Aimant vivre certains de mes fantasmes, je me rends cet après midi chez Sylvia qui les met en scène avec talent dans des jeux de rôles captivants.
Une sulfureuse brune m'ouvre la porte en souriant. Son abondante chevelure jais tombe en cascade sur ses épaules. Des yeux bruns en amande et des lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel.
Son déshabillé s'ouvre sur un corset rose à dentelles noires contenant difficilement ses seins magnifiques. Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas à couture tendus par quatre paires de jarretelles excitantes. Perchée sur ses cuissardes noires à talons hauts, elle me fait rentrer dans son univers.
Après l'échange de quelques mots qui me mettent à l'aise, elle me demande :
- Décris-moi ton fantasme actuel, je m'en inspirerai pour te donner un maximum de plaisir.
Je lui confie alors que :
- J'aimerai pouvoir rentrer dans la peau d'une fille et porter d'excitants dessous. Avoir une somptueuse poitrine, une croupe à damner un saint, un vagin et un clito pour pouvoir jouir de multiples façons.
Je poursuis en détaillant le scénario :
- J'imagine alors qu'une belle transsexuelle experte du plaisir anal me sodomise avec sa queue surdimensionnée pendant qu'une dominatrice me plonge son gode ceinture dans le vagin et qu'un travesti expert en fellation me suce divinement la queue.
- Beau programme, tu me donnes des idées. Eh bien, puisque tu es déjà entièrement épilée ma chérie, je te propose de te transformer pour quelques heures en une femme attirante avec tous ses artifices.
Suis moi dans ma chambre je vais te faire découvrir ma plus belle lingerie, me dit-t-elle en me prenant gentiment par la taille.
Une demi heure suffit à faire éclater ma féminité et elle me place devant la glace afin que je puisse admirer ma métamorphose.
Je suis coiffée d'une perruque blonde bouclée très seyante qui adoucit mon visage. Mes yeux portent des faux cils, mes lèvres sont peintes d'un rouge intense et un fond de teint achève mon maquillage.
Je porte une guêpière rouge et noire d'où jaillissent deux magnifiques seins siliconés. Le tout est recouvert d'une combinaison sexy de même couleur qui s'arrête à mi cuisses. Un slip ouvert entoure ma queue d'un écrin de dentelle et de soie qui laisse ma croupe offerte au regard de Sylvia. Huit jarretelles tendent mes bas noirs et mes cuisses sont mises en valeur par deux jarretières affriolantes.
J'admire ma taille élancée dans cette ravissante guêpière qui comprime ma poitrine 105c et j'ajuste mes jarretelles en caressant le voile de nylon tendu sur mes jambes. Je contemple leur galbe parfait mis en valeur par mes escarpins et je fais quelques pas pour sentir la tension de mes bas en les frottant l'un contre l'autre pour les entendre crisser.
En marchant, j'exhibe involontairement mes fesses hautes, fermes et bien cambrées qui excitent généralement les femmes. Sylvia n'y fait pas exception et je la vois fixer intensément ma croupe en me disant :
- Viens sur le lit ma chérie, je suis impatiente de m'occuper de ton petit cul.
Elle me renverse sur le dos et sa main glisse sournoisement sous ma combinaison satinée puis remonte lentement le long de mes jambes pour se refermer voluptueusement sur mes bourses qu'elle masse avec douceur.
Ne pouvant résister à ses caresses, j'ouvre imperceptiblement les cuisses pour l'encourager à poursuivre son exploration. Elle me sourie et je vois dans son regard qu'elle m'a comprise.
Son doigt ouvre délicatement la fente de mon slip et s'enfonce dans mes fesses en me déclenchant très vite une érection spectaculaire.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton oillet est déjà bien ouvert. Cela prouve que tu n'es pas une débutante et que tu aimes te faire prendre. Attends moi un instant, je reviens.
Je la vois réapparaître avec un gode ceinture impressionnant qu'elle ajuste à sa taille en le laissant se balancer librement entre ses cuisses fuselées. Il a le gland épais de ceux qui me donnent toujours beaucoup de plaisir et une hampe striée de grosses veines apparentes.
