Hier après-midi, j'ai enfin réalisé mon fantasme le plus
torride. Ca faisait très longtemps que j'y pensais mais je ne croyais
vraiment pas y parvenir un jour. Cela me semblait si surréaliste et inaccessible.
Je traînais cette idée depuis de nombreuses années et il
m'arrivait souvent de me branler en m'imaginant en train de vivre réellement
la situation qui hantait mes pensées de plus en plus fréquemment.
Quand je me masturbais en y rêvant le plaisir venait vite me submerger
et toujours d'une façon très violente ! Il m'est même arrivé
de louer des DVD sur lesquels je pouvais voir des femmes plus chanceuses que
moi me faire vivre mon désir le plus fou par procuration. Alors, il y
a quelques semaines, je me suis finalement décidée à passer
une petite annonce dans un grand quotidien national réputé pour
son ouverture d'esprit en matière de sexe. J'ai reçu peu de réponses
mais parmi toutes celles qui m'ont été envoyées, l'une
d'elles a particulièrement retenu mon attention. Voilà comment
j'ai fait la connaissance de Michèle et Damien. Aujourd'hui je sais que
je n'ai vraiment pas à regretter mon choix.
Ils sont arrivés vers 14 heures, comme convenu. Ils m'avaient déjà
envoyé une photo d'eux par Internet et j'ai pu constater sans la moindre
déception qu'elle était en tout point conforme à la réalité.
Lui avait la quarantaine à peine entamée. Il était grand,
costaud, le crâne rasé car presque totalement chauve. Il portait
un tatouage sur l'épaule gauche que laissait apparaître son débardeur
moulé sur des pectoraux impressionnants. Je me régalais par avance
de pouvoir me serrer contre son torse puissant, dans ses bras musclés.
Michèle quant à elle était plus fine mais tout aussi bien
fichue. Elle était aussi plus jeune que son compagnon. Nous devions avoir
sensiblement le même âge toutes les deux, trente ans à une
ou deux années près. Par contre, elle avait beaucoup plus de poitrine
que moi. J'étais presque jalouse de ses beaux seins, une belle paire
de nichons plantés haut sur son buste. Sa taille les mettait admirablement
en valeur, de même que ses épaules parfaitement galbées.
Plus bas, son joli petit cul me mettait en appétit, un de ses culs ronds
et fermes comme je les aime, même chez les hommes. Pour finir, ses belles
et longues jambes à la peau hâlée terminaient le tableau
en beauté. Elle était aussi brune que j'étais blonde et
son visage n'avait rien à envier au reste de son physique. J'étais
vraiment satisfaite d'avoir choisi de faire leur connaissance à tous
les deux. Je ne pouvais rêver mieux pour assouvir enfin mon vieux fantasme
trioliste un peu particulier.
Je les ai mis à l'aise en leur proposant de boire un verre dès
leur arrivée. Je m'étais préparée en les attendant.
J'avais enfilé ma tenue la plus sexy, sans faire pute pour autant. Je
ne voulais pas qu'ils me trouvent vulgaire, juste sexy et excitante. Par chance,
nous étions en plein été et il faisait chaud. J'avais revêtu
une petite jupe à volants très courte qui laissait apparaître
le haut de mes cuisses et même la naissance de mes fesses. Par-devant,
on pouvait apercevoir en y prêtant attention le début du renflement
de ma motte à travers mon string d'un blanc éclatant. Je m'étais
rasée la chatte en prévision de leur visite et pas un poil ne
dépassait de mon sous-vêtement minimaliste. Plus haut, je portais
uniquement une sorte de caraco blanc légèrement cintré
qui s'arrêtait au-dessus de mon nombril. Il mettait tant bien que mal
en valeur mes petits seins ronds en les rehaussant autant qu'il était
possible de le faire.
Nous avons bu un verre, puis un deuxième mais je voyais que mes invités
s'impatientaient, tout comme moi d'ailleurs. Alors nous avons laissé
tomber les civilités inutiles pour nous concentrer sur la raison de notre
rencontre. Damien est venu s'asseoir entre Michèle et moi, sur le canapé
qui nous accueillait. Il semblait bien décidé à prendre
les choses en main. C'était mieux ainsi car il s'agissait d'une première
expérience pour moi. Jamais encore je n'avais reçu des inconnus
à mon domicile dans le but exclusif de me faire baiser. Damien et Michèle
paraissaient plus coutumiers de ce fait et ça me rassurait beaucoup quant
à la suite des évènements.
Michèle se laissa glisser bien au fond du siège et je l'imitai.
Damien se plaça plus au bord et tendit les bras vers nos cuisses que
nous ouvrîmes instantanément. Je me sentais en confiance bien que
nous n'ayons fait connaissance que quelques dizaines de minutes plus tôt.
