A l'issue de nos retrouvailles agitées Marc,
avec l'accord de mon mari, m'avait prévenue : "A lundi chez
toi" et, immédiatement, j'avais pensé qu'il s'agirait encore
d'un "lundi chaud" en perspective. Chaud, le mot est faible,
il fut torride et… frénétique.
Ce lundi matin, mon mari partit travailler. Il m'embrassa
en me souhaitant "une excellente journée" et sur un ton
à la fois amusé et malicieux "de bien m'amuser". Complice,
il ne se faisait aucune illusion sur les activités auxquelles
se livrerait sa charmante épouse pendant cette journée de
repos professionnel (mais qui ne serait pas de tout repos
sur un plan nettement plus érotique).
Comme d'habitude, dès qu'il fut parti : salle de bain,
douche, brushing, un soupçon de parfums aux bons endroits.
Puis séquence maquillage. Oh ! Pas carrément excessif, mais
pas loin. Marc adorait me voir ainsi fardée. Les vêtements
du jour ? Ne changeons rien des "bonnes" habitudes…
des boucles d'oreille, un tour de cou noir, un porte-jarretelles
et des bas - aujourd'hui noirs à couture avec un renfort
de dentelle - et des talons aiguilles vertigineux. J'avais
fini par dénicher une paire de vernis noirs à talons d'une
hauteur de onze centimètres qui, d'une part, me galbaient
le mollet et, d'autre part, m'obligeaient à marcher cambrée,
faisant en cela ressortir mon arrière train comme une invite
à y mettre la main… ou autre chose.
Un coup d'œil dans le miroir. Bien ! Florence tu étais
exactement le reflet de la cochonne telle que l'on se l'imagine
ou que l'on "admire" dans les films, j'allais dire érotiques
mais non…, pornographiques. Je dois avouer qu'à présent
je commençais secrètement à raffoler de cette image de moi
qui n'avait pour but que de laisser filtrer la seconde facette
de ma personnalité : celle de la femelle avide un peu mûre
qui faisait tout pour exciter et céder sans aucune décence
aux caprices d'un amant plus jeune, bien tordu et tellement
imaginatif lorsqu'il s'agissait de me dévergonder.
Et puis vint l'attente. Cette attente qui me rendait énervée
comme une puce, pendant laquelle je fantasmais. Comment
allait-il me prendre ? Par quel orifice et combien de fois
?
Enfin, j'entendis sa voiture, un dernier coup d'œil
dans la glace… Mes seins étaient gonflés d'envie et
mon ventre me brûlait de désir. Sonnette, j'ouvris la porte.
Il était là, enfin, sur le pas de la porte, mais au lieu
de rentrer il s'effaça sur le coté gauche. Me faisait sursauter,
jaillit de la droite une silhouette que je ne m'attendais
pas à voir. Richard était là aussi… Le Richard qui
m'avait séduite, puis partagée avec ses amis, puis oubliée
à mon grand déplaisir.
Me laissant interdite, il me repoussèrent à l'intérieur
et s'y engouffrèrent à ma suite en me palpant sous toutes
les coutures. A peine revenue de ma surprise, mais consciente
que j'allais passer une journée d'enfer avec deux cochons
pervers dotés des plus grosses queues que je connaissais,
j'entendis Marc me dire : "Allez, viens nous faire une pipe,
on va tout t'expliquer pendant ce temps là".
Entraînée dans mon salon, agenouillée, bruit de deux pantalons
qui se défont, deux membres à branler. Ooooh, Marc s'était
rasé les testicules… Ainsi lisses, ils paraissaient
encore plus gros… Je m'en occuperait tout à l'heure,
pourvu qu'ils soient bien pleins… Vite, deux grosses
hampes à sucer, mmmmm ! Je n'avais pu rêver de cela que
dans mes rêves les plus débridés. La réunion de ces deux
beaux calibres. Maintenant que je les avais sous les yeux
- et dans la bouche - je me rendais compte que c'était Marc
qui gardait l'avantage de la taille - d'assez peu il est
vrai - et en un éclair je pensais que j'allais, ou du moins
que mon petit cul, le sentir passer…
Alors que je commençais ma double pipe, les deux hommes
eurent la bonté de m'expliquer.
- Tu dois te demander comment il se fait que nous nous
connaissions ? Il faut que tu saches que Richard est un
ami de longue date avec qui j'ai fait les quatre cent coups.
Nous avons un point en commun, se faire des jolies femmes…
Lors de notre soirée, avec Caroline il m'a semblé que ton
existence était un peu morne depuis mon départ. Comme Pierre
est parti avec sa société au Maroc, j'ai donc branché Richard
sur toi, lui expliquant que la petite banquière avait en
réalité le feu au cul et que s'il s'y prenait bien tu ne
refuserais pas une partie de jambes en l'air un peu corsée.
Sûr que cela ne t'effaroucherait pas c'est moi qui lui ai
suggéré d'organiser cela avec deux de ses amis. Il paraît
que ce fut très réussi… commença Marc.
- Tu as entièrement raison, elle n'avait vraiment pas froid
aux yeux, ni ailleurs… Elle s'est avérée un super
coup, très salope, comme nous les aimons… Mes amis
l'ont vraiment beaucoup appréciée. Ils m'en parlent de temps
à autre et seraient, à l'évidence, partant pour d'autres
séances, renchérit Marc.
- Quelle bonne idée ! Il faudra que nous organisions cela
un de ses jours… Cela tombe plutôt bien, figure-toi
que le fantasme de Madame est d'être entourée de bites prêtes
à la saillir, pas vrai Florence ?
- Hummm, commençais-je par répondre, puisque j'avais le
sexe de Richard enfoncé dans la bouche. Oui, oui Marc c'est
vrai j'ai envie de sexes, plusieurs sexes que tu m'obligeras
à sucer, plusieurs hommes à qui tu me donnera et qui me
feront tout ce que tu voudras…Oh oui ! Répondis-je,
affolée de désir, après avoir oté sox sexe de ma bouche.
- J'avais remarqué qu'elle était plutôt obéissante, remarqua
Richard, mais là, elle est vraiment disciplinée !
- Oui, le cul et un peu de soumission c'est son truc. De
plus son mari la met à ma complète disposition… Alors
crois moi je vais en profiter un max…d'autant que
je ne suis pas comme lui. Il est étrange, il affectionne
que sa femme le trompe, puis qu'elle lui raconte tout en
détail, mais, il ne veut plus ni participer ni jouer les
voyeurs… Il a tort ! Moi, j'adore et participer et
la voir faire. J'adore la voir sucer et se faire baiser
et je ne raconte pas quand je la vois se faire enculer…
Alors puisqu'elle est ma chose… Hein Florence, que
tu es ma chose ?
- Umpf... Oui Marc, oui, oui, oui Marc je suis ta chose…
Tu es mon maître… bafouillais-je, consciente de franchir
encore un pas vers ma déchéance.
- Donc puisqu'elle est ma chose je ne vais pas m'en priver,
crois moi elle va prendre des kilomètres de bites par tous
les bouts, tant j'aime la voir un chibre entre les lèvres
et que son petit cul se dilate pour en laisser passer un
autre.
