Premières vacances sans les parents, le pied ! Obtenir
l'accord et le financement n'avait pas été immédiat, mais
finalement ça n'avait pas été si difficile que ça. Bien
qu'encore étudiant, j'étais sorti de l'adolescence quand
même ! Pour emporter la décision, j'avais sorti une dernière
arme : on partait à deux avec mon cousin qui était plus
âgé que moi de deux ans. Ce fut l'argument décisif. C'était
paradoxal, parce que malgré ces quelques mois de plus, Jean
Mi n'était pas plus sage que moi, et certainement moins
« mûr ». Mais bon ! Les parents ont parfois des raisonnements
surprenants... Sauf que lorsque vient notre tour d'être
père ou mère, on est frappé d'amnésie et on se comporte
de la même manière. Le plus difficile par contre, avait
été de faire admettre que nous ferions le trajet en moto.
La discussion avait été longue, mais finalement ça avait
marché.
On s'était donc installés dans ce camping au bord de l'Ardèche.
A l'époque, le tourisme était nettement moins développé
qu'aujourd'hui dans cette région et c'était plutôt tranquille.
Deux jeunes gars en vacances, ça drague, bien sûr. Nous
allions sur une petite plage au bord de la rivière et nous
faisions ce que nous pouvions. Mais ce n'était pas facile
parce que les filles qui étaient là, y étaient en famille.
A cette époque, deux gars en vacances seuls, ça commençait
tout juste, mais pour les filles, ce n'était pas encore
gagné.
Nous avions donc fait quelques travaux d'approche, mais
rien de bien excitant. Jean Mi avait réussi à flirter avec
une petite blonde qu'il avait embrassée, un peu pelotée,
mais dès qu'il lui avait mis la main dans le slip de bains,
elle s'était débattue et il avait dû battre précipitamment
en retraite. « La bibise d'accord ! Mais pour le reste pas
d'accord ». Bref, au bout de 15 jours, on commençait à avoir
les kiwis « comme des petits melons ». D'autant que par
bravade de cousinage, nous voulions nous prouver l'un à
l'autre que nous étions adultes, et que désormais seule
une femme pouvait nous convenir. Pas question de recourir
à la petite branlette qui soulage. Tu parles ! L'un comme
l'autre, nos expériences de baise étaient si peu nombreuses,
que si nous ne nous étions contentés de ça dans la vie de
tous les jours, ça aurait été la misère sexuelle intégrale.
- Ras le bol de la plage et des petites connes ! dis-je
un soir à mon cousin. Demain on prend les motos et on part
en ballade.
- Eh, attends ! J'ai repéré une petite rousse...
- Tu parles ! Ca fera comme les autres ! Elle est avec
ses vieux ?
- Ben... Ouais !
- T'as une chance sur cent. Viens en ballade, ça nous changera.
Faut qu'on arrête d'y penser ! Ça nous bloque.
C'est comme ça qu'on est partis en moto dans les confins
des montagnes ardéchoises. Nous sommes passés dans des chemins
pas possibles, et vers midi, on s'est mis à chercher un
village, un bistrot où trouver de quoi manger un sandwich.
Rien ! Et finalement nous avons aperçu une ferme. Nous nous
sommes approchés pour voir si c'était habité... Et nous
les avons vues. Deux grandes femmes d'environ quarante ans,
avec un air de famille. Toutes deux habillées d'une longue
jupe ample de couleur marron et d'un corsage à petites fleurs
qui semblait contenir de lourdes poitrines. « Si tu es blonde
à forte poitrine... » Elles étaient blondes comme les blés,
le cheveu un peu hirsute.
- Ouuuh ouuuh ! Les garçons, venez, venez ! Approchez !
L'accent était germanique mais pas trop prononcé. On a
posé les motos contre une barrière et on s'est approché
en souriant un peu gauches.
- Bonjour ! On est un peu perdus, mon cousin et moi, on
cherche un endroit où on pourrait manger ! Vous connaissez
ça ?
- Il n'y a rien dans le coin, les garçons. Mais venez,
on va s'occuper de vous !
Avant que nous n'ayons pu protester de quelque manière
que ce soit, les deux femmes nous avaient entraînés vers
l'arrière de la maison, sous un très vaste auvent qui devait
leur servir de salle de séjour. Outre deux balancelles,
il y avait une grande table de ferme et deux bancs. Pendant
que l'une nous installait de part et d'autre de la table,
l'autre disparaissait à l'intérieur de la maison pour revenir
avec un plateau chargé de cochonnailles, de pain et d'une
bouteille de vin.
