Le rayon lingerie de ce magasin m'attire à chaque fois.
Il regorge de belles dentelles, leurs coloris sont doux,
les modèles sont sexy, beaux et voluptueux. Rien que beauté,
aucune vulgarité dans les formes, juste de l'érotisme et
de la sensualité.
La vendeuse est discrète, elle connaît bien ses clientes
et prodigue ses conseils avisés, quand nécessaire. J'aime
y prendre mon temps, regarder ces jolis soutiens-gorge,
ces culottes affriolantes, ces guêpières suggestives....
Le rayon est peu fréquenté en cette fin d'après midi,
seul un homme regarde les portes jarretelles. Je l'ai tout
de suite remarqué, j'ai eu la sensation qu'il me suivait
déjà quand je circulais dans le rayon parfumerie. Puis j'ai
senti, dans l'escalator, son regard se poser sur mes jambes.
J'ai senti ce regard glissé à l'intérieur de mes jambes
nues, très haut sous ma courte jupe de coton et cela m'a
troublé tout autant qu'une main caressante. Il a dû se régaler
du spectacle... s'il savait que mes fesses aussi sont presque
nues dans ma légère culotte en dentelle...
C'est gênant de le voir dans ce rayon. Il est discret,
mais je me sens observée, il est si rare qu'un homme s'intéresse
aux dentelles autrement que lorsqu'elles sont portées. Il
regarde les modèles, en choisi un, puis un autre, pour les
reposer tout aussitôt ; apparemment il ne sait lequel choisir
: c'est pour qui ? Sa femme ? Sa maîtresse ? Je l'observe
discrètement, il ne manque pas de charme malgré un age qui
ne doit pas être loin de la soixantaine, une lueur coquine
se devine dans son regard captivé par cette abondance de
lingerie ; ses goûts sont raffinés : les blancs, les ivoires
et les noirs, de beaux coordonnés avec portes jarretelles,
les soutiens-gorge pigeonnants l'attirent visiblement.
Il lève les yeux sur moi, plus gênée encore je replonge
le nez dans les présentoirs de culottes : il a dû se sentir
observé le pauvre, après tout chacun son tour... et puis
ce n'est pas si désagréable...
- Excusez-moi, j'aimerais vous demanderr un conseil ?
Je me retourne surprise, et je vois devant moi cet homme
les mains chargées de lingerie : rouge, noir, blanc, champagne.
- Oui bien sur, en quoi puis je vous aiider ?
- Et bien, je ne sais lequel choisir, àà votre avis lequel
serait le mieux ?
- Et bien .... Ça dépend de pleins de cchoses ....
- De quoi donc ?
- De la personne qui va les porter, dess circonstances
pour lesquelles vous voulez qu'elle les porte.
Son regard se plonge dans le mien, inexorablement je me
sens attiré par ces beaux yeux bruns.
- C'est pour une femme comme vous.
Je sens mes joues s'enflammer, mon cœur battre plus vite,
je m'attendais à toutes les réponses, sauf à celle là. Il
faut que je mette fin à cette conversation au plus vite,
sinon je vais dire des bêtises :
- Alors disons que je choisirais le blaanc.
- Celui ci vous plait plus ? Pourquoi ??
- Oui, je trouve la guêpière très joliee et j'avoue une
préférence pour le serre taille plutôt que pour le porte-jarretelles
traditionnel.
- Alors je vous les offre.
- Pardon ? ? ? ? ?
- Oui, je vous les offre, je vous demannde de les essayer...
quelle taille pour le soutien-gorge ?
Il ne me laisse guerre le temps de réagir. Déjà il appelle
la vendeuse. Elle me demande mon tour de poitrine, j'avoue
être morte de honte face à elle mais, comme une automate
je réponds :
- 95 C.
Elle cherche dans les tiroirs du meuble et en ressort
une parure complète
- Suivez-moi monsieur dame.
Tous trois nous nous dirigeons vers les cabines d'essayage.
La vendeuse écarte le rideau de l'une d'entre elles.
- Tenez, entrez
- Puis je entrer aussi ? , me demande tt il
Je n'ai pas pu répondre, déjà il était à coté de moi dans
l'étroite cabine et avait refermé le rideau..
- Bon et bien d'accord... puisque vous faites les questions
et les réponses... Mais retournez-vous s'il vous plait.