Je faillis défaillir en entendant cela, c'était juste ce
dont j'avais envie… Enfin dans mes délires…
Mais là, en entendant Marc, je fus assurée que le rêve allait
devenir réalité quoiqu'il dut m'en coûter.
Comme pour ponctuer ses dires Marc se leva et vint se placer
derrière moi. Il ouvrit mon sexe, libérant mes sécrétions,
dont il me barbouilla l'entrejambe à l'aide de son gland
et enfin me pénétra d'une seule poussée tellement j'était
réceptive et trempée. Voilà ce que j'aimais le plus, en
levrette, bien enfilée avec un gros cylindre de chair entre
les lèvres - bien que, à la réflexion, si la verge qui me
perforait l'avait fait un peu plus haut… mais patience,
les connaissant, il ne faisait aucun doute que j'y aurait
droit… et plus d'une fois.
Richard, pendant que je mettais toute ma volupté à le pomper,
avait passé les bras sous moi et bien évidemment me pétrissait
les seins.
S'entendant comme deux larrons en foire, il me firent le
coup du changement d'orifice, Richard investissant ma chatte
et Marc reprenant possession de ma bouche, tout en commentant
grassement ma façon d'offrir ma fente et l'ardeur que je
mettais dans ma fellation. Des ondes de plaisir me parcouraient
et plusieurs fois je faillis prendre mon pied. Mais, en
amants aguerris, c'est ce moment là qu'il choisissaient
pour changer de place et me faire retomber. Brutalement,
la jouissance me submergea et je ne pus rien faire d'autre
que de m'y consacrer, Marc me pilonnant d'importance. Une
fois récupéré, je repris ma succion. Ils firent enfin leur
dernier changement et c'est Richard que je sentis exploser
longuement dans mon vagin et, pendant qu'ils s'essuyait
sur mes fesses, je pus me consacrer à mon maître jusqu'à
ce que son jus épais me tapisse la bouche et m'enduise la
langue.
Ils ponctuèrent leur jouissance m'introduisant leurs doigts
dans la chatte puis me les faisant lécher "pour que je goutte".
Il en profitèrent inévitablement pour me titiller la pastille
et m'en dilater l'ouverture et, ce faisant, ils affirmèrent,
à juste titre, que j'étais une salope avide de pine. Comme
j'acquiesçais avec mon sourire le plus vicieux, ils m'annoncèrent
qu'il allaient me fourrer en semble.
Mi-tirée, mi-poussée, je fus guidée par Marc vers ma chambre,
de moins en moins uniquement conjugale. Je fus propulsée
vers le lit oui ils "s'occupèrent" de moi, l'un me suçant
les seins et l'autre agaçant de la langue mon clitoris gorgé
de sang. Ils finirent par s'agenouiller de par et d'autre
de mon visage pour que mes lèvres et ma langue achèvent
de leur donner la raideur voulue. Lorsque les deux membres
furent menaçants, Marc s'allongea et me demanda de le chevaucher.
Ayant enlevé mes chaussures, je m'accroupis, les jambes
de part et d'autre de lui et, saisissant son sexe, le guidais
en moi en me laissant glisser sur cet axe improvisé. Quand
je fus bien enfilée, je quittais la position accroupie pour
m'agenouiller, ce qui allait me permettre de me pencher
vers l'avant et offrir mes reins à Richard. Celui-ci acheva
de préparer le terrain d'un, puis deux et enfin trois doigts
qui m'ouvrirent. Marc le laissa m'infliger ce très doux
tourment quelques instant puis m'ordonna : "Invites-le".
Je savais ce qu'il attendait de moi alors je m'allongeais
sur son torse, pris une fesse dans chaque main, les écartais
au maximum et implorais : "S'il te plaît Richard, encule-moi…mets-moi
ta bite bien profond, mon cul n'attend que toi…"
Ainsi invité, il n'avait aucune raison de se dérober. Il
posa son gland contre mon anus et poussa. Le début fut facile.
Bien amadoué, mon anneau sembla aspirer le gland. La suite
fut un peu plus laborieuse. C'était la première fois que
j'étais prise par deux hommes aussi bien membrés. Pourtant,
petit à petit je sentis le pieu me remplir, comme quoi la
nature est bien faite. J'avais quand même l'impression d'être
ouverte en deux par les pines qui obstruaient les orifices
de mon bassin. On a beau dire que la taille d'un sexe n'est
pas primordiale, je peux vous dire qu'être possédée par
deux grosses bites est une chose inouïe… Remplie,
oui remplie, c'est le mot… Et elles se mirent lentement
en mouvement. Je savais qu'après un temps d'adaptation il
me défonceraient, j'avais un peu peur des conséquences,
mais cela me faisait mouiller comme une démente et je me
rendais compte que je devais inonder le sexe de Marc.
Au et à mesure que mes conduits se "prêtaient" aux diamètres
imposés, leur rythme s'accélérait pour me pénétrer toujours
plus loin. Dans un ultime effort, ils me saisirent et m'enfilèrent
jusqu'aux couilles en me promettant qu'ils allaient me faire
hurler. Chiche ! Pensai-je dubitative, mais c'était sans
compter sur leur savoir-faire. Lorsqu'ils furent assurés
de leur liberté de mouvement s'en fut fini de la prévenance…
Ils me baisèrent comme je ne l'avais encore jamais été.
Ils me limèrent à grands coups de queue, comme s'ils voulaient
me broyer les hanches, me faisant, c'est vrai, crier de
jouissance en les encourageant. A un moment Richard avait
empoigné mes seins et, les pressant l'un contre l'autre,
les tendait à Marc. Celui ci avec un regard éminemment pervers
entreprit d'en mordiller les extrémités, puis, à son tour,
c'est lui qui me les enserra de ses mains puissantes, laissant
tout loisir à Richard d'en tordre odieusement les tétons.
Prise entre la douleur, raisonnable, infligée à mes nibards
et le plaisir ressentit par mon con et mon cul, je m'écriais
:
- Aaaah, oui, encore, encore, aaaah mes seins… Tu
me fais mal !
- Tu veux que j'arrête petite salope ?
- Non, nooooonnnn… surtout pas… continue !
Oui, oui je suis une salope… Pelotte-les moi encore,
je suis trop excitée.
- Tu aimes ça, poufiasse !
- Oh ouiiii ! Aaaah, salaud ! Aaaah, qu'est ce vous me
mettez ! Encore, donnez-moi vos pines. Aaah, à fond, ouiiiiii
!
- Tu te régales hein !
- Oh oui ! Encore ! Défoncez-moi avec vos grosses bites,
oui défonce-moi la chatte, éclate-moi le cul. Aaaah je vais
jouir…
- Donnes-toi, fais ta pute…
- Ah salauds, baisez-moi et enculez-moi. Oui, c'est ça,
baisez-moi et enculez-moi comme une pute. Ouii, je serais
votre putain, donnez-moi votre foutre, pinez-moi…
Je vous ferais tout ce que vous voulez, je vous sucerai
après. Ouiii, toutes les deux, encore… Plus fort,
plus loin… Encule-moi à fond. C'est trop booon….
Aaaaaaargh.
Et là, je hurlais. Et, avec une synchronisation parfaite,
leurs sexes enflèrent et par saccades, je les sentis se
déverser dans mon vagin et mon rectum.
