TITRE : Promenade dans le bois
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites
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Hier soir j'avais en tête de surprendre mon homme, Guillaume. Je lui ai donné rendez-vous à la sortie du métro Vincennes, dans le simple but d'y faire une promenade.

Il arriva à l'heure convenue et je l'accueillis chaleureusement comme j'aime, l'enlaçant.

Lui aussi, grand amateur de caresses, faisait courir ses mains sur moi, sagement bien sûr. Il serait dommage de choquer l'opinion.

Guillaume découvrit très vite que sous mon long manteau ne se cachait comme textile que le coton et le collant de mes bas et porte jarretelles. Heureuse fut sa surprise de sentir si vite le contact de ma peau et je vis dans ses yeux l'excitation et l'envie de se trouver dans un lieu plus isolé.

D'un regard complice, je lui pris la main.

«Viens mon amour….. Allons nous promener»… Il ne se fit pas prier.

Tendrement, je l'amenais dans le bois. Nombreux furent les petits moments coquins où ses mains, sa langue et ses yeux brûlaient de se faire très baladeurs. Je préférais décupler son désir en le stoppant dans ses lancées fougueuses. Serrée contre lui, je glissais ma main contre son sexe à travers son pantalon, puis dedans furtivement, faisant grandir cette queue splendide, pelotant ses fesses musclées.

Et puis, je l'entraînais dans un coin calme. J'appuyai mon dos contre un arbre, pliant ma jambe droite, ce qui laissa découvrir le bas, mon talon fin sur ce tronc vigoureux. Il vint face à moi, et se contenta d'effleurer mon mollet et ma cuisse avec le bout de ses doigts. Je le dévorai des yeux et ne pu masquer mon impatience… Celle de sentir la chaleur de son corps et l'odeur de sa peau. Je me laissai aller à ses caresses brûlantes, sentant son regard de plus en plus dominateur, comme il aime l'être dans nos moments charnels.

Je ne pus, cependant, m'empêcher de saisir sa main et de tenter de le faire s'avancer entre mes jambes. Il ne se laissa pas faire…. J'avais trop joué avec son excitation il voulait à nouveau jouer avec pulsions.

« Lâche ma main » m'ordonna-t-il.

Je sentais la cyprine couler le long de mes cuisses. Il reprit ses douces caresses, s'approcha légèrement et glissa son autre main contre mon sexe dans le seul et unique but d'affoler mon clitoris. Quel supplice ! Mon bassin se cambra, devint de plus en plus impatient. Quand il sentit mon plaisir monter, il dégagea ses doigts trempés.

Il déboutonna son pantalon et sortit son sexe magnifique.

« Suce-moi ».

Gourmande, je m'accomplis. Le regard mi-sauvage, mi-docile, je m'agenouillai, mes jambes découvertes entourant ses mollets.

Je le pris dans mes mains et délicatement caressai le gland avec ma langue. Mangeant ses yeux du regard, j'embrassai sa queue. Découvrant son gland, je fis parcourir mes doigts, la paume de ma main sur chaque centimètre carré de cette anatomie très appréciée. Puis je le pris à pleine bouche pour des allers-retours de langue et de doigts. J'alternais des caresses linguistiques lentes et circulaires avec des séries rapides de va et vient… Guillaume apprécia beaucoup. Je sentis qu'il n'allait pas tarder à jouir aussi je me suis relevée…

Sans me demander mon avis il déboutonna mon manteau et assez brutalement, me retourna et je me trouvai face au tronc. Guillaume se colla derrière moi, souleva mon manteau et le dégagea sur le côté. Je sentis sa queue contre mes fesses où elle ne resta pas longtemps. Elle glissa dans mon sexe trempé. Ses mains saisirent et caressèrent goulûment mes seins. Hummmmm…. Quel délice ! Durement, il saisit et s'accrocha à mes cheveux. Il commença un délicieux pilonnage passant de mon sexe à mon cul. Il est très doué à ce jeu pervers.

Mes jambes tremblaient, j'entendais sa voix haletante. Il m'ordonna de me mettre à genoux. Derrière moi une queue jouait avec mon cul. Ce plaisir était………jouissif. Il n'y a pas à dire, quel bonheur la sodomie. Je vis le sexe de Guillaume face à moi et le mangeai sauvagement. Je voulais le boire.

« Ouvre grand la bouche comme tu offres ton cul à notre invité » me dit Guillaume.

En effet, sous les suffocations du plaisir je n'avais pas vu ce convive qui jouait avec mes fesses. Je sentais Guillaume dans chacun de mes orifices et mes soupirs vaporeux m'avaient voilé la vision extérieure de cette scène. Je ne cherchai pas à voir qui était cet inconnu. La sensation était délicieuse et, obéissante, j'ouvris la bouche aussi grande que je le pouvais. Je lui présentai ma langue. Toujours à genoux, je caressai ses bourses bien remplies. Il se masturbait et taper son pénis contre ma langue, de plus en plus rapidement, jouant à cache-cache avec elle, gourmande et avide de l'avaler. Et puis…. Et puis il jouit et quel fut mon plaisir de le boire, de l'avaler, de lécher et d'essuyer tout ce précieux liquide. Je sentis mes fesses se libérer alors que je buvais Guillaume. Tout chose, nous nous rhabillions tout en riant et encore sous l'euphorie de ce moment délicieux.

Puis nous prîmes le chemin de la maison, encore tremblants. Je ne vis pas notre invité, ni comment Guillaume qui avait croisé son regard, l'avait convié à nous rejoindre. Qu'il est bon de lui faire confiance, qu'il est bon tout simplement de l'aimer.

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