- Voilà ! Servez vous !
- Mais, je.... Combien ça coûte ?
- Oh ! Ne vous vous occupez pas de ça. Vous êtes nos invités.
Voilà, je suis Erika, et ma sœur, c'est Sonia. Et vous
!
- Moi je m'appelle Marc, et mon cousin c'est Jean Mi.
- Enchanté. Allez-y mangez.
Nous nous sommes attaqués aux pâtés et autres saucissons
avec ardeur. Erika vint s'installer au bout du banc où j'étais
assis et Sonia fit de même du côté où était mon cousin.
Nous étions un peu gênés et ne savions que dire. Après quelques
minutes de mastication, je remarquai que Sonia s'était rapprochée
de mon cousin. Je vis Jean Mi s'arrêter de manger et déglutir
avec difficulté. Je ne voyais pas ce qui se passait sous
la table, mais le bras de la jeune femme était positionné
de telle manière qu'elle était sans aucun doute en train
de peloter l'entre cuisse de son voisin. Gêné, je me tournai
vers Erika en souriant. Et... Je sentis le sang envahir
mes joues. J'ai dû rougir comme une jeune fille. Jambes
repliées, elle avait mis les deux pieds sur le banc qui
était assez large, ce qui lui permettait d'écarter les genoux,
découvrant que sous sa large jupe, elle ne portait aucun
sous-vêtement. J'avais une vue imprenable sur sa chatte
à la toison blonde, au milieu de laquelle un clitoris de
bonne taille était largement étalé à ma vue. J'étais en
pleine confusion. L'expérience venant, je sais désormais
que ce genre position n'est jamais fortuit de la part de
nos compagnes. Surtout lorsqu'un mâle louche outrageusement
sur l'endroit en question. Mais à cette époque, j'étais
encore bien naïf, et je n'avais aucune certitude sur le
fait que cette exhibition soit délibérée. Avec effort, je
reportai donc mon regard sur le visage de ma voisine. Son
sourire était lumineux. Comme attirés par un aimant, mes
yeux revinrent sur le sexe offert, et une bouffée de chaleur
monta jusqu'à mes oreilles. Une violente érection durcit
brutalement ma verge qui tendit instantanément le tissu
de mon boxer-short. C'était si visible que la jeune femme
s'en aperçu immédiatement.
- Qu'est-ce qu'il se passe Marc ? Tu sembles bien nerveux,
dit Erika.
- Non rien ! Ça va, dis-je en balbutiant. C'est qu'il fait
chaud.
- Oh oui, dit-elle, en relevant carrément sa jupe sur son
ventre, avant de quitter sa position pour s'asseoir à califourchon
sur le banc et de se rapprocher en quelques appuis fessiers.
Parvenue près de moi, elle tendit la main vers la protubérance
de mon short.
- C'est quoi ça ?
- Ben ! Je...
Le reste de ma phrase resta coincé dans ma gorge. Tandis
que d'une main elle avait tiré la ceinture de mon boxer
vers le bas, de l'autre elle avait saisi ma bite qu'elle
se mit à masturber doucement. Mon excitation était à son
comble. Elle se pencha sur moi et, tout en continuant à
faire monter et descendre sa main sur ma colonne, ses lèvres
entourèrent la base de mon gland tandis que sa langue entamait
un ballet endiablé sur le bout de ma verge. Dieu que c'était
bon ! Ses cheveux caressaient doucement mon ventre. Sans
cesser de me pomper le dard, elle prit mon boxer à deux
mains et le fit glisser sur mes fesses. M'appuyant des deux
mains sur le banc, je laissai glisser le tissu jusqu'à mes
pieds. Débarrassée de mon vêtement, elle reprit ma bite
en main et continua sa branlette, sans cesser de me sucer
le gland. En moins de deux minutes, je sentis venir l'éjaculation.
Elle s'aperçut aussi que j'étais prêt de jouir, car elle
arrêta de me sucer et se redressa sans pourtant lâcher ma
virilité. Elle me prit alors la main qu'elle amena en contact
avec sa chatte que je trouvais trempée.
- Tu veux caresser mon petit chat ?
Instinctivement mes doigts s'introduisirent dans sa fente.
Elle était gluante et toute chaude, ce qui eut pour effet
d'augmenter encore mon excitation. Comme machinalement elle
me masturbait à nouveau, mon éjaculation vint ! Irrésistible
! Une longue giclée s'échappa du méat et retomba sur sa
main et sur mes cuisses. Mais elle réagit aussitôt en bloquant
du pouce mon canal séminal.