Nue, échevelée, en sueur, je devais avoir l'air d'une folle.
Il s'en amusèrent et ne me permirent pas d'oublier ma promesse.
Et donc, ils me quittèrent, me laissant avec une sensation
désolante de vide dans mon ventre et mes reins, pour que
je les suce comme promis. Toute cette journée se passa dans
le plus complet des stupres et je fus un véritable jouet
sexuel dont ils abusèrent pour mon grand plaisir.
Richard avait dit "mes amis l'ont vraiment beaucoup apprécié.
Ils seraient partant pour d'autres séances" et Marc avait
ajouté "quelle bonne idée ! Il faudra que nous organisions
cela un de ses jours". Effectivement, je fus par la suite
amenée, d'une part, à revoir, non seulement Richard qui
était devenu un "habitué", complice de Marc, les amis de
Richard et également à faire connaissance des amis et relations
de mon amant. La première fois, je pense que Marc voulu
tester ma… disons disponibilité et mon obéissance
à ses inclinaisons luxurieuses.
Un jeudi soir, alors que je venais à peine de rentrer à
mon domicile, le téléphone sonna. Mon mari répondit.
- Je t'assure, aucun problème pour moi… De rien…
Je te la passe.
Et il me fit signe de prendre le combiné. L' inévitable
Marc était au bout du fil.
- Ah Florence ! Bonsoir. Excuse-moi de ne pas t'en avoir
parlé plus tôt, mais comme chef de la plus grosse agence
du département, je suis invité à un cocktail. J'avais pensé
ne pas y aller, mais je me suis ravisé et je désirerais
que tu m'y accompagne.
- Oh, tu crois… Ce soir… N'as-tu pas peur que
l'on jase… Vais-je avoir le temps de me préparer et
puis aurais-je la tenue de circonstance ?
- Cela m'est égal que l'on jase, je suis plutôt fier d'avoir
une si jolie femme à mon bras et tant pis si les gens pensent
que tu es ma maîtresse… Après tout ce n'est que la
vérité. Pour ta tenue pas de problème, pour te l'avoir vu
porter quelques instants, je sais que tu as une robe longue.
Décidément cette robe était infernale, moulante comme un
gant au niveau des hanches et du postérieur, dos nu, un
décolleté laissant voir la moitié de mes seins et plus si
l'on me surplombais, je tentais de parlementer, en vain.
Marc m'assura que cette sortie n'avait pour but que de me
rendre désirable à ses yeux, d'effectuer une rapide apparition
à cette soirée, puis de faire l'amour ensuite. Vu sous cet
angle je me laissais convaincre. Marc me promis aussi de
m'accompagner m'acheter une autre robe du soir qui serait
beaucoup plus indécente que la mienne. Pour la forme, je
connaissais sa réponse, je demandais à Philippe sa permission
pour cette sortie et filais me préparer. Douche, chignon,
maquillage très accentué, une paire de dim-up, talons hauts
et donc, puisqu'il m'était impossible de porter autre chose
je passais ma robe. Aux yeux de mon mari, je sus que je
faisais de l'effet. A ceux de Marc, lorsqu'il arriva, également.
- Tu es superbe, vraiment oui, superbe. Tous les hommes
vont loucher sur ton décolleté, tu vas en faire bander plus
d'un fut le "compliment" qu'il me fit à l'oreille et qui
me fit rougir.
Trajet, petit château, parking, montée du perron, vestiaire,
épaules, dos et buste dénudés. Marc me pris le bras pour
aller vers un vaste salon à l'entrée duquel se tenaient
nos hôtes. Un homme se présente.
- Baron de… mon épouse, Marie-Agnès.
- Florence, une amie de Marc.
- Enchanté.
- Ravie.
Notre hôtesse, la baronne, était une belle femme bonde,
racée, beau décolleté prometteur, belle personne mais assez
hautaine. Lui relativement bel homme avec un regard très,
très intelligent. Nous entrâmes dans une vaste salle ou
déjà se trouvait pas mal de monde. Je remarquais qu'il y
avait quelques très belles femmes, très décolletées et je
notais, avec fierté et honte mêlée, qu'à ce niveau j'étais
parmis les pires à la grande satisfaction des hommes à qui
Marc me présenta. Un peu à l'écart, nous devisions aimablement
avec un ami de Marc, un second se mêla à notre conversation
le serveur apporta du champagne. Belle soirée. Soudain qui
vis-je apparaître fendant la foule dans notre direction
? Richard ! Et il n'était pas seul. Un de ses amis l'accompagnait,
un des deux avec qui il m'avait partagé ce fameux après-midi.
Ouh-la-la, je commençais à me demander si par hasard…
Richard et son ami, très homme du monde, me firent le baisemain,
histoire de se mettre au niveau de mes seins pour pouvoir
admirer discrètement mes rondeurs.
Du fait de leur arrivée, j'avais Marc à ma gauche qui me
tenait par la taille et l'un de ses amis à ma droite. Les
trois autres me faisaient face, m'isolant des autres convives.
Subitement, je sentis une main m'effleurer une fesse. C'était
le type à côté de moi. Je fis celle qui n'avait rien remarqué.
Même manège, même absence de réaction, personne ne semblait
avoir remarqué. Avait-il pris cela pour un consentement
de ma part, toujours est-il qu'il posa délibérément la main
sur l'une de mes fesses. Je voulus alors éviter le contact,
mais le bras de Marc qui m'entourait la taille affermit
sa prise, m'empêchant de m'esquiver. Vous pensez bien que
l'autre en profita et continua de plus belle. Je compris
alors que Marc s'était aperçu des privautés que s'accordait
son ami et qu'il ne faisait rien pour l'en empêcher, bien
au contraire. Les autres, bien qu'impassibles, avaient selon
toute vraisemblance remarqué que Marc me tenait à la disposition
de son ami.
La conversation roulait désormais sur les échancrures comparées
des femmes présentes. Pauvre de moi ! Evidemment les regards
se portaient souvent sur mes seins qui paraissaient vouloir
se gonfler d'orgueil. Il faut dire qu'ils avaient de quoi
être reluqués sans vergogne par mon amant, son ami, l'ami
qui m'avait partagée avec lui, un inconnu qui me mettait
la main aux fesses et qui, depuis un instant m'en caressait
la raie à travers ma robe. Et un autre plus sage…
quoique. Je dis quoique, car je le croyais plus sage. Erreur
! Car sans doute émoustillé par l'ambiance qui régnait au
sein de notre petit groupe et la conversation très déliée
sur les bustes féminins il tendit brusquement le bras et
glissa deux doigts sous l'une des bretelles de ma robe en
affirmant qu'il était grand temps d'agrandir mon décolleté.
S'il mettait son projet à exécution j'allais me retrouver
les seins nus en pleine assistance, aussi je me penchais
vers Marc pour supplier.
- Je t'en prie Marc dis-leur d'arrêter.
- Et pourquoi ? Je trouve qu'ils ont raison.
- Non, je t'en prie, pas ici.
Je m'en mordis les lèvres car à voix haute et avec un sourire
diabolique Marc reprit.
