TITRE : Rencontre sur le Net
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Histoire érotique
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Elle en avait vraiment marre de tous ces mecs imbéciles qui lui demandaient si elle avait de gros seins ou si elle suçait. La vie lui semblait morne, Lydia était seule depuis longtemps, mais ce qu'elle cherchait ne se trouvait pas sous les sabots d'un cheval.

Elle le rêvait parfait, pas spécialement physiquement, mais tendre, câlin et surtout doux, mais coquin au lit, celui qui la ferait grimper aux rideaux, qui lui permettrait d'assouvir ses fantasmes... bref, un homme bon dans tous les sens du terme.

Au moment de fermer son ordinateur, un dernier message, un jeune homme qui, sous un pseudonyme sympathique, lui dit tout simplement « Bonsoir, comment vas-tu ? ». Elle se dit qu'il mérite une réponse, lui qui semble si courtois. Une discussion s'engage... Elle va les entraîner jusqu'à une heure impossible. Elle qui doit se lever tôt décide de ne pas se coucher. Lydia est subjuguée par sa conversation avec cet homme, elle ne sait pourquoi, mais quelque chose l'attire, lui plaît chez cet homme. Son prénom est doux à son oreille, il s'appelle David. Rendez-vous est pris pour un café le lendemain soir. Ils se souhaitent une bonne nuit, enfin... et se quittent.

Lydia va s'allonger sur son divan, histoire de se détendre avant d'aller travailler. Son imagination se met alors à vagabonder, elle s'imagine un homme grand, ténébreux, (ils n'ont pas échangé de photo, pour conserver la surprise jusqu'à demain), qui la serre dans ses bras, faisant glisser en même temps les bretelles de sa nuisette, puis ses lèvres qui courent de sa nuque à ses épaules et arrivent enfin sur ses tétons tendus d'excitation par ses tendres baisers. Elle prend dans ses mains son sexe énorme gonflé de désir et, tout en le masturbant tendrement, de haut en bas, avec une délicieuse lenteur qui pourrait passer pour de la torture, elle savoure de manière tactile son délicieux engin qui palpite.

Lui commence à respirer plus fort, à haleter sous la pression de ses doigts. Lydia se recule doucement, elle se met à lécher du bout de sa langue douce et chaude le torse imberbe de cet homme, et dans une cascade de baisers elle pose sa bouche qui n'attendait que ça sur la bite tendue et impatiente. Elle commence par faire tournoyer sa langue sur le gland rose qui libère une goutte de rosée claire, sucrée-salée, et donne à Lydia l'envie de le dévorer... Elle se maîtrise et entame une lente descente jusqu'à ses bourses qu'elle lèche avec délectation. Lui se tord sous les caresses, il lui tient la tête en caressant ses cheveux, de peur qu'elle ne s'arrête, surtout qu'elle ne cesse jamais, c'est terriblement bon, son pénis si bien au chaud dans cette caverne si accueillante qu'est la bouche de cette femme.

Lydia sent qu'elle est trempée, déjà qu'en général elle mouille beaucoup, mais là, ce sont les chutes du Niagara ! Elle remonte, enjambe son partenaire pour lui offrir sa coupe qui déborde, qu'il puisse s'y désaltérer. Et pendant qu'il fourre deux doigts dans son vagin et lui caresse l'anus, elle lui fait une fellation qui augmente en intensité, en ardeur. Il sent sa queue monter et descendre dans la bouche, pendant qu'en même temps ses doigts suivent la cadence sur sa bite qui semble prête à exploser tant elle palpite. Mais non... il doit résister, il doit pouvoir la prendre, mettre son sexe dans ce vagin mouillé comme il adore, il doit aller profondément en elle, elle doit le supplier de continuer, il doit la faire jouir comme elle n'a jamais joui !

Soudain, il n'y tient plus, il rampe, se met à genoux derrière elle, lui écarte doucement les fesses, puis la branle avec ses doigts, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle suit ses mouvements, son bassin bouge d'avant en arrière pour qu'il puisse vraiment s'enfoncer en elle. Il retire ses doigts d'un coup sec, laisse passer quelques secondes et se met à l'enfourner de sa bite, bien fort. Elle gémit doucement, puis monte d'un ton, jusqu'à ce qu'il voie qu'elle cramponne les draps afin de se retenir de hurler de bonheur. Il amplifie ses mouvements, met un doigt dans son étoile noire pour lui faire encore plus de bien, il sent qu'il va jouir, elle aussi, elle contracte de plus en plus ses muscles vaginaux, il adore cela, c'est terrible cette sensation autour de son pénis, et là... il éjacule. Sa semence gicle en elle, elle se tord dans tous les sens sous l'effet de la jouissance, elle adore être prise comme ça.

Cette violence pleine de tendresse l'excite au plus haut point.

Ils se lovent l'un contre l'autre, imbriqués, comme s'ils ne faisaient qu'un.

Chacun écoute la respiration de l'autre.


Un bruit la réveille subitement, elle sort tranquillement de son état léthargique, ronchonne contre le chat qui miaule pour avoir à manger, se prépare et file au travail encore toute émoustillée de son superbe rêve.

La journée va être longue, les heures vont s'éterniser, comme un fait exprès, elle se languit de voir cet homme qui avant de faire chavirer son cœur fait chavirer ses sens. Le téléphone sonne, c'est lui ! Elle décroche l'air de rien, ils se disent des banalités et fixent le rendez-vous à 20 heures chez elle. Il viendra la chercher pour aller dîner. Le café, ce sera pour une autre fois, il est coincé au bureau, mais ne veut en aucun cas repousser cette entrevue. Elle jubile.

