TITRE : Pique-nique
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e
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J’aimerais vous raconter l’histoire qu’il nous est arrivé avec ma femme cet été sur la route des vacances.
Ma femme et moi avions prévu d’aller dans les Landes. Nous sommes partis tôt dans la nuit pour rouler plus tranquillement. Nous avions prévue de faire une halte pour nous reposer et manger un bout. Vers 4 heures du matin alors qu’il nous restait plus qu’une centaine de kilomètres nous avons trouvé au bord de la national un chemin plutôt tranquille et après quelques dizaine de mètres nous nous arrêtâmes.
Ma femme est physiquement charmante sans être un canon. Pour la route elle était habillé décontracté et de façon légère. Un t-shirt sans manche blanc avec une jupe bleue qui lui arrivait au dessus des genoux. Elle est plutôt menu avec son mètre soixante dix et ces 50 kilo, avec des jambes superbes et des seins moyen mais bien fait. Notre vie de couple allez bien mais rien de transcendant au niveau du sexe. Doué mais malheureusement à mon gout pas assez souvent pratiqué.
Nous nous reposions et mangeons un morceau. Il faisait encore nuit et seule au milieu de cette foret on n’était pas spécialement rassuré.
Ma femme était assise coté passager, légèrement tourné vers moi avec une de ces jambes replié ce qui avait pour effet de relevé la jupe suffisamment pour que je puisse voir sa culotte. Moi j’étais en short et de voir ce spectacle je commençais à bander. Elle s’en rendit compte et écarta un plus les jambes tout en relevant sa jupe à la taille.
J’adorais la voir offerte comme cela à mon regard. Je commençais à lui caressais les cuisses puis ma main plongea entre ces jambes la ou la peau est si douce. Je frottais ma main délicatement au dessus de son string, je pouvais sentir la chaleur de son sexe. Je descendis sa culotte pour mieux lui caresser sa petite chatte finement épilée. Je mis à genoux afin d’avoir une meilleur vue et je lui rentrais deux doigt doucement et je lui faisait des petits va et vient pour lui faire monter son désir. Les jambes s’écarterent et les mis sur mes épaules. Elle me caressait la tête signe qu’elle voulait maintenant se faire lécher le minou gonflé de désir. Alors tout en gardant mes doigts dedans, je m’appliquais à bien lui sucer le clito. Ces jambes se resserrait sur ma tête, je sentais son souffle s’accélérer et ces petits cris m’indiquait qu’ elle était au bord de la jouissance.
C’est alors que de la lumière qui venait de la route nous à interrompu. Le temps que la voiture arrive nous nous somme vite remis nos vêtements.
C’était un gros 4x4 qui se mit à coté de nous et un monsieur assez âgé, d’environ la cinquantaine, descendit et frappa à la vitre. Il avait une lampe torche et éclairé l’habitacle. Ma femme descendit sa vitre pour demander ce qu’il voulait.
Le monsieur dit : Qu’est ce que vous faite sur mes terres ?
Je lui répondis que l’on se reposait afin de reprendre la route.
Sa lampe m’éclairée j’avais du mal à le discerner.
Il nous dit qu’il n’appréciait pas du tout l’intrusion et nous ordonna de partir sèchement.
Ma femme lui dit que l’ont repliais les affaires et qu’on reprenait la route. Sa lampe était sur son visage mais petit à petit elle descendit le long de son corps en s’attardant allégrement sur ces seins et ces jambes. C’est comme cela que j’ai pu le voir. C’était un homme costaud pas loin de 1m90 habillé en traillie.
Il repartit et nous nous empressâmes de tout ranger.
Et bien entendu impossible de redémarrer la voiture. On était inquiet d’une part pour la suite du trajet mais encore plus du retour du gaillard.
Apres quelques essais infructueux il fallait bien se rendre à l’évidence que je ni arriverai pas.
Il y avait bien le téléphone portable mais qui appelé ?
Quand de nouveau des phares arrivèrent. L’angoisse montait car seul au milieu de rien avec, peut être, un sauvage en colère cela ne promettait rien de très bon.
Je décidais de descendre de la voiture pour faire le premier pas vers lui.
Il descendit et commença à crier comme un malade en disant qu’il nous avait dit de partir.
Au bout d’un moment j’essayais de lui couper la parole pour lui expliquer notre situation.
Je lui sollicitais son aide et pour toute réponse me dit : et puis quoi encore !!!
Ma femme descendit et essaya de le convaincre. Elle lui proposa des sous mais sa réponse était toujours négative. Sa lampe se promenait sur ces jambes tranquillement. Je lui fis remarquer que c’était ma femme et que son attitude était déplacée.
Il me répondit aussi sec que j’étais chez lui et que chez lui il fait ce qu’il veut.
Je lui demandais ce que je pouvais faire pour qu’il accepte de nous aider et me dit, toi rien mais ta femme surement.
Je commençais à mieux comprendre ce qu’il voulait.
Si j’avais été plus costaud je l’aurais frappé mais voila, le plus costaud et de loin, c’est lui. Je lui répondis quand même que c’était hors de question.
Ma femme se blottit contre moi.
Alors rester la, dit il en rentrant dans sa voiture.
