TITRE : Resto à Nantes
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur

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Depuis quelques mois que j'ai rencontré ma ravissante petite exhibitionniste, Bénédicte, je vis sur un petit nuage de bonheur et souvent, il me tarde de la retrouver. Notre complicité est tellement intense qu'elle a bouleversé ma vie. Mais nous avons choisi malgré tout, pour nous protéger de ce quotidien qui tue, de garder une relative indépendance. Elle vit seule et moi aussi depuis quelques temps, assumant néanmoins la charge matérielle d'une famille que j'imaginais jusque là être le but ultime et unique de mon existence. Mon foyer un peu déserté reste à mes yeux ma principale source de préoccupations, je crois honnêtement les garder à l'abri du besoin, leur garder de longs moments de tendresse et ma passion décuple mon énergie quotidienne.


Il est possible que je cherche une justification à ma conduite mais j'ai découvert que sans passion, la vie n'était qu'un long fleuve tranquille et ennuyeux. Peu m'importe ce qu'il adviendra de notre histoire. Chaque seconde vécue est unique et inaltérable. Nous nous sommes reconnus de nombreuses passions communes et, s'il est évident que nos moments forts sont axés sur le plaisir de nos sens, il nous est arrivé quelques aventures sympas, dont une particulièrement mémorable, parce qu'elle fut la première qui vit entrer dans notre jeu fou un inconnu.


Nous sommes partis un mercredi matin pour Nantes où j'avais quelques rendez-vous. À 16 heures, nous étions libres. Nous sommes passés à l’hôtel nous rafraîchir avant de partir en balade. Béné portait une jolie petite robe bleu marin, entièrement boutonnée sur le devant. Très courte ! Les deux boutons du bas restaient ouverts, bien échancrés sur ses superbes seins. Elle était ravissante à croquer, très sexy. Je l'ai tellement caressée dans notre chambre, qu'elle a dû changer de slip avant de sortir.


Nous avons marché en savourant le regard des hommes sur son décolleté et ses jambes. Certains s’arrêtaient et se retournaient pour suivre des yeux le balancement de sa jolie croupe. Elle adore ces regards sur son corps et sait à quel point j'aime voir s'allumer un éclair de désir dans la prunelle de ceux que nous croisons. Après avoir passé quelques temps à la terrasse d'un café, attendant l'heure du dîner et nous amusant à observer le manège de certains promeneurs qui tâchaient d'apercevoir un peu plus que ne leur laissait voir le bas de la mini robe, nous nous sommes dirigés vers une grande taverne et nous avons choisi l'un des coins les plus calmes, dans un petit box de cinq tables, entourées de plantes vertes. J'ai laissé à Bénédicte la vue sur l'assistance et me suis assis en face d'elle. Devant moi, de grandes glaces murales me donnaient une vue sur le restaurant. Un homme d'environ 30 ans, type commercial en voyage, s'est installé derrière moi. Béné s'est légèrement penchée pour l'apercevoir par-dessus mon épaule. Le garçon lui faisait face et l'a saluée d'un sourire charmeur. Je l'apercevais dans le miroir. J'ai demandé en riant à Béné :
c'est ton genre ?

- Plutôt mignon ! m'a-t-elle répondu
- Pour l'instant la nappe lui cache tes jambes, mais s'il les voit, il risque de renverser son verre !
- Tant pis pour lui, ! a t elle répondu en souriant

Je sentais que la soirée s’annonçait bien et je savais que le dîneur aurait droit à un supplément imprévu à son menu.
J'étais comme à l'habitude si heureux d'être avec elle, que je ne cessais de lui raconter des bêtises, son rire cristallin et spontané éclatait sans retenue. Beaucoup de dîneurs tournaient les yeux vers elle. Si nous avions voulu l'incognito, c'était raté…


