TITRE : Punie à domicile
Catégorie : 
Histoire Sado Maso

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Caroline demeure impassible à me toiser d'un regard d'acier. Sa botte frotte ma chatte trempée, et je sens que je mouille au contact délicieux du cuir.



- Ainsi tu n'as pas respecté ton contrat ! Tu as pris ton pied sans me demander l'autorisation !



- J'ai baisé mais je n'ai pas joui...



- La ferme, arrête de jouer sur les mots ! (La colère monte, je le sens) T'es qu'une salope ! Une salope qui mérite d'être punie.



- Oui Maîtresse, je vous demande pardon...



- La ferme je t'ai dis, je peux pas te pardonner, si t'es pas capable d'obéir, je dois te punir et c'est tout.



- Oui Maîtresse, punissez moi.



Je sais par expérience que ma docilité va renforcer son autorité et que mon excitation peut être communicative... Or je suis très excitée... Je me suis offerte à mon mari en guise de préliminaires. Mais pour ma Maîtresse, qu'en est il ? S'est elle caressée avant de venir ? Son excitation est la base indispensable à une bonne domination... Alors mon zèle à lui répondre comme une chienne, mon corps alangui et offert, ma chatte béante et trempée sont ma façon de susciter désir en elle... Mes mots en guise de préliminaire...



- Oui, tu n'attends que ça salope. T'es vraiment qu'une grosse bourge vicieuse. Mais dis moi, ton petit mari, il t'a déchargé tout son foutre dans la chatte alors ?



Je souris, car elle prend conscience que la mouille de ma chatte n'est pas uniquement le fait de mes sécrétions mais aussi en grande partie le jus de mon mari. Je sais pour en avoir discuté avec elle une fois, que l'idée de voir ma chatte dégoulinante de foutre l'excite. Elle retire alors doucement le pied qu'elle m'a collé sur le sexe.



- Quelle pute tu fais, tu es en train de te répandre sur ma botte ! Tu vas me le payer, je te jure... Mais avant... Je veux que tu files t'allonger sur la table de cuisine, allez magne toi le cul... Et tâche de bien garder le foutre de ton mari au fond de ton vagin !



Pas facile, je contracte les muscles de mon vagin mais au moment de me relever, je sens se décoller du fond de ma chatte, une quantité impressionnante de sperme. Je n'ai que le temps de mettre ma main pour éviter qu'il ne tombe à terre. Je trottine aussitôt dans la cuisine pour m'allonger et retrouver une position horizontale qui me permet de conserver la précieuse semence de mon époux au fond de mon con. A me voir ainsi courir Caroline éclate de rire. Je dois être ridicule.



Je me dirige dans la cuisine et grimpe sur la table en prenant garde de ne rien perdre. Pas facile. Je m'allonge et tartine aussitôt le sperme que j'ai recueilli au creux de la main. Ma chatte est couverte d'une pellicule de foutre et de mouille impressionnants. Décadence, obscénité, que la vision offerte de ma chatte béante et maculée de foutre et de mouille. Mais je n'arrive pas à ressentir de la honte, je suis tellement excitée, il n'y a que du plaisir.



Caroline pénètre dans la cuisine au moment où je finis de m'installer. Son regard porte entre mes cuisses. Le spectacle offert la fait pouffer de rire.



- Putain si tu voyais ta chatte, y'en a partout.



Le regard de ma Maîtresse est capté par mon sexe. Elle parvient difficilement à s'en détacher, je devine par expérience que de nouvelles idées sont en train de lui traverser l'esprit. Caroline a une imagination débordante mais je crois pouvoir affirmer sans me vanter que je suis pour elle une source intarissable d'inspiration. Son regard a gagné en lubricité, et lorsqu'elle s'approche lentement de moi, son sourire narquois dénote l'excitation que j'ai su susciter en elle, et l'idée nouvelle qui vient de germer dans son esprit supérieur.



Elle pose une main sur ma cuisse et je frémis à son contact. Ses doigts me caressent en remontant doucement vers mes hanches. Puis ils bifurquent vers l'intérieur de mes cuisses. Ses ongles commencent à me labourer les chairs, je grimace et laisse échapper un petit gémissement plaintif.



- Tu ne vas pas pleurnicher à la première petite douleur, relève-t-elle avec ironie. Tu n'as pas oublié la raison de ma présence chez toi j'espère ?



- Non Maîtresse, pardonnez moi.



- Rappelle-moi ce que je suis venue faire ici ! ordonne-t-elle. Je veux te l'entendre dire.



- Je veux être punie Maîtresse... Sévèrement punie.



- Je veux ? relève Caroline, plus perfide que jamais. Et elle m'enfonce ses ongles dans mes chairs si sensibles, si proches de mon intimité. Qui es - tu salope pour « vouloir » ? D'un geste dédaigneux mais ferme elle m'oblige à écarter les cuisses au maximum. Je veux t'entendre me supplier de te donner cette raclée que tu mérites.



J'écarte les cuisses en sentant le sperme s'écouler le long de mes grandes lèvres.



- Maîtresse, s'il vous plaît, je vous supplie de me punir... Je vous implore... Je veux souffrir de vos mains. Je mérite de recevoir une bonne raclée...



Ma tirade est coupée net lorsque je sens la bouche de ma Maîtresse se coller à ma chatte. Ses lèvres douces aspirent mon clito, sa langue parcoure ma chatte et me nettoie le sperme qui s'en échappe avec abondance. Je roule des paupières, je contiens mes gémissements, mais je suis si surprise, si déstabilisée, qu'un orgasme me cueille au bout de quelques secondes.



Le contexte, l'excitation contenue, la frustration, et surtout le fait d'imaginer ma Maîtresse s'abreuver entre mes cuisses de mon jus et celui de mon mari, tout cela m'a procuré un plaisir subit et fulgurant.


Bourgeoise.

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