Le vendredi, je n’ai que trois heures de cours
le matin et en rentrant à 11 heures j’étais complètement
excitée. J’avais rasée ma chatte la veille, ne laissant
qu’un petit triangle de poils bien taillés au dessus. Mes
lèvres et ma chatte étaient lisses, bien accessibles et
je me sentais comme offerte aux caresses et aux éventuelles
pénétrations. Mon mari avait trouvé ça très excitant et
il m’avait léché longuement la veille avant de m’enfiler
sur la table du salon en me traitant de salope bonne à mettre.
Il ne se doute pas à quel point ce qu’il me disait à l’oreille
est vrai. Il était sur Toulouse aujourd’hui et il pouvait
m’appeler ou passer à la villa n’importe quand mais je devais
obéir à mon nouveau maître
Je me suis changée rapidement
choisissant une jupe courte en daim se boutonnant par-devant
et un tee-shirt moulant mes seins. J’enlevai mon slip et
immédiatement je me sentis femelle, ma jupe découvrant généreusement
mes cuisses et moulant mes fesses bien cambrées par les
nu-pieds à talon, le tee-shirt extensible ne cachant rien
des mouvements de ma poitrine.
Lorsque je suis arrivée à
la villa il était nettement plus de midi et je mouillais
en pensant à la bite de mon amant. Il était là en jean et
chemisette extra large m’attendant devant la porte du garage
mais il me fit aussitôt remarquer mon retard :
« Tu es pas à l’heure, alors
fais attention à tes fesses la prochaine fois. Si tu m’obéis
pas à la lettre je te punirai et tu la sentiras passer.
Maintenant tu vas me montrer si tu as bien respecté mes
conditions »
« Comme tu veux »
« Tu te tournes et tu me montres
ton beau cul, sans culotte j’espère ! »
Je lui demandais de rentrer
pour ne pas risquer d’être vue par un voisin mais il refusa,
voulant absolument me voir obéir à ces ordres sans discuter.
Je me suis donc retournée et j’ai relevé ma jupe découvrant
mon cul complètement nu. Il siffla d’admiration en disant
que décidément je le faisais bander instantanément et il
s’approcha pour me caresser les cuisses remontant jusqu’aux
fesses en enfilant un doigt dans ma raie déjà humide puis
en titillant mon petit trou. Je commençais à gémir mais
il s’éloigna et il me demanda de montrer ma chatte. Je m’exécutai
aussitôt en déboutonnant un peu ma jupe et en écartant les
pans pour exhiber mon sexe presque imberbe. J’étais excitée
et je sentais mes lèvres humides s’ouvrir toute seule, véritable
appel au viol. Hamid me regardait en se massant les couilles
« Tu es une belle salope,
tu sais, entre tes seins qui ballottent, ton sexe rasé et
ouvert à toutes les queues passantes et ton cul bien fendu
on va se donnait du bon temps et je vais te faire mettre
par tous tes beaux trous. Tu sais jolie petite bourgeoise,
j’adore te prendre mais te voir baiser par des bites bien
grosses, ça doit être quelque chose. Je veux encore t’entendre
gémir, hurler entre des mecs bien baraqués, bien montés.
