TITRE : Pierre, ma soeur, Tom et moi
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze
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Bonjour, je me prénomme Marie-Jo et d'ici quelques mois j'aurai 40 ans.

J'ai divorcé il y a sept ans. Mariée jeune, tout s'était émoussé et les rancoeurs avaient remplacé l'amour. Quant au sexe que j'aime tant, il était oublié depuis trop longtemps.
Depuis mon divorce je revis. J'ai fait de nombreuses rencontres et vécu de nombreuses expériences. Je n'ai plus cherché à étouffer ma libido débridée. J'ai tout essayé ou ré-essayé: l'amour avec les femmes, l'amour en groupe, l'exhibitionnisme, toutes les positions les plus folles dans tous les endroits possibles, du confessionnal d'église à l'arrière-salle d'un grand restaurant. Et puis, un jour, invitée à une partie chez des amis, j'ai rencontré Pierre.
La première fois que nous nous sommes vus, on baisait sans même connaître nos prénoms. Je faisais l'amour avec deux couples quand un troisième homme nous a rejoint. Mon sexe était libre. Il a pris la place. Instantanément, j'ai ressenti quelque chose de différent: une sensualité dans la pénétration, une force aussi. Je me suis abandonnée à cet homme et j'ai joui sans retenue, intensément, comme cela ne m'était plus arrivé depuis des mois malgrè toutes les expériences. Puis je l'ai regardé: il était beau gosse, bien fait, cheveux grisonnant aux tempes mais quel charme ! Nous avons refait l'amour plusieurs fois sur la soirée. A tel point que l'amie qui m'avait invitée est venue me rappeler que la règle était de ne pas rester tout le temps avec le même partenaire.

Comme la soirée -il faudrait dire la nuit- touchait à sa fin, la plupart des invités étant déjà partis, nous avons refait l'amour. Il m'a entraînée sur la grande table du living et m'y a allongée, les jambes pendant d'un côté et la tête de l'autre. Il a commencé à butiner ma chatte mais très vite, il s'est mis debout et m'a pénétrée.
Rapidement, j'ai eu un premier orgasme. Mais il a continué à me limer. Je m'évanouissais de plaisir. Il a appelé mon amie pour qu'elle vienne m'offrir sa chatte. Elle ne s'est pas faite prier. Elle est montée sur la table, s'est accroupie au-dessus de ma bouche. Une main s'est emparée d'un sein et l'autre est descendue vers ma chatte. Elle me carressait le clito pendant que mon "beau gosse" (à ce moment, je ne savais pas encore qu'il s'appelait Pierre) me limait de plus en plus vite mais toujours avec une sensualité infinie. J'aurais voulu que cela dure indéfiniment mais je me suis retrouvée submergée par un second orgasme, plus fort encore, bientôt suivi par d'autres vagues de plaisir qui se succédaient comme les vagues d'un océan, la nouvelle venant avec force remplacer celle qui se meure. J'avais l'impression de flotter, puis de m'évanouir. Cela a duré plus d'une heure. Et mon amie et mon amant n'ont pas arrêté de me carresser, de me fouiller, de me limer. Plusieurs fois, j'ai senti sur ma langue les spasmes de mon amie jouissant. Et plusieurs fois aussi, j'ai senti au fond de ma chatte, les jets brûlants qui, s'il en était besoin, avivaient encore davantage mon excitation. Mais je n'en pouvais plus. Mes orgasmes s'espacaient, mon clito me faisait mal, mon ventre brûlait. Mon amie s'est allongée sur moi pour aller butiner la queue de mon amant. J'ai continué à la butiner jusqu'à ce qu'elle jouisse une fois de plus. Alors elle s'est retourné, m'a embrassé et nos bouches ont partagé le sperme encore chaud de notre amant.

J'étais en train de redescendre de mon nuage quand j'ai senti un chatouillement dans le creux de ma main. Mon amant tenait un stylo et écrivait. Quand il a laché ma main, j'ai regardé: il avait écrit son prénom -Pierre- et un numéro de téléphone.
Quand j'ai relevé la tête, il -Pierre- était parti.

