J'ai 19 ans. Je mesure 1m80 pour 77 kg, assez musclé, et
assez bien membré (20 cm environ). J'ai une histoire et
des attirances sexuelles assez complexes.
Suis-je bi? Je ne saurais pas trop le dire, car je suis
toujours sorti avec des filles, et aucun garçon ne m'attire.
Mais en lisant des textes homos ou en regardant des films
pornos homos également, ma bite est tendue à son maximum.
J'aime aussi les relations prof-élève, ainsi que fantasmer sur ma voisine de palier, qui a 39 ans. Pour tout vous dire, les femmes sexy de 30 à 45 ans me font un effet dingue.
Ma copine vient de m'appeler, je vais sortir. Enfin, elle
vient chez moi et nous allons sortir...si nous n'avons pas
envie de faire autre chose avant, bien entendu.
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Quelle nuit ! C'est comme si ma pensée déclenchait tout
! Je vais vous raconter :
Hier soir, ma copine sonna à ma porte. A peine je lui ouvris qu'elle sauta sur moi. Elle portait une robe noire très sexy et n'avait rien en dessous. Je fermai la porte, je la pris par la main et on se jeta sur le sofa, s'embrassant passionnément, presque violemment. Elle se leva d'un coup, fit deux gestes et fut toute nue. Je pus constater qu'elle n'avait effectivement aucun dessous. Elle ouvrit ma braguette, enleva mon pantalon et commença à masser ma queue bandée au max à travers mon caleçon. Elle l'embrassait, toujours à travers le tissu.
Je ne comprenais pas, car elle ne voulait jamais me prodiguer
de fellation, refusant toujours et n'acceptant aucune négociation.
Mais là, elle était comme folle de sexe, léchant mon caleçon.
Puis elle sortit mon chibre de cette prison de tissu et
commença à me sucer. Elle faisait des va-et-vient infernaux,
à une vitesse phénoménale, elle qui n'avait jamais fait
une pipe s'avérait être une maîtresse en la matière.
"Aaah...Je vais jouir !»
Malgré cet avertissement, elle continua à sucer, elle prit
même tout mon membre ou presque en bouche. J'éjaculai longuement
dans un râle de plaisir, et elle avala tout.
- Alors, surpris ? me dit-elle, lorsque nous eûmes repris nos esprits - Et comment ! Où est-ce que t'as appris à faire ça ? - Dans la rue. - Quoi ? - Mais non, je rigole, c'était ma première. - Ah bon ? Mais t'es déjà une pro !
- Je n'avais encore jamais pratiqué, mais qui te dit que
je n'avais jamais regardé ? Pas en vrai bien sûr, je parle
de pornos.
Je souris, mais, au contraire, elle prit un air sombre.
-Tes pornos, dit-elle
Comment les avait-elle découverts ? Et qu'avait-elle découvert
?
- Gros porc, t'aurais pu me dire que t'es pas comme les
autres ! dit-elle en se rhabillant.
Je me rhabillais aussi, surpris. Elle avait donc découvert
mes pornos gays. Et merde !
- T'aurais pu me le dire ! (Elle pleurait presque) Moi qui t'aimais ! - Mais, ma Luce... - Non ! Il n'y a pas de "mais" ! Je te quitte ! - Quoi ? Pourquoi ça, alors ? Pourquoi cette pipe ?
- Parce que je t'aime ! Mais plus rien ne sera possible.
Désolé. Je t'aimais. Au revoir.
Elle partit en pleurant et en claquant la porte. Moi, j'étais
encore sidéré. Je remis mon pantalon et courus le plus vite
possible sur le palier. Elle était encore dans l'escalier.
- Luce ! Attends !
Mais elle partait. Pour de bon. Je devais me rendre à l'évidence.
- Chagrin d'amour ?
Je sursautai. Je n'avais pas fermé la porte et ma voisine
était rentrée. J'étais pensif et j'avais les larmes aux
yeux. Je les essuyai, me levai, et dis:
- Non, rôti grillé.
Elle rit. Moi aussi.
- Vous ne m'offrez rien ? - Pourquoi êtes-vous venue ? - Eh bien, nous nous connaissons depuis un an au moins, nous nous sommes déjà parlé, je pense que nous sommes amis. Et je viens en tant qu'amie. Pour vous consoler. - Pas besoin. Déjà autre chose en vue, mentis-je - D'accord. Mais maintenant que je suis là, vous m'offrez tout de même quelque chose, non ? - Oui, bien sûr. Vous voulez manger ? Je n'ai pas mangé et j'ai faim.
- Volontiers.
Nous nous mîmes donc à table. Nous parlions de tout et
de n'importe quoi. Je commençai déjà à oublier Luce. Très
vite, la conversation tourna sur les aventures de chacun,
l'alcool aidant. Elle n'avait jamais eu de mari, ni d'enfants.
Moi, je lui racontais les différentes partenaires que j'avais
eues, bien qu'elles ne soient pas très nombreuses. Puis,
comme si de rien n'était, elle me posa cette question :
- C'est quoi la découverte qu'elle a faite ? - Euh... - Une attirance particulière, c'est ça ? - Euh...oui. -Voyons, je ne vais le raconter à personne. Ne sois pas timide. - Eh bien...c'est-à-dire que... - Vous êtes gay, c'est ça ? - Non. Pas gay. Bisexuel. C'est largement différent. - Très bien, ne t'énerve pas ! - Pardon.