Au bout de quelques minutes, après avoir constaté que le garçon ne détachait que rarement son regard de ma compagne, ce qu'elle n'avait pas manqué de remarquer, et sur un regard plus appuyé de ma part, Béné s'est décalée sur la banquette. Ni la nappe, ni la table ne cachaient plus ses jambes. Sa robe avait largement remonté et les boutons du bas, restés ouverts, dévoilaient ses cuisses jusqu'à un morceau de dentelle blanche. Cette discrète exhibition m'était destinée et mes yeux disaient clairement à ma compagne combien je l'appréciais, mais il me suffit d'un coup d'œil dans le miroir mural pour deviner que son admirateur, qui la regardait droit entre les jambes, ne devait plus ignorer qu'elle portait un slip blanc, tellement fin qu'il laissait deviner l'ombre de sa toison brune rasée. Mon émotion devait être lisible et Bénédicte, les joues roses et le regard un peu brillant, se laissait admirer, allant jusqu’à croiser et décroiser les jambes, puis les laissant légèrement ouvertes. L'air innocente, sûre d’être bien vue de nous deux, elle mesurait dans mes yeux le plaisir que me procurait cette exhibition. Le vin rosé Italien faisait fondre ses dernières retenues. Après avoir longuement dégusté ces instants, alors que notre conversation n'était plus qu'un murmure, je me suis senti parcouru d'un long frisson, et me jetant à l'eau, très excité, je lui ai demandé :

-"Donnes moi ton slip !"

J'ai lu dans ses yeux un instant de stupeur, puis une onde d'humidité et de tendresse.

-"Non ! Je ne peux pas l'enlever ici ! M'a t-elle opposé d'une voix sourde."

Devant l'insistance de mon regard, elle a rougi, puis sans un mot s'est levée et rendue aux toilettes. En revenant, elle a déposé sur mes genoux une petite boule de tissu blanc et s'est rassise, sagement dissimulée derrière la nappe, les yeux brillants. Après m'avoir silencieusement interrogé du regard comme pour me demander un consentement qui était évident, elle s'est à nouveau décalé. Je l'ai vue desserrer lentement les cuisses ; le garçon pouvait apercevoir sans équivoque sa petite chatte nue. Il avait l'air totalement stupéfait. J'étais moi-même dans un état second, les tempes battantes, hypnotisé, sourd et aveugle à tout ce qui n'était pas Bénédicte et le visage de ce garçon dans la glace. J'ai demandé des cafés et l'addition. Le gars s'est alors levé pour aller régler directement au bar.

-"Ou il ne t'a pas remarqué, ou il nous attend dehors ! Ai-je soufflé à Béné."

Aucune réponse ne pouvait mieux traduire ses sentiments que ce mélange de tendresse, de confiance et d'excitation sur son visage. C'est fou ce que peuvent dire les yeux d'une femme lorsqu'on y prête attention. Nous sommes sortis quelques instants plus tard. J’ai immédiatement repéré notre homme au volant de sa voiture, le long du trottoir, vitre ouverte.
J'ai mis un bras autour du cou de ma compagne, glissant ma main dans l'échancrure de sa robe, empaumant un sein nu, doux et plein et, passant à sa hauteur, j'ai dis à voix haute :


-"Je vais te faire visiter Nantes by-night. Je crois que nous avons laissé la voiture sur la place de la gare."

En arrivant sur cette place, nous avons aperçu la voiture de notre suiveur, arrêtée dans un coin un peu isolé. Nous nous sommes installés. Durant quelques minutes, j'ai attendu qu'il se manifeste en venant caresser les seins de Béné, mais nous avions sans doute à faire à un timide et cela me plaisait.

-"À mon avis, il n'osera pas s'approcher, ton admirateur. Tant de discrétion mérite une petite récompense, non ?"
-"Tu es un vrai salaud ! M'a t elle répondu, la voix un peu tendue, se lovant dans mes bras comme une chatte sensuelle et confiante."