- Tu ne veux pas leur montrer ici ? Bien ! Alors nous allons
aller chez moi, nous y serons plus tranquilles, tu pourras
en toute quiétude leur montrer tes nichons et le reste.
Florence, je suis persuadé qu'ils ont très envie de s'amuser
avec toi et moi aussi… et aussi de les voir faire.
Et puis je pense que je n'ai pas besoin de te rappeler ta
promesse ?
- Nonnn. Non Marc, je ferais selon tes désirs.
- Bien ! Ce soir je te veux très salope, ajouta-t-il à
voix haute pour que tout le monde soit bien témoin.
La situation, même si elle m'avait prise au dépourvu, commençait
à m'échauffer.
Bien que pleine d'appréhensions - quand même ! cinq hommes
qui allaient me… et que je devrais… et qui sans
doute allaient aussi me… - presque machinalement et
manifestant ainsi mon accord sur tout ce qui pourrait suivre
et ma totale soumission, je répondis :
- Je vais faire de mon mieux pour te plaire.
Marc décida donc de mettre un terme à la soirée mondaine
pour passer à quelque chose de plus torride. Je ne fus pas
autorisée à remettre mon manteau pour que tous puissent
profiter du balancement de mes seins. La fraîcheur tombant
sur mes épaules nues me fit frissonner. Quelque uns parlèrent
de me réchauffer. Arrivés aux voitures l'un des hommes demanda
à Marc :
- Tu la laisses monter avec nous ?
- Ok ! pas de problème. La seule chose que je vous demande,
c'est qu'elle ne s'ennuie pas pendant le trajet.
Des dénégations et les ricanements, lourds de sous-entendus,
lui répondirent. Il fut décidé que je suivrais les quatre
hommes. Richard conduisant, son ami en passager, je devrais
monter à l'arrière avec les deux amis de Marc qui, selon
l'avis de tous avaient hâte de faire connaissance avec moi.
Marc repartit seul… avec mon manteau.
A peine installée, des mains pour le moins baladeuses firent
glisser mes bretelles. J'étais nue jusqu'à la taille. Une
bouche se posa sur la mienne, une langue força mes lèvres,
je répondis farouchement à ce baiser. Quatre mains commencèrent
à me pétrir les seins. Le deuxième homme me roula un patin
à son tour. Du coin de l'œil, je vis l'ami de Richard
qui s'était retourné pour mieux jouer les voyeurs. Richard
les encourageait à peloter cette salope qui ne demandait
que çà. Une main glissa le long de ma jambe avec l'indiscutable
résolution de retrousser ma robe. Ouuuh ! Les choses sérieuses
allaient commencer. Lorsqu'il constatèrent que je ne portais
que des bas il décidèrent de me priver de ma robe puisque
de toutes façons je finirais la soirée à poil. Ils me troussèrent
donc complètement, me faisant soulever pour mieux dégager
mes fesses, je levais les bras pour qu'ils puissent parvenir
à leurs fins et ma si jolie robe finit en tas sur le plancher
de la voiture.
Mes "agresseurs" me firent écarter les cuisses et deux
doigts fureteurs vinrent explorer mon vagin. Pendant cette
incursion, l'autre continuait à me palper les rondeurs et
je les embrassais à tour de rôle. N'y tenant sans doute
plus, celui qui me masturbait avec savoir-faire, ouvrit
son pantalon et, me saisissant par la nuque, me fit pencher
sur un beau membre bien dressé que je m'empressais de prendre
en bouche, et ce, sans hésitation, tellement j'avais envie
de sentir palpiter un membre sur ma langue. Comme je m'étais
un peu penchée, l'autre délaissa mes roberts et commença
à me caresser une fesse. La main glissa assez vite dans
l'accueillant sillon. Inconsciemment ou pas, je dus orienter
mes fesses vers l'individu qui anonça que "par-là aussi,
j'en avais envie". Il enfonça promptement un doigt puis
rapidement deux dans mon rectum. Heureusement le trajet
ne dura pas trop longtemps, car les deux hommes parlaient
de me prendre… Même si je n'avais pas encore pratiqué,
au fond de moi-même, je n'aurais sans doute pas été contre
cette expérience. Seul le bon sens et aussi la peur du gendarme
me fit refuser arguant "qu'ils ne perdaient rien pour attendre".
Le trajet ne fut heureusement pas long. Marc avait ouvert
le lourd portail et la voiture rentra dans la jolie cour
pavée. Marc nous attendait, non devant le bâtiment principal
ou j'avais eu l'occasion d'aller, mais vers une dépendance
attenante.
Je fus priée de descendre, sans robe bien évidemment. Et,
aussi rapidement que me le permettaient mes talons aiguilles,
je me précipitais vers l'intérieur. Avant de continuer mon
récit je vais vous décrire un peu l'endroit ou je me trouvais,
il vous permettra de mieux comprendre encore à quel point
Marc était délicieusement jouisseur. Il avait dit qu'il
faisait faire une pièce entièrement dédiée aux amours et
qu'il m'en ferait bientôt les honneurs. Je pensais, à juste
titre, que ce jour était arrivé. Les invités devaient pénétrer
dans une vaste entrée bien chauffée, j'appréciais. Du coin
de l'œil je vis quelques grandes penderies murales
où une porte sur deux était un miroir. Sans nul doute cette
pièce pouvait aisément servir de vestibule ainsi que de
vestiaire. Cette entrée ouvrait sur une grande pièce un
peu en longueur dans laquelle se trouvaient plusieurs éléments.
Tout d'abord un bar avec quatre hauts tabourets et une porte
menant à une autre pièce. De l'autre côté une petite table
avec quatre chaises. Le mur du fond de la salle n'était
pratiquement qu'un immense miroir agrandissant la pièce
et y reflétant les activités qui s'y dérouleraient. La seule
exception était une petite porte qui devait, compte tenu
de la configuration des lieux, donner sur les appartements
du maître de maison, j'avais failli dire de mon maître.
Le plus remarquable était le centre de la pièce ou se trouvait
une sorte d'estrade circulaire assez grande surmontée de
ce qui devait être un genre de grand matelas. Cette estrade
était entourée de divers fauteuils, sofas, banquettes sans
dossier, où l'on pouvait certainement s'allonger, et d'une
ou deux solides tables de salon. Aucun doute sur les activités
prévues en ces lieux.
A peine les invités eurent-il le temps de le féliciter
de cette réalisation, Marc indiqua que j'allais en leur
compagnie inaugurer cette pièce. L'homme à qui j'avais commencé
une fellation me prit par le bras, m'entraîna vers un fauteuil,
s'y laissa tomber et m'invita à venir achever ce que j'avais
commencé.