- C'est vraiment un complexe ?
Je lui dis tout ce que j'avais sur le cœur : ce que
penseraient les copains, les copines, les parents, ce que
je pensais de ça moi-même, etc. Comme si je la connaissais
depuis des années. Puis elle dit :
- Je vais chercher l'eau à la cuisine.
Quand elle revint, son décolleté était ouvert. Je ne pouvais
détacher mes yeux de là. Elle ne portait pas de soutif.
- Faut pas te gêner ! - Euh...Pardon.
- C'est pas grave, t'as remarqué que je l'avais ouvert
exprès. Au moins, ça prouve que t'es bi, pas homo.
Mais elle ne fermait pas les boutons pour autant. Elle
continuait à parler. J'avais les yeux fixés sur ces seins
dont on pouvait apercevoir le contour, de beaux seins en
poire. Ma bite reprenait du volume. J'étais mal à l'aise.
Elle le vit. Mais elle ne dit rien, et je continuai à lui
avouer tous mes problèmes. Ce n'était pas ennuyeux comme
j'aurais pu le croire, elle était très intéressée. Elle
se leva tout à coup et s'approcha de moi en disant :
- Mon pauvre petit !
Elle s'assit sur le coin de la table, à côté de mon assiette
et me prit dans ses bras. J'étais compressé contre ses seins.
Elle devait bien faire un 95C. De mon oeil gauche, je pouvais
voir entièrement son sein gauche. N'y tenant plus, j'ouvris
entièrement son chemisier, sortit le sein de sa cage et
le gobai. Elle soupira. Je me dirigeai vers l'autre sein
et le léchai. Je titillai le téton, le mordis, le léchai.
Pendant ce temps, mes mains caressaient son corps, son dos,
ses fesses, ses cuisses.
Tandis que je m'affairais sur ses fesses avec ma main droite,
je montai la main gauche de sa cuisse vers son ventre dénudé,
puis je la redescendis, mais cette fois, je la passai à
l'intérieur du jean. Je caressai son string en dentelle,
puis écartai la ficelle et introduis un doigt dans sa chatte
déjà trempée. Elle poussa un cri à ce contact. Puis je mis
un deuxième doigt, puis un troisième. Je la branlai ainsi
pendant une trentaine de secondes. Puis je sortis ma main
et mes trois doigts trempés pour étaler sa mouille sur son
ventre et ses seins. Puis elle me dit :
- Etre assis est plutôt inconfortable, on devrait bouger
!
Je l'emmenai vers le lit et pendant quelle marchait, elle
déboutonna son jean, puis ôta son string. Je me couchai
sur le lit et elle vint m'enjamber, face à moi. Elle s'empala
sur mon sexe qui n'en pouvait plus d'attendre. Elle menait
la cadence et sautait sur le lit. Je gémissais. Jamais le
sexe n'avait été aussi bon. Puis je lui dis :
- Arrête, je vais jouir !
Elle s'arrêta et s'enleva, laissant mon membre dégoulinant
de sa cyprine. Je me levai, et elle se coucha sur le lit.
Je me mis à genoux devant le lit, puis plongeai ma tête
dans sa chatte. Je la léchai comme je n'avais jamais léché
quelqu'un. Mes mains caressaient soit ses seins, soit ses
fesses, ou encore j'en utilisai une pour la pénétrer. Puis,
après de longues minutes passées, comme ça, elle jouit d'un
orgasme fort, violent. Je me couchai à côté d'elle sur le
lit et l'embrassai vigoureusement.
-Je t'aime, lui dis-je
-Moi aussi.
Elle se coucha sur le ventre et moi je n'avais pas encore
joui. Je me couchai par dessus elle et caressai sa raie
avec mon sexe. Elle comprit ce que je voulais faire et dit
:
- Non, je suis vierge par là !
-Tant pis. Il faut bien une première fois !
Elle avait l'air terrorisée. Elle se mit à quatre pattes
et moi à genoux. Après avoir préparé l'entrée avec un, puis
deux doigts, je présentai mon membre gonflé à son orifice.
Puis je donnai un violent coup de reins. Elle cria, d'abord
de souffrance, puis de plaisir. Je m'arrêtai alors que ma
bite était enfoncée à moitié. Puis, reprenant sa respiration,
elle dit : "Continue !". Je me retirai un peu, puis m'enfonçai
à nouveau. Je fis ainsi quelques va-et-vient, puis quand
je sentis que j'allais exploser, je la pris par les hanches
et je m'enfonçai totalement dans ses fesses. On hurla ensemble.
Elle de souffrance et de bonheur, moi, uniquement de plaisir.
Je me retirai, elle tomba de fatigue sur le lit, et je
me couchai à côté d'elle, fatigué aussi. Nous restâmes enlacés,
on s'embrassa plusieurs fois, longuement, on s'avoua notre
amour à plusieurs reprises...
Et me voici, en train de raconter mon histoire. Vanessa
(c'est son nom) est toujours dans mon lit, elle dort. Je
pense qu'on va vivre quelque chose de magnifique ensemble,
malgré la différence d'âge.
Et, bien sûr, cette aventure, je vous la raconterai.
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