Doucement, je l'ai repoussé, j'ai démarré et suis venu me ranger à coté de sa voiture. J'agissais comme un automate et il me semblait être devenu mon propre spectateur. Très curieux comme impression ! Ceux qui ont vécu d'intenses moments d'excitation me comprendront ! Le garçon avait l'air surpris et incrédule. Il a ouvert sa portière en dévisageant Bénédicte et s'est approché de la vitre entrouverte, sans un mot. Je me suis penché sur ma compagne, les mains tremblantes, j'ai déboutonné le haut de sa robe, exhibé ses seins en les caressant. Béné, les yeux fermés, respirait très fort. Je sentais ses tétons durcir sous mes doigts. J'ai achevé lentement de défaire sa robe pour révéler à notre voyeur son ventre nu et sa toison. Elle a ouvert les cuisses quand j'ai empaumé sa chatte et a fait glisser son bassin vers l'avant du siège. J'ai trouvé ses lèvres gonflées, sa fente ouverte et gluante de foutre, son bouton dressé. Courbé, appuyé à la voiture, le visage contre la vitre, le garçon, malgré la clarté faiblissante, devait avoir une vision superbe de ma petite pute offerte, se laissant branler. Il a porté la main à son sexe, sans oser défaire son pantalon. J'étais moi-même au bord de l'éjaculation en fouillant la chatte de Béné qui ondulait en gémissant. Le temps n'avait plus d'importance, ni même l'endroit. Tout mon être était concentré sur Bénédicte et je guettais et goûtais chacune de ses réactions. Je l'ai emmené jusqu’à l'orgasme. Elle a jouit en criant, arqueboutée, me déchargeant son jus dans la main. J'ai jouis en même temps qu'elle, sans qu'elle ne me touche.
Je ne voulais pas que ce moment exceptionnel s’arrête, j'ai murmuré à l'oreille de ma compagne :

-"Tu voudrais qu'il te caresse aussi ?"
-"Oui, si tu veux, je suis d'accord !"
-"Ici, dans la voiture ou on l'emmène à l’hôtel ?"
-"Non ! Pas à l’hôtel !"
-"Alors ici ou dans son hôtel ? Est-ce qu'il te plaît ?"
-"Oui, a-t-elle chuchoté, la tête nichée au creux de mon cou."

Je me suis adressé au garçon :

-"Est-ce que vous avez un hôtel ?"

La voix tremblante, il m'a répondu :

-"Oui. Vous voulez bien que je vous y emmène ?"
-"OK, on vous suit."

C’est la première fois que nous acceptions un partenaire, physiquement, mais nous étions aussi émus et excités l'un que l'autre. Je sentais que Béné, dans un état second, abandonnait toute retenue. Nous avons suivi notre hôte jusqu’à un Campanile, à la sortie de Nantes, endroit idéal pour sa discrétion. Béné avait juste refermé sa robe et je la sentais un peu tendue. J'ai soudain réalisé la folie de notre situation et malgré l'intense excitation qui m'habitait, j'ai proposé à Bénédicte :


-"Si tu veux, on peut partir !"
-"Non, j'ai envie de me faire baiser. Et puis c'est bien ce que tu veux ? Mais tu me protèges hein !"
-"Oui ma petite salope ! Je te promets que tu vas te faire baiser comme une reine, qu'à deux, on va te défoncer ta petite chatte et te faire jouir sans aucun répit."

Toute ma réticence a fondu devant son accord. Nous avons rejoint le garçon qui nous a conduit à sa chambre. L'atmosphère était à couper au couteau. Notre excitation à tous trois était visible, palpable et intense. Notre compagnon était pétrifié.
Nous n'avons pas dit un mot. J'ai pris Béné dans mes bras, en l'embrassant j'ai déboutonné sa robe et je l'ai allongé sur le lit. Je me suis étendu à coté d'elle pour la caresser. Il est venu s'asseoir de l'autre coté. Il a empaumé ses seins, les pelotant l'un après l'autre, très doucement, pinçant les tétons saillants pendant que je lui fouillant la chatte. Je me suis un peu écarté d'elle pour jouir du spectacle qu'elle offrait, étendue quasiment nue, les pans de sa robe chiffonnés, les cuisses grandes ouvertes, le sexe dilaté, se laissant branler par cet inconnu. Le garçon semblait avoir perdu un peu de sa timidité. Il lui léchait les seins et sa main avait pris la place laissée libre entre les jambes de Béné. Voyant que je lui laissais l'initiative, sa bouche a parcouru le corps de ma compagne, lui léchant le ventre, les cuisses, avant de se poser sur sa chatte. Il avait l'air de plus en plus excité et lui bouffait la moule avec application, la suçant de plus en plus profondément. Béné se tortillait et ondulait en gémissant sans retenue. Je me suis rapproché d'elle. Elle m'embrassait avec fureur et s'est mise à délirer.

-"Oh c'est bon ! Il me fait ça bien ! Je vais jouir… Viens, Pierre, viens…"

Je me suis levé pour me déshabiller. La vue de cette petite salope se laissant sucer la chatte par un inconnu comblait mon côté voyeur.

-"Oui…Oui…Baisez-moi tous les deux, maintenant !"

