Je m'appelle Charlene, j'ai 23 ans et je vais vous parler de ma première
sodomie, qui fut mémorable.
A l'époque j'avais tout juste 19 ans, et déjà une certaine
expérience du sexe et de la fellation que je me suis mise
à adorer tout de suite. Il ne me restait plus que la sodomie
à découvrir. Bien sur mon petit cul je le connaissais déjà
assez bien, me doigtant et même me godant souvent avec une
petite bouteille de coca, mais jamais encore je n'avais
eu un vrai sexe d'homme dans cet orifice. J'en avais peur,
mais l'idée faisait inexorablement son chemin jour après
jour dans ma tête, j'avais une envie folle de connaître
le plaisir de me faire enculer.
Mais je me voyais mal demander cela à mon petit ami de
l'époque, qui était assez prude sur tout ce qui touchait
au sexe en général. Déjà de réussir à le pomper jusqu'à
éjaculation dans ma bouche me valait ensuite un regard de
désapprobation de sa part, c'est vous dire, et je me sentais
gênée de passer pour une salope à ses yeux.
Je vivais encore chez mes parents et pour me défouler,
je surfais sur le Net, et allais sur les sites de dial.
Et au fur et à mesure de l'expérience que j'y acquérais
et aussi de la perte de ma timidité naturelle, je commençais
à parler de mon envie d'être « enculée » à mes différents
interlocuteurs. Vous imaginez aisément que j'avais pléthore
de réponses et de propositions, mais je ne donnais aucune
suite à cela.
Jusqu'au jour où un dial plus intéressant que les autres
captiva mon attention, et pourtant cela avait mal démarré
car c'était un homme marié et de plus, assez âgé. Il avait
la cinquantaine bien sonnée, mais de fil en aiguille, je
m'en fis un ami du net en ne pensant pas un seul instant
le rencontrer réellement, ce qui était néanmoins possible
car il habitait le département voisin du mien, et nous n'étions
séparés que d'une trentaine de kilomètres.
Malgré tout ce monsieur avait une bonne connaissance de
la chose et j'en venais même à annuler des rendez-vous avec
mon petit ami, préférant me connecter sur le Net avec cet
homme - il s'appelait Jean. Au bout d'un certain temps,
nous avons commencé à nous mettre nus quand nous faisions
du Net, puis à nous envoyer les traditionnelles photos :
Jean, de son sexe, puis de lui-même. Moi, j'envoyais des
photos de moi. Cela dura un moment puis, n'y tenant plus,
nous échangeâmes nos numéros de téléphone.
Là je dois dire que l'excitation pour moi était grande : après quelques séances de masturbation et des scénarios tous plus cochons les uns que les autres sur le Net et au téléphone, et à force de persuasion, il finit par me convaincre de le rencontrer pour en discuter de vive voix.
Ce ne fut pas facile car il était marié, mais parvenait
à se libérer certains après-midi, et moi aussi, étant encore
étudiante.
Notre premier lieu de rencontre fut un bar, dans l'après-midi et après un petit moment de timidité de ma part, nous finîmes par parler de sexe en toute liberté et sans tabou, comme sur le Net. Je le revis deux fois avant de me décider à coucher avec lui et je dois dire que très vite je me suis retrouvée à l'hôtel, nue et baisée comme une chienne, et le mot n'est pas trop fort car il était particulièrement pervers, et de plus, il était déjà très au courant de mes attentes et de mon degré de perversité, après nos longues discussions nus et sans tabous sur le Net.
J'ai beaucoup appris avec lui et si je suis aussi délurée
aujourd'hui, c'est en grande partie à lui que je le dois.
On se voyait au moins trois fois dans le mois pour des baises
torrides qui me laissaient le plus souvent sur les genoux.
Ne connaissant que trop mon désir, mais aussi ma peur de
la sodomie (bien sûr il s'était déjà occupé de mon petit
trou, mais cela était resté du léchage et du doigtage),
il réussit au bout de quelques semaines à me faire accepter
une relation avec lui tout un week-end pour essayer de m'enculer
(sa femme partant seule dans sa famille à ce moment-là).
Donc me voilà, après un bon dîner en ville, chez lui où
nous avons tout de suite fait l'amour. Puis, après nous
être un peu reposés, nous sommes passés à la défloration
proprement dite de mon cul. Je fus enduite de gel anal et
il commença à me doigter doucement au début, puis de plus
en plus vigoureusement. Il savait que j'étais assez étroite
et crispée et que je devais me détendre, aussi me fit-il
encore un peu l'amour par devant puis reprit le doigtage
de mon cul, en espérant que mon excitation allait l'aider.
