Caroline demeure impassible à me toiser d'un regard d'acier. Sa botte
frotte ma chatte trempée, et je sens que je mouille au contact délicieux
du cuir.
- Ainsi tu n'as pas respecté ton contrat ! Tu as pris ton pied sans me
demander l'autorisation !
- J'ai baisé mais je n'ai pas joui...
- La ferme, arrête de jouer sur les mots ! (La colère monte, je le sens)
T'es qu'une salope ! Une salope qui mérite d'être punie.
- Oui Maîtresse, je vous demande pardon...
- La ferme je t'ai dis, je peux pas te pardonner, si t'es pas capable
d'obéir, je dois te punir et c'est tout.
- Oui Maîtresse, punissez moi.
Je sais par expérience que ma docilité va renforcer son autorité et que
mon excitation peut être communicative... Or je suis très excitée... Je me
suis offerte à mon mari en guise de préliminaires. Mais pour ma Maîtresse,
qu'en est il ? S'est elle caressée avant de venir ? Son excitation est
la base indispensable à une bonne domination... Alors mon zèle à lui
répondre comme une chienne, mon corps alangui et offert, ma chatte béante
et trempée sont ma façon de susciter désir en elle... Mes mots en guise de
préliminaire...
- Oui, tu n'attends que ça salope. T'es vraiment qu'une grosse bourge
vicieuse. Mais dis moi, ton petit mari, il t'a déchargé tout son foutre
dans la chatte alors ?
Je souris, car elle prend conscience que la mouille de ma chatte n'est
pas uniquement le fait de mes sécrétions mais aussi en grande partie le
jus de mon mari. Je sais pour en avoir discuté avec elle une fois, que
l'idée de voir ma chatte dégoulinante de foutre l'excite. Elle retire
alors doucement le pied qu'elle m'a collé sur le sexe.
- Quelle pute tu fais, tu es en train de te répandre sur ma botte ! Tu vas
me le payer, je te jure... Mais avant... Je veux que tu files t'allonger
sur la table de cuisine, allez magne toi le cul... Et tâche de bien garder
le foutre de ton mari au fond de ton vagin !
Pas facile, je contracte les muscles de mon vagin mais au moment de me
relever, je sens se décoller du fond de ma chatte, une quantité
impressionnante de sperme. Je n'ai que le temps de mettre ma main pour
éviter qu'il ne tombe à terre. Je trottine aussitôt dans la cuisine pour
m'allonger et retrouver une position horizontale qui me permet de
conserver la précieuse semence de mon époux au fond de mon con. A me voir
ainsi courir Caroline éclate de rire. Je dois être ridicule.
Je me dirige dans la cuisine et grimpe sur la table en prenant garde de ne
rien perdre. Pas facile. Je m'allonge et tartine aussitôt le sperme que
j'ai recueilli au creux de la main. Ma chatte est couverte d'une
pellicule de foutre et de mouille impressionnants. Décadence, obscénité,
que la vision offerte de ma chatte béante et maculée de foutre et de
mouille. Mais je n'arrive pas à ressentir de la honte, je suis tellement
excitée, il n'y a que du plaisir.
Caroline pénètre dans la cuisine au moment où je finis de m'installer.
Son regard porte entre mes cuisses. Le spectacle offert la fait pouffer de
rire.
- Putain si tu voyais ta chatte, y'en a partout.
Le regard de ma Maîtresse est capté par mon sexe. Elle parvient
difficilement à s'en détacher, je devine par expérience que de nouvelles
idées sont en train de lui traverser l'esprit. Caroline a une
imagination débordante mais je crois pouvoir affirmer sans me vanter que
je suis pour elle une source intarissable d'inspiration. Son regard a
gagné en lubricité, et lorsqu'elle s'approche lentement de moi, son
sourire narquois dénote l'excitation que j'ai su susciter en elle, et
l'idée nouvelle qui vient de germer dans son esprit supérieur.
Elle pose une main sur ma cuisse et je frémis à son contact. Ses doigts me
caressent en remontant doucement vers mes hanches. Puis ils bifurquent
vers l'intérieur de mes cuisses. Ses ongles commencent à me labourer les
chairs, je grimace et laisse échapper un petit gémissement plaintif.
- Tu ne vas pas pleurnicher à la première petite douleur, relève-t-elle
avec ironie. Tu n'as pas oublié la raison de ma présence chez toi
j'espère ?
- Non Maîtresse, pardonnez moi.
- Rappelle-moi ce que je suis venue faire ici ! ordonne-t-elle. Je veux te
l'entendre dire.
- Je veux être punie Maîtresse... Sévèrement punie.
- Je veux ? relève Caroline, plus perfide que jamais. Et elle m'enfonce
ses ongles dans mes chairs si sensibles, si proches de mon intimité. Qui
es - tu salope pour « vouloir » ? D'un geste dédaigneux mais ferme elle
m'oblige à écarter les cuisses au maximum. Je veux t'entendre me
supplier de te donner cette raclée que tu mérites.
J'écarte les cuisses en sentant le sperme s'écouler le long de mes
grandes lèvres.
- Maîtresse, s'il vous plaît, je vous supplie de me punir... Je vous
implore... Je veux souffrir de vos mains. Je mérite de recevoir une bonne
raclée...
Ma tirade est coupée net lorsque je sens la bouche de ma Maîtresse se
coller à ma chatte. Ses lèvres douces aspirent mon clito, sa langue
parcoure ma chatte et me nettoie le sperme qui s'en échappe avec
abondance. Je roule des paupières, je contiens mes gémissements, mais je
suis si surprise, si déstabilisée, qu'un orgasme me cueille au bout de
quelques secondes.
Le contexte, l'excitation contenue, la frustration, et surtout le fait
d'imaginer ma Maîtresse s'abreuver entre mes cuisses de mon jus et celui
de mon mari, tout cela m'a procuré un plaisir subit et fulgurant.
Bourgeoise.
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