J'ai eu ma première expérience homo. Dans les urinoirs du jardin du Luxembourg. J'entre pour pisser les urinoirs des vespasiennes sont fait de grande plaque d'ardoise.

Il y a un homme dans le premier urinoir. Il me regarde, me sourit,

Il s'écarte, je ne peux m'empêcher de regarder. Sa main monte et descend sur sa hampe ; il se tourne vers moi mes yeux reste fixés sur ca bite, qui est bien plus grosse que la mienne.

Joviale « tu as une belle bite » « montre ! »

Je rougis, il regarde par-dessus les palissades, s'approche de moi il saisit ma queue, ca main est douce. Je reste les bras ballants, ca main glisse sur ma bite « tu es drôlement mignon ! » « Tu veux que je continue » « oui ! » Il regarde au alentour, se penche prend ma bite dans ca bouche, ca langue douce et chaude tourne sur mon gland. J'ai comme une décharge électrique, je jouis, j'ai des frisons, je me vide dans sa bouche, je ne tiens plus sur mes jambes, ces lèvres quittent mon sexe. Une fraîcheur printanière caresse mon gland décalotté.

« Tu as bien joui ? » « Ta bite à un bon goût » « tu as aimé ? » « - Oui ! » « Je suis là le mercredi après midi » je me rajuste et je m'enfuis confus.

La curiosité est plus grande que la peur je retourne dans ces vespasiennes. Quand les urinoirs sont pris, il y a toujours un homme qui me cède sa place sans oublier de me montrer sa bite au passage en me souriant. C'est souvent celui du milieu. Je prends place et pisse. Invariablement l'homme ou (les deux) a coté de moi, s'écartent pour me montrer leur bite. Par-dessus la séparation ils me regardent pisser. L'un me sourit, s'écarte un peu plus pour bien me montrer qu'il se branle. L'autre reste devant l'urinoir. Je m'écarte un peu, c'est comme un signal l'homme me suce.

Je suis devenu un habitué de cette vespasienne un jour l'homme qui se branlait à cote de moi me dit : « je te vois souvent ici ». « Tu est un petit vicieux ! » Il s'écarte, « Moi je ne suce pas ! » je me sens piègé, il saisit ma nuque fermement, intimidé, je me plie, il me maintient les lèvres sur ça bite. Décontenancé malgré mon dégoût j'ouvre la bouche et me plie a ces exigences. Son sperme a envahi ma bouche, surpris j'éructe, tousse, avale sa liqueur jusqu'à la dernière goutte. Il me regarde se rajuste. « Tu vois toi aussi tu peu donner du plaisir ! » et il est parti sans un mot. Je passais de temps en temps, l'inconnu, les hésitations de certains devant ma jeunesse, me plaisais bien.

Un jour d'hiver, un homme vêtu d'un costume me dit : « Il fait froid » j'ai un appartement pas loin « si tu veux ? Je t'emmène » cet homme ne m'était pas inconnu je le voyait me regarder quelque fois. Je lui ai répondu « oui »

L'appartement est très grand décoré avec raffinement. Je suis intimidé, je me laisse déshabillé, il me demande de m'allonger sur le ventre. Je me jette en travers d'un immense canapé d'angle en velours mauve qui se trouve au milieu de la pièce.

Il me masse les épaules puis ces mains glissent sur mes fesses « ta peau est très douce tu es bien » « oui ! » « Tu as de belles fesses ! On te la déjà dit ? » « Non ! C'est la première fois, que je montre mes fesses ! » « Je m'en doutais, s'est pour ça que tu es là ! » Il me tend un coussin et me demande de le placer sous mon ventre. Je me sens bien et m'installe dans la position qu'il me demande.

« C'est bien ! » « Tes fesses son encore plus belles ! »

Avec sa langue il me lèche la raie, je bande et frisonne. « Ecarte tes fesses avec tes mains » « creuse ton ventre que tes fesse ressortent bien ! » Je me cambre. « Tu as une jolie petite rosette qui s'entrouvre ! Quand tu écartes tes fesses ! » « C'est mignon et très existant ! » Ça bouche chaude, se plaque sur ma rondelle, ca langue me chatouille le petit trou, je trouve cela très agréable. Elle s'arrête un moment, puis reprend, puis s'arrête a nouveau. « Ecarte bien tes fesses » « que voie bien ton petit trou ! » « Tu veux que je m'occupe de ton petit trou » « oui ca me plaît » mit en confiance je ferme les yeux tout a mon plaisir. Une douleur brûle mes reins. Je me demande ce qui m'arrive, je ne peux m'empêcher de crier.

Détends-toi ! « N'est pas peur c'est va passer »

Je réalise, que c'est çà bite qui embrase mon petit trou. Ce feu me dévore de plus en plus, anéantissant dans ça propagation toute résistance. Je jette ma main en arrière mes doigts entrent en contact avec ce tison.

«Tu as le cul drôlement serré ! »

D'une petite poussée, ça braise s'enfonce un peu plus, et s'arrête

Je ne peux m'empêcher de crier

« Nnnnnon ! » « J'ai mal » « Hhhhhhhhhhhhaiiiiiiie » «Je brûle !»

« Souffle un bon coup »

D'une puissante poussé ça torche s'enfonce jusqu'à la garde balayant tout sur son passage. Je crache je souffle mais rien n'arrête cette fournaise qui me tourmente.

« Tu as cul étroit s'est tout ! » « Ne t'inquiète pas quand j'en aurais fini, je te fout le cul dans une bassine d'eau froide ! »

Sans s'occuper de mes jérémiades. Ces mains agrippent mes hanches et sa braise incendie ma cheminée cautérise ma rondelle.

Tous mes muscles se relâchent je pousse de légers râles. Avec rudesse et barbarie, il me lime le foyer pendant un long moment, ca respiration devient saccadée, il pousse des grognements, son tison se retire et zèbre de ca liqueur brûlante mon dos.

« Que c'est bon ! Aujourd'hui c'est toi qui m'a donné beaucoup de plaisir ».

« Tu peu être fier, cela fait longtemps que j'ai pris un tel plaisir »

Habille toi ! Les proprios risquent de bientôt rentrer.

J'étais soulagé, toute douleur avait disparue, flatté d'avoir donné du plaisir.

Je ne l'ai plus revu, j'ai attendu 2 jours pour s'avoir, s'il avait dit la vérité, mais cela est une autre histoire

Kado