Je m'ouvris aussi largement que je le pouvais, bien décidée à
montrer ma bonne volonté à l'homme qui, déjà, commençait
à me caresser. Ses doigts flânèrent un instant sur la peau
sensible de mes jambes, mais bien vite, ils se dirigèrent vers la zone
qu'ils convoitaient plus précisément. J'écartais encore
un peu plus les cuisses pour lui donner accès au renflement de ma chatte.
Mon bas-ventre était dur et commençait à s'humidifier sous
l'émotion intense qui me submergeait. Damien frotta le tissu de mon string
un moment avec le bout de ses doigts, avant de tirer sur le côté
du sous-vêtement pour chercher à atteindre les replis de ma vulve.
De l'autre main, il faisait subir le même traitement à Michèle
qui, la tête renversée sur le dossier du canapé, savourait
ses attouchements. La brunette avait ôté sa jupe, à peine
plus longue que la mienne et arborait une guêpière blanche qui
ressortait magnifiquement sur sa peau foncée. Malgré le temps
chaud, elle avait enfilé des bas de couleur blanche eux aussi, attachés
par des jarretelles à sa guêpière. Un petit slip de coton
et de dentelle complétait le tout. Elle avait remonté ses pieds
sur le bord du canapé et elle faisait le grand écart avec ses
jambes. Damien faisait glisser sa main sur toute la bosse qui remplissait sa
culotte, en douceur d'abord, puis de plus en plus vite. Il s'arrêtait
parfois comme pour malaxer ou masser ce qui se trouvait dans le petit sous-vêtement.
Je commençais à bien m'exciter sous les gestes délicats
de l'homme. Il ne pouvait pas l'ignorer car je coulais comme une source de montagne
à la fonte des neiges. Il avait maintenant complètement écarté
le tissu de mon slip avec ses doigts et il faisait glisser son index tout au
long de ma fente juteuse. Je prenais beaucoup de plaisir à sentir son
doigt qui visitait l'intervalle de mes lèvres qui gonflaient et s'humidifiaient.
J'ai voulu lui montrer combien j'appréciais ses troublantes attentions.
J'ai tendu le bras vers lui pour aller toucher la protubérance qui enflait
dans son short. Il semblait bien monté, comme indiqué dans le
courrier que le couple m'avait envoyé en réponse à mon
annonce, même si ce n'était pas le point qui m'importait le plus
en l'occurrence. J'ai fourré ma main sous l'élastique du short
et j'ai eu l'heureuse surprise de découvrir qu'il ne portait rien d'autre
en dessous. Mes doigts sont tout de suite entrés en contact avec la raideur
de son sexe.
Il me regardait dans les yeux pendant qu'il me caressait, d'un air de défi.
Il me branlait carrément maintenant. Son index s'était
enfin décidé à pénétrer
dans mon trou, sans aller jusqu'au fond pour l'instant.
Ou plutôt si, il était entré une fois
ou deux mais aussitôt après, il était
revenu en bordure de mon sexe. Je crois qu'il ne voulait
rien précipiter. Lui aussi savait pourquoi il était
là, en compagnie de Michèle. Il ne voulait
pas gâcher mon plaisir. En plus, je crois qu'il appréciait
la manière dont je lui branlais la queue, tout en
douceur. Il ne pouvait pas s'empêcher de geindre par
moment. De temps en temps, j'accélérais légèrement
le mouvement. Il était gros et fort dans ma main.
Avec le bout du pouce, j'ai caressé un peu le bout
de son gland mouillé. Cela a eu pour effet immédiat
de le raidir encore un peu plus. Puis j'ai calmé
le jeu à nouveau. Alors c'est lui qui a augmenté
l'intensité de ses gestes sur ma minette. C'était
une sorte de bataille où les coups se succédaient
de la part de chacun des assaillants. Nous n'oublions pas
la belle Michèle pour autant.
La jolie brune soufflait dans son coin. De sa voix rauque, elle lâchait
ponctuellement des gémissements plus qu'évocateurs. Elle était
penchée en arrière, son buste relevé faisait apparaître
ses seins encore plus gros qu'ils ne l'étaient en réalité.
A travers la délicate étoffe de la guêpière, nous
pouvions voir les pointes de ses tétons qui bandaient et même deviner
les larges aréoles qui s'étalaient tout autour. Elle avait posé
une main sur ses cuisses qu'elle tripotait nerveusement et l'autre sur le torse
de Damien, sous son débardeur. Elle était très agitée
mais ce n'était pas sans raison. Entre ses cuisses, son compagnon avait
écarté l'étoffe de la culotte et s'était emparé
de sa belle queue. Il faisait aller et venir sa main sur toute la longueur du
manche foncé qui pointait avec indécence son gros nud à
moitié décalotté vers le plafond de mon salon.
-------------
A suivre...
Auteur
|