»
J’étais liquéfiée mais presque
malgré moi je lui répondais
« Je t’appartiens, fais de
moi tout ce que tu veux. Tu vois, je suis complètement ouverte,
je t’ai obéi et je continuerai »
Il s’est approché et il a
commencé à me caresser les seins faisant dresser immédiatement
mes tétons. Je me laissais faire, assise et complètement
offerte sur le plan de travail de la cuisine d’été. Soulevant
mon tee-shirt il a dégrafé le soutien gorge et il me l’a
ôté, mettant à nus mes seins dans les tétons durcis pointaient
vers lui. Il les a sucés, aspirés et mordus m’arrachant
des soupirs de plaisir. J’étais là, dehors, seins à l’air,
cuisses écartées, chatte offerte et mon mari pouvait à tout
moment venir voir l’état d’avancement des travaux. hamid
a délaissé mes seins, prenant soin de rabattre mon tee-shirt
dessus pour voir l’effet :
« Super le tee-shirt, il
moule tes nichons d’enfer et tes tétons sont super gros
comme ça. Tu devrais sortir comme ça en boite tu aurais
un succès d’enfer. Ca te fais mouiller ? »
Je lui répondis que oui et
dans un sourire il se mit à vérifier en me mettant une main
sous la jupe. Il caressa les lèvres de mon con, les écarta
et me mit son majeur dans la chatte. Il entra sans problème
tellement je lubrifiais et branla mon clitoris sans ménagement
m’obligeant à écarter les cuisses au maximum. Il s’enfonçait
profond puis revenait sur mon clito déclenchant des ondes
de plaisir qui finirent par me faire jouir sur place. Il
me fit alors lécher ses doigts dégoulinant de mon jus en
me disant que j’étais vraiment trop bonne. Nous sommes ensuite
rentrés dans la villa, qui était quasi terminée le déménagement
étant prévu la semaine suivante. Nous avons passé la cuisine
et visité le séjour, le salon très grand avec des baies
vitrées où Hamid déclara tout en me mettant la main au cul
qu’il me partouzerait sous peu, les chambres qui l’inspirait
toute. En particulier la mienne où il y avait déjà un grand
miroir sur un pan de mur face à la place du lit et un deuxième
qui viendrait avec notre armoire à trois portes sur le côté
du lit
« Ca va être chaud avec ces
miroirs ma chérie, tu vas pouvoir te voir de tous les cotés
en train d’être ramonée. C’est jouissif ça, vivement que
tu sois installée »
Il me prit par les épaules,
me tourna vers le miroir et il m’enleva le tee-shirt d’un
coup. Il se mit à les caresser pinçant mes tétons pour les
faire durcir plaquant son sexe contre mon cul pour me faire
sentir sa bosse.
« C’est bon, hein, tu vas
la prendre bien profond »
Il écarta ma jupe, laissant
apparaître ma chatte bien rasée dans laquelle il introduisit
de nouveau un doigt. Je pouvais ainsi me regarder et c’était
vraiment excitant. Après m’avoir bien branlée avec un puis
deux doigts il me fit tourner et mettre à genoux
« Allez, Stéphanie, sors
ma queue et suces moi avant que j’explose dans mon pantalon
»
Je déboutonnais son pantalon
et lui enlevais, sa queue pointant déjà droit devant moi.
Il ne portait pas de slip et il était raide. Sa bite est
vraiment belle, assez longue et surtout d’une épaisseur
impressionnante avec un gland tout rose gonflé à bloc aussi
épais que sa tige semblant toujours prêt à vous gicler au
visage. Ses couilles étaient déjà dures elles aussi, deux
grosses boules pleine de foutre qu’il avait bien rasé et
que je mis à lécher avec application. Je les gobais, les
suçais et doucement je suis remontée jusqu’à son gland léchant
toute sa queue puis avalant son gland que j’aspirais. Il
poussait des encore, des oui qui montrait qu’il appréciait
mon traitement. Je le sentais grossir encore et je m’allongeais
sur la moquette lui demandant de me prendre à fond. Je le
voulais dans ma chatte et finissant de se déshabiller
« Ecartes bien tes cuisses,
je veux voir ta chatte de petite fille bien ouverte avant
de l’enfiler. »
Il s’agenouilla entre mes
jambes et il guida sa queue directement entre mes lèvres
qui s’ouvrirent sous sa poussée. Sa grosse tige me fendit
doucement et je sentis son gland buter au fond de ma matrice.