Le boulot fini, Lydia rentre chez elle, prend un long bain moussant pour se délasser, se maquille, se parfume. Elle porte toujours des parfums légers mais sucrés, ce qui la rend attirante, on a envie de mordre dans son cou, comme on mordrait un fruit mûr. Elle choisit avec attention sa tenue, sexy mais pas trop, il ne faudrait qu'il croie que c'est une fille facile !

Donner envie, suggérer, mais pas montrer, c'est son adage et elle ne déroge jamais à la règle.

20 h 15, il est en retard, la déception envahit Lydia qui se dit qu'elle s'est fait poser un « lapin » et elle pense avoir été sotte de ne pas se méfier. Ça y est, on sonne, c'est lui. Dans le couloir, elle vérifie son apparence, rectifie son rouge à lèvres et ouvre la porte d'une manière qui lui paraît très naturelle. Il est là, il est beau, mieux que dans son rêve : il a de beaux cheveux bruns, des yeux d'un vert émeraude, un sourire et une voix à tomber par terre.

Lui, il la trouve jolie, avec ses formes dodues, des yeux plus bleus qu'un ciel d'azur et une énergie qui soulèverait des montagnes. Elle semble très gaie, heureuse de vivre. Il s'imagine un instant en train de lui faire tendrement l'amour, là, dans son couloir... mais non, non, il doit l'emmener dîner, ils doivent d'abord apprendre à se connaître, c'est important pour lui. Mais cette femme a le don de lui inspirer confiance et surtout, il rêve de lui faire l'amour bestialement et tendrement à la fois, elle ne semble pas farouche. Tant pis pour les banalités et niaiseries du genre.

Elle l'invite à entrer pour prendre un verre, il fait chaud et cela le rafraîchirait. Il réfléchit, puis accepte l'offre. Son appartement est bien agencé et la décoration lumineuse. Il se sent chez lui, comme s'il connaissait déjà les lieux. Il visite quand, tout à coup, il sent une main glisser le long de son dos, lui procurant un intense frisson. Elle se rapproche et lui glisse à l'oreille de la façon la plus langoureuse qui soit :

- J'ai terriblement envie de toi, que tu me baises, là, maintenant, tout de suite.

Il se retourne, ne pouvant lui adresser un refus, il colle ses lèvres aux siennes et va chercher sa langue, il parcourt avec délice sa bouche. Il accompagne son baiser de caresses insistantes sur son pubis qu'il sent déjà brûlant à travers son pantalon de toile. Sa hampe gonfle au fur et à mesure que les mains de Lydia descendent sur son torse. Puis elle lui ouvre la braguette, en extrait un sexe incroyablement puissant, vigoureux et surtout énorme, qui frémit et tenterait toute femme en sa possession.


Il la regarde, plein de désir, la saisit par les cheveux, oh ! doucement et si durement à la fois qu'elle se sent terriblement excitée et prête à toute soumission pour lui faire plaisir.

- Suce-moi, lui dit-il.

Elle ne peut qu'être favorable à cet ordre impérieux, qui de toute façon lui tenaillait déjà les entrailles, il ne lui fallait que son autorisation.

Ils avancent jusque dans sa chambre et se déshabillent mutuellement, les vêtements volent tant leur ardeur à se toucher la peau, le sexe est intense. Ils se ruent littéralement l'un sur l'autre pour être sûrs de ne rien manquer de la chaleur qui se dégage de leurs corps en fusion.

David se met sur le dos et laisse sa verge pointer vers le ciel, à la disposition de Lydia, qui le prend dans sa bouche et se met à décrire des cercles sur toute la longueur. Il lui dit :

- Retourne-toi et donne-moi ta chatte à lécher.

Elle s'exécute, n'attendant que ça : une langue profondément enfouie dans son con, qui déjà bave de plaisir. Lydia le branle avec ferveur, longuement, ralentissant ses mouvements lorsqu'elle le sent sur le point d'exploser et d'envoyer dans sa gorge sa sève d'amour. David se dit que, vraiment, il n'aurait pas trouvé mieux comme femme qu'une déesse de la pine. C'est royal, que du bonheur. Il se sent libéré, lui qui est si complexé par la taille de son pénis, il a tant subi les quolibets avant elle, pourtant elle ne semble pas gênée par la taille de son gourdin, bien au contraire. Il la veut, tout de suite, qu'elle vienne s'empaler sur son membre fièrement dressé, qu'elle l'enserre dans son vagin trempé et chaud, prêt à le recevoir. Il hésite, lui demande si ça va. Lydia le rassure en ne prononçant rien d'autre qu'un énorme soupir de bien-être en s'empalant jusqu'à la garde. Commence alors un ballet de va-et-vient entre les deux corps qui ne font plus qu'un, c'est un régal ! Le coït dure longtemps, ils raffolent de leurs corps qui transpirent sous cet effort ! Il la retourne d'un geste étudié et la sodomise avec une souplesse inconnue chez lui, cela la surprend, mais son cul est humide et n'attendait que cela ! Ils jouissent de concert, elle se laisse choir doucement sur la poitrine de son amant, il lui caresse doucement la tête et elle se sent emportée très loin par les battements affolés du cœur de son compagnon. Demain, après avoir goûté au sommeil réparateur, ils remettront ça pour que jamais ne cessent leurs ébats.

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