- J'espère qu'il ne te décevra pas car il mesure six centimètres de diamètre et atteint presque les trente centimètres de long, me dit-t-elle en m'adressant un sourire pervers.
Elle le prend en main et le lubrifie longuement en me décochant des regards brûlants. Puis, déterminée et sûre d'elle, je l'entends me dire :
- Maintenant lève toi, je veux te prendre debout et de face. Remonte ta combinaison pour que je t'enfile ma belle.
Je la relève lentement sur mes hanches et libère sans le vouloir ma queue qui jaillit par la fente de mon slip ouvert.
Ignorant mon érection, elle me plaque d'une main ferme contre la cloison de la chambre en m'écartant les cuisses avec son genou. Puis, elle me soulève les bourses pour dégager l'accès à ma grotte. Sans hésitation, elle pousse avec force le gode dans mon fourreau en me regardant droit dans les yeux lorsqu'elle me défonce l'oeillet.
La bouche ouverte, la poitrine palpitante, je me laisse prendre sans résister.
Sylvia me cloue au mur. Elle me baise lentement par petites poussées successives, associant d'amples déhanchements du bassin pour mieux me fouiller les entrailles et me faire défaillir de plaisir.
Voulant s'enfoncer toujours plus loin, elle me soulève une jambe en la serrant contre sa taille. Je ne tiens plus en équilibre que sur un talon aiguille et je mets mes bras autour de son cou pour me stabiliser.
L'image que me renvoie le miroir est très excitante.
Je suis debout, une jambe relevée sur la hanche de Sylvia. Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse laisse apparaître mes jarretières tendues qui maintiennent la couture de mes bas bien alignée.
Sylvia se fait plus pressante en s'aidant maintenant de sa main pour m'embrocher avec plus d'efficacité. Pendant qu'elle me donne de puissants coups de reins, je vois dans le miroir mon corps tressauter en cadence et s'affaisser peu à peu sous ses coups qui me labourent le ventre.
J'ai l'impression d'être dans la peau d'une fille désirable que l'on viole à la hussarde contre un mur pour satisfaire ses pulsions. Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Sylvia par la pensée de m'avoir fait vivre ce fantasme.
Malgré tous ses efforts étant d'une taille inférieure à la mienne, elle ne parvient pas à s'enfoncer plus à fond dans mes reins.
- Je vais finir de te baiser sur le lit mon ange, me dit-t-elle avec un sourire carnassier.
Elle m'allonge sur le dos en plaçant deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qui se balance lourdement entre ses cuisses.
- Maintenant, écarte les jambes et prend tes chevilles en main pour rester bien ouverte, me dit-t-elle d'une voix sensuelle.
Debout face à moi, elle voit ma rosette s'ouvrir comme une fleur.
Je suis totalement fascinée par cette Maîtresse dominatrice qui s'approche lentement du lit en soutenant d'une main ferme le pieu imposant qu'elle a entre les jambes.
Galvanisée par le spectacle que je lui offre, elle ne peut plus attendre et c'est avec un regard brûlant qu'elle me pénètre avec une lenteur calculée.
Mes sphincters cèdent peu à peu sous la pression du gland démesuré et je laisse échapper un cri lorsqu'il me transperce le ventre.
Pousse fort ma chérie, m'ordonne-t-elle.
Je l'aide de mon mieux en sentant le gode se ruer dans mes reins.
Sylvia poursuit sa course jusqu'à ce qu'il soit presque entièrement enfoncé dans ma grotte. Elle me décalotte alors le gland en me masturbant habilement.
- Je sens ta queue se raidir et tressauter de désir dans ma main au fur et à mesure que je te sodomise, me dit-t-elle avec excitation.
Ecartant mes fesses avec ses pouces pour pouvoir me pénétrer plus à fond, elle se laisse brutalement retomber sur moi en me transperçant cette fois-ci jusqu'à la garde.
Le souffle coupé, je serre mes mains autour du pal pour me dégager mais, je ne peux lutter contre le poids de son corps.
Elle me baise si bien, que je cesse très vite toute résistance.
- Ce ne doit pas être tous les jours que tu prends un tel calibre, n'est ce pas ma belle ?
En réponse, je croise mes jambes dans son dos en éperonnant ses fesses avec mes talons aiguilles pour qu'elle m'empale davantage.
