TITRE : Prof de langue
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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Bon je vais essayer de vous raconter l’histoire qu’il m’est arrivé en cette fin de juin.
Je suis professeur de langue (sans jeu de mot) et comme toute les fins d’année scolaire je fais passer des oraux.
En cette fin de matinée après quelques élèves pas très brillant une nouvelle élève arriva. J’avoue que même si je suis marié et que j’aime ma femme cette élève là me troubla quand elle rentra dans la classe, elle dégageait une féminité et une sensualité peu commune qui me mit mal à l’aise. Elle était grande et très bien faite. Sa jupe assez courte montrait des jambes galbés bien bronzé, son chemisier blanc à peine transparent faisait deviner des seins que j’estimais au moins à du 90B ou C. Sa peau légèrement mate était parfaitement lisse et ses yeux vert sous une chevelure blonde à peine onduler étaient magnifique. Un corp de rêve avec une tête d’ange.
Comme pour les autres je lui demandais de tirer un sujet et de s’asseoir. Apres quelques formalités je commençais à la questionner mais je n’osais pas la regarder franchement de peur qu’elle découvre ma fébrilité.
L’entretien ne se passait pas très bien, elle avait beaucoup de difficulté à répondre aux questions. Le fait de rentrer dans le cœur de l’action me libéra de mes sentiments et quand je relevais la tête pour lui parler, je vis que son chemisier s’était franchement ouvert par rapport à tout à l’heure. Je pouvais voir le couloir entre ces deux seins et un bon début des globes. Cette fois-ci je piquais un far, ce qui ne passa pas inaperçu à la vue de l’élève.
Me voyant rougir elle n’hésita pas à me dire :
- est ce que c’est moi qui vous met mal à l’aise ?
La seule phrase qui m’est venu c’est : Non, non c’est que je trouve qu’il fait un peu chaud dans la pièce.
Elle me répondit : C’est vrai que moi aussi j’ai chaud, cela vous dérange si je me mets plus à l’aise ?
La situation commençait à devenir sans équivoque et je me disais qu’il fallait que je l’a rattrape rapidement au vu de mon rang.
Malheureusement, quoi que, elle continua à déboutonner deux boutons ce qui me permis de voir la quasi-totalité de ces seins.
Je commençais à bander, je n’avais jamais vu une aussi belle paire de seins.
Malgré l’envie de tout lui arraché et de la prendre comme un fou sur le bureau, la raison me revint et je lui demandais de reboutonner sa chemise.
C’est ce qu’elle fit mais en prenant soin de bien ouvrir le chemisier pour la remettre en place. J’étais au bord de la crise cardiaque.
Faisant mine de faire tomber sa feuille sous le bureau elle regarda avec attention mon entre jambe et bien sûr elle put voir la bosse qui déformait mon pantalon. Elle remit la feuille sur la table et commençait à allonger ses jambes pour venir à ma rencontre tout en prétextant que si elle n’avait pas l’oral, elle serait obligée de replonger une année pour réussir son diplôme. Il faudrait que j’ai au moins un 16/20 pour passer.
Sa jambe remontait sur la mienne et elle continuait à parler. Pour cela je serais prête à tout pour avoir une bonne note même si mon niveau en langue n’est pas très bon. Enfin me dit elle, je ne suis pas mauvaise selon la langue…..
Son pied était maintenant entre mes jambes et elle appuyait doucement sur mon sexe qui était dur à planter des clous.
Tout en me regardant droit dans les yeux elle me dit : est ce que cela vous plait ?
Je ne tenais plus et je commençais à caresser sa jambe qui était en train de me rendre fou.
Ayant mon accord tacite, elle recommença à rouvrir son chemisier puis se prenant les seins entre ses mains elle faisait jouer ses doigts sur les tétons.
N’en pouvant plus, je me suis levé et je me suis mis à coté d’elle ayant une posture normale pour qui rentrerai à l’improviste.
J’avais une vue sur ces magnifique seins et je ne pouvais pas retenir ma main qui les caressa l’un après l’autre. Elle passait sa main sur mon pantalon comme si elle me branlait et prenait en bouche la bosse de mon sexe et elle soufflait de l’air chaud dessus. Je me sentais défaillir. C’est clair que pour son âge elle savait y faire.