Elle s'est arqueboutée et a jouit en criant, prenant à pleines mains la tête qui fourrageait entre ses jambes. Je lui ai à peine laissé le temps de se reprendre. J’ai demandé au garçon de mettre le préservatif que je lui tendais et je me suis allongé sur Bénédicte. Je me suis enfoncé dans son ventre d'un seul coup de reins, fou d'excitation et comme pour la punir d'avoir joui sous un autre que moi. Elle était brûlante, distendue par le plaisir et elle a pratiquement hurlé quand ma queue a cogné au fond de son vagin. Et comme j'avais déchargé déjà quelques temps auparavant, je l'ai longuement baisé, alternant les grands coups de queue et les stations calées au fond de son vagin gluant. Ma bite sortait de sa vulve avec un bruit obscène de clapotis et de succion. Dès que notre complice a été prêt, je me suis retiré, j'ai fais rouler Béné, à quatre pattes, les genoux au bord du lit, le cul offert, cramouille béante et je l'ai offerte au garçon.

Debout derrière elle, la tenant par les hanches, il l'a enfilé par petits coups tandis qu'assis à côté d'elle, je lui pelotais les seins. Il s'est mis à la défoncer à coups secs. Ses seins tressautaient dans ma main. Ses yeux étaient hagards, elle gémissait de plus en plus fort, tortillant sa croupe.

-"C'est bon ce qu'il est en train de te faire, hein ma salope !"

Elle s'est mise à délirer alors que son cavalier accélérait la cadence.


-"Oui, c'est bon ! Putain, je le sens bien, je vais jouir ! Vous êtes des salauds mais ça m'excite !"

Le mec la bourrait à grands coups de bite, faisant claquer son ventre sur les fesses tendues, la maintenant solidement par les hanches. J'ai glissé la main sur sa chatte, jusqu’à son clito tendu. Je sentais la queue qui fouillait sa cramouille. Elle a joui en feulant comme une salope, limée et branlée tout à la fois. Je n'en pouvais plus. Dès que le garçon s'est retiré après avoir joui, je l'ai fait rouler sur le dos et me suis abattu entre ses cuisses. J'étais pratiquement à quatre pattes. Elle grimpait littéralement le long de ma queue, la faisant glisser au fond de son vagin, les jambes nouées dans mon dos. Je me suis mis à la labourer de toutes mes forces. Elle jouissait sans interruption, dans un torrent de grossièretés qui dépassait tout ce que nous avions l'habitude de dire pendant que je la baisais.

-"Oh oui…Tu es gros…Je te sens bien…Baise-moi fort…Je viens…Je jouis…"

J'ai déchargé dans son ventre et elle a hurlé. Elle frissonnait, comme branchée sur un courant électrique. Nous sommes restés longtemps soudés l'un à l'autre, reprenant notre souffle. Notre compagnon, assis sur le lit, n'avait pas perdu un instant de notre chevauchée et l'état de raideur de son sexe prouvait à quel point cette exhibition lui avait plu. Je me suis dégagé de la fourche de Béné. Elle n'a eu aucune réaction quand, après avoir ré-enfilé un préservatif, il est venu s'allonger sur elle et l'a pénétré. Elle s'est laissée baiser comme une poupée inerte. Puis au bout d'un instant, elle a semblé se réveiller et sans s'occuper de son partenaire, je l'ai senti aller chercher au plus profond de son ventre un nouvel orgasme qu'elle a accueilli en poussant un hurlement, enserrant avec frénésie son cavalier entre ses jambes.

J'ai presque ressenti une douleur de la voir ainsi s'abandonner sous cet inconnu. Ce n'est que bien plus tard, après nous être douchés, que nous nous sommes retrouvés allongés nus sur le lit, encadrant Bénédicte et que nous avons parlé.
C'était aussi la première expérience de triolisme que vivait le garçon qui nous a appris s’appeler Benoîst et être bien un commercial, plutôt réservé et timide. Nous avons durant un long moment caressé le corps de Béné, épuisée mais heureuse de se laisser peloter sans avoir d'autre mouvement à faire que de maintenir bien écartées ses cuisses. Benoîst n'a pas insisté quand Bénédicte a manifesté le désir de rentrer dormir à notre hôtel. Il a simplement tenu à nous laisser son téléphone, nous assurant combien il aimerait que nous l’appelions si nous en avions envie.

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