TITRE
: Rendez-moi ma plainte
Catégorie : Histoire
avec un e inconnu e
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Un soir de décembre, alors que je faisais quelques courses pour les fêtes
de fin d'année dans le supermarché de quartier, j'ai perdu la tète.
Je m'explique, policier de métier et pas un radis en cette fin d'année. La
sous mes yeux le coffre à bijoux mal fermé avec des bagues sur le
présentoir. Voulant faire plaisir à ma copine et puis surtout je pensais que
vu que tout le monde vol (vu mon métier je le sais), il suffisait de bien
faire attention et tout se passerai bien, et j'ai tenté ma chance.
Tout à marché super bien, jusqu'à la sortie..
Les deux vigiles m'ont demandés de les suivre.
Une fois le crime inavouable, avoué et qu'ils se sont rendit compte que
j'étais policier, ils n'en croyaient pas leur yeux.
Que faire mes collègues allait venir me chercher ? Peut être allais je
être virer ?
Je les supplié de ne pas poursuivre la plainte pour vol à l'étalage car
toute ma vie en dépendait.
Je leur proposais des sous mais je n'avais que 20 euros dans mon
portefeuille.
Dans les deux vigiles il y avait un jeune pas très costaud et un vieux
d'une cinquantaine d'année vraiment baraqué.
Et c'est alors que le jeune vit la photo de ma copine dans mon
portefeuille.
Voyant qu'il lorgnait sur la photo, je lui demandais si ma copine lui
plaisait. Oui beaucoup fit il et continua, si tu nous la présentais que l'on
puisse regarder de plus prés.
Je sortais comme excuse qu'elle n'était pas la mais que j'avais des photos
de nues d'elle et que je pouvais leur montrer.
Pas question fit le jeune si tu veux tant sortir maintenant, il faut que
l'on voie ta copine en chair et en os toute nue et on déchire la plainte.
Je ne savais pas comment faire mais pour l'instant, c'était la seule voit
d'échappatoire pour filer. Je prenais leur numéro de téléphone et je leur
dis qu'après leur service j'arrangerais tout sa.
Je rentrais en vitesse à la maison en me demandant bien comment je pouvais
faire pour faire passer la mauvaise idée que je venais d'avoir.
Je décidais de lui raconter toute la vérité sur l'histoire, elle était
furieuse. Elle refusa et me dit de me débrouiller. Complètement anéantit je
m'effondrais sur le canapé.
En voyant mon désarroi, elle accepta mais elle jura de me le faire payer.
Je pris mon téléphone et j'appelais les deux vigiles.
En fin de soirée la sonnette de l'appartement sonna. Ma copine alla se
changer dans la chambre et j'ouvris la porte.
Le vieux me dit : elle est où ta copine ?
Je lui répondu : dans la chambre, elle va arriver.
Le jeune surenchéri : Tu vas nous payer un coup à boire quand même ?
Je pensais : cela n'était pas prévu mais bon pour un verre ok
Ils s'installèrent sur le canapé, leur verre de whisky à la main quand ma
copine arriva.
Magnifique, elle s'était habillé en conséquence. Une nuisette bien
transparente avec de beau dessous noir transparent. Même de loin je pouvais
deviner les poils et la fente de son sexe.
Bizarrement je trouvais que ma copine était à l'aise alors quelques heures
auparavant elle ne voulait rien savoir.
Tout en buvant son verre le vieux commençait à avoir les yeux pétillant et
dit : moi je suis prêt. C'est quand vous voulez.
Sur ce, j'ai dit, bon maintenant je peux avoir la plainte.
Le vieux dit que ce n'était pas encore commencé et donc pas question.
Ma femme se mit en face d'eux et commença son petit jeu d'aguicheuse. Les
deux ne pouvaient cacher l'effet qu'elle leur faisait. Sa nuisette coulissai
t sur ces jambes, son cul se dévoilait afin que l'on puisse voir son
adorable cambrure et ces fesses bien fermes. Je voyais ces seins pointaient,
j'en suis sur maintenant elle prenait du plaisir à les exciter.
Elle enleva sa nuisette, les seins bien que lourds avec son 95 C étaient
droit et se présentaient fièrement devant les deux lascars passablement
excités. D'ailleurs le plus jeune n'hésite pas à ouvrir sa braguette pour
sortir sa queue et commencer à se branler en la regardant.
La culote ne tardait pas à descendre pour nous montrer ces poils savamment
épilé. On pouvait deviner ces lèvres gonflées de désirs.
Cette fois il avait eu leur compte, je leur demandais autoritairement le
papier et les invitée à quitter la maison.
Pour seule réponse, le vieux enleva son pantalon et me dit :
Quand je serais vider d'accord.