Dès le lendemain soir, je l'ai appelé. Nous nous sommes immédiatement donné rendez-vous dans une brasserie des Champs-Elysées. Il est arrivé très élégamment vêtu et toujours le même charme fou ! On s'est fait la bise. On a mangé, parlé. Puis il m'a proposé d'aller terminer la soirée chez lui. Je savais ce qui allait se passer mais je n'imaginais pas à quel point cet homme allait me combler. Je l'ai suivie en voiture. J'avais la chatte en feu. Je mouillais au point de sentir ma cyprine couler sur les fesses. Nous avons rangé nos voitures dans un parking en sous-sol. Nous sommes dirigé l'un vers l'autre. Il m'a prise par la taille et nos bouches se sont trouvées. Il a glissé une main sous ma jupe, sur mes fesses. Il a cherché le string et ne l'a pas trouvé. Je sentais sa queue dure contre mon ventre. Je l'ai prise en main au travers du tissu mais il m'a dit "dans un moment". Nous nous sommes dirigés vers l'ascenseur. Dès la porte refermée, il m'a collée contre la paroi, a sorti son superbe sexe déjà tendu, a relevé ma jupe et s'est enfoncé en moi d'un seul coup. Il a soulevé mes fesses, j'ai passé mes jambes autour de sa taille. Il m'a limée sans ménagement mais il a joui rapidement, avant mon point de non retour. J'avais aimé cette façon sauvage de faire l'amour et même cette façon qu'il avait de prendre son plaisir sans trop se soucier de "venir" ensemble. Mais il vrai que je pressentais qu'il allait me consacrer toute la nuit, qu'il n'allait avoir d'autre occupation que de me faire jouir, jouir et encore jouir.
La réalité s'est avérée au-dessus de mes espoirs, de mes envies. Pierre m'a fait l'amour jusqu'à neuh heure trente du matin, sans arrêt. J'ai joui des dizaines de fois, dans toutes les positions, sur le divan, sur le tapis en laine, sur la table, sous la douche. J'ai eu sa queue dans ma chatte, dans mon cul, dans la bouche. Je crois que toutes les minutes mises bout à bout, je l'ai sucé pendant plus de trois heures.
Vers 11 heure, il m'a conduite au bureau et il est venu me rechercher le soir. Dans l'ascensur, cette fois, il m'a prise par derrière et je suis montée au septième ciel en même temps que nous franchissions les étages. Nous sommes ressorti avec l'intentioin d'aller chercher quelques effets chez moi. Chemin faisant, nous nous sommes arrêtés pour dîner. C'est en voyant le regard des serveurs que je me suis rappelée que je portais juste un t-shirt moulant et pas de soutien. Pierre m'a carressée sous la table. J'ai joui en regardant un serveur droit dans les yeux et en passant ma langue sur mes lèvres écarlates.

Pierre avait compris que j'aimais le sexe. Depuis le premier instant de notre rencontre, il s'est instauré entre nous une ferveur, un partage, une union, une communion. Du sexe, nous en parlons comme d'une activité ordinaire, de ce que je projette de faire, de ce qu'il souhaite me faire ou que je lui fasse. Pour moi, il invente des scenario: je dois me rendre au bureau nue sous un tailleur Chanel ; ou alors, nous allons au cinéma, je ne peux pas porter de culotte, je dois m'assoir derrière un couple, Pierre un peu à l'écart, je dois attirer l'attention de l'homme assis devant moi qui, quand il se retournera, jouira d'une vue imprenable sur mon minou tout épilé.

Bref, avec Pierre, je vis vraiment la Vie. Et nous sommes heureux ensemble. A tel point que nous évions décidé de nous marier en mai. Tous les préparatifs étaient en cours mais ...