Soudée à moi, elle me travaille l'oillet avec une habilité diabolique et tourne vicieusement le gode pour me frotter les entrailles sur les veines saillantes de sa hampe.
Elle roule et ondule du bassin en faisant vivre d'une manière prodigieuse ce pieu qui me taraude le ventre.
Me voyant perdre mon contrôle, elle me comprime régulièrement la racine du sexe pour m'empêcher d'éjaculer trop vite.
Je finis cependant par succomber à ses assauts. Quand Sylvia voit mes cuisses trembler et qu'elle entend mes gémissements se rapprocher, elle comprend que je ne vais pas tarder à jouir. Elle me chuchote alors à l'oreille :
- C'est le moment ma chérie, laisse toi aller maintenant.
Savourant l'instant, j'essaye au contraire de me retenir le plus possible en contractant mes fesses pour contenir la sève qui monte dans mes reins.
- Tu ne vas pas me résister bien longtemps, m'assure-t-elle en riant.
En effet, très expérimentée, elle me fait exploser en grattant lentement mon frein sur toute sa longueur avec son ongle. L'effet est indescriptible et je laisse échapper un râle de délivrance et de plaisir.
Voyant cela, elle plaque plus fortement son bassin contre moi en me fouillant le ventre pour m'achever.
Mon sperme trop longtemps contenu jaillit alors avec une puissance inhabituelle en fusant dans sa main avant de retomber en longues traînées blanchâtres sur mes bas.
Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi clos et en extase. Un mince filet de foutre continue à s'échapper de mon méat et Sylvia me presse la queue pour extraire mes dernières gouttes de sève en me pompant avec ses lèvres.
Elle sort de mon fourreau, heureuse de m'avoir fait vibrer avec une telle intensité et enlève le gode et les sangles qui lui ceignent la taille.
Elle s'allonge sur moi en m'embrassant à pleine bouche tandis que je presse dans mes mains ses seins volumineux et lourds. Elle me caresse longuement en me laissant récupérer.
Puis, elle rallume mon désir en massant mon sexe entre ses cuisses et en frottant son clito gorgé de sang sur mon gland turgescent.
Enfin, avec l'instinct d'une mante religieuse qui a trouvé sa proie, sa chatte humide et avide de sexe s'ouvre sur ma queue avant de l'engloutir avec une rare voracité. Excitée, Sylvia s'active et se tortille jusqu'à ce qu'elle explose en m'inondant de cyprine.
- Je vais te faire découvrir une de mes spécialités, me dit-t-elle enfin calmée avec un sourire coquin.
Elle se lève et sort d'un tiroir une seringue remplie de lubrifiant. Avec des gestes précis, elle se penche sur moi et m'enfonce la canule dans les fesses en poussant lentement le piston pour que le gel tapisse entièrement ma muqueuse.
Elle me fait asseoir sur le matelas, le dos en appuie contre la tête de lit.
Ecartant la fente de mon slip, elle plonge trois doigts dans mon fourreau et tourne habilement son poignet de droite à gauche pour faire rentrer progressivement les autres.
- Tu es déjà bien ouverte, cela va être facile ma chérie, me dit-t-elle.
Elle localise très vite mon point G qu'elle presse avec la pulpe de ses doigts recourbés en m'arrachant des soupirs de bonheur.
Profitant de mon trouble, elle me soulève avec sa main qui m'embroche et bloque son coude contre le matelas pour que je finisse de m'empaler moi-même par le poids de mon corps.
Attentive, elle me voit en pleine érection glisser lentement sur son poignet qui disparaît peu à peu dans mon ventre.
- Je vois que tu aimes cela ma chérie, me dit-t-elle également troublée par ce spectacle.
Puis, elle me suce longuement la queue en me gobant les bourses à intervalles réguliers. Quand elle la voit frémir de désir sous ses doigts, elle me mordille le gland et lèche mon frein jusqu'à ce que j'éjacule en jets puissants dans sa gorge.
Elle s'étrangle un instant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres avant de le déglutir rapidement.