Il se leva et commença à caresser ma femme qui de toute évidence ne
demandait plus que sa. Il se mit derrière elle et mit sa queue entre les
fesses tout en titillant les tétons déjà bien droits.
Le jeune, maintenant tout nu, vient devant elle malaxer son sexe.
Ma femme lui rendit l'appareil et commença à le branler. Il avait une
queue de taille respectable. Je sentais que la température ambiante était
passée au rouge.
Le vieux la retourna et appuya sur sa tète afin qu'elle vienne le sucer.
Elle se mit à genoux et empoigna son sexe. La taille de sa queue n'avait
rien à voir avec la mienne. Il était monté comme un âne. Je la voyais lutter
pour l'enfoncer au plus profond de sa gorge. Une main lui prenait les
bourses et l'autre s'activer sur la tige.
Le vieux était au ange. Il me regarda et me dit : si elle continu à être
gentille comme cela, il n'y aura plus aucun problème.
Le jeune s'était mis en dessous et lui bouffais le clito.
Et moi j'étais assis sur le canapé à contempler le spectacle. Je me suis
même surpris à bander en la voyant prise par ces deux inconnus.
Le vieux dit : viens sur le canapé et assis toi sur ma queue.
Ma femme pris sa queue entre les mains pour la tenir bien droite et
pouvoir s'enfiler ce gros saucisson entre les jambes. Croyez moi, la tète
qu'elle faisait montrer bien la difficulté de rentrer ce bout en elle. Elle
poussait des cris mélangés de douleur et de plaisir. Le jeune se mit à coté
et pendant qu'elle se faisait limer, elle le suçait.
Elle me regardait comme pour connaître mes intentions, savoir jusqu'à ou
cela devrait aller.
Franchement je ne savais plus.
Avec une de ses mains elle me fit signe de me rapprocher. Elle ouvrit ma
braguette et commença à me branler.
Le jeune commencer à montrer des signes de nervosité et je sentais qu'il
était à deux doigt de jouir.
Il dit je veux t'enculer maintenant.
Le vieux s'allongea sur le canapé pendant que le jeune grimpait derrière
pour la sodomiser.
Maintenant elle me suçait et je pouvais voir les deux en train de la
bourrer par tous les trous. Ma femme criait, les deux en profiter un max et
ne lui faisait pas de cadeau.
Cette image m'a rendu fou et j'ai déchargé dans la bouche à ma femme.
Le jeune me suivi, et il se repend dans son cul en hurlant de plaisir.
Le vieux avait vraiment de l'endurance. Il s'arrêta et dit à ma femme de
le sucer pour le faire jouir. Elle me regarda et me dit de venir. Je ne
comprenais pas ce qu'elle voulait.
A coté d'elle elle me dit. Je t'ai dit tout à l'heure que tu allais me le
payer et bien maintenant c'est toi qui va le sucer et le faire jouir.
Le vieux éclata de rire en disant qu'il aimerait effectivement que ce soit
moi qui le suce maintenant.
Alors que je n'arrivais plus à dire quoi que se soit, ni à bouger, le
vieux m'attrapa et pencha ma tête sur son pieu. Ma femme se mit à coté de
moi et lui suçait les couilles. Le jeune en profitait pour reprendre le
chemin de son cul.
Je n'avais jamais fait sa auparavant mais j'avoue que je commençais à
prendre du plaisir et ma femme et le vieux s'en rendait bien compte.
Ma femme m'encourager à continuer et le vieux me traiter de Pd qui aime
sucer les bites.
J'étais complètement transformé. Je l'ai sucé comme un fou, comme
j'aimerais qu'on me suce. Ma femme me caressait en même temps, me titillait
les bourses et me branlait. Elle commença à me lécher et je sentais ces
doigts caresser avec insistance le petit trou. J'étais comme une chienne en
chaleur. Je fermais les yeux appréciait mon traitement.
Le vieux dit à son collègue : prend ce minable par le cul et fait le
monter au 7eme ciel.
Ma femme avait le sourire au coin des lèvres et pour mieux me préparer
s'enfonça en moi avec un doigt, puis deux.
Elle appela le jeune et c'est elle qui dirigea sa pine en moi.
Il me secoua sans ménagement, je criais tout en branlant le vieux.
Il faut croire que la scène était devenue très excitante car le vieux me
gicla dessus et le jeune joui en moi.
Ma femme ramassa la semence du vieux avec ces doigts et me le donna à
sucer.
Il sortit de sa poche le papier et le colla entre mes fesses.
Depuis les relations avec ma femme sont devenues assez ambigües mais
qu'importe j'ai passé malgré tout un des plus important jour de ma vie.
Rouget.
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