- Eh ! Faut pas décharger si vite. Attends-moi !
Les secondes qui suivirent furent douloureuses, car j'avais
vraiment les couilles pleines et ça poussait fort pour sortir.
Je fermai les yeux, tétanisé. Je ne sais comment elle se
débrouilla, mais elle réussit à m'enjamber et à introduire
le bout de ma bite dans sa large fente bien lubrifiée avant
de desserrer ses doigts. Mon éjaculation reprit son court.
Violente, douloureuse. J'avais l'impression de déverser
des litres de sperme dans son ventre. Elle s'était enfoncée
ma verge aussi loin que possible et frottait sa vulve contre
mon ventre en me tenant aux épaules. Je lui avais pris les
fesses et je jouissais sans retenue.
Et brusquement elle jouit elle aussi.
- Oh ! C'est bon ta jute. Oh, c'est bon...
Le reste fut dit dans une langue gutturale avant qu'elle
ne se jette sur ma bouche qu'elle envahit d'une langue conquérante.
Je ne suis pas superman, mais du fait sans doute de ma longue
abstinence et du traitement qu'elle m'avait fait subir,
je ne débandai pas.
- Huuuum ! Tu es encore bien dur c'est bon ! dit Erika
lorsqu'elle eut repris ses esprits. On va pouvoir continuer
à baiser. Viens ! Viens sur la balancelle.
En femme expérimentée, elle mit la main en conque sur sa
fente lorsque ma bite quitta son vagin, gardant ainsi mon
sperme en elle.
- Je veux garder tout garder dans mon ventre. C'est trop
bon !
Rapidement, la main collée entre ses cuisses, elle m'emmena
vers la balancelle. Je vis alors que l'autre était occupée
par Sonia qui, assise sur le bas ventre de mon cousin, montait
et descendait lentement sur sa tige. Jean Mi avait pris
à deux mains les gros seins et les pelotait avec ardeur.
Pendant que je contemplais le spectacle, Erika s'était débarrassée
de ses vêtements, elle s'était renversée sur les coussins,
jambes relevées et largement écartées, m'offrant sa chatte
d'où un filet blanchâtre avait commencé à couler en direction
de son anus.
- Viens vite chéri ! Viens me la remettre.
Ma verge avait un peu baissé du nez, mais compte tenu de
la taille de l'ouverture et du sperme mêlé au foutre qui
la tapissait, je n'eus aucune peine à m'introduire jusqu'à
la garde. Le nez dans ses cheveux, la poitrine collée contre
ses gros seins, je la pris sous les fesses et j'entrepris
de la pilonner à grands coups de ma queue qui avait instantanément
retrouvé sa vigueur en entrant dans le fourreau torride.
La deuxième fois, ça ne vient pas tout de suite. Alors j'ai
eu le temps de la limer un bon moment. Mais de son côté,
elle n'avait pas l'air d'avoir besoin de recharger les batteries.
Elle jouissait à répétition. Les orgasmes se succédaient
à intervalles réguliers et assez rapides. Et puis finalement,
j'ai à nouveau senti que j'allais décharger.
- Oh ! Ca vient ! Je vais juter !
- Oh ! Jute-moi sur les seins, chéri. Fais voir ta jute
qui sort de ta belle bite !
- Non pas question ! C'est trop bon dedans !
- Oh ! S'il te plaît !
- Et merde !
Ma maman m'a appris qu'il fallait toujours être gentil
avec les dames, alors j'ai fait ce qu'elle me demandait.
Je me suis redressé et j'ai sorti ma queue au moment où
la première giclée était prête à sortir. Comme elle se redressait
en rapprochant son buste de moi, elle reçut ma semence en
plein sur le menton, avant que je ne dirige ma verge de
la main pour que les autres giclées tombent sur sa poitrine.
- Huuuum ! C'est bon, dit-elle en étalant le sperme sur
ses seins. T'es un gentil, toi. Viens, je vais te récompenser
!
Elle m'attira alors vers elle en me prenant d'une main
par les fesses. De l'autre, elle tira sur la peau pour bien
découvrir mon gland qu'elle engloutit entre ses lèvres.
Creusant les joues, elle entama un ballet infernal de la
langue et des lèvres sur mes terminaisons nerveuses les
plus sensibles. La sensation était si forte que je flageolai
sur mes jambes.