Se retourner ? Illusoire ! : Des miroirs tapissent tous
les murs de l'étroite pièce... Je décide malgré tout à me
déshabiller, tout en me demandant si je ne suis pas folle,
mais son regard curieux m'attire et la situation est tellement
excitante. J'enlève un à un les boutons de mon chemisier
avec une lenteur équivoque, puis retire mon soutien-gorge.
Je reste quelques secondes ainsi, les seins nus, des secondes
qui me paraissent une éternité. Il me voit, je sais qu'il
me voit, mais je fais comme s'il ne me voyait pas. Je ne
m'étais jamais exhibée ainsi et je découvre que cela ne
me déplait pas. Après quelques secondes de ce plaisir neuf
j'enfile les beaux sous-vêtements blancs qu'il a choisis.
- Alors comment ça vous va ?
- Bien je trouve,
- Je peux me retourner ?
- Oui allez-y..
- Vous êtes splendide, dit il avec culoot, ça vous plait
?
- Oui et à vous ? M'installant dans unee position de mannequin
les mains sur les hanches, coudes et buste légèrement en
arrière.
- Oui beaucoup, attendez-moi, je vais vvous chercher des
bas, ce sera mieux avec les jar telles accrochées.
Je me sens toute bête ainsi vêtue dans un magasin en train
d'essayer des sous-vêtements coquins avec un inconnu, mais
je sens déjà dans mon ventre les picotements du désir m'envahir…
et ne peux que m' avouer que ce jeu me plait. Je décide
d'aller plus loin et de me laisser aller au plaisir de la
provocation
- Tenez ce sera beaucoup mieux avec cecci.
Les bas qu'il a choisis sont d'un très beau modèle, rehaussés
d'une large bande de dentelle. Je les enfile lentement,
offrant à ce regard inconnu la vision du string de dentelle
se glissant entre mes fesses tendues, et encore…. s'il n'y
avait que dans mes fesses... La manœuvre est délicate et
je suis obligé de m'appuyer les reins contre le mur pour
ne pas tomber quant je sens une main me prendre le bras.
Je sursaute à ce contact auquel je ne m'attendais pas.
- N'ayez crainte, je voulais juste vouss éviter de tomber,
pas que le spectacle de votre corps allonger au sol ne me
déplaise mais je ne voudrais pas que vous vous fassiez mal.
- Non non, ça devrait aller merci. Maiss les cabines sont
si étroites....
Je bafouille cette idiotie pour me sortir d'affaire, mais
c'est vrai que la cabine est petite, surtout pour deux.
Je sens cette proximité gênante et excitante à la fois.
Il est si proche de moi que je sens son parfum me chatouiller
les narines. Je sens la chaleur de son corps tous près du
mien. Je sens mon excitation monter d'un nouveau cran. Ce
n'est plus un chatouillement qui me picote le bas-ventre,
j'ai l'impression de couler comme une fontaine.. Il va s'apercevoir
que je mouille mon string. Tant pis je l'enlève en le laissant
tomber sur le sol. Aussitôt dit, aussitôt fait.
-Le string dépareille, c'est mieux sanss, vous ne trouvez
pas, retrouvant tout mon aplomb et reprenant la position
provocatrice de mannequin.
Mais que fait-il ? Le voilà qui se baisse. Il passe très
près de moi, de mes seins, sa respiration sur mon sexe,
mon Dieu ! Il ne va quand même pas……. Il continue à se baisser.........
il ramasse mon string, le coquin. Il se relève, me frôlant
a nouveau, son visage est près du mien, seul mon string
qu'il hume à plein nez nous sépare. J'ai honte à nouveau
de l'odeur et de la mouille de ce bout de tissus. Je ne
sais plus ni quoi dire, ni quoi faire.
- Ca ne va pas ?
- Si si, bien merci
- Je vous sens évasive tout d'un coup
- C'est que... je ne sais pas, je me seens gêner dans
cette situation, je me dis que nous devons être fous et
puis quelqu'un pourrait entrer.
- Gêner ? Une aussi jolie femme que vouus ? On vous a
déjà dit que vous aviez la peau très douce je suppose....
?
Sur cette parole, il intensifie la pression de sa main
sur mon bras, puis se met à le caresser tout doucement :
Je sens mon corps traversé de millions de frissons, le plaisir
sûrement mais aussi la surprise, l'étonnement.