C'est vrai, je mouillais grave, et j'avais vraiment envie
d'être enculée. Il me mit en position de levrette et se
positionna derrière moi. Je nous revois sur son lit, nos
deux corps se reflétant dans la grande glace de l'armoire
de sa chambre. Il commença à forcer mon sphincter et, au
bout d'un certain temps, celui-ci céda à la contrainte qu'exerçait
son gland. Nous marquâmes un temps d'arrêt, lui au quart
dans mon cul, et je dois dire que cela était assez cocasse
de nous voir dans cette position sans bouger dans la glace.
Puis il reprit son avancée, mais j'étais trop tendue et
donc trop serrée du cul pour qu'il avance plus sans me faire
trop mal. Il décida donc de se retirer et de me baiser la
chatte, ce qu'il fit à merveille et me fit jouir. Mais lui
se garda bien de jouir, et presque aussitôt, il me fit changer
de position et je me retrouvais assise sur lui, encore baisée
par la chatte avant qu'il me dise de me lever un peu, ce
que je fis. Il sortit sa queue gluante de mouille de ma
chatte et dirigea son gland pour l'introduire dans mon anus.
Comme par enchantement son gland passa mon sphincter assez facilement, peut-être à cause de la position accroupie que j'avais adoptée et qui m'écartait l'anus naturellement. Et nous nous retrouvions au chapitre premier, lui un quart dans mon cul, sauf que la position avait changé.
Lui assis sur le lit, me tenant par les hanches, et moi presque assise de dos sur lui, mes pieds de chaque côté de ses jambes, mes genoux à hauteur de mes seins, prenant appui de mes mains sur ses cuisses.
S'il ne me tenait plus par les hanches ma position deviendrait
très vite inconfortable, mais c'était justement ce qu'il
avait en tête. Là il me dit qu'il allait me lâcher. Je compris
vite son jeu, et malgré mes suppliques pour qu'il ne le
fasse pas, il enleva ses mains de mes hanches, me laissant
seule supporter le poids de mon propre corps dans la position
accroupie où j'étais, avec pour seul appui mes mains sur
ses cuisses. Je ne pouvais pas me relever de moi-même, et
de plus ma fatigue était augmentée par les deux baises que
je m'étais prises avant avec lui.
Je résistai autant que je le pus, mais au bout d'un moment
mon corps devint trop lourd pour moi et j'eus les jambes
en coton. C'est ainsi que je me sentis m'empaler moi-même
inexorablement sur son sexe. Je me voyais toujours dans
la glace en train de grimacer et d'ouvrir grand la bouche.
Je finis par me laisser doucement aller et compris que le
sexe de Jean était tout entier dans mon rectum. A ce moment-là,
je finis par ne plus exercer de pression sur ses cuisses
et me retrouvai complètement assise sur lui.
Voilà, j'étais enculée et même bien enculée, car le sexe
de Jean, sans être super gros n'en était pas moins long
pour ça, et je m'étonnais que mon cul puisse engloutir une
telle longueur. Nous restâmes là encore un long moment sans
rien faire, juste nous regarder comme ça dans la glace.
Puis il décida de passer aux choses sérieuses. Il me renversa
doucement sur le côté, me remit tant bien que mal en position
de levrette, son sexe toujours bien profondément ancré dans
mon cul, et commença à faire de petits va-et-vient. Je serrai
les dents, mais l'excitation en moi était à son comble et
au bout d'un certain temps il allait et venait dans mon
cul aussi facilement que si j'avais déjà été enculée depuis
bien longtemps - il faut dire que depuis, je me suis découverte
très anale. Il finit par jouir dans mon cul, m'entraînant
aussi dans sa jouissance et j'ai senti mon rectum être inondé
de sperme, car le fait de se retenir si longtemps avait
décuplé son envie et la puissance de son jet.
Nous nous écroulâmes sur le côté et nous dormîmes un petit
moment, lui toujours dans mon cul.
Voilà l'histoire de ma première sodomie, de loin la plus
longue que j'ai connue, car nous y avons quand même passé
toute une après-midi. Depuis, il m'est difficile d'avoir
une jouissance totale sans être sodomisée, et je n'utilise
plus de gel...
Gros bisous à vous tous.
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