Lorsqu'elle retire sa main de mon fourreau, une coulée de gel se répand à l'intérieur de mes cuisses en s'infiltrant dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma belle, me dit-t-elle en m'épongeant l'oillet. Je te propose de faire une pause pendant laquelle tu pourras changer tes dessous.
Ayant remarqué mon goût immodéré pour la lingerie, elle me laisse choisir dans son armoire ma nouvelle tenue d'alcôve.
Après une longue période d'hésitation, j'opte pour une charmante nuisette à balconnets en satin sur l'avant et en voile à l'arrière, rehaussée de fines bretelles roses. Devant le miroir, je plaque avec émotion sur mon ventre un porte jarretelles - serre taille de couleur rose qui à l'apparence d'un corset et qui me couvre le ventre. J'accroche mes bas à résille aux jarretelles et j'enfile comme une seconde peau une paire de longs gants en soie qui accentue mon côté glamour.
Une robe bustier en voile transparent ouverte sur le devant met en valeur ma lingerie.
Enfin, je change ma perruque bouclée blonde pour une autre coupée au carré de couleur cuivre pendant que Sylvia me glisse les pieds dans des mules à talons aiguilles.
Elle me laisse m'admirer devant la glace tout en plaçant mes seins dans les balconnets.
Je me trouve à la fois plus sexy mais également beaucoup plus salope que dans la tenue précédente.
Sylvia vient se coller contre moi en m'embrassant à pleine bouche tout en me pressant sournoisement les bourses. Entre deux baisers, excitée par la taille de mon sexe, elle me murmure à l'oreille :
- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue qui ne demande qu'à s'exprimer et tu dois me laisser un libre accès à tes fesses pour la suite, me dit-t-elle d'un ton sibyllin.
La séance d'essayage m'ayant fortement excitée, j'ai la verge tendue contre mon ventre jusqu'à la hauteur de mon nombril. Elle pointe avec insolence à travers mon déshabillé transparent pour son plus grand plaisir.
- Je vais devoir te vider les couilles sinon tu ne résisteras pas longtemps au traitement que je te réserve, me dit-t-elle en utilisant volontairement un langage vulgaire pour augmenter ma libido.
Elle me culbute sur le lit en relevant ma nuisette et mon déshabillé sur mes seins.
Son majeur se glisse dans mes fesses et masse ma prostate avec insistance pendant que son autre main sort un vibro de dessous l'oreiller. Avec précision, elle le pose sur mon frein en le déplaçant lentement jusqu'à ce que les vibrations fassent couler un liquide clair à la surface de mon gland.
- Tu vois ma chérie, tu as aussi un clito qui te donne du plaisir, me dit-t-elle avec malice.
A ces mots, je me rends compte qu'elle me fait vivre mon scénario du départ. Je porte une lingerie très érotique qui laisse deviner en transparence mes seins somptueux, ma croupe attirante, ma queue superbe et mon clito ultra sensible.
De plus, Sylvia se révèle une merveilleuse dominatrice qui manie le gode à la perfection et remplace avantageusement le travesti en me suçant divinement la queue pour me donner une jouissance exceptionnelle.
- Le plaisir anal est ma spécialité et je vais te faire jouir du cul mon ange, me dit-t-elle d'une voix assurée.
Elle continue à m'exciter le clito en soulevant le vibro de mon frein dés qu'une goutte de sève perle à la surface de mon gland et le repose quelques secondes plus tard jusqu'à l'apparition de la suivante.
En même temps, d'un doigt inquisiteur, elle presse habilement ma glande intime.
Mon plaisir est tel, que Sylvia sent mon anneau se contracter plusieurs fois de suite sur son majeur qui présage de mon orgasme imminent.
D'un air triomphant, elle regarde mon sperme s'écouler lentement sans interruption en dessinant des arabesques blanchâtres sur mon serre- taille.
Cette éjaculation longue et continue, spécifique de l'orgasme anal, me provoque un bonheur intense et durable.
Je reste tétanisée par cette superbe amazone qui sait si bien me faire vibrer.
Sans me laisser de repos, elle me bande les yeux en me réservant une autre surprise.
- Enlève ton déshabillé et suis moi, rajoute-t-elle en glissant sa main sous ma nuisette pour me flatter la croupe.
