Perdu dans le souk d'Izmir, la nuit commençait à tomber. J'entre dans une
échoppe pour demander mon chemin, assis à une table il y a trois hommes
qui discutent en buvant, un des hommes se lève et me fait asseoir. En
français il m'explique que c'est dangereux de se promener le soir dans le
souk, m'offre à manger et pose trois bouteilles de vin en expliquant que
chaque homme doit boire une bouteille. L'autre me pose un tas de
questions : d'où je viens ? Comment je m'appelle ? Quel âge j'ai ? À chaque
question il pose sa main sur ma cuisse, cela me gêne je n'ose rien dire. J'ai la tête qui tourne un peu, un des hommes prend congé. Ali, très gentil, me dit de dormir ici, qu'il a une chambre juste derrière et qu'il me ramènera à mon hôtel demain matin.
Je ne veux pas, ma tête tourne, la main sur ma cuisse se fait plus
pressante et se pose sur mon sexe. Mes idées se brouillent, un autre prend ma
main et la passe sous la table, je sens dans ma paume une caresse douce et
chaude, je commence à réaliser la situation.
Je veux me lever, mes jambes ne me supportent plus, en rigolant ils
m'entraînent dans la chambre et me dénudent. Exhibé au milieu de la
pièce, j'appréhende la suite. J'ai la bouche pâteuse, dégrisé et apeuré je
me niche dans un coin, protégeant mes arrières.
Me regardant droit dans les yeux, un des types ôte sa chemise, ouvre son
pantalon et sort un imposant sexe tout raide. Doucement, il s'approche.
"Suce, suce", me dit-il. Coincé, malgré mon dégoût, j'ouvre la bouche. Son gland
envahit ma bouche et heurte ma glotte ; je déglutis, j'éructe, il agrippe mes
cheveux et fait glisser mes lèvres sur sa hampe sans se soucier de mes
hauts-le-coeur. Son gland chatouille mon palais et cogne ma glotte, je le
repousse violemment et je reprends mon haleine.
Furieux, il me tire par les cheveux et me pousse sur le matelas. Il rit, son gland effleure mon front, il rit encore, sa queue frôle mes joues, mon nez, son gland caresse mes lèvres, s'insinue dans ma bouche. Il rit aux éclats, fier de sa supériorité. Il se sert de ma bouche comme d'un sexe. Un jet puissant inonde ma bouche que j'avale jusqu'à la dernière goutte. Je crois en avoir fini mais il me pousse sur le lit et me tire quand mes genoux touchent le sol. Il prend mes fesses à pleines mains et les écartent, un fer rouge déchire mes reins. J'hurle "Non pas ça ! J'ai mal, non ! Aïe ! Aïe !" Je veux dégager cette braise qui taraude mon cul.
La douleur me paralyse et grave en moi ma soumission, disloqué par ce
pieu de chair qui marque mes entrailles du mot "enculer".
Il me donne un violent coup de buttoir, j'ai l'impression de m'ouvrir en deux. Je griffe
le matelas, des larmes coulent sur mes joues.
Je crie "Non, pas ça ! Je ne veux pas, j'ai trop mal, aïe ! Aïe !
Arrête ! Aïe ! Aïe !" Sans s'occuper de mes cris, il taraude l'étroitesse
de mes reins en de longs va-et-vient et m'incite à me laisser aller. Ecartelé,
déchiré, vaincu, il me taraude le cul à grands coups de rein. Il écrase un
piment entre ses doigts, passe sa main sous mon ventre et soulève mes fesses. Harponné par son mandrin dévastateur, il prend mon sexe, le décalotte et masse le gland. Une chaleur se répand sur ma bite et sur mes couilles, qui me fait oublier
la douleur. Je bande, empoigné par les hanches. Il s'enfonce au plus profond
de mes reins avec des "Han ! Han !" de bûcheron. Le cul en feu, le gland
brûlant, je jouis en longues saccades. Anéanti, honteux, une coulée de lave
inonde mes reins et irradie tout mon corps. Je jouis abondamment, ma rondelle
se contracte sur le mandrin envahisseur, le retenant prisonnier. Tout
doucement, il se retire et va se laver la bite au lavabo.