- J'aimerais caresser vos jambes aussi,, je les trouve
si attirante ainsi gainées...
Il ne me laisse pas le temps de répondre que déjà ses
mains glissent le long de mes jambes jusqu'aux chevilles,
puis remonte doucement jusqu'aux genoux. La caresse est
douce, sensuelle, un brin érotique. Ces doigts se font légers
puis plus insistants. Il touche, caresse, palpe ...
- Vous aimez vous faire caresser ainsi ?
- Oui beaucoup, mais je dois avouer quee c'est la première
fois dans une cabine d'essayage.
- Et ça vous déplait ?
- Non, mais disons que je trouve ça gênnant, sachant que
la vendeuse est de l'autre coté et puis on ne se connaît
pas .....
- Justement c'est ça qui est excitant ...... on ne se
connaît pas, nous avons donc tout à découvrir l'un de l'autre.....
Mais puisque la cabine vous gêne, je vous propose de dîner
ensemble ..... Il y a un très bon restaurant juste en face.
Ca vous tente de dîner avec un inconnu comme moi ?
J'ai une seconde d'hésitation, la situation va tellement
vite ..... Alors comme un défi à moi-même je rétorque :
- Pourquoi pas
- Très bien, alors disons rendez-vous àà 20 h. en face,
je vous y attendrai. Juste une chose : gardez ces sous-vêtements
SVP.
Apres un dernier regard sur mon corps à demi nu et un
sourire au bord des lèvres, il me laisse planté là, dans
cette cabine qui tout à coup me semble immense.
Une fois rhabillée, j'en sors toute ébouriffée par l'émotion.
La vendeuse d'un sourire qui en dit long s'empresse d'emballer
les sous-vêtements que je portais en arrivant…..Enfin le
pluriel est inapproprié…..
- Auriez vous oublié le string dans la cabine, je vais
aller voir.
Je suis morte de honte une fois de plus et rougis jusque
derrière les oreilles….oui ou est passé le string. Je ne
l'ai plus vu dans la cabine……. Si la vendeuse y retourne
et ne trouve rien j'aurai plus honte encore……ce vieux vicieux
a du la prendre. Il faut improviser…
- Je l'ai dans ma poche.
La vendeuse sourit, je n'ai aucune poche…
- Tenez, et bonne fin de journée.
- Merci, vous de même.
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Il est 19.50 quand j'arrive au restaurant ; j'aime arriver
juste un peu en avance pour ne pas avoir l'effet de surprise.
A peine ai-je franchi les portes de l'établissement qu'un
jeune homme m'invite à le suivre…
Je suis surprise, comment peut il savoir qui je suis ?
Il m'emmène jusqu'à une alcôve dans un angle du restaurant
où quelques tables sont dressées ; à l'une d'elle un couple
d'une quarantaine d'année, à une autre un groupe d'ami,
une troisième est inoccupée …. Il me l'indique de la main
:
- Monsieur ne va pas tarder, prendrez vvous quelque chose
en attendant ?
- Une coupe de Champagne s'il vous plaiit.
L'alcôve est relativement en retrait, la lumière y est
douce et tamisée, les tables joliment installées. L'endroit
ne manque pas de classe. Ce monsieur décidément a du goût.
Je sirote mon verre tranquillement quand tout à coup je
sens à nouveau ce parfum envahir mes narines, je le sens
tout près de moi, sans même l'avoir vu, puis deux mains
puissantes se posent avec douceur sur mes épaules.
- Toujours aussi belle !
Avec un sourire timide j'ébauche un remerciement quant
un baiser doux et sensuel vient se poser sur mes lèvres.
- J'en avais envie depuis cette après mmidi, désolé je
n'ai pas pu me retenir cette fois ci. Votre tailleur est
superbe et le décolleté magnifique.
C'est toujours agréable pour une femme de recevoir un
compliment …Je ne regrette pas d'avoir été acheter ce petit
tailleur après l'aventure de la lingerie…… Un tailleur de
soie mauve avec des escarpins assortis. Les talons hauts
donnent une allure élégante aux femmes, ils creusent les
reins et font ressortir la poitrine. Sous le tailleur, rien
que les sous-vêtements offert l'après-midi.
- Vous avez changé de toilette, mais paas de sous-vêtements
j'espère.
- N'ayez crainte…..mais il manque un sttring à l'inventaire.