Totalement aveugle, je me laisse guider vers la pièce voisine où elle m'aide à monter deux marches et à m'allonger sur une surface ferme. Elle place mes talons aiguilles dans des étriers qu'elle écarte au maximum en exposant ma rosette à sa perversité.
Je devine que je suis allongée sur une table médicale. Sylvia me retire mon bandeau et ce que je vois me laisse sidérée.
Je me trouve dans une petite pièce dont les murs et le plafond son entièrement recouvert de glace.
Une machine est placé entre mes jambes, mais mon regard est surtout attiré par une longue tige métallique qui pointe vers moi et sur laquelle est embroché un gode épais et long.
- C'est une fucking machine dernier cri que je vais avoir le plaisir d'inaugurer avec toi, jubile-t-elle.
- Tous les hommes qui viennent me voir me supplient de les prendre au gode ceinture, car ils adorent être sodomisés par une femme. C'est pour leur offrir des sensations plus fortes que je me suis équipée de la sorte. Cela me laisse aussi l'opportunité de leur prodiguer d'autres caresses ou de leur faire l'amour pendant qu'ils se font empaler par la machine.
Cette petite merveille a plusieurs programmes que je peux modifier à tous moments, notamment la profondeur des pénétrations, la vitesse et les vibrations de l'engin.
Je vais dilater ton anneau avec ce gode qui a un diamètre de cinq centimètres ce qui me semble parfaitement adapté à ton cas. Je peux aussi l'équiper d'un sexe dont les anneaux s'élargissent progressivement de trois à dix centimètres de diamètre ce qui comble les plus exigeants, me dit-t-elle en me jetant un regard équivoque.
- Je vais commencer dans un instant ma belle, me susurre-t-elle les yeux brillants d'excitation.
Auparavant, elle me ligote les chevilles et relève ma nuisette pour me passer une sangle sous les seins et une autre sous l'abdomen. Je suis à la fois excitée et inquiète de me voir immobilisée de la sorte.
- Je t'attache pour t'empêcher de bouger quand tu jouiras et éviter que la machine ne te blesse le ventre.
Mais, on n'en n'est pas encore là, rajoute-t-elle déçue en s'apercevant que je ne bande toujours pas.
- Il faut te détendre ma chérie si tu veux apprécier pleinement ce qui va suivre, me dit-t-elle en me caressant l'intérieur des cuisses avec un sourire enjôleur.
Puis, elle sort un objet d'une armoire, c'est un long tube en verre prolongé par un tuyau au bout duquel est fixée une pompe.
Je reconnais un vacum, qui sert à faire le vide d'air en gonflant la queue qui est à l'intérieur. Tu vas bander rapidement, me dit-t-elle.
Elle glisse mon sexe dans le cylindre en actionnant la pompe.
Je sens ma verge s'étirer et se dilater fortement. Sa longueur atteint presque les vingt centimètres sur la graduation du verre.
Mais ce qui m'étonne le plus, c'est son épaisseur. Ma hampe épouse la paroi du verre qui mesure pourtant cinq centimètres de diamètre et mon gland serait encore plus gros s'il n'était déjà pas comprimé par le tube.
Sylvia contemple un instant mon sexe turgescent à travers le verre dépoli. Puis, le sort en me glissant très vite un anneau pénien pour que je garde mon érection.
- Tu as un gland énorme qui va me donner du plaisir, ma chérie.
Je la vois régler la hauteur de la machine pour mettre le gode en contact avec ma rosette.
- Je vais commencer par le programme d'initiation et te sodomiser en douceur, me dit-t-elle rassurante.
Elle appuie sur la télé commande et le dard s'enfonce lentement de quelques centimètres dans mes chairs. Sylvia en profite pour l'arroser copieusement de lubrifiant.
Puis, elle me masturbe à la perfection tout en explorant les multiples ressources de l'engin. Au bout d'un moment, la poussée du gode devient si forte qu'il me soulève les fesses à chaque va et vient.
Sylvia augmente la course de ce sexe infernal qui s'enfonce maintenant de plus en plus profondément dans mes entrailles. Elle ne se lasse pas de contempler les traits de mon visage déformés par le plaisir quand la machine s'active avec vigueur dans mon ventre. Je ferme les yeux pour mieux savourer l'instant.