Impudique, je reste la à regarder s'approcher un autre type. Il a une bite
moins grosse que son copain mais bien plus longue, il me retourne, sourit,
prend mes jambes et les pose sur ses épaules. Je sens son gland sur mon
disque éclaté, il me regarde, pousse, pousse encore, ma rondelle se dilate
et absorbe son gland. Je grimace, il me sourit et pousse un peu plus, son
gland touche le fond de mes reins. Il plie mes jambes et mes épaules et, d'un
coup de reins, il enfonce sa queue jusqu'aux couilles, repoussant une
nouvelle barrière.
Je ne peux retenir "Hooo !" en soufflant tout l'air de mes poumons, je
ferme les yeux. Il se retire complètement de mon fourreau pendant quelques
secondes et, d'une poussée, m'encule jusqu'à la garde, me martyrisant le cul.
Ça lui plaît de me voir grimacer à chaque fois qu'il m'encule d'un coup
sec, il prend son plaisir pendant de longues minutes.
J'ouvre les yeux pour voir devant moi la volumineuse bite d'Ali. Je n'ai
plus la force d'être répugné, je tourne la tête et prend sa bite dans la
bouche. Ben profite de ma soumission pour me ramoner la pastille à grands
coups d'en-avant. Un plaisir maso monte en moi : inondé au plus profond par
sa brûlante liqueur, les lèvres distendues par le gland d'Ali qui déverse
une nouvelle fois sa semence au fond de ma gorge, je jouis moi aussi.
Sur la route de l'hôtel Ali me demande : "Tu as mal au cul ? Demain tu ne sentiras plus rien. Tu as bien joui toi aussi. Je repasserai dans trois jours et si tu es encore là j'aimerais bien renouveler l'expérience."
Après cette nuit, je me suis rendu compte que dans la rue les hommes me
regardent, d'autres me font des clins d'oeil, dans la foule des mains
frôlent mes fesses. Malgré la peur d'être vu, cet attrait pour ma personne me fait plaisir.
Je me sépare de mes camarades pour faire des excursions, eux préfèrent la
plage.
On va visiter des grottes. Le sourire de mon accompagnateur à l'idée de me voir accepter cette visite
m'en dit long sur ses intentions. Il y a longtemps que j'ai compris où il
voulait en venir.
Les grottes étant très difficiles d'accès, nous descendons péniblement sans
torche, nous arrivons à une salle très mal éclairée. Le spectacle est
grandiose. Il fait une chaleur moite. Mon guide se déshabille et me laisse
entrevoir les prédispositions de son sexe qui me font prendre peur. Je
m'éloigne, il me rattrape à la margelle que je veux enjamber et baisse mon
bermuda. Ses deux mains appuient sur mes fesses, les écartent, une brûlure
épouvantable enflamme mes reins. Je me débat, il m'écrase de tout son poids et,
d'une brusque poussée, il s'enfonce au fond de mes reins. J'ai le souffle
coupé, j'ai l'impression de m'ouvrir en deux. Lentement il coulisse dans
mon rectum de toute sa longueur. Pour faire disparaître la douleur je me
branle. Pendant qu'il me défonce le cul à grands coups de buttoir, un turc
alerté par notre chahut s'approche, sort sa bite de son pantalon et caresse de son
gland mes lèvres. Je le laisse l'introduire dans ma bouche. Je sens son
sexe durcir sous les caresses de ma langue, grossir et distendre mes lèvres. Il inonde ma bouche d'une telle quantité de sperme qu'une partie coule par
les commissures de mes lèvres, se répand sur mon menton et disparaît.
L'autre gars qui me ramone sauvagement depuis des heures m'inonde le fion. Cela déclenche une onde dans mes reins et dans mes couilles, je jouis en longues giclées, anéanti.
Allongé sur l'étroite margelle, le turc déjà remis de ses émotions soulève mes jambes et me sodomise avec rage.
Il me dit qu'il aime m'enculer, que j'ai le cul bien étroit. "Tu bandes ? Elle est bonne ma queue ?" Il grogne "je vais jouir, je vais jouir."
Il répand sa liqueur chaude dans mes reins, me faisant jouir avec une telle force que j'éclabousse mon visage de mon propre sperme.
C'est épuisé et le cul en marmelade que je regagne la surface.
Kado
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