Alors il me pistonna lentement, puissamment en me couvrant
de son corps musclé, léchant et suçant mes tétons complètement
durs pendant que je caressais ce corps de mâle surtout ses
belles fesses bien rebondies. En sortant de moi il se redressa
et m’écartant les cuisses au maximum il me caressa le clitoris
m’arrachant des cris de plaisir. Sa queue énorme, gonflé
au maximum pointait vers moi bien droite :
« Tu es trop bonne Stéphanie,
ta chatte est super excitante comme ça et tes petits bouts
de seins aussi. Je vais te bourrer jusqu’à tu exploses »
Il replongea de plus belle
dans ma grotte dégoulinante de jus, mon plaisir montant
petit à petit et je gémissais de plus en plus fort sous
ses coups de bite qui faisaient tressauter mes seins. Plus
je gémissais, plus il accélérait et j’explosais finalement
dans un grand cri, les bras en croix, la jouissance déclenchant
en moi un grand flash qui dura longtemps car il continuait
de me limer. Quand il lâcha enfin mes cuisses il sortit
de mon sexe et approcha son gland luisant de ma bouche entrouverte
« Lèches là, elle t’a fait
jouir une fois et c’est pas fini ma belle. Et goûtes ton
jus avant que je t’enfile par derrière. Tu mouilles comme
une fontaine c’est un plaisir de te ramoner et tu as vraiment
l’air d’aimer ça, hein ?
« Oui c’est trop bon, j’adore
les bonnes queues comme la tienne, me faire baiser comme
une pute et t’obéir »
« Vraiment ? Avec moi tu vas
vraiment en avoir plein tes trous. Tu aimes à plusieurs
? »
« Oui, oui tout ce que tu
veux Hamid. Mes trous sont à toi, tu en fais ce que tu veux
quand tu veux pourvu que je jouisse et que tu me remplisses
de sperme »
« Tu es vraiment une belle
salope et tu vas pas être déçue tu peux en être sûre »
Je léchais sa queue qui ne
débandait pas sous mes coups de langue puis il m’ordonna
de me mettre à quatre pattes face au miroir mon cul et mon
sexe offerts à tous ses caprices. Il commença par me lécher,
sa langue râpeuse parcourant mon sexe et mon cul me faisant
frissonner de partout. Il me léchait divinement, aspirant
mon clitoris, suivant et s’enfonçant dans ma raie humide
jusqu’à mon petit trou. Je nous regardais dans le miroir
tel des animaux : vraiment excitant ! moi avec ma petite
jupe qui ne cachait rien à quatre pattes comme une petite
chienne BCBG en chaleur couverte par un mâle musclé, jeune
que je faisais bander comme un taureau
« Je vais t’enfiler en levrette,
tu vas bien la sentir comme ça. Et en plus tu me fais bander
encore plus fort comme ça avec ton cul et ta chatte bien
ouverts »
« Oui, vas y, enfiles moi
Il pointa son gros gland
à l’entrée de ma chatte et d’un coup il m’a enfilé jusqu’à
la garde, ses couilles venant contre mes lèvres trempées.
Je poussai un cri de surprise sous la violence de son assaut
« Tu aimes, hein, c’est toi
qui la fais grossir comme ça tu as vraiment un beau cul
»
« Oui, oui, doucement, elle
va profond, elle est vraiment grosse »
Me tenant par les hanches
il se mit à me ramoner bien fort, sortant régulièrement
de ma chatte pour frotter son gros nœud dans ma raie puis
m’enfiler de nouveau. J’étais ouverte en deux par son pieu
qui frottait bien mon vagin serré, la chatte dégoulinant
de jus, les seins ballottant de façon obscène et excitante
sous les poussées de mon amant qui de temps à autre m’introduisait
un pouce dans le cul. Je me voyais dans la glace, avec juste
ma jupe en daim retroussée et enfilée jusqu’à la garde par
cet arabe monté comme un âne. J’étais une vraie salope,
baisée dans sa future chambre, soumise à cet homme qui faisait
de moi sa chienne. Mon plaisir montait peu à peu, hamid
m’empalant sur son sexe comme une poupée, enfilant son gland
grossissant jusqu’au fond de ma matrice
« Oui c’est trop bon, je
vais jouir dans ta chatte, tu me serres bien »
« Vas y bien au fond
J’explosais de jouissance
sous ses coups de boutoir, m’abandonnant complètement au
plaisir en poussant des encore, des oui, mon corps vibrant
sous les ondes de l’orgasme. Je remuais du cul comme une
folle, allant à la rencontre de ses coups de piston lorsque
à son tour il jouit. Son gland énorme en butée, il me prit
par les épaules et me colla le cul contre ses abdos. Ses
couilles contre ma chatte dans un rugissement il vida ses
couilles en moi. Je le sentais gicler son sperme abondant,
me donnant une poussée à chacun de ses jets de foutre faisant
ballotter mes seins sous moi.