Je regardais ma femme et je lui demandais : qu’est ce qu’on fait ?
Elle me dit : je peux peut être juste le branler ou veut il juste me voir nu ? si ce n’est que cela ce n’est pas la mort.
Alors qu’il démarrait je lui fit signe.
Je l’a regardais une nouvelle fois dans les yeux et lui dit : t’es sur ?
Elle me dit : tu as une autre idée ?
Non répondis je mais si il veut aller plus loin ?
Elle n’eu pas eu le temps de me répondre que le colosse était devant nous.
Qu’est ce que vous voulez lui demandais je ?
Il me poussa et dit à ma femme : met toi devant les phares de ma voiture et déshabille toi, je veux te voir et n’hésite pas à tout me montrer.
Ma femme s’exécuta et commença à se dévêtir, ce qui fut rapide vu sa tenu.
Prends des poses cochonnes dit-il.
Je voyais ma femme nue en train de se pencher au milieu des bois en pleine nuit c’était surréaliste.
Pendant que je regardais ma femme il sortit sa bite et commençais à se branler tranquillement comme ci je n’existais pas.
Il avait une queue au dimension de sa carrure, c’était un monstre.
Puis il lui dit approche toi maintenant je veux te toucher. Ma femme me regarda et s’approcha doucement. Il lui attrapa les seins avec vigueur et se pencha pour les sucer. Pendant qu’il avait ces tétons en bouche ces mains descendirent sur ces fesses et il la plotait farouchement. Je pouvais voir sa bite et croyais moi il devait trouver ma femme à son gout. Et moi j’étais anéantis, que pouvais je faire ?
Il prit une de ses mains et la mis sur sa queue en l’empreignant de va et vient. Sa main ne faisait pas le tour. Malgré cela je me disais qu’il voulait juste se faire branler et cela me rassurait. Pendant que ma femme s’occupait de sa bite avec ardeur, certainement pour essayer de le faire venir, ces mains étaient en train de tripotter son minou. Il se recula et rentra dans le 4x4 et fit tomber son pantalon aux chevilles. Il l’appela et ma femme rentra et se mit sur la banquette arrière. Il lui prit la tête et l’emmena vers sa pine. La portière ouverte je pouvais voir ma femme à quatre patte en train d’avoir cette bite hors norme qui lui déformais la bouche. Lui avait toujours ces mains sur la tête et appuyais pour lui faire rentrer au maximum. J’entendais ces gémissements et lui qui l’a traité de chienne. Elle avait mis ces mains entre les bourses et le gland pour éviter qu’il lui fasse trop mal, mais lui s’en soucié peu, il appuyait et lui relevais la tete afin de prendre son pied comme il le désirait. Je suppose que ma femme se donnait du mal pour le faire venir car maintenant elle y mettait vraiment du sien. Elle lui tenait les bourses d’une main et de l’autre le branlais avec toujours cette grosse pine dans la bouche. Cette position ou je pouvais tout voir et surtout voyant que cela se passait bien me donna une érection peut commune. Voir sa femme astiquer une autre bite que la sienne avec vu sur son cul était génial. Jamais je n’aurais pu croire cela. Une de ces mains avait pris possession de sa chatte et je le voyais rentrer ces doigts dedans et les remuais. Ces sur maintenant que ma femme y prenait un certain plaisir au vu de ces jambes toutes mouillait. Elle les écartait au maximum pour qu’il puisse être libre de ces mouvements. Elle était comme folle, la dimension de la pine l’avait mis en transe.
Et donc bien sur pourquoi il n’en aurait pas profité en voyant sa mouille et sa conviction à lui avaler son gland.
Elle se mit assise dos à lui et c’est elle qui prit la bite entre ces mains pour se la fourrer dans ces entrailles. Croyais moi je compris pourquoi elle l’avait pris entre ces mains c’est d’avoir peur de se faire déchirer par cette queue. Elle mit un certain temps et quelques crient avant qu’elle ne rentre au fond. Son visage était crispé de plaisir, de mal, enfin un mélange de chienne avide de gros sexe. Il l’a pris par les hanches en la faisant sauter sans ménagement. Heureusement que l’on était en foret, isolé du monde car elle criait son plaisir comme elle n’avait jamais fait avec moi.
Elle était complètement disloquer par le rythme qu’il lui infligeait. Ces seins monter de bas en haut. Son regard devenait vide complètement absorbé par la bite énorme qui la labourait. Ces grosses mains étaient maintenant sur le clito et la masturbait. Je la voyais jouir passant d’un orgasme à un autre. Puis il sortit d’en elle, la fit se positionner en l’attrapant par les cheveux pour qu’il puisse se vider dans sa bouche. Elle attrapa sa pine et l’engloutissait de force pendant qu’il limait sa bouche pour enfin se libérer les couilles et remplir ma femme.
Elle était semi inconsciente quand je allé la chercher pendant que tout heureux il se rhabillait.
Il prit sa barre pour nous tracter jusqu’au garage qui n’était pas plus loin de 2 ou 3 kilomètres !!!
Maintenant ma femme me reparle de temps en temps de cette aventure et je suis sur que de retomber en panne ne la dérangerais plus.


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