Il fallait que je trouve une idée pour que cela puisse aller plus loin. Alors je lui proposai d’aller à l’infirmerie. Sachant que c’est en dehors des cours, il n’y aurait personne.
Elle me dit oui mais d’abord je veux que vous mettiez ma note. J’hésitais mais de plus belle elle recommença sa branlette au dessus de mon pantalon. D’accord je te mets 17/20 et on y va.
Apres avoir demandé les clefs en prétextant que j’avais des nausées, nous sommes allés discrètement à l’infirmerie et je prenais soin de bien refermer la porte à clefs derrière nous.
Elle s’assit directement sur le bureau, les pieds sur la chaise, les jambes écartées ce qui me dévoilais enfin son minou caché sous un petit slip blanc. Elle me fit signe de m’approcher et nous nous sommes embrassés comme si notre vie en dépendait. Je crois qu’à ce moment là, elle s’était prise à son propre jeu de séduction et le désir était partagé.
Je déboutonnais son chemisier à moitié que j’étais déjà en train de les sucer, de les tortiller, de les admirer, mes mains et ma tête ne savait plus ou aller.
Elle déboutonnait mon pantalon, enleva ma ceinture et passa sa main dans slip. Elle me caressait délicatement le manche de petit va et vient, me prenait les couilles à pleines mains et jouait avec, puis tira sur la peau pour tendre encore plus sexe et faire sortir mon gland rouge de désir.
Je l’ai soulevé pour la remettre sur ces pieds et pouvoir enlever cette petite culotte. Je frôlais son sexe en passant et j’ai sentis un frisson parcourir son corps. Je l’allongeai par terre et commençai à lui lécher l’intérieur des cuisses pour remonter tout doucement sur son sexe bouillant. Elle me prit la tête avec ses mains et s’appuyais dessus pour coller mon visage sur ce petit minou tout rasée. Je collais ma langue à l’intérieur en faisait le tour des lèvres gonflées. Mes doigts caressaient le clito pendant que j’enfonçais au maximum ma langue au fond du trou. Son odeur et le gout de la mouille était sublimement bon. Elle gémissait de désir, son bassin ondulait, je prenais mon pied à lui donner se plaisir.
Puis elle me dit, je viens sur toi à l’envers, je veux te donner du plaisir aussi.
Nous nous retrouvâmes donc en 69. Je me suis arrêté de la sucer pour sentir au maximum ma pine dans sa bouche avec sa langue tout autour qui me titillait le gland. Elle suçait divinement bien, en prenant son temps sa langue montait et descendait sur mon manche alors qu’une main me caresser le gland et que l’autre caresser mes boules.
J’étais à deux doigts de tout me vider dans sa bouche mais je voulais connaître la suite.
Je repris mon léchage en lui écartant bien les fesses. Je faisais monter ma langues jusqu’à son petit trou et à chaque passage je pouvais la sentir frémir.
Tout son entre cuisse était trempé.
Je décidais qu’il était temps de passer aux choses sérieuses.
Je lui dis de se mettre assise sur moi le visage face à moi. Mais elle n’avait pas décidé cela et voulait m’amener au bout de mon excitation avec sa bouche. Elle commença à accélérer les mouvements de sa tète et de ses mains en gémissant de petit cris. Il ne fallut pas longtemps pour que tout parte dans sa bouche. Elle avala sans protester et n’en laissa pas une goutte. J’avais pris un pied monumental.
Je me remettais de mes émotions quand elle se souleva pour se mettre debout et je la vis se rhabiller.
Qu’est ce que tu fais lui dis je ? Tu ne veux pas aller plus loin ?
Non, tu m’as donné un bout de mon examen pas l’examen entier. Tu as eu pareil de moi.
Sur ce elle ouvrit la porte et disparue.
Je m’en suis toujours voulu d’avoir cédé à la tentation mais je crois que si j’étais passé à coté j’aurais encore plus regretté !!!

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