« Ouiiiii je me vide complètement,
mon gland explose, c’est trop bon. MMMmm Tu es belle quand
tu jouis et que tu prends une bonne giclée dans ta chatte,
tu sais »
Lorsqu’il se retira, sa bite
avait un peu diminué de volume mais elle était encore bien
épaisse et dégoulinante de nos jus mêlés.. Il se mit assis
contre le mur et m’ordonna de venir le lécher. A quatre
pattes je m’exécutais et le léchais des couilles jusqu’au
gland avalant nos jus tout en le branlant doucement.
Soudain mon portable sonna.
Je sursautai, pensant tout de suite à mon mari, mais c’était
ma sœur. J’étais allongée sur le dos, les cuisses ouvertes.
Je faisais des efforts pour lui répondre normalement mais
elle trouva ma voix un peu bizarre. Je détournais la conversation
et abrégeais le plus possible hamid me caressant les seins,
les cuisses et branlant mon petit bouton. Elle allait passer
à la maison en fin de journée pour discuter du week end
prochain et du déménagement. Je raccrochais rapidement
« Ma petite sœur, Sylvie,
elle doit passer pour le déménagement
« Super, elle est comment
ta sœur ? Elle aime autant le sexe que toi ? »
« Elle est plus jeune de 5
ans, pas mariée, et oui elle adore le sexe, plus que moi
jusqu’à maintenant en tout cas car elle me parle tout le
temps de ses plans cul »
« Et bien quelle famille,
ça doit être une affaire, décris la moi un peu »
« Elle est plus petite très
bien faite, elle a une bouche de suceuse comme les mecs
aiment, une taille fine avec des seins d’enfer qui doivent
faire 100 et qui ballottent à chaque mouvement et un cul
un peu comme moi. Il faut toujours qu’elle allume les mecs
et elle se ballade ou avec des trucs moulants ou en jupe
et corsage bien ouvert.
« Tu me fais rebander, j’espère
qu’on passera un moment ensemble avec ta sœur. Je lui ferai
goûter ma queue avec toi : se faire baiser par un beur elle
a peut être jamais essayé. Voir ta sœur enfilée, comme toi,
ça te plairait ? »
« Peut être, allez on va boire
un café et continuer la visite »
Je remis mon tee shirt et
il me suivit à la cuisine. Je préparai un café instantané
avec beaucoup de mal hamid n’arrêtant pas de me mettre la
main au cul, de m’enfiler un doigt dans la chatte (et de
me le faire sucer), de me peloter et de me pincer les tétons
qui restaient érigés en permanence. A chaque fois qu’il
me coinçait contre le plan de travail je sentais sa queue
gonflée. Il bandait en permanence ce salaud et ne pensait
qu’à me la fourrer et à faire de moi sa chienne. Le sexe
était le seul sujet et pendant notre pause café il me questionna
sur ma sœur qu’il voulait associer à ma débauche, et surtout
il m’énuméra tous les projets qu’il avait me concernant
: m’amener en boîte, à son club de gym, me faire dépuceler
son cousin de 17 ans monté comme un âne mais qui était timide.
Il me demanda si mon mari voudrait assister ou participer
à nos ébats :
« Il fantasme comme un fou
de me voir baiser par d’autres, mais il est jaloux et je
ne veux pas qu’il me voit dans cet état
«Ca peut être intéressant
pourtant, il te verrait jouir de ma queue comme une belle
salope. Je suis sur qu’on s’amuserait beaucoup et qu’il
banderait comme un malade de te voir baiser par des beurs
bien montés qui gicleraient dans tout tes trous, tu crois
pas ?»
« Certainement mais je ne
veux pas »
On descendit au rez de chaussée,
sous-sol : la chambre de ma fille, le dressing, la salle
d’eau puis la buanderie, chaufferie et la cave à vin. Il
faisait chaud mais dans la cave à vin il me prit par la
taille et m’embrassa. Sa langue s’empara de la mienne et
je lui rendis son baiser pendant qu’il me pelotait les fesses.
