J’ai croisé cette femme dans une galerie marchande
d'une grande surface ; nos regards se sont suivis et j'ai
eu l'impression que tout était dit, l’instant d’un sourire.
Un peu plus tard elle était assise au café de la galerie
où je m'étais moi-même installée. Nos regards se sont encore
croisés, sourires réciproques, et je lui fis signe avec
mon verre levé. Elle m'invita à sa table et la conversation
cibla rapidement ce domaine des relations intimes et des
fantasmes de chacune. Depuis, nous sommes en relation et
ma vie est rythmée par toutes les lubies qu'elle me fait
subir…
En pleine nuit le téléphone sonne : c'est ma maîtresse qui
exige que j'aille chez elle pour satisfaire ses envies.
Elle m'ordonne de mettre une sorte de djellaba sur mon corps
nu, de m'enfiler un petit gode dans le cul et de venir ainsi.
Lorsque j'arrive devant sa porte, elle m'ordonne d'enlever
la djellaba, de me mettre le collier de chien avec la laisse
et de me mettre à quatre pattes en attendant qu'elle veuille
bien ouvrir au risque que des gens passent dans les escaliers.
La porte s'ouvre, elle était déjà assise sur le canapé :
j'avance vers elle et soudain elle tire sur la laisse en
m'ordonnant d'ôter ses baskets avec lesquels elle a marché
toute la journée. C’est pour moi un plaisir inégalé : l'odeur
qui s’en dégage, un peu âcre, me fait tressaillir de bonheur.
Elle me fait d'abord mettre mon museau dans un basket et,
avec son pied nu, appuie sur ma nuque pour enfoncer mon
visage. Elle m'ordonne de respirer et de lécher l'intérieur
de la chaussure. Puis elle joue avec ses pieds sur tout
mon corps, surtout sur mon visage, ma bouche et ma langue.
Le goût et l'odeur divine de ses pieds envahissent ma bouche,
la montée de salive décuple et ses pieds sont rapidement
inondés. Elle enfonce ses pieds au plus profond de ma gorge
puis frotte ses plantes de pieds sur ma langue qui pend
hors de ma bouche à cet effet. Je bande comme un fou sans
avoir le droit de me toucher ni de jouir. À un moment, elle
tire sur la laisse pour que mon visage s'approche du sien
puis me crache abondamment sur la figure puis étale sa salive
avec ses pieds.
Près du canapé sur la table basse se trouve une assiette
avec quelques fromages « Apéricubes » qu'elle m'ordonne
de déplier : je pose alors l'assiette par terre et elle
écrase ces friandises avec ses pieds que je dois de nouveau
lécher et nettoyer à fond. Je remercie ma maîtresse de me
donner ainsi un peu de nourriture. Ensuite, elle se déshabille
complètement, se met droite et, avec la longue laisse, me
fouette le dos et les fesses en m'ordonnant de me retourner.
Elle regarde si le gode est toujours à sa place. Elle l'actionne
un peu puis le sort et enduit l'engin de lubrifiant pour
que tout ça glisse bien mieux. En fait, elle prépare le
terrain pour enfiler des godes plus gros. C'est ce qu'elle
fait en se ceinturant d'un gode de bonne taille et commence
à forcer mon trou, action à laquelle je me soumets de bonne
volonté malgré la petite douleur ressentie. La joie de cette
humiliation fait tressaillir tout mon corps. Pendant le
va-et-vient, elle m'insulte copieusement puis elle m'ordonne
de me retourner et m'oblige à sucer le gode pendant que
de petits coups de fouets cinglent mes fesses. Elle m'avertit,
à mon grand plaisir, qu'elle utilisera un gode plus gros
la prochaine fois.
Je suis plus qu'en transe ! Mon corps vibre de cette joie
indicible d'être humilié par une belle maîtresse. Une fois
que j'ai bien léché le gode, elle ramasse sa petite culotte
qu'elle a gardé deux jours, me la fait humer et ma tête
tourne de bonheur. Elle m’enfonce le slip dans la bouche
et m'annonce qu'elle le retirera lorsqu'il sera bien trempé
par ma salive. Et pendant que je salive sur la culotte au
goût que j'apprécie particulièrement, maîtresse m'insulte,
me donne quelques coups de fouet et me crache dessus, notamment
sur le visage, puis je sens qu'elle approche un engin près
de mon anus. Elle enfonce lentement mais sûrement un nouveau
gode plus gros que le précédent et mon cul se dilate. Elle
fait en sorte que ce gode reste dans mon cul tout le reste
du temps de la séance. Je suis essoufflé de bonheur, haletant
et j’en redemande encore.
Soudain elle empoigne la laisse et me tire jusqu'à la baignoire.
Elle me fait allonger sur le dos, elle se cale les pieds
sur les deux bords, jambes écartées, ce qui me fait voir
un paysage merveilleux, puis se met à uriner sur moi. Je
n'en peux plus d'excitation. Elle s'accroupit, son sexe
s'approche de ma bouche, elle m'ordonne de bien l'ouvrir
et finit de pisser dans ma cavité buccale. J'avale un maximum
du chaud et doré liquide. Elle prend ma tête par les cheveux
et m'oblige à lui nettoyer la chatte.
Au bout de quelques séances de ce type, je suis tellement
accroc qu'elle peut faire de moi ce qu'elle veut. Je ne
suis plus seulement soumis, je suis devenu son esclave,
totalement ! Je lui appartient corps et âme. Elle l'a compris.
C'est pourquoi elle m'a mené chez une amie tatoueuse, un
jour, et m’a fait inscrire sur le haut d'une fesse : esclave,
pute et chienne appartenant à Mélanie. Aussi, elle fait
venir de temps en temps des amies auxquelles elle me prête.
Ce sont des soirées ou moments inoubliables Elle ne me demande
même plus mon avis. Tellement qu'un soir, parmi les invités,
il y avait un mec, pas mal, dont je fus également l'esclave
puisque ma maîtresse le voulait : je lui ai donc aussi lécher
les pieds, fait des pipes et me suis fait sodomiser par
une vraie bite dont j'ai avalé le sperme. Là on avait atteint
une sorte d'extrême : les jeux s'étaient un peu plus corsés.
Par exemple quand un ou deux mecs participaient, ils sodomisaient
des invitées filles, c'est là que ma maîtresse me faisait
intervenir par exemple, pour sucer une bite sortant d'un
anus ou pour la nettoyer après une éjaculation dans le cul
de la fille. Soit dit en passant, la fille qui avait reçu
le sperme dans son cul s'asseyait sur ma bouche en « face
sitting » et je devais aspirer tout le sperme qui lui restait
dans l'anus.
Voilà à quoi ressemblent mes nombreux plaisirs, sous la
férule de ma maîtresse cruelle et impitoyable…
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