je n’avais pas joui comme ça et je crois qu’être soumise répondait à mes fantasmes. Je suis donc partie sans culotte avec Florence, excitées toutes les deux par notre intermède de midi. Les 2 heures de cours sont passées lentement à mon goût, préoccupée par mon absence de culotte et les positions que je devait éviter, et surtout excitée par le plaisir que j’avais eu et le rendez-vous fixé pour récupérer mon string.

     
     Je n’ai pas traîné à la salle des profs après les cours et je suis retournée directement à la villa. Là je n’ai pas été très surprise de voir que la peinture n’avait pas beaucoup avancé et que mes deux lascars m’attendaient. Hamid m’a ordonné de me déshabiller en ne gardant que mes nu-pieds à talon, puis de bien continuer à obéir si je voulais récupérer mon bien. J’ai dû d’abord déshabiller Karim, le lécher sur toutes les parties du corps, ses seins, le dos, les fesses et son petit trou qu’ils m’obligèrent à lécher longuement en écartant bien ses globes musclés. J’étais une chienne, à quatre pattes, soumises à deux jeunes mâles. J’ai dû ensuite passer aux couilles et à son sexe qui s’était tendu au maximum, son gland énorme luisant sous mes coups de langue. Hamid était installé dans un fauteuil de jardin, branlant doucement sa queue dressée.

     - Viens me sucer maintenant.

     Je suis venue comme une bonne petite chienne. J’ai commencé par lui lécher les couilles puis remontant j’ai embouché son gland qui sentait encore le sperme et je l’ai sucé avec application mon cul et ma chatte offerts. Karim s’est approché et encouragé par mon peintre il m’a enfilée d’un coup jusqu’à la garde et ramonée à grand coup faisant ballotter mes seins. Je mouillais comme une folle et le mec derrière moi ressortit sa queue luisante pour venir la placer entre mes fesses lubrifiant mon petit trou avec ma mouille.

     - Je vais te la mettre dans ton beau cul, il m’excite trop.

     J’ai commencé à me débattre mais Hamid me maintenait fermement et il m’expliqua que j’allais y passer soit consentante sans fessée, soit non consentante avec une bonne fessée. Je n’ai plus rien dit et soumise je regardais faire mon enculeur en branlant doucement le sexe de Hamid qui était en train de faire de moi son esclave sexuelle. Il m’a écarté les fesses et il a pointé son dard gonflé sur mon petit trou et doucement il a commencé à pousser. Son gland était gros pour mon petit trou, mais il était bien lubrifié, et a continué sa pression jusqu’à ce que mon anneau cède. J’ai poussé un petit cri au passage de son gland mais il a continué à m’enfiler, ses couilles venant buter contre mon cul. J’étais ouverte en deux par ce sexe et quand il me demanda si j’aimais je répondis oui après une petite hésitation. Alors il a entamé de lents va-et-vient, sortant de temps en temps de mon cul pour y replonger aussitôt, m’arrachant des couinements de plaisir entre lesquels je la réclamais encore plus profond. Hamid me prit par les cheveux et en me regardant droit dans les yeux me dit qu’on allait se donner du bon temps et que j’étais faite pour ça. Mon cul et mes reins n’étaient que plaisir et la jouissance se déclencha brutalement. En même temps que je criais de plaisir la queue qui m’embrochait se contracta et lâcha de longues giclées de sperme. Il jouit longuement en moi et une fois ses couilles vides mon enculeur se retira lentement et en me claquant les fesses il me félicita pour mon cul bien ferme et bandant. Ils me proposèrent de boire un coup et tout en buvant un Coca Hamid me dit que pour la prochaine fois je devais me raser la chatte en ne laissant qu’un tout petit triangle et qu’il allait m’essayer dans toutes les pièces.
     Je m’entendis répondre « d’accord » et lui demandais qu’il se rase les couilles pour je les lèche et avale son sexe sans poil.

     - D’accord.
     - Tu sais, mon mari m’a déjà prise dans le dressing en bas.
     - Et bien on va voir qui te baise le plus vite dans tous les endroits possibles mais comme il s’absente souvent je crois que tu peux me faire confiance.

     Il bandait dur de nouveau et se plaçant derrière moi il me fit écarter les jambes et m’enfila la chatte tout en me caressant les seins à pleines mains. Mes tétons durcirent aussitôt et je m’abandonnais complètement à lui, empalée sur son sexe que je sentais buter au fond de ma chatte, son gland énorme provoquant des ondes de plaisir sur son passage. Il me baisait lentement en me caressant les fesses, les écartant pour exciter mon petit trou que je sentais encore bien ouvert de la pénétration précédente. Mon sexe s’ouvrait à chaque pénétration de sa grosse pine et je mouillais en continu. Mon mari est bien monté mais là j’avais dans le ventre un engin comme jamais et il savait s’en servir. Il se retira et me fit mettre à quatre pattes sur la chaise, le cul offert. Il m’a empoignée par les hanches et ouvrant bien mes fesses il pointa son dard contre mon petit trou. Je gémis avant même qu’il m’enfile.

     - Continue, me dit-il, tu me fais trop bander. On dirait une chienne en chaleur et ton beau cul tout blanc est vraiment trop excitant.

     Il commença à forcer l’entrée et petit à petit je sentis son gland ouvrir mon cul trempé d’excitation. Il était vraiment gonflé à bloc et je lui demandai d’arrêter, qu’il était trop gros. En réponse il poussa plus fort et son gland passa d’un coup mon sphincter en m’arrachant un cri de surprise. Il continua sa poussée, m’enfila jusqu’au bout et commença à me pistonner. Mes reins étaient de nouveau ouverts en deux, et rapidement des ondes de plaisir remplacèrent la douleur initiale. Il me pistonnait lentement, puissamment, sa queue continuant à grossir en moi. De temps en temps il sortait complètement son gland pour me renfiler de plus belle et me faire sentir ses couilles contre mon cul. Il me parlait de plus en plus crûment :

     - Tu me fais bander comme jamais. Ton cul est fait pour ma queue, tu sais, et ta raie est faite pour être léchée et ouverte .Je vais te remplir de foutre, tu vas être ma chienne obéissante, oui mon gland va exploser.

     Ça m’excitait complètement, je disais oui à tout et même j’en redemandais.
     Sa queue raide et ses caresses sur mes seins et mon clitoris déclenchèrent une jouissance explosive. Tout mon corps jouissait, mon cul se contractait autour de la queue d’acier qui me fouillait profond et je criais :

     - Vas-y, lâche tout, envoie ton sperme, enfile-la au fond, je te veux dedans.

     Presque en même temps il a rugi et éjaculé au fond de mon cul. Il se vidait en saccades, sans bouger et pendant plusieurs secondes je l’ai senti me remplir de son sperme à son tour. Il resta collé à moi un moment et quand il se retira je sentis comme un vide. Mon cul dégoulinait de sperme, mes tétons étaient durs : ils m’avaient possédée comme une fille facile et j’avais joui par leur queue mais aussi par la situation de soumission. Je jouissais d’être soumise à ces mâles et de les faire bander.
     Après avoir récupéré il m’a rendu ma culotte et nous nous sommes rhabillés. Avant de partir il m’a donné son planning de travail dans la villa, et il m’a ordonné de venir faire un point d’avancement le vendredi à midi, rasée, habillée sexy sans culotte.

     
     C’était fin juin, l’année scolaire se terminait et nous déménagions le 1er juillet. Je peux vous dire que je suis toujours sa maîtresse et que depuis les expériences et les jouissances en tout genre se succèdent. Je vous raconterai la suite dans un prochain courrier.

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