Il m’ordonna de m’asseoir sur une petite table basse laissée
là avec un fauteuil en cuir des années 70 et d’enlever mon
tee shirt. Je remis mes seins à l’air avec mes tétons complètement
durs qui pointaient vers lui. Il se déshabilla lentement
et tranquillement il annonça qu’il allait me baiser dans
la cave comme jamais je n’avais été baisée.
Assis dans le fauteuil il
m’ordonna de me caresser les seins. Je lui obéis aussitôt
tout en écartant les cuisses, prenant à pleines mains mes
gros seins, les caressant doucement, les pressant l’un contre
l’autre puis je pris mes tétons entre deux doigts et je
les ai étirés, pincés. Je le regardais dans les yeux, la
langue parcourant mes lèvres. Il commençait à bander dur
et moi je gémissais sous mes propres caresses, mes tétons
pointés vers lui, ma chatte commençant à mouiller.
« Tu es une belle salope
et tu aimes ça. Branle-toi la chatte maintenant »
« Oui, tu aimes ça aussi »
Je me caressai d’abord l’intérieur
des cuisses, puis posant les pieds sur la table et écartant
au maximum les jambes je me suis introduis un doigt et doucement
je me suis branlée devant lui, insistant bien sur mon clitoris
devenu hypersensible. Mes doigts étaient trempés et lentement
je les ai sucés goûtant ainsi mon jus. Il ouvrit son pantalon
et sortit sa queue qui était déjà bien gonflée. Il commença
à se la caresser et ne tenant plus il me demanda de venir
le sucer. Je me suis mise entre ses jambes et le prenant
par les couilles je le léchais de bas en haut, je lui mouillais
abondamment sa queue insistant sur son gland qui gonflait
petit à petit sous mes coups de langue. Au bout d’un moment
il m’empoigna par les cheveux et m’enfila son sexe entre
les lèvres se servant de ma bouche comme d’un sexe humide
: je ne pouvais pas l’avaler en entier et il m’étouffait
presque quand il m’enfilait dessus jusqu’au fond de la gorge
surtout qu’il était maintenant gonflait au maximum. Lorsqu’il
me lâcha enfin, au bord de l’explosion, il me fit asseoir
sur ses cuisses, les miennes bien écartées avec mon sexe
épilé au contact de sa tige, et il me caressa les seins.
Il les prenait à pleine main, pinçant, étirant mes tétons
qui durcirent immédiatement en pointant vers lui. Je gémissais
de plaisir mais aussi un peu de douleur, ses caresses étant
rudes et mes tétons hypersensibles. Il les suçait et les
pinçait fort alternativement, les faisant s’allonger comme
jamais, ils pointaient d’au moins 1 cm gorgés de sang
« Tes seins sont super excitants
comme ça, ils sont vraiment faits pour faire bander les
mecs, mmm tu aimes quand je fais bander tes tétons comme
ça hein ?
« Oui, ouiii vas y bien fort,
je les ai jamais vus comme ça, et en plus ça me fait mouiller
comme une fontaine
« Et bien enfiles toi sur
ma queue, j’ai envi de sentir ton con tremper mes couilles
J’ai pris sa queue, je me
suis redressée et doucement je me la suis enfilée dans la
chatte jusqu’à sentir son gland en butée au fond de moi.
Alors j’ai entamé un va et vient sur sa tige pendant qu’il
gobait mes seins et aspirait mes tétons. IL me rendait complètement
folle, je gémissais sur lui comme jamais auparavant, dégoulinais
comme une fontaine ma chatte rasée de petite fille complètement
remplie et coulissant lentement sur ce pieu bien épais.
Il me prit les fesses et tout en accompagnant mon mouvement
de piston il écarta bien mes globes et m’introduisit son
majeur bien à fond : je sursautai et m’empalai encore plus
sur son gland son doigt fouillant mon petit trou du cul.