Docilement et la mine gourmande, je m'agenouillais entre
les jambes du type et l'embouchais voluptueusement. Consciente
de l'envie que je provoquais chez les autres, je me mis
à l'ouvrage avec lascivité, laissais courir mes lèvres le
long du cylindre, entourant le gland de ma langue et titillant
le méat du bout de celle-ci, flattant et léchant ses bourses
bien gonflées. Lorsque je le sentis sur le point de non-retour,
je comprimais fermement son membre pour stopper son éjaculation
et le retirais de ma bouche. Après un temps qui dut lui
paraître bien long, je le réembouchais et relâchais ma pression
tout en lui pressant les testicules. Il émit un gémissement,
puis un grondement et le foutre me jaillit littéralement
dans la bouche, hummm ! Lorsque je me fus bien régalée et
que plus une goutte ne pouvait s'extraire de ce membre,
pas si dégonflé que cela, je l'abandonnais. Un peu étonnée,
je l'entendis, non pas me complimenter, moi, mais féliciter
Marc sur mon savoir-faire un peu comme si je n'étais qu'un
instrument. Notez bien que je j'adore ce rôle d'objet sexuel,
même si certains trouvent cela un peu humiliant ou dégradant,
mais c'est cela qui me met dans tous mes états et là, j'allais
être gâtée.
Les quatre autres qui présentaient une belle érection,
m'emmenèrent vers une banquette, j'avais raison on pouvait
bien s'y allonger ou ils me mirent sur dos et m'écartèrent
les jambes. Bientôt, je me retrouvais avec un sexe dans
le vagin, un autre dans la bouche et de mes mains je masturbais
les deux autres. L'un d'entre eux eu l'idée d'une tournante.
Sa proposition fut vite approuvée et ainsi, celui qui était
dans ma main droite passa dans ma chatte, celui de ma chatte
dans la main gauche, celui de ma main gauche passa dans
ma bouche et celui de ma bouche dans ma main droite. Et
ainsi de suite… A ce petit jeu, j'eus rapidement une
main mouillée de salive et l'autre poissée de cyprine. Il
me tringlèrent si bien que je jouis deux fois presque coup
sur coup, sans compter que, écartelée comme je l'étais entre
mes quatre amants, j'offrais, sans obstacle à leurs empressements
et selon leur expression, mes gros nibards à tripoter.
Le premier à jouir fut Marc. Il choisit ma bouche. Il se
plaça au-dessus et m'enjoignant de garder celle-ci grande
ouverte, il se finit tranquillement. Je fis ce que je pus
pour récupérer un maximum de sa semence, mais quelques gouttes
s'égarèrent, je suppose qu'il l'a fait exprès, sur le bas
de mon visage. Désormais le nombre de mâles étant réduit
à trois, pendant que l'un me baisait, je pouvais sucer alternativement
ou simultanément les deux autres, ce qui n'empêcha pas le
mouvement tournant de continuer. Le troisième à jouir de
moi fut l'ami de Richard qui me besogna implacablement,
me faisant jouir également avant de m'inonder la chatte.
Réduit à deux Richard et son comparse me mirent en levrette
sur la banquette pour continuer leur réjouissante activité
et Richard me pénétra pendant que je faisais les honneurs
de ma bouche au dernier. Me pilonnant de plus en plus vite,
Richard finit par rapidement ajouter son sperme à celui
du précédent. Il n'en restait plus qu'un. C'était celui
qui m'avait doigté l'anus auparavant dans la voiture et
qui manifestait une belle constance car il demanda la permission
à Marc de me finir en me sodomisant. Cette permission lui
fut bien entendu accordée.
Usant de ce qui coulait de mon sexe, il badigeonna l'entrée
de mes reins et comme il avait déjà amadoué l'endroit la
pénétration ne fut pas trop mal aisée et je me retrouvais
solidement emmanchée devant mes quatre autres soupirants
qui, je n'en doutais même pas une seconde, auraient le même
désir tôt ou tard et cette nouvelle expérience, quoiqu'il
dut m'en coûter n'était pas pour me déplaire. Voyant que
j'avais l'air d'aimer cela, il se mit en devoir de me bourrer
consciencieusement et quand je le sentis fuser dans mes
boyaux je connus ma première jouissance anale de la soirée.
Quelle belle entrée en matière.
Je constatais que le spectacle avait émoustillé tout le
monde, les hommes bandaient de nouveau. J'eus à peine le
temps de boire le verre que l'on me tendait et Marc, me
prenant par la taille, m'attira vers l'estrade. Il s'y allongea
sur le dos et me fit signe de venir sur lui, m'accroupissant
d'abord au-dessus de lui, puis m'agenouillant ensuite sur
mon amant lorsque son bel organe fut avalé par mon con ruisselant.
Il me dit alors :
- J'ai choisi cette place pour ne rien perdre du spectacle.
Je ne voudrais rien manquer des expressions de ton visage
lorsque nous allons te prendre tous les cinq ensemble. car
c'est bien par cela que tu es fascinée, non ?
- Oooooh ! Ouiii ! Tu le sais bien et puis… Toi aussi
tu as envie de me voir possédée en groupe, je me trompe
?
- Pas du tout ! Et je ne m'en cache pas puisque j'ai convié
ces messieurs à cette petite sauterie. D'ailleurs invite-les
à la fête.
Queue menaçante à la main ils s'étaient rapprochés. Je
les regardais tous, pris une mine gourmande et quémandais
:
- Oui, Marc a raison. Venez, venez tous en moi. Prenez-moi
par tous les trous, je vais tous vous satisfaire.
Ils ne se firent pas prier. Je fus poussée en avant, Marc
écarta mes fesses pour en offrir l'accès à un phallus intraitable.
Puis Marc, pour me soutenir le buste plaça, ses mains sous
mes seins. Pratiquement en même temps, on me saisit les
mains qui furent refermées sur deux belles tiges. Je savais
que je n'avais plus qu'une chose à faire : ouvrir la bouche.
Richard, car c'était lui le dernier prit sadiquement son
temps. Il me caressa la joue, puis sa main se crocha dans
mes cheveux. De son autre main il tenait sa verge dont il
me caressait la figure faisant tout pour échapper à mes
lèvres. Puis, d'un seul coup, il me la fit absorber. Voilà
! Ca y était ! Pour la première fois j'étais baisée par
cinq hommes concurremment. Quelle jubilation extraordinaire
! Aussi bien physique, et ce n'était pas rien, que cérébral.
Je ne m'appartenais plus, je n'appartenais qu'aux braquemarts
qui me transperçaient. Comme me le disais parfois Marc,
cette fois ce n'était que parfaite exactitude, en ce moment
je n'étai plus qu'un trou à bites. Et plutôt contente de
cette situation. Je n'étais d'ailleurs pas la seule à apprécier
et je pouvais le mesurer à l'ardeur que mettaient mes partenaires
à m'enfiler. Ils avaient parfaitement accordé leur rythme,
c'était tout simplement fabuleux. Je ne désirais qu'une
chose, m'offrir à leurs pines gonflées. J'étais dans un
tel état d'avidité que, à la limite, j'aurais souhaité qu'il
y ait d'autres hommes présents, en train de se masturber
devant la scène, attendant qu'un orifice se libère pour
y prendre place à leur tour. Voire même mon petit mari.