- Oh ! Putain que c'est bon !
Ce cri du coeur la fit redoubler d'ardeur. Après deux éjaculations,
mes couilles étaient vides, mais je crois qu'elle réussit
encore à me tirer quelques gouttes. Épuisé, je m'écroulai
près d'elle sur les coussins de la balancelle.
On s'est retrouvés tous les quatre autour de la table après
s'être rhabillés. Sonia et Erika nous ont expliqué qu'elles
étaient allemandes et passaient l'été dans cette vieille
ferme. Au début c'était marrant, mais elles ne voyaient
presque personne. Habituées à avoir une vie sexuelle assez
intense à Munich, elles avaient commencé à être en manque,
bien qu'elles se soient mutuellement léché le minou, ainsi
que d'autres fantaisies courantes entre femmes. Mais quand
elles nous avaient vus, sans se consulter elles avaient
ôté chacune leur culotte avant de nous accueillir.
- Vous revenez demain, hein ? demanda Erika au moment de
partir.
- Avec plaisir ! Hein, Jean Mi ?
Le soir dans la tente on a bien sûr reparlé de notre aventure.
- C'est sensas, tu ne crois pas ? En plus, elles baisent
bien... En tout cas Erika, elle baise bien !
- Ouais, Sonia aussi, elle baise bien ! Elle est chaude
et elle mouille comme tu peux pas t'imaginer !
- Ouais, Erika aussi a la chatte pleine de foutre.
- Ouais ! Mais Sonia, c'est pas de la mouille ordinaire.
C'est pas à tous les coups, mais deux fois, en jouissant
elle m'a littéralement inondé. D'ailleurs les coussins étaient
tout mouillés.
- Elle t'a pissé dessus, dis-je en rigolant.
- Arrête tes conneries ! Non, je suis sûr que non ! Pas
la couleur et pas d'odeur. Non, non, elle mouille beaucoup,
voilà ! Une vraie fontaine !
Mon cousin ne croyait pas si bien dire. A l'époque bien
sûr, on ne connaissait rien de ce phénomène que les américains
appellent « squirting » et qui fait que certaines femmes
en jouissant éjectent de leur vagin une grande quantité
de liquide incolore.
- Et alors c'est agréable ou désagréable ?
- Ben, c'est pas désagréable. Ca surprend ! C'est chaud
!
En fait, je fis bientôt moi aussi l'expérience, car le
lendemain, quand nous arrivâmes, Erika uniquement vêtue
d'un minuscule slip de dentelle, se dirigea immédiatement
vers Jean Mi. Je me retrouvai seul, un peu vexé.
- On change. Je veux essayer Jean Mi, dit-elle en souriant.
Marc tu vas avec Sonia.
Effectivement Sonia arriva en souriant, et complètement
nue. J'admirai sa toison blonde qui me surprenait un peu,
car jusqu'ici je n'avais vu que des filles au minou châtain
ou noir.
Elles nous emmenèrent chacune sur une balancelle et entamèrent
sans attendre de nous mettre à poils. Nu, allongé sur les
coussins, je me laissai aller à la douce volupté de caresser
les seins de ma nouvelle partenaire tandis qu'elle me suçait
avec autant de savoir-faire que sa sœur. Lorsqu'elle
jugea que mon érection était suffisante, Sonia se mit à
quatre pattes dans l'angle opposé de la balancelle, la croupe
haute, la chatte bien visible entre ses larges fesses.
- Baise-moi comme ça !
- Ca s'appelle une levrette.
- Si tu veux.... Mais baise-moi !
Après avoir promené le bout de mon gland de son anus au
sommet de sa fente, j'écartai de mes deux pouces les lèvres
de sa vulve avant d'y faire entrer ma verge, sans difficulté.
Comme sa sœur, elle était parfaitement lubrifiée et
prête à recevoir le mâle. Sans attendre, je lui pris les
hanches et, sans bouger moi-même, je lui imprimai un mouvement
d'avant en arrière et d'arrière en avant, l'empalant à chaque
fois sur ma queue bien bandée. Elle accompagnait d'ailleurs
parfaitement le mouvement, et ses fesses venaient claquer
sur mon bas-ventre. Après quelques minutes de ce traitement,
elle se mit à feuler d'une voix sourde, jusqu'à ce que sa
jouissance explose dans un cri, tandis qu'elle plaquait
ses fesses contre moi, me maintenant enfoncé à fond en elle.