Moi, la bourgeoise BCBG je m’étais rasée la chatte, je me
baladais sans slip le cul à l’air, je me faisais ramoner
comme une vulgaire fille dans mon propre sous sol complètement
soumise aux caprices d’un jeune étalon, et ça me faisait
jouir comme jamais avec mon mari et j’en redemandais, accélérant
mon pistonnage sur sa queue et m’ouvrant au maximum
« C’est bon Hamid, encore
plus fort, remplis moi de ton jus
« Pas encore, je veux te voir
t’envoyer en l’air d’abord. Je suis sur que tu serais partante
pour une bonne queue dans le cul tellement il s’ouvre naturellement
« Ouii tout ce que tu veux,
mais la tienne me suffit là, j’ai la chatte en feu, je vais
partir
« Tu la sens bien ? Je vais
te transpercer la chatte et faire gicler tes petits tétons
si tu continues à couiner comme une chienne »
La vague de plaisir monta
en moi et brusquement tout mon corps a été emporté par la
jouissance : ma chatte dégoulinait de plus belle, de mes
reins partaient des frissons de plaisirs et de mes seins
tendus au maximum irradiait des ondes de jouissance. Tout
en couinant de plaisir, je me frottais contre son torse
puissant et m’empalait au maximum pour sentir son gland
au fond de ma matrice complètement ouverte et jutant sur
ses couilles.
Il n’avait pas joui et j’avais
toujours son mandrin bien dur dans la chatte.
« Tu coules comme une fontaine
ma chérie, tu m’as trempée les cuisses. Tu aimes bien les
grosses bites partout et tu es vraiment faites pour ça,
c’est vraiment un plaisir de te voir jouir. Enlève toi et
tourne toi, j’ai envie de t’enfiler par derrière et de voir
ton beau cul bien fendu et tout blanc s’ouvrir »
Je m’enlevais doucement de
son manche et me retournais, lui offrant mon arrière train
en écartant bien les jambes et m’appuyant sur la table
« Tu as vraiment des cuisses
et un cul bandant. Un beau cul bien rebondi, ta raie est
bien profonde, un vrai appel au viol pour voir ce qu’elle
cache »
En même temps il me caressait
les jambes, enfilant ses doigts dans ma chatte ou écartant
mon cul et titillant mon petit trou avec sa langue. C’était
divin et je remuais mon cul pour qu’il me lèche bien profond
et que je sente sa langue râpeuse me fouiller. J’étais de
nouveau bien chaude et quand il se leva et enfila ma chatte
à la hussarde de toute sa longueur j’étais lubrifiée au
maximum. Il me tenait fermement par les hanches et me ramonait
bien profond. De temps en temps il sortait complètement
pour m’enfiler de plus belle son gland écartant mes grandes
lèvres et grossissant de plus en plus dans ma chatte
« Vas y doucement hamid,
elle est grosse et tu vas au fond, je te sens à chaque coup
- C’est ce que tu aimes belle
salope, alors écartes bien les cuisses et dis moi plutôt
que tu aimes te faire trousser
- Oui, j’adore ça maintenant,
c’est vrai que c’est excitant de se balader sans culotte
et de se faire prendre n’importe où par toi. Elle est trop
bonne ta queue, ce que j’aime c’est de la sentir grossir
en moi. Mets la moi bien profond
- Sans problème Stéphanie,
tu vas l’avoir bien au fond de tes trous. Tu penses un peu
à ton petit mari en ce moment, il aimerait peut être te
voir et te la mettre aussi lui. Il paraît que les mecs aiment
voir leur femme baisée devant eux, tu crois ça ?
- Sûrement Marc m’en parle
régulièrement et ça le fait bander mais il en crèverait
de jalousie je pense. Me voir prendre du plaisir, jouir
par la queue d’un autre, avaler son sperme, me faire enculer
- Il faudra que tu m’organises
ça, moi aussi ça me fait bander dur. Allez viens t’enfiler
sur moi
Il est sorti de ma chatte
et s’est installé dans le fauteuil son sexe bien gonflé
et dégoulinant dressé tout droit. En reculant j’ai voulu
me l’enfiler dans la chatte mais il m’a stoppé net
« Non, tu vas te l’enfiler
dans le cul maintenant et bien profond. Tu vas même t’enfiler
dessus toute seule comme une grande
- Elle est trop grosse hamid
je ne pourrai pas
- Tu me fais vraiment bander
avec ton beau cul de bourgeoise, alors tu vas t’enfiler
dessus sinon je vais te la mettre moi et profond. Allez
tu en crèves d’envie »
Alors j’ai emmanché sa queue,
je l’ai branlée pour bien sentir son volume et doucement
je me suis abaissée dessus, guidant bien son gland vers
mon petit trou. Bien lubrifiée je suis descendue dessus
et j’ai continué à peser sur sa queue et tout doucement
je me suis empalée dessus : son gros gland a eu du mal à
passer mais il m’a empoigné par la taille et d’un coup mon
sphincter a cédé et j’ai senti mon cul s’ouvrir à son engin.
