Je suis totalement à bout de nerfs. L'avenir de mon couple
est en jeu. Hier, j'ai eu une discussion de la plus grande
importance avec mon fiancé. C'est un homme dans la quarantaine,
plein d'attention envers moi. Il se moque éperdument de
ce que les gens pensent. Après le tragique accident de son
ancienne femme, dans lequel elle a trouvé la mort, il n'a
pas eu peur de me demander en mariage, moi, une jeune femme
de vingt-cinq ans.
Mais Jacques n'est pas seulement un fiancé remarquable,
il est aussi un père formidable. Il a eu de son premier
mariage un fils unique qui s'appelle Maxime. Celui-ci venait
à peine d'avoir dix-huit ans. Jacques le faisait passer
avant tout, y compris avant moi. Je ne lui en voulais pas
du tout, je trouvais même cela sensationnel. Maxime et moi
avons toujours eu une bonne relation, après tout nous n'avions
que sept ans de différence. Enfin je devrais plutôt dire
que nous avions une bonne relation car, depuis
que Jacques m'avait demandé en mariage, Maxime me menait
la vie dure. Il ne m'adressait plus la parole ; quand je
faisais des efforts pour lui faire plaisir, il me descendait
en flèche. Résultat : mon chéri et moi avons eu une discussion
qui n'était pas des plus plaisantes :
- Écoute Julie, tu sais que je t'aime mais...
- Mais...
- Et bien, Maxime a toujours passé en priorité, tu étais
au courant dès le départ.
- Oui, bien sûr, et c'est tout à ton honneur, mon chéri.
Je trouve ça tout à fait normal. Mais pour être honnête,
tu commences à m'inquiéter. Est-ce que tu pourrais arrêter
de passer par quatre chemins et finir par me dire où est
le problème... ?
- Et bien, tu as sûrement remarqué que l'attitude de Max
avait changé ces derniers temps. J'ai bien peur que l'on
soit allé trop vite. Je croyais que, comme cela faisait
maintenant dix ans que Maude était décédée, il aurait pu
passer à autre chose et qu'après nos quatre ans de vie commune,
il s'était habitué à toi. Mais les fiançailles lui ont fichu
un sacré coup et je ne crois pas qu'il soit prêt à avoir
une belle-mère. Donc j'ai bien peur qu'on doive cesser toute
relation jusqu'à ce qu'il aille mieux et ensuite on verra...
- Tu es sérieux ?!?
- Malheureusement oui, alors si tu pouvais faire tes valises
ce soir, ça faciliterait les choses.
- Attends ! Attends ! S'il te plaît, laisse-moi une chance,
je sais que ton fils passe en premier, mais si tu me laissais
une chance de régler ça, d'accord... Tu te souviens que
ton patron t'avait proposé un voyage d'affaires que tu avais
refusé pour qu'on aille chez mes parents pour fêter l'événement
? Si tu le rappelais et que tu partais cette semaine ? Je
pourrais essayer de rétablir les choses avec Maxime et,
si ça ne fonctionne pas, je serai partie à ton retour.
- Très bien, Julie, je t'aime assez pour qu'on essaie ton
idée, ça me ferait beaucoup de peine de te perdre.
C'est donc de cette façon que je me retrouve seule chez
Jacques à attendre le retour de Maxime pour qu'on puisse
mettre les choses au clair. Je ne veux pas perdre Jacques,
je l'aime et il est toute ma vie.
Maxime rentre du collège, j'étais tout sourire dans l'entrée,
dans l'espoir qu'il m'adresse la parole. Mais rien. Il passe
devant moi comme si de rien n'était, alors je me risque
et puis, de toute façon, je dois lui dire que son père ne
sera pas de retour avant une semaine.
- Une seconde, Maxime.
Il s'arrête, il ne se retourne pas, mais au moins il s'est
immobilisé...
- Ton père ne reviendra pas de la semaine, il est parti
en voyage d'affaires. Je nous ai préparé un bon petit repas,
tu n'auras qu'à descendre vers dix-sept heures, tout sera
prêt.
Il ne répond pas, aucune réaction, il monte tout simplement
s'enfermer dans sa chambre. Je mets tout en place pour un
sublime souper. J'ai fait son repas préféré, je me suis
faite belle. Pas que je veuille le séduire ou quoi que se
soit, mais pour prouver que je fais des efforts pour lui.
J'ai mis une ravissante petite robe moulante rouge, qui
me descend à mi-cuisses, avec un décolleté profond. Elle
est parfaite, sans en faire trop, elle est loin de faire
négligé. Je suis assise à table et j'attends. J'attends...
Et attends encore.