- Il dépareillait, vous l'avez dit vouss-même. Il était
à terre, je l'ai ramassé et j'en fais un usage, comme vous
pouvez le voir, plus raffiné….. accompagnant son discours
d'un geste dégagé et distrait vers la pochette de la poche
de son veston……
C'est pas vrai….Je n'en crois pas mes yeux….Ce cochon
aborde sans honte ma petite culotte comme pochette.
- Eh bien, vous ne manquez pas d'air !
Mon regard, inquiet, explore les tables voisines. Je découvre
qu'on nous observe……Il n'en a cure, le voilà qu'il se saisit
de mon string, le porte à son visage, l'hume, le caresse
contre sa joue, sur ses lèvres, puis regarde ostensiblement
la tache de cyprine qui l'humidifie encore, sans ce préoccuper
le moins du monde de ce couple voisin qui continue d'épier
nos faits et gestes….Je tremble à ce qu'il pourrait entendre……
- J'adore lire dans la petite culotte dd'une femme, c'est
fou ce que l'on y apprend…..
- Ah bon !!! Quoi par exemple ?
- Que nous allons faire l'amour ensemblle ce soir !
- Mais…………..! Certainement pas, pour quui vous prenez
vous………Croyez vous que parce que je me suis amusé de votre
petit jeu cet après-midi, que parce que j'accepte de dîner
avec vous….toutes choses que vous êtes en train de me faire
regretter…..que je vais coucher avec vous. D'ailleurs vous
n'êtes pas mon genre : si je vous ai trouvé séduisant, si
vous m'avez amusé un moment, vous êtes trop âgé, pas assez
viril dans votre apparence et décidément parfaitement grossier.
Je vous croyais gentleman et vous n'êtes qu'un goujat. Nous
allons en rester là, bonsoir Monsieur.
Je tente de me lever. Sa main, virile à n'en pas douter,
me cloue sur ma chaise. Au profond de moi-même et de mon
ventre j'en suis ravie car je suis intriguée. Je dois m'avouer
que j'ai envie d'en savoir plus…….Le voilà qui essaie ,
d'une voix douce, de me répondre.
- Ne vous fâchez pas, je répondais à vootre question,
je ne voulais pas vous offenser
Comment faire pour en savoir plus sans me laisser embarquer
dans une histoire qui est déjà aller beaucoup trop loin……..
- Mais c'est ridicule, que pouvez vous bien lire dans
ma petite culotte ? Je lui dis cela sur un ton dédaigneux
mais en même temps comme c'est une question, ma curiosité
sera satisfaite…. J'en coule d'excitation et je n'ai pas
de culotte………..bonjour les dégâts!
- Bon! Je vais vous expliquer comment een examinant votre
string j'ai la certitude que dans moins une heure nous serons
dans la chambre que j'ai réservé dans cet hôtel.
Faut que j'arrête çà, mais en même temps je ne peux pas.
Cet homme ressemble de plus en plus à un satyre, mais ma
curiosité est la plus forte, même si je tente de me le cacher.
- De mieux en mieux ! Vous êtes bien sûûr de vous….Jamais
je ne coucherai avec vous, d'ailleurs au plus le temps passe
au plus je me rends compte que vous n'êtes pas du tout mon
type d'homme……
- Je sais …..
- Ah bon? et malgré cela je coucherais avec vous dans
moins d'une heure. Vous allez me lire mon avenir dans mon
string comme les vieilles folles dans le marc de café.....
Je dis cela en riant, d'un rire légèrement moqueur, mais
toujours attentif à ne pas décourager son explication.
- On verra, vous ne risquez rien et tannt pis pour moi
si j'ai payé la chambre pour rien.
- La chambre est déjà payée ?????? La bbouteille de champagne
déjà commandée aussi tant qu'on y est ! Vous me bluffez,
d'ailleurs c'est un restaurant ici pas un hôtel de passe.
- Un hôtel de passe certainement pas, vvous avez raison,
mais nous sommes au restaurant de l'hôtel du Louvre, la
porte vers l'hôtel est de l'autre coté du restaurant……..pour
ce qui concerne le champagne vous avez par contre raison,
vous oubliez cependant le bouquet de fleurs et le repas
que je fais servir dans la chambre…..et si vous ne croyez
pas voici la clé chambre 322……..tout cela grâce à ce petit
bout de tissus.