C'était fou ! J'avais trop de mal les suivre si bien qu'en
fin de compte, Richard me baisait litteralement la bouche
et les deux autres, chacun de leur côté, avaient refermé
leurs mains sur les miennes pour que leurs tiges n'échappent
pas à ma masturbation. Comme ils avaient une première fois
évacué leur trop-plein, ils tenaient bien et leurs queues,
dures comme de l'acier, me fourraient pour mon plus grand
plaisir. Je n'étais plus qu'une chienne, en chaleur cela
va sans dire. D'ailleurs, ils s'en aperçurent car "chienne"
faisait partie des aimables qualificatifs qu'ils usaient
à mon égard, en plus des immuables "remue ton cul petite
pute" ou "tu aimes ça salope ?" J'allais partir, la jouissance
allait être fabuleuse. Richard le comprit et très temporairement
me libéra la bouche. Parcourue d'ondes je criais mon plaisir
les encourageant "à tous me piner", réclamant "qu'ils me
tronchent à fond", exhortant Marc et son acolyte "à m'ouvrir
en deux". EX-TRA-OR-DI-NAI-RE. A peine mes derniers spasmes
évanouis, Richard reprit sa place et la sarabande reprit
de plus belle. Les rythmes s'accélérèrent. Jusque là ils
avaient été attentifs à mon plaisir, mais maintenant c'était
davantage le leur qui leur importait, ce qui était un peu
normal puisque de toute façon j'y pendrai moi aussi du plaisir
au passage.
Ce fut mon enculeur qui capitula le premier. Sa verge atteignit
le paroxysme de sa raideur et de sa grosseur avant que je
sente les giclées de son jus dans mon conduit échauffé.
Il décula rapidement et un des deux hommes que je branlais
me fit lâcher son vit. C'était évident entre une main secourable
et un petit cul accueillant, il n'y avait pas d'hésitation.
Et je me fis pour la troisième fois investir le fondement.
N'étant plus que quatre, celui que j'avais en main me fit
délaisser son membre et se posta à coté de Richard pour
que je les suce alternativement. Je pus reprendre mon équilibre
sur mes mains, ce qui permit à Marc de cesser de me soutenir
et, d'autre part, de pouvoir lui aussi me caresser les nénés
et faire encore plus saillir mes tétons enflés. D'ailleurs
ce fut lui qui manifesta à son tour des signes d'impatience.
Il me saisit fermement par les hanches pour s'enfoncer jusqu'au
fond de ma matrice et projeter sa sauce brûlante. Très partageur,
il quitta mon vagin, le laissant béant mais insatiable,
laissa vacante sa place sous moi, indiquant que la place
était chaude. Celui que je suçais en compagnie de Richard
se dévoua et réussit à se glisser sous moi. M'enfiler lui
fut plus aisé, les pénétrations, ma mouille qui continuait
de couler, les précédentes éjaculations facilitèrent les
choses. Il trouva sans doute l'endroit douillet car il s'y
démena comme un beau diable avant de jouir à son tour. S'il
avait tenu un peu plus longtemps j'aurais mois aussi pu
prendre mon pied.
Ne restaient plus que Richard et l'homme qui me faisait
subir les derniers outrages, fort bien, soit dit en passant.
Très lubrique, lui aussi proposa tout bonnement à Richard
d'échanger les orifices. Connaissant ce dernier j'étais
sûre qu'il accepterait. Bingo ! Je ne m'étais pas trompée,
mais il ajouta qu'il souhaitait se finir dans ma petite
bouche de pute. Il prit donc place derrière moi, frotta
son priape contre ma moule, excita mon clitoris de son gland,
puis pointa son mandrin à l'orée de mes reins et me pénétra
à fond d'une seule poussée. J'en gémis de bonheur. Quant
à l'autre, sans vergogne, il me fit goûter au cocktail un
peu douteux qui tapissait les parois de mon rectum. Ils
firent deux ou trois changements de cette nature et me procurèrent
un bel orgasme. C'est presque simultanément qu'il inondèrent
les deux extrémités de mon tube digestif, me laissant un
vide immense mais la bouche engluée et les conduits souillés.
Ouuuuh ! Quel pied ! Pour grande première cela avait été
grandiose. Je fus congratulée par tous. J'avais été fort
appréciée. Je me désaltérais et demandais à Marc les toilettes,
je commençais à restituer ce avec quoi j'avais été remplie.
Il me fit venir vers la porte près du bar et me fit le précéder.
Une nouvelle pièce s'ouvrait devant moi. Elle se composait
de trois WC et d'une belle salle de bain comportant trois
douches et trois lavabos devant une immense glace. M'avisant
qu'un de mes bas était filé, je lui demandais de bien vouloir
aller me chercher mon sac. Pendant ce temps, je rentrais
dans les WC. Il revint rapidement et me recommanda à travers
la porte de ne pas tout essuyer, cela pouvant encore servir
de lubrifiant pour ses amis et lui qui n'en avaient pas
encore finit avec moi. J'en frissonnais de désarroi et de
désir, enfin, plus de désir que d'autre chose. Oui ! c'était
cela qu'ils me baisent, qu'ils m'enculent, oui encore et
encore… Je sortis et me jetais dans les bras de Marc.
- Tu passe une bonne soirée on dirait ?
- Oh oui ! Fabuleuse, Marc ! Tu réalise un de mes plus
chers fantasmes, tu as tout combiné n'est ce pas ?
- Bien entendu chère Florence !
- Quel salaud tu fais, tu aurais pu me prévenir.
- Pourquoi faire ce n'est pas plus excitant ainsi ?
J'en convins et il précisa qu'il était désolé mais qu'un
sixième larron s'était décommandé au dernier moment. Bêtement
je demandais quelle place il aurait pris, il me fut ironiquement
répondu :
- Mais, entre tes superbes mamelles ma chère. Allez, remets
vite ton bas. Et tant que nous sommes ici remaquille-toi,
il faut que tu sois présentable, les autres auront encore
plus envie de toi.
Pendant que je me rhabillais et que je me remaquillais,
il resta avec moi me racontant que tous les hommes présents
m'avaient déjà vue en banquière classe et que l'idée les
avais terriblement excités de savoir qu'ils allaient me
prendre comme une salope. Il me conseilla de forcer sur
le maquillage des yeux et de la bouche m'annonçant en me
caressant les fesses que sa petite banquière allait encore
se faire copieusement tringler.
Me prenant par le bras nous fîmes notre entrée. Le fait
que je me sois refais une beauté et changé mes bas fut unanimement
goûté. Il fut décidé par ces messieurs que je n'aurais droit
qu'à leurs genoux en guise de siège. Je fus assez enthousiaste
! Et donc je passais de genoux en genoux. Des bouches se
posèrent sur mon corps, du champagne fut versé sur mes seins
qui furent léchés et sucés mais aussi caressés, câlinés
, étreints, manipulés, pétris et malaxés. Des mains se posèrent
également sur moi et en moi. Pendant ce temps les hommes
à tour de rôle durent imaginer une situation dont je serais
le personnage central. Le premier parla de m'enfermer dans
le vestiaire d'une équipe de rugby, Richard était désireux
de m'emmener en tant que victime dans une soirée satanique
ou sado-maso. Un autre désirait m'offrir à la clientèle
d'un cinéma porno, Marc, lui, souhaitait m'emmener dans
un bar de nuit et que j'effectue à leur place toutes les
prestations que pouvaient offrir les "hôtesses" et le dernier
envisagea de me faire tapiner à bas prix non loin d'une
cité. Je m'aperçus alors qu'en fait toutes ces situations
n'étaient pas intrinsèquement impossibles. D'ailleurs, Marc
m'avait fait un clin d'œil en énonçant sa proposition
l'air de dire "cela va t'arriver un de ces jours". Quand
il se furent tous exprimés, ils m'ordonnèrent de classer
leurs propositions dans l'ordre croissant de mon intérêt,
et ce, avec mes commentaires.