Il est bientôt dix-huit heures quinze. Je dois prendre
mon courage à deux mains et l'affronter.
Si je veux avoir une chance de me marier et de vivre la
vie merveilleuse que j'ai toujours souhaitée, je dois y
aller.
Je monte les marches une à une avec le cœur qui bat
très fort. Je suis à sa porte et je frappe. Ça y est, c'est
fait. Mais il ne répond pas. Deuxième tentative, je frappe
à nouveau. Il semble devenu sourd. Heureusement, mon Jacques
adoré m'a laissé un passe-partout. Alors, au diable l'intimité
! j'entre. Il est étendu sur son lit avec ses écouteurs,
j'entends sa musique d'où je me trouve et il a les yeux
fermés. Pas étonnant qu'il ne m'ait pas entendu cogner à
la porte. Je m'assois lentement à côté de lui sur le lit
et pose la main sur son épaule. Il ouvre subitement les
yeux et se met à hurler :
- Qu'est que tu fais là ? Sors tout de suite de ma chambre,
t'as rien à faire ici !
- Je suis désolée, je sais que je n'aurais pas dû entrer
comme ça, mais, Maxime, on doit parler. Ou alors tu peux
faire comme d'habitude, ne pas dire un mot et simplement
m'écouter.
Je crois que j'avais raison. Il ne me regarde même pas.
Il fixe le sol sans parler ni broncher. Au moins il a enlevé
ses écouteurs.
- Bon, écoute Max, je ne suis pas ta mère et je n'ai vraiment
pas l'intention de la remplacer. Mais j'aime profondément
ton père. Juste à l'idée de le perdre, j'ai l'impression
que mon cœur pourrait se briser en deux. Avant ça allait
très bien, nous deux, on s'entendait à merveille. J'ignore
ce qui s'est passé dans ta tête quand Jacques m'a fait sa
demande, mais si ça ne s'arrange pas maintenant, je vais
devoir m'en aller. Je ne suis pas une menace et je ne veux
pas l'être. Tu resteras toujours aussi proche de ton père,
je ne sais réellement que faire, Max, alors je t'en supplie
: aide-moi à comprendre...
Soudain, je me suis effondrée. Je me suis mise à pleurer
et, pour la première fois depuis des semaines, Maxime m'a
regardée droit dans les yeux. Les siens étaient magnifiques.
J'avais oublié à quel point ils étaient d'un bleu profond.
Décidément, mon amour avait fait du bon boulot, son fils
était extrêmement beau. Je ne savais plus que penser, je
n'arrivais absolument pas à déceler ses pensées.
Brusquement, il me prend dans ses bras. Je n'arrive pas
à y croire, j'ai droit à une étreinte. J'ignorais à quoi
était dû ce changement mais ça me faisait un bien fou. Il
était assez musclé et j'aimais la chaleur qu'il me procurait.
Malheureusement, je ne pouvais pas passer ma vie blottie
contre lui alors je me suis dégagée de son câlin.
- S'il te plaît Max, dis-moi ce qui ne va pas et je te
promets de tout faire pour changer.
- Quoi ?! Après quatre ans tu n'as rien remarqué ?
- Remarqué quoi ? Qu'est-ce que j'aurais dû remarquer ?
- Mais tu me rends dingue ! Tu es si belle, si remarquable.
Depuis quatre ans que je collectionne les aventures sans
m'engager parce que tu m'obsèdes. Tu es si parfaite ! Regarde-toi
: avec tes yeux vert émeraude, tes cheveux noirs si soyeux,
ton corps avec de magnifiques courbes et ta taille fine,
et avec cette robe, tu voulais vraiment... Je vais devenir
fou ! Tu hantes chacune de mes pensées ! Chaque fois que
je me branle, je pense à toi... Depuis quatre ans j'espère
secrètement que tu plaques cet idiot de Jacques pour moi,
et maintenant que tu es fiancée tous mes rêves sont réduits
a néant : tu vas te marier avec lui et moi je vais rester
seul...
Je suis complètement sous le choc, je ne sais que dire
et que faire mais je ne peux pas le laisser tomber comme
ça.
- Maxime, j'ignorais tout ça. Mais je ne peux pas rompre
avec ton père... Ecoute, Max, sois raisonnable...
- Non ! Je préfère que tu partes et ne plus jamais te revoir
que de te perdre aux bras de mon père. À moins que ...
- À moins que quoi ? Maxime, je suis prête à faire tout
ce que tu voudras.
- Alors tu vas me donner ton corps, comme je le veux, quand
je le veux, sans rouspéter.
- Quoi ?!?! Mais tu es fou, tu veux que je trompe Jacques
?