Elle demeura immobile quelques dizaines de secondes puis
redémarra d'elle-même ses mouvements de baise.
Elle jouit ainsi trois fois avant que, n'y tenant plus,
j'éjacule violemment dans le chaud fourreau de sa chatte.
Au moins, Sonia me laissa m'épancher en elle, et ne m'imposa
pas de l'arroser de ma semence. Mais je constatai avec quelque
surprise que, bien qu'elle ait joui plusieurs fois, ses
sécrétions, qui avaient été abondantes, certes, n'avaient
absolument pas été exceptionnelles.
Après cette première séance, nous nous sommes retrouvés
tous les quatre autour de la table pour nous restaurer et
nous reposer quelques instants.
- Nous, malgré qu'on soit plus âgées, on aime bien baiser
avec des mecs de votre âge, dit Erika. Parce que vous pouvez
baiser plusieurs fois dans la journée. Nous les femmes on
peut jouir autant de fois qu'on veut sans problème. Mais
souvent, les hommes, quand ils ont déchargé une fois, c'est
fini pour un bon moment. Avec vous, au moins, je peux prendre
mon pied comme il faut. J'en avais besoin. J'ai bien joui...
Et on ne va pas s'arrêter là. Et toi Sonia ?
- Moi, c'est pareil, j'ai eu plein d'orgasmes très forts.
Ce matin, Marc m'a donné vraiment beaucoup de plaisir, dit-elle
en me donnant un léger baiser sur les lèvres.
- Mais tu as moins bien joui qu'avec Jean Mi, non ?
- Pourquoi tu dis ça ? C'est pas vrai !
- Pourtant Jean Mi m'a dit que tu l'avais totalement inondé
de foutre hier. Avec moi, tu ne l'as pas fait. C'était moins
bon ?
- Ah c'est ça ? Eh bien tu te trompes. Vous êtes encore
tout jeunes les garçons et vous ne connaissez pas bien les
femmes.
- Ah bon ?
- Non, ça n'a rien à voir. Explique Erika ! Mon français
n'est pas assez bon.
- Voilà ! Sonia fait partie de ces femmes qui, suivant
comment elles sont excitées ou stimulées ont une éjaculation
de liquide hors de leur chatte. C'est abondant et ça gicle
fort. Ca va assez loin, quand il n'y a pas d'obstacle. Je
n'ai jamais eu d'explication du phénomène. Toutes les femmes
ne le font pas. Moi, ça ne m'est jamais arrivé. Pourquoi
? Je ne sais pas ! Mais voilà, on constate.
- Ca arrive surtout quand mon clitoris a été frotté. Si
je le branle ou si on baise assez longtemps normalement
en .... « missionnaire ». C'est comme ça que vous dites
? Mais je ne peux pas dire que j'aime ça, parce que je ne
jouis pas plus fort. Et les hommes sont surpris. Certains
croient que je fais pipi. Alors j'évite ! Ca me gêne ! Hier,
du fait de l'excitation et que j'avais très envie, je n'ai
pas fait attention, et j'ai arrosé Jean Mi. Je m'excuse.
- Faut pas ! C'était très bien.
- Merci tu es gentil. Et puis ce matin on l'a fait en levrette,
et je ne me suis frotté le clito, alors voilà !
- Oui mais moi j'aimerais voir ça !
- Pas question ! Je n'aime pas trop montrer ça, je t'ai
dit !
- Ouais, mais juste une fois ? Pour l'éducation des jeunes...
Et puis on te dit que nous on aime !
Les deux sœurs se regardèrent, se dirent quelques
mots dans leur langue et ce fut Erika qui reprit la conversation.
- Ok, voilà ce qu'on va faire. Cet aprèm, on va tous rentrer
à l'intérieur, on se mettra à quatre sur le lit. On a un
grand lit ! Et on vous fera voir.
- Tous... On va faire ça tous ensemble, bredouilla Jean
Mi.
- Oui, tu verras, c'est excitant ! En français on appelle
ça une partie carrée, je crois. Sonia et moi, on aime beaucoup
ça.
- Euuuuh ! Nous on n'a jamais fait ça, hein...
- Pas de problème, tu verras ! De quoi as-tu peur ?
- Euuuuh ! De rien...
- Super ! On y va !
On s'est donc retrouvés tous les quatre à poils sur un
lit immense et très haut. C'est Erika qui dirigea les opérations.