Quelle honte j'allais devoir avouer mes inclinations secrètes
à des hommes qui certes m'avait baisée, mais qui me demeuraient
assez inconnus. Alors que j'allais débuter mon classement,
Marc me stoppa net en disant : "fais bien attention à ton
choix Florence, car il est fort possible que nous te fassions
réaliser… allez, disons… trois de ses situations…"
Je tressaillis… Puis, résignée d'avance, je me lançais.
La proposition que j'aimais le moins était celle de l'équipe
de rugby. Bof ! La baise à la chaîne avec une bonne quinzaine
de types, ce n'était pas ce que je recherchais, cela ne
me paraissait pas assez troublant cérébralement. Non plus
que de faire le trottoir, en plus de la dangerosité de la
proximité d'une cité, même si l'idée de faire la pute m'avait
toujours troublée. Voilà deux situations définitivement
éliminées. Restaient les trois autres que Marc mettrait
un jour au menu des écarts lascifs auxquels il me soumettrait
et que je savais déjà avoir par avance accepté. Je classais
en troisième la soirée sado-maso de Richard. Même si cela
me faisait terriblement peur, confusément je savais qu'à
force d'être soumise, des choses plus corsées me seraient
imposées un jour. En deux ce fut la proposition de Marc
que vis se rembrunir un peu, déçu que ce ne soit pas sa
proposition qui soit la première. Ce qu'il avait proposé
était très alléchant, mais la dernière m'excitait au plus
haut point. Me faire partouzer par un petit groupe d'individus
dans un lieu d'un érotisme un peu sordide, c'était une expérience
qui m'attirait intensément. Marc me regarda d'un air entendu
qui signifiait, dans le langage qu'il affectionnait parfois,
"ça ma belle, si c'est ça que tu aimes, tu vas être servie,
prépare toi".
De fait je me remis à mouiller immédiatement et je vis
que n'étais pas la seule à être émoustillée, les hommes
bandaient derechef. Marc se leva, me tendit la main pour
me faire lever et m'entraîna par la taille. Il lança : "Bon
! tout ceci m'a mis en forme, viens Florence que je m'occupe
de toi."
Il m'emmena vers le bar et me fit asseoir, si l'on peut
dire, sur deux tabourets, de façon à ce que seules mes cuisses
écartées reposent sur les sièges. J'avais compris ce qu'il
allait faire et pour assurer au mieux mon équilibre, je
mis mes coudes en arrière pour prendre appui sur le bar.
Bite rigide, il vint se placer dans l'angle ouvert de mes
jambes et comme il se trouvait à la hauteur idoine, il n'eut
qu'un pas à faire pour m'embrocher. Tout en me roulant des
pelles langoureuses, il m'épinglait puissamment. Un des
hommes se proposa de me tenir pour assurer ma stabilité.
Devant l'assentiment de Marc, il se leva fit le tour du
bar, glissa ses avant-bras sous les miens et referma ses
mains sur mes seins en disant : "comme cela, je suis sûr
que je te tiens bien." Tu parles…
De fait, il me les malaxa d'autorité, s'attardant longuement
sur les pointes qu'il étira et fit soigneusement rouler
entre ses doigts. Marc, tout en continuant de me besogner,
me fit remarquer qu'il ne s'était pas encore servi de mon
arrière-train. Je lui répondit qu'il était à sa disposition.
Il me fit descendre des sièges et me fit pencher en avant,
ventre sur un tabouret, tête un peu pendante et croupe relevée.
Ravie de ce qui allait suivre, je m'agrippais à deux des
pieds du siège. Il écarta impitoyablement mes globes fessiers
et vu le traitement auquel avait été soumis mon anus il
n'eut aucune peine à m'enculer jusqu'au couilles, pourtant
il était le mieux membré de la soirée. Ancré à la chair
de mes hanches, il se mit à faire de longs va et viens entre
mes reins. Arguant du fait qu'il tenait à remercier celui
qui m'avait, disons… soutenue par les nichons, il
lui proposa de venir se faire sucer. Vous pensez bien qu'il
ne se fit pas prier et que mes joues furent vite distendues
par son sexe.
Marc changea d'orifice et se mit à alterner les pénétrations,
quelques aller et retour dans la chatte, puis quelques aller
et retour dans le cul. A ce petit jeu des vagues de plaisir
me submergèrent rapidement. Quand il se fut bien assuré
que ma jouissance avait été totale, il me sodomisa de plus
belle jusqu'à ce qu'il crache son foutre. Dans un chuintement
obscène, il me quitta. A toute vitesse celui qui était dans
ma bouche vint prendre place et, choisissant ma vulve -
ouf ! mon anus commençait à être endolori - il s'y enfonça
fermement. Il prit bien son temps, comme s'il désirait profiter
de moi au maximum. Malgré le relatif inconfort de la position,
j'étais bien. Il me baisait bien, assez virilement comme
pour assumer son évidente domination mais en même temps
avec beaucoup de douceur et de délicatesse.
Ses mains me parcouraient le dos, les flancs, les cuisses….
hummmm ! Lui aussi me fit jouir, pas comme une bête, mais
d'une façon pleine de sérénité. Contractant mes muscles
intimes, j'essayais moi aussi de lui fournir un plaisir
intense. Je crois avoir parfaitement réussit, il râla en
se déversant copieusement en moi. L'ami de Marc m'aida à
me relever et me tendis une coupe de champagne en réaffirmant
d'une manière particulièrement ordurière que j'étais aussi
accueillante devant comme derrière… quel contraste
! Un dont les paroles ne contrastaient pas avec les actes
c'était bien Richard. C'est lui qui, à son tour, vint près
de moi et me poussa vers la petite table, jusqu'à ce que
je me renverse sur le dos, et il me pourfendit à la hussarde
d'une seule et fulgurante poussée. Lui, à l'inverse de son
prédécesseur, ne faisait pas preuve d‘une douceur
particulière et me niquait à grand coup de gourdin. Notez
bien que j'aime énormément…. également. Alors que
je m'y attendais le moins il sortit de ma chatte et me dit
: "Viens j'ai une autre idée."
Il me guida vers l'un des fauteuils, mais c'est lui qui
s'y installa et me fit signe de venir sur lui de dos. Reculant
j'ai voulu me le prendre à nouveau dans le vagin. En reculant
j'ai voulu me l'enfiler dans la chatte mais il m'a stoppé
net.
- Non, non, non pas de ce coté, tu vas te la mettre dans
le cul maintenant, et toute seule comme une grande, et bien
profond.
- J'ai un peu mal, et puis tu es un peu gros, tentais-je
de négocier.
- Pas question, tu me fais bander tout le monde avec ton
cul de sainte-nitouche, alors tu vas t'enfiler dessus vite
fais sinon tu vas la sentir passer et profond crois-moi.
Posément je me suis abaissée, guidant bien son gland vers
ma rondelle distendue. Une fois en place, comme j'étais
bien lubrifiée, j'ai continué à peser sur son chibre et
je me suis empalée. D'un coup mon sphincter a cédé et j'ai
senti mon cul s'ouvrir à sa pine. Lentement j'ai continué
à descendre sur son sexe et en écartant bien les fesses.