- C'est ça ou tu le perds. Tu as jusqu'à minuit pour y
penser. T'as qu'à rester dans ma chambre, je dois sortir
de toute façon.
Et il me laisse là sur son lit, seule. Je dois absolument
prendre une décision. Il est vraiment très beau et désirable,
après tout. Et puis ce n'est qu'une obsession, parce qu'il
ne peut pas m'atteindre. Après une ou deux baises, il passera
à autre chose. Et si je lui donne mon corps, ça n'empêchera
pas mon coeur d'appartenir à Jacques. C'est décidé, je vais
accepter son offre. Après tout, je n'ai pas vraiment d'autre
choix. Je viens d'entendre la porte se refermer. Il est
de retour. Je me lève et reste à côté du mur.
- Alors, qu'as-tu décidé ?
- C'est d'accord, Maxime, mon corps t'appartient.
- Bien, viens t'étendre sur mes genoux, relève ta jupe.
Hum, pas de culotte, tu es une sacré cochonne, Julie. Maintenant
tu vas compter ta fessée.
- Une fessée ? Pourquoi une fessée, j'ai accepté ton marché,
non ?
- C'est pour m'avoir fait attendre quatre ans, petite salope,
allez, compte maintenant !
- Un, deux, trois, quatre,... , dix, onze, douze,... ,
dix-huit, dix-neuf, vingt.
- Hum, tu as de belles petites fesses rouges, ça te va
très bien. Allez, viens sucer ma bite... il y a si longtemps
que j'attends ça.
Il me tient par les cheveux et m'impose son rythme. Je
n'ose me l'avouer, mais tout ça m'excite et ma mouille me
trahit. Sa queue qui est d'une grosseur impressionnante
(beaucoup plus grosse que celle de son père) manque m'étouffer
quand il me l'enfonce dans la gorge. J'en ai les larmes
aux yeux mais il ne ralentit pas, il continue de m'imposer
son va-et-vient de plus en plus profond. Après quelques
minutes, il finit par exploser.
- Allez, petite pute, tu vas tout avaler comme une grande
fille. Hum, c'est bien. Allez, je te veux nue comme un ver
pendant que ma verge reprend des forces.
Je m'exécute sous son regard vorace. Je ne me suis jamais
sentie aussi désirée, et sa vulgarité m'émoustille sans
que je puisse me l'expliquer. Il est si viril...
- À quatre pattes, sale chienne. Hum, mais c'est qu'elle
est toute mouillée, la pétasse !
Sans préliminaire, il m'enfonce trois doigts dans la chatte
et, après quelque va-et-vient, il étend ma mouille sur mon
petit trou et enfonce sans délicatesse un doigt à l'intérieur.
- Ça te plait, hein, d'être traitée comme ça ?
- Je dois avouer que oui, Maxime, quand est-ce que tu me
défonces la chatte ? J'ai hâte de te sentir bien gonflé
en moi.
- Chaque chose en son temps, ma belle. Allez ! nettoie
mes doigts... et applique-toi...
J'enfonce chacun d'eux dans ma bouche à tour de rôle et
les suce, les lèche et les mordille. Puis Max s'en va derrière
moi et force ma chatte à engloutir sa queue. Il me fait
presque mal à me pistonner aussi brutalement. En même temps,
il pince mes seins et enroule le bout avec son index et
son pouce. Ça ne prend pas longtemps avant que je succombe
sous un tel traitement. Mon orgasme est brutal. J'ai de
la difficulté à tenir à quatre pattes. Maxime me ramène
à l'ordre en me donnant une bonne tape sur les fesses. Ce
jeune homme est beaucoup plus endurant que je ne l'aurais
cru.
- Tu as pris ton pied avant moi, Julie, c'est pas très
sympa... pour ça, je n'aurai pas d'autre choix que de te
prendre dans le cul.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il entre son engin d'un coup
tellement profondément que je hurle.
- Aaah non ! Tu hurles maintenant, décidément Jacques ne
sait pas baiser une belle salope comme toi.
Après m'avoir défoncé le cul à un point tel que j'aurai
de la difficulté à m'asseoir dans les jours suivants, il
se présente devant mon visage la queue toute raide. Il se
branle de plus en plus vite. J'ouvre ma bouche quand il
éjacule partout sur mes seins, le visage et les cheveux.
- Hum, merci Julie, c'était génial. J'ai l'impression qu'on
va remettre ça très bientôt, d'ailleurs.
- Écoute, Max, maintenant tu tiens ta promesse et tu me
laisses épouser ton père.
- Oui, t'en fais pas... et je te souhaite un heureux mariage
!
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