Et voilà que ce vieux vicieux ressort mon string et l'examine
sans la moindre gêne….Je rougis, je regarde, effrayée, autour
de moi……..La table voisine détourne le regard à ce moment
précis, ne me laissant aucune illusion quant à leur intérêt
pour le spectacle que nous donnons.
- Je vous ai cependant menti sur un poiint, j'ai aussi
eu besoin de votre alliance pour arriver à ma conclusion.
Votre alliance m'a appris que vous êtes mariée, malgré votre
jeune age, je devine à votre trentaine épanouie que vous
devez être mariée depuis quelques années et que ce n'est
pas, l'usure du couple ayant commencé son œuvre, pour votre
mari que vous portez un string aussi minimaliste. J'ai donc
la conviction que vous avez un si pas plusieurs amants………..
Et vlan ma fille ………..premier coup touché………ne réponds
surtout pas……..
- Bon pas de démenti officiel........ jje continue…. le
plaisir que vous prenez à vous exhiber, à jouer avec moi,
prouve que vous êtes une femme sensuelle et coquine.
- Exhibition, exhibition, c'est un bienn grand mot pour
peu de choses et puis l'exhibition... c'est pas dans mon
string……
- Mais si, précisément, il est encore, non pas mouillé,
mais trempé de mouille, je ne me lasse pas de m'en régaler.
Vous venez en plus de dire que notre petit jeu de cet après
midi n'était pas grand chose. Je suis effectivement persuadé
que vous êtes capable d'aller beaucoup plus loin dans les
jeux érotiques...........
T'es mal barrée ma fille, deuxième coup touché.
- Et puis vous avez accepté ce dîner saans téléphoner
à qui que ce soit, c'est donc que votre mari est en déplacement,
déplacement probablement professionnel et que passer un
moment à discuter avec un inconnu qui vous drague, sans
petite culotte vous excite, vous n'avez pas hésité longtemps
avant d'accepter mon invitation.
Zut troisième coup touché.
- Mais ce pourrait, être moi qui sois een déplacement
professionnel pour plusieurs jours à Paris pendant que mon
mari serait en ce moment en province.
- J'y ai pensé, mais dans ce cas vous nne seriez pas habillée
et maquillée comme un mannequin, sauf à être ici avec un
amant et dans ce cas c'est avec lui que seriez en ce moment.
Il m'énerve, il m'excite mais il n'énerve, non seulement
il lit dans ma petite culotte, mais aussi dans mes pensées........
- A supposer que vous ayez raison, et ss'il est vrai que
je suis une femme sensuelle, je n'ai ni l'intention, ni
l'envie de coucher avec vous !
- Je vais finir par croire que je vous connais mieux que
vous ne vous connaissez vous-même. Vous êtes une femme très
sensuelle, tout votre corps de vos lèvres à votre démarche,
en passant par votre gorge respire la sensualité. Vous adorez
le sexe, vous avez le goût de l'érotisme, l'intelligence
de la provocation, la finesse du jeu et la curiosité d'expériences
nouvelles. Je ne doute pas que vos amants sont plus jeunes,
plus beaux, plus grands, plus séduisants et plus musclés
que moi. Je ne doute pas que je ne suis pas loin de vous
donnez l'image du notaire provincial vicieux, mais quand
vous aurai ouvert ce petit cadeau, je crois que je ne serai
pas loin d'avoir gagner mon pari......
Il me tend un petit paquet plat, je reconnais le logo
Hermes et le format carré et plat de l'emballage de leur
fameux carré de soie........ Attention ne te fais pas avoir,
tu es déjà allée beaucoup trop loin. Il ne croit quand même
pas qu'il va m'avoir avec un carré Hermes, je vais lui donner
une bonne leçon, je vais lui prendre le carré sans rien
lui donner en échange. Je le prends donc........
- Un carré Hermes, c'est gentil, merci,, mais vous avez
perdu, ce n'est pas ce joli cadeau qui va me décider à aller
plus loin avec vous !
- Je serais déçu
- Vous avez pris des risques tant pis ppour vous!....
Et je défais le fameux ruban, ouvre la boite. C'est gagné
il y a bien le carré Hermes, je le prends sans gêne aucune,
il a perdu. Je............comment dit-on, ris dans ma barbe,
pour une femme ? Ceci dit, il a bon goût, encore une fois.
