TITRE : Regarder sous les jupes
Catégorie : 
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Depuis un an nous habitons cette maison dans un lotissement et quelques travaux restent à faire. Nous sommes devenus amis avec nos voisins et Martine s'ennuie moins à la maison depuis que nous les fréquentons. Le printemps permet de mieux profiter des avantages de la maison grâce au jardin. Pourtant une terrasse manque, en effet après une averse de pluie nous ne pouvons sortir tant que le sol n'est pas séché. Christian notre voisin est très bricoleur et nous propose de nous aider à construire cette terrasse, nous acceptons son aide avec joie et convenons d'un week-end ensoleillé pour travailler.
Quand Christian arrive, il répartit les tâches en m'affectant à la bétonnière et à la brouette pour amener le ciment tandis qu'il s'occupe d'étaler et de lisser le béton pour faire le sol. Nous avons commencé tôt, j'ai déjà fourni beaucoup d'effort quand Martine propose une pause afin de nous désaltérer. Avec Christian nous avalons un casse croûte énorme arrosé d'un litre de vin blanc, nous plaisantons sur divers sujets. Martine est très contente de voir les travaux avancer et nous sert en exprimant sa joie. Martine porte des vêtements légers car le temps est très beau, aujourd'hui. Devant mon insistance pour qu'elle s'habille plus jeune, plus moderne, elle commence à porter des jupes un peu plus courtes qui laissent voir ses jambes. Aujourd'hui, elle est très jolie et attirante, vêtue d'un gilet rose avec une minijupe en forme de corolle très évasée de couleur grise que je lui ai choisis. Ses jambes sont mises en valeur par cette jupe qui lui arrive sagement à mi-cuisses et la forme très évasée masque ses hanches trop larges. Martine rayonne de jeunesse et son visage finement maquillé la rend très mignonne, ses manières sophistiquées révèlent ses origines de bourgeoise très classe, très bcbg.
Nous reprenons le travail et Christian me presse pour le fournir en ciment plus fin car nous arrivons à la dalle qui sert de sol. Avec une large planche, il étale le ciment liquide et il le lisse d'un geste adroit. Lorsque je dépose le ciment, Martine se tient debout en nous observant et Christian lui réclame son aide afin de déplacer le cordon qui indique le niveau du sol. Martine qui ignore tout de la maçonnerie, semble empruntée pour ce genre de travail manuel et salissant mais timide, elle n'ose refuser. Martine doit s'accroupir alors et tenir un côté du cordeau pendant que Christian tenant l'autre extrémité, le déplace. Elle se tient à l'intérieur de la maison afin de ne pas marcher sur le ciment frais et tend le bras par la porte fenêtre ouverte. Le temps passe, je suis harassé de monter les brouettes de ciment et j'ai envie d'en finir rapidement. La terrasse est réalisée au trois quart, deux portes fenêtres sont déjà passées et il ne reste qu'une porte fenêtre dont le devant n'est pas cimenté. Je demande une pause mais Christian insiste pour continuer afin de couler l'ensemble en une seule fois. Il me presse de continuer plus rapidement pour terminer d'étaler le ciment tandis qu'il se fait aider par Martine, le cordeau à la main. Les gestes de Christian se font rapides et je l'entends mettre la pression sur Martine afin qu'elle tienne fermement le cordeau. Quand je dépose un tas de ciment, je remarque Martine accroupie à la porte fenêtre qui tient le cordeau avec Christian. La position dévoile évidemment sa culotte et le déséquilibre que provoque l'éloignement de la partie cimentée, amène Martine à tendre les bras exagérément et à ouvrir les jambes pour ne pas tomber. Elle veut tellement s'appliquer à bien tenir le cordeau qu'elle ne s'occupe pas de ce que sa position laisse voir. Christian ne semble pas préoccupé de son équilibre précaire et la houspille gentiment pour qu'elle continue de tenir le cordeau sans bouger.
Christian en étalant le ciment, observe Martine discrètement sans qu'elle ne serre les cuisses pour autant, offrant la vue de son entrejambe. Je trouve la situation amusante et je regrette que Martine porte une culotte blanche en coton, la dentelle aurait mieux convenu dans ces circonstances. Je me demande ce que Christian pense de ma femme qui expose sa culotte sous ses yeux. J'amène encore quelques brouettes de ciment quand enfin nous arrivons à la fin de notre labeur. Durant ces derniers voyages avec la brouette, je constate à chaque tournée que Martine les bras tendus, accroupie dans un équilibre précaire, a l'entrejambe de sa culotte de plus en plus visible. Ainsi Martine si coincée qui habituellement tient sagement ses cuisses serrées, cette fois, laisse ses jambes ouvertes pour se stabiliser sans se préoccuper de la vue qu'elle offre. Certes, ses joues rouges montrent la gêne qu'elle ressent mais à aucun moment, elle ne peut esquiver un geste pour se cacher en se tournant légèrement. Martine doit rester bien ouverte, concentrée sur le cordeau tendu et Christian n'en perd pas une miette, les yeux rivés sans masquer son intérêt. Une fois terminé, Martine se hâte de se relever mais se réajuste calmement l'air innocente.
Christian s'est relevé et admire le travail accompli, avec Martine nous le remercions de son aide et il regarde ma femme en souriant. Je propose à Christian de rester pour manger mais il refuse poliment et rentre chez lui sans même boire un verre. Martine prépare le repas et je la rejoins à table dans la cuisine.
- " Heureusement, la terrasse est finie, Christian n'arrêtait pas de regarder." Me dit Martine
- " Regarder quoi? " Lui dis-je.
- " ben, ma culotte." Murmure Martine en rougissant.
- ".Ce n'est pas très grave, tu sais " Je réponds calmement
- " C'est quand même gênant pour moi." Continue Martine agacée
- " Il nous a bien aidé, c'est une petite récompense " Lui dis-je en plaisantant.
- " Tu me dégoûte." S'énerve Martine en rougissant de plus belle.
Je ne comprends pas sa réaction et je me demande à quel jeu Martine joue. Ainsi, Martine semble honteuse d'avoir été aperçue et joue les bourgeoises effarouchées. Toute la matinée, elle avait exposé sa culotte sous les yeux de Christian et maintenant elle s'attendait à ce que je réagisse en me faisant passer pour le coupable. Elle s'était mise seule dans cette situation et ses regrets me semblaient un peu tardifs.
Lorsque nous avons revu Christian et sa femme, je remarquais les regards très intéressés de Christian pour ma femme et je m'en amusais énormément, surtout quand Martine rougissait lorsqu'elle croisait son regard. Dès qu'elle apercevait les yeux de Christian sur ses jambes, Martine inquiète serrait les cuisses timidement pour se protéger comme si elle devinait ses pensées.

Mholla

 

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