Je me la suis mise entière dans le fion jusqu'à sentir ses
couilles contre ma vulve trempée. J'étais comme fendue en
deux. Sous les exhortations des autres je me suis mis à
le faire aller et venir entre mes reins sentant un plaisir
trouble m'envahir doucement. J'adorais… et geignais
de plus en plus fort le sentant grandir en moi.
Passant ses mains sous mes fesses, il me souleva jusqu'à
ce qu'il sorte de moi. Je savais qu'il reluquait mon anus
qui devait être terriblement élargi et boursouflé. Il me
commanda de me rasseoir sur lui, ce que je fis sans forcer,
je me suis empalée de nouveau bien profond. Il m'a saisie
par les seins et à son tour il m'a mise frénétiquement.
Je le sentais de plus en plus profond, de plus en plus gros
et des vagues de plaisir venant de mes reins me submergèrent
et abandonnant toute dignité, je bramais vicieusement en
m'astiquant le clitoris : "Ouiii c'est super, encore, encore,
que c'est bon, que j'aime être enculée bien profond, défonces
moi le cul vas-y, enfonce moi la loin, aaaargh ! Je jouis,
j'explose, c'est trop bon, rejoins-moi, je veux ton jus,
envoies moi ton foutre, je veux le sentir dans mon cul."
Je serrais au maximum et le sentis se contracter. Il m'emmancha
aussi profondément qu'il le put et se vida dans mes intestins.
Il vidait ses couilles à grands jets brûlant en rugissant
et je le sentais se répandre en moi, inondant mon cul. Le
sentant lentement désenfler, je me suis retirée. J'avais
l'impression que mon cul était comme grand ouvert. Je me
sentais un peu lasse cette fois mais pourtant insidieusement
je percevais que ma chatte était trempée et finalement assez
impatiente.
Il se crut obligé de commenter cette sodomie ravageuse
par des propos flatteurs. "Elle est vraiment bonne n'est
ce pas ? Je l'ai bien fourrée cette salope. Je ne sais pas,
pour vous mais j'aime bien les petites bourgeoises dociles
comme elle, qui aime les bonnes queues. C'est un vrai régal."
Deux qui avaient l'air de partager cet avis étaient ceux
qui ne m'avaient pas encore reprise. Il me firent signe
de venir vers l'estrade ou je les rejoignis en prenant bien
soin d'onduler. Malgré la fatigue, j'allais jusqu'au bout
de mes forces. Je désirais profiter le plus possible de
cette soirée si inattendue. Marc était véritablement un
mentor érotique, une sorte de Pygmalion lubrique qui, sans
me contraindre le moins du monde, me guidait à la rencontre
d'une autre moi-même.
Ils me firent allonger sur le dos et se placèrent de part
et d'autre de ma tête pour que je parachève leur érection
avec ma langue. Puis l'un des deux se posa quelques instant
entre mes nichons pour s'y faire câliner. Ensuite, il s'allongea
sur le dos me priant de venir le chevaucher. Je m'exécutais
avec ravissement, fit quelques mouvement de bassin et sentit
le second venir derrière moi. Je pensais que j'allais être
à nouveau prise en sandwich - décidément mon arrière train
était à la fête. Je fus confortée dans cette idée lorsqu'il
me fit pencher en avant, couchée sur le buste de l'autre
qui en profita pour m'embrasser longuement. Et là, je compris
que je m'étais trompée sur leur intention, car au moment
ou celui de dessous était presque ressorti de mon vagin,
le second écarta mes lèvres avec ses doigts et appuya sa
bite sur la première. Les sexes jumeaux commencèrent à se
frayer un chemin en moi. Mon dieu, c'était prodigieux! La
sensation de dilatation était extraordinaire.
- Oh oui les mecs, vous allez me faire exploser, défoncez-moi
la chatte !
Il s'enfoncèrent délicatement, l'impression était telle
que je pensais que j'allais être déchirée en deux. Mais
plus ils me pénétraient, plus je me sentais m'élargir, c'était
fou… la nature est bien faite… Quand je me rendis
compte qu'ils ne pouvaient plus progresser, j'émis encore
un flot de mouille, et vu le sperme déjà déposé, mes deux
amants purent désormais coulisser sans obstacle. Tour à
tour, leurs langues plongeaient à la rencontre de la mienne
et leurs mains m'étreignaient. Progressivement, une fois
bien à leur aise ils adoptèrent un rythme plus rapide qui
me rendait folle.
- Oh ouiii salauds elles sont tellement grosses qu'elle
m'ouvre complètement. Ouiiii je mouille comme une fontaine.
Ouiii c'est bon, j'ai les cuisses bien ouvertes et vous
m'enfilez à fond. Oh c'est vraiment trop bon, labourez-moi.
Je haletais bousculée par les coups de boutoir des deux
hommes.
- Oui, oui, je vous adore, j'adore vos queues bien grosses
et bien dures, oui, encore baisez moiiiiiiii. Oohhh, regarde
Marc j'éclatte… Ahhh… ahhh... ahhhh ils me défoncent,
ils vont m'éclater la chatte… Aaahhhh je n'en peux
plus. Je veux vous sentir gicler en moi, ouiiiiii.
Je connus alors mon orgasme le plus intense de la journée,
tandis que les jets puissants inondaient ma matrice, me
laissant proche de l'évanouissement. Je sentis les hommes
se retirer et me laisser épuisée.
Marc vint vers moi et m'offrit à boire. Ouuuuuh ! J'étais
crevée mais quel orgasme dévastateur. Il m'enlaça, m'embrassa
dans le cou et, tout en me caressant les cheveux, me complimenta
pour mes prouesses. Trempée de sueur et l'entrejambe ruiné
je lui demandais provocante :
- Tu es content de moi Marc ? Tu me voulais salope, l'ai-je
été assez pour toi et tes amis ?
- Tu es parfaite ma chérie, il y a longtemps que je m'en
doutais, mais à présent j'en suis certain tu es telle que
je l'espérais, vicieuse à souhait, la partenaire idéale,
mais ce n'est pas fini… il y aura encore d'autres
soirées de ce type… avec plus de mâles pour te combler,
qu'en penses-tu ?
- Je suis partante, tu le sais bien, tout ce que tu voudras…quand
tu voudras…
Tout le monde était fatigué mais après nous être rafraîchis
et pris un temps de repos, je fus encore prise une fois
en sandwich et un des hommes insista pour me sodomiser une
ultime fois. Trop fatiguée je n'éprouvais qu'un tout petit
orgasme lors de la double pénétration et plus rien ensuite
même quand mon derrière investi clôtura cette superbe soirée.
Marc voulut me garder à dormir chez lui, mais je refusais,
sachant que mon mari, impatient comme de coutume, tenait
à vérifier quelles épreuves j'avais subies. Que voulez-vous,
après tout chacun y trouvait son compte, mon amant adorait
me débaucher, mon mari adorait m'imaginer aux prises avec
un ou plusieurs amants et moi j'adorais faire l'amour et
si possible avec plusieurs hommes bien membrés.
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