S'arrachant à ce spectacle, elle se met à califourchon sur moi et d'une main assurée s'empale sur ma verge qu'elle s'enfonce jusqu'au ras des fesses.
Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d'avant en arrière qui me mettent dans tous mes états. Elle s'arrête régulièrement en faisant tournoyer sa croupe sur ma queue qui lui sert de pivot.
Les glaces de la chambre me renvoient sous tous les angles des scènes excitantes.
J'admire les seins de Sylvia et sa superbe chute de reins sanglés dans son corset pendant que sa croupe engloutit ma queue. Hypnotisée, je vois aussi dans les miroirs une multitude de godes qui m'embrochent inlassablement.
Un moment plus tard, Sylvia pousse les vibrations à leur plus haut niveau et me dit très excitée :
- Je règle la machine sur vitesse lente pour te pénétrer jusqu'à la garde sans te faire mal.
Le gode met un temps infini à m'empaler sur toute sa longueur et ses trépidations me mettent le feu au ventre.
En même temps, Sylvia contracte ses sphincters qui me serrent fortement la queue en faisant monter la sève dans mes reins.
Ayant les mains libres, je presse ses seins en faisant rouler ses tétons entre mes doigts gainés de soie.
Avec un regard éloquent, elle me tend un vibro pour que je la fasse jouir. J'écarte alors ses lèvres en le posant avec précision sur son clito.
Quelques minutes plus tard, je la vois s'agiter sur mon sexe et soulever sa splendide poitrine en cadence. Soudain, ne pouvant plus résister aux vibrations, elle pousse un cri libérateur qui soulage sa tension aussitôt suivie par ses gémissements de bonheur.
- Eh bien ma chérie, tu m'as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore essoufflée
Elle reprend très vite le dessus et m'amène à son tour rapidement au bord de l'orgasme.
Quand elle sent que ma résistance commence à s'émousser elle me dit :
- Je vais maintenant te vider et pomper ton foutre ma belle.
Elle amplifie la vitesse du gode.
Mes sensations sont prodigieuses lorsqu'il me laboure le ventre à un rythme infernal. Je me cambre autant que les sangles me le permettent dans l'attente du fabuleux orgasme que je sens monter dans mes reins.
Messaline déchaînée, Sylvia me chevauche en m'écrasant les bourses tant son excitation est grande.
Je suffoque de plaisir et il ne sort plus que des borborygmes de ma gorge.
Un orgasme puissant m'envahit et me fait éclater la tête. Je suis à la limite de la syncope quand ma sève gicle avec force dans ses fesses. Le corps tendu en arc de cercle, je jouis dans une succession de spasmes qui la désarçonne en partie.
Elle m'adresse alors un regard torride en continuant à serrer ma verge avec ses muscles intimes pendant que sa main me presse vicieusement les bourses pour achever de me vider.
Un instant plus tard, elle stoppe la course du gode qui reste fiché au fond de moi.
Elle contemple avec fascination ce pieu planté dans mon ventre et finit par le retirer en me laissant l'oillet largement ouvert.
- Il va mettre du temps à se refermer, commente-t-elle suavement
- Comme tu es déjà expérimentée et que ta rondelle est souple, j'utiliserai la prochaine fois un diamètre de huit centimètres ma chérie.
- Sois sans crainte, je t'appliquerai auparavant un gel lubrifiant antalgique comme il en existe maintenant.
De plus, la machine poussera lentement millimètre par millimètre les anneaux de tailles croissantes dans ton fourreau en faisant les pauses nécessaires pour que tu t'adaptes à ces différents calibres.
Plus tard, je te dilaterai la rosette jusqu'à ce qu'elle fasse un cercle de trente centimètres.
Tu seras alors prête pour que je t'initie au double fist, me dit-t-elle en s'essuyant l'intérieur des cuisses trempées par l'orgasme qu'elle vient d'avoir.
Puis, elle me détache pour que je remette un peu d'ordre dans ma lingerie et m'aide à me relever en me voyant encore affaiblie par cette séance qui m'a complètement sonnée.
Je la quitte peu de temps après en la remerciant pour cet après midi exceptionnel et me promet de la revoir dés que possible.
Sandra.
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