Je le lui dis :
- Merci, il est magnifique...Merci beauucoup il me plait
beaucoup et le toucher est toujours aussi agréable.
- Soyez gentille, faites moi plaisir, oouvrez un bouton
de votre décolleté pour essayer le foulard.
Je peux bien me montrer généreuse dans la victoire, le
prétexte de l'essayage me convient. J'ouvre un bouton de
ma veste de tailleur. Paris vaut bien une messe, un foulard
Hermès vaut bien cette petite impudeur....et c'est avec
volupté que j'ouvre ce très beau carré Hermes......Zut qu'est
ce qui tombe.......qu'est ce je vois.........
- Attention vous allez tout faire tombeer.......
Il y a trente, cinquante, peut-être cent billets de 10
euros, qu'est que c'est que ça, je devine.......non!.....
je lève les yeux, toutes les tables autour de nous n'ont
rien raté de la scène, je rougis, je me cacherais sous la
table. Il sourit
- Mais c'est quoi ça, ça rime à quoi ?
- C'est la dernière raison pour laquellle vous allez accepter
de monter avec moi au 3° étage de l'hôtel.
- C'est ça, la pute va monter avec vouss ! Je ne suis
pas une pute mais vous, vous êtes un goujat.
C'en est trop, là il dépasse les bornes, je n'en vais.
Que faire, tout lui envoyer à la figure????? ah non pas
le carré!.... çà je l'ai gagné......
- Vous n'êtes pas une pute. Je ne vous traite pas comme
telle, je crois par contre que vous faites une parfaite
courtisane.
- Quelle différence ? La belle affaire !
- Elle est énorme je vous traite comme une amie, je me
comporte comme un admirateur. J'admire votre beauté, votre
sensualité, la façon dont vous éveillez mon désir. Pour
vous séduire je vous fais des cadeaux et vous, vous aimez
ce jeu, vous aimez sentir votre pouvoir sur moi, vous aimez
le plaisir de la jouissance et des jeux érotiques. Vous
fantasmez beaucoup j'en suis sûr et je suis tout aussi sûr
que vous vous êtes déjà caressée, que vous avez déjà joui
en imaginant vous donner à une homme qui vous payait pour
çà.
- C'est pas la même chose........fantasmer et passer à
l'acte...
- Je suis d'accord fantasmer est une chhose, le vivre
c'est bien mieux. Pourquoi vous priver de ce frisson délicieux,
de ce plaisir excitant, faire l'amour comme çà, par jeu,
avec un inconnu qui vous donne de l'argent pour cela et
je suis certain que vous aimez soigner votre apparence,
que vous imaginez déjà.... vous avez vu une bien jolie robe
cette après-midi dans les vitrines, vous l'auriez bien achetée
si vous aviez eu l'argent et bien vous l'avez maintenant....
Mon dieu ......je vous en supplie......faites le taire,
faites le taire, faites le taire............Il est odieux.........Mais
pourquoi je coule comme çà........une vraie fontaine!! Ma
jupe .......Et le voilà qu'il pose sa main sur ma cuisse.........Il
faut que je lui dises d'arrêter....sa main est douce........sa
main monte entre mes jambes.......il faut que je retire
cette main, mais si je le fais tous les billets vont tomber.........on
nous regarde.......je suis paralysée de....de quoi......je
sais pas........de trouille? de honte? d'excitation? Oui......çà
m'excite.....çà y est, sa main est sur mon sexe....j'aime...je
ne serre même pas les jambes.......oui elle était chouette
cette robe cet après midi...... ma chatte est toute ouverte
.........il y met les doigts, frôle mon clitoris.........
j'ai un frisson!!!!!!!! J'en jouirais .........comme si
je ne mouillais déjà pas assez.......... ah il retire sa
main...Il regarde ses doigts tout poisseux de ma mouille
épaisse.
- Je crois que je tiens la preuve que tout cela vous excite
beaucoup plus que cela vous choque. Venez, ne faites pas
tomber les billets, remballez tous cela, la glace du plateau
de fruits de mer doit commencé à fondre. Il est l'heure
de monter.....
- Touché, porte-avions coulé.
- Vous dites ?
- Rien, rien, au fait quel est votre prrénom, moi c'est
Marina !
- Un très beau prénom, moi c'est Georgees
Je m'exécute, nous nous levons, on nous regarde, je voudrais
être morte et pourtant je m'amuse comme une folle.
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