Après une courte fellation pour me faire bander plus vite,
Sonia s'assit sur le bord du lit, les jambes pendantes et
bien écartées avant de s'allonger, la chatte offerte. Je
fus invité à m'introduire en elle, mais sans m'allonger
sur son corps. La hauteur du lit était telle que je n'eus
pas à plier les genoux, et je commençai à faire aller et
venir mon sexe dans sa chatte toute chaude. Pendant ce temps,
Erika après avoir longuement sucé mon cousin qui avait du
mal à bander, s'était mise à quatre pattes au-dessus de
sa sœur, et avait invité Jean Mi à la prendre en levrette.
Pendant qu'il s'introduisait en elle, elle se mit à masturber
sa sœur en massant le clitoris avec deux doigts. Pour
moi, la situation était hyper excitante. Pour la première
fois, je participais à une partie carrée. Je baisais une
femme, et j'en caressais une autre. Car, mes mains étant
libres, j'avais empaumé les deux seins qui ballottaient
au rythme imprimé par les coups de queue de mon cousin.
On a baisé comme ça pendant un moment, et je m'attendais
à ce que Sonia jouisse assez vite du fait des actions combinées
de ma queue et des doigts de sa sœur. Mais elle devait
être tendue, car ce fut Erika qui jouit la première. En
gémissant de bonheur, elle s'effondra sur le ventre de sa
sœur. Gêné, je dus arrêter de limer. Lorsqu'elle eut
repris sa position, je recommençai mes mouvements, essayant
de donner des coups plus violents pour exciter et amener
ma partenaire à l'orgasme. Mais presque aussitôt Erika jouit
à nouveau. Cette fois son corps se tendit comme un arc,
elle se redressa vers moi. Les pointes de ses seins se durcirent
sous mes doigts, et sa langue fouilla ma bouche lorsqu'en
me penchant je réussis à lui prendre les lèvres. Son sexe
avait dû se resserrer sur la queue de mon cousin, car alors
qu'elle était encore pâmée, ce fut lui qui cria qu'il déchargeait.
Déchaînée, Erika qui sentait couler en elle la semence de
Jean Mi, reprit sa masturbation en accélérant. Ce traitement
vint enfin à bout des résistances de Sonia qui cria qu'elle
allait jouir. J'étais moi-même très excité par tout ce que
je voyais et que j'entendais. De plus, les muscles intimes
de Sonia s'étaient considérablement crispés, provoquant
un massage serré sur mon gland que je sentis prêt à éjaculer.
- Retire-toi m'intima Erika.
En même temps, elle me repoussa. Surpris, je sortis ma
verge du sexe de ma partenaire et me reculai d'une dizaine
de centimètres. Sonia cria, et je vis nettement une giclée
de liquide sortir violemment du vagin encore ouvert. En
une seconde, ma verge et mon bas-ventre furent inondés.
Je réagis immédiatement en prenant ma bite en mains et en
deux coups de poignet, je l'amenai à décharger. Les deux
premières giclées percutèrent le visage et les seins d'Erika
toujours à demi penchée sur le ventre de sa sœur. Les
suivantes se perdirent dans les poils et sur le sexe de
Sonia, jusqu'à ce que je la pénètre à nouveau avec volupté.
La douce caresse des parois de son sexe sur mon gland enflammé
crachant ses dernières gouttes me firent défaillir de bonheur.
J'avais trouvé l'expérience merveilleuse. D'une part ma
connaissance des femmes avait progressé. Et surtout j'avais
trouvé ma première baise collective excitante à tout point
de vue.
Jean Mi, de son côté, resta un peu frustré dans la mesure
où, placé comme il était, il n'avait pu voir l'éjaculation
de Sonia.
Il n'était pas au bout de ses frustrations. Deux jours
après nous partions, et juste avant nous sommes repassés
voir les deux sœurs, histoire de tirer un dernier coup.
J'avais baisé Erika et Jean Mi s'acharnait à limer Sonia
qui avait déjà pris son pied plusieurs fois. Après une douche
je revins avec Erika dans la chambre où mon cousin s'escrimait
toujours sur sa partenaire. L'heure passant, je me décidai
à lui demander de se presser. Je m'approchai donc du couple.
- Alors cousin, on peine à jouir ? lui demandai-je en lui
mettant une claque sur les fesses.
Ce fut instantané, il débanda complètement. Bonne fille
Sonia tenta de la remettre en forme et ne put y parvenir.
Aujourd'hui, il m'en veut encore. Mais les sœurs allemandes
restent pour moi un excellent souvenir.
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