Je me suis arrêtée avec la sensation d’être fendue en deux,
« Mmmmm, tu es trop bonne,
je savais que tu la prendrais sans problème, continues »
Doucement j’ai continué à
descendre sur son sexe et en écartant bien les cuisses je
me la suis mise entière dans le cul jusqu’à sentir ses couilles
contre moi. J’étais ouverte en deux et doucement, encouragée
par hamid, je me suis comme branlée sur lui allant et venant
sur son énorme engin qui m’ouvrait les reins. J’étais enculée
par mon amant, par une grosse queue bien pleine et je sentais
déjà que j’allais prendre un pied d’enfer.
« Mmmm super, tu vas me faire
gicler dans ton cul. Tu verrai ça, il s’ouvre tout seul
pour avaler ma queue, tu es vraiment une super baiseuse
ma salope avec un cul d’enfer. Empales toi bien dessus et
fais la sortir complètement, tu la sentiras encore mieux
»
Je le faisais aller et venir
dans mes reins sentant le plaisir monter doucement. Je gémissais
de plus en plus fort le sentant grossir encore en moi quand
il me força à déculer, laissant comme un grand vide en moi.
Je le sentais regarder mon cul et il me mis une claque bien
fort qui me fit sursauter
« Et maintenant reviens te
l’enfiler vite, ton cul est bien ouvert et j’ai envie de
te le remplir de foutre, mes couilles sont prêtes à exploser
»
Il me redonna une grande
claque sur une fesse et sans forcer je me suis enfilée de
nouveau sur son mandrin jusqu’au fond. Il m’a saisie par
les hanches et à son tour il m’a pilonné en accompagnant
mes mouvements de piston. Je le sentais de plus en plus
profond, de plus en plus gros et de nouveau j’ai joui sur
sa bite, la jouissance venant cette fois de mes reins
« Ouiii c’est bon, encore,
encore, vas y enfiles moi la moi bien profond, défonces
moi le cul, je jouis, j’explose c’est bon, jouis toi aussi,
je veux ton sperme, envoies moi ta purée, je veux la sentir
dans mon cul
- Ouiii, il est beau ton cul,
il serre bien, ça vient, je vais t’en mettre un maximum
ma chérie, mes couilles sont gonflées à bloc
Je l’ai senti se contracter
et m’enfilant jusqu’aux couilles il s’est vidé dans mes
intestins. Il vidait ses couilles à grands jets en hurlant
et je le sentais se répandre en moi, inondant mon cul. Il
a joui longuement me tenant fermement sur son sexe palpitant,
lâchant 4 ou 5 longs jets de sperme brûlant dans mon fondement
« Tu es bonne tu sais, je
t’ai bien remplie de sperme, comme tu le voulais et tu me
fais encore bander, incroyable ma salope. J’avais jamais
pris un cul de bourgeoise comme le tien, et puis j’aime
bien les petites femmes dociles comme toi, qui aime les
bonnes bites.
Le sentant enfin dégonfler
je me suis retirée et assise en face de lui. Ma chatte était
trempée et j’avais l’impression que mon cul était comme
grand ouvert.
« Alors on dirait que ça
te plait de te faire baiser, dis moi
- Oui, c’est bon. Tu m’as
fais jouir comme jamais et je crois que j’aime ça
- Alors on va vite rattraper
le temps que tu as perdu »
On s’est quitté peu après
sans rendez vous précis car mon mari n’avait pas de déplacement
prévu.
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