L'an passé lors d'une discussion avec ma petite soeur, je suis de 16 ans son aînée, nous avons projeté de partir ensemble en vacances en Espagne. Bref nous avons tout organisé, pour passer une semaine à Benidorm une station balnéaire proche d'Alicante. Maman garderait mes enfants et nous partirions Pierre et moi, ma frangine Denise et son copain Tom. Denise a 22 ans et Tom 30 ans. Je me reconnais beaucoup dans ma petite soeur, nous avons le même physique, bien sur j'accuse quelques années et kilos en plus mais à 22 ans j'étais comme elle: mignonne comme tout avec de jolis seins bien plantés (ils retombent un tout petit peu depuis) et un super beau cul qui faisait se retourner tous les hommes. Mon mari au début en raffolait. Tom lui est un beau mec, cheveu ras, musclé, très musclé par des années de karaté (il est prof de karaté) et de gymnastique. Bref un beau spécimen, pas bavard mais sympa.
Nous voilà parti, pour ce temple des discothèques, ses plages et son soleil et c'est en plein mois de Juillet qu'on arrive à notre appartement. On s'installe c'est sympa, c'est un appartement face à la plage, 2 chambres une petite pièce à vivre, hyper bruyant mais bon. Nos vacances se passent à merveille, cela fait déjà trois jours que nous sommes là, à nous traîner de la plage à l'appart, à faire les boutiques, restos, et passer la nuit entière en discothèque. Denise et moi faisons du monokini et j'ai pu constater la belle poitrine qu'elle a, souple et maintenue; c'est vraiment une jolie fille. A la plage, elle ne porte que des strings mais pas n'importe quel string: juste une bande de tissu de cing centimètres de large par devant et une ficelle par derrière. C'est limite attentat à la pudeur. Mon Pierre ne se gêne pas pour la mater toute la journée. Quant à Tom c'est un régal, si son visage est plus ou moins ordinaire son corps est entièrement tapissé de muscles très fins qui jouent avec la lumière à chacun de ses mouvements. Il porte un minishort moulant; il a l'air d'avoir ce qu'il faut où il faut. Moi je ne me prive pas pour le détailler à mon tour. Bref ça sent la jeunesse et l'amour, la mer, le soleil. Les vacances sont super: dès qu'on peut se retrouver seuls, Pierre et moi ne nous privons pas de célébrer notre amour.

Ce jour là la fatigue se fait ressentir. Nous nous levons tard, je suis en t-shirt et petite culotte, Pierre en caleçon. Nous déjeunons, les jeunes dorment toujours. Denise arrive alors les cheveux ébouriffés, elle ne porte qu'un string, les seins à l'air, elle est splendide dans la pénombre des volets tirés. Le string sur une plage, c'est sexy ! Mais pour prendre le petit déjeûner avec sa soeur et son beau-frère, il me semble que ca dépasse la limite autorisée. Elle pousse même l'impudeur jusqu'à s'étirer comme une chatte. avec son corps tendu, son string apparaît encore plus mini. Ses seins sont tendus et les têtons sont beaux ! Je les vois qui effleure l'épaule de Pierre quand elle se penche lui faire la bise. J'imagine que le caleçon de Pierre s'agite tout seul.
- Tu n'irais pas t'habiller un peu ?
- Oh ça va ! On est en vacances non ? Vous me voyez toute la journée comme ça sur la plage! C'est moche ? Elle s'est approchée de moi pour me faire la bise; elle a poussé une main vers mon ventre et sans que je m'y attente, elle relève mon t-shirt, passe sa main sur mes seins, me fais la bise en pinçant un têton et se tournant vers Pierre:
- T'inquiète pas, ma soeur, tu as ce qu'il faut pour que ton Pierre ne regarde pas les autres nanas ! Hein, Pierre ?
- Heu ... quand on est belle comme vous deux, il n'y a pas de honte à le montrer, réponds mon Pierre tout jovial.
- toi, tu ne perds pas une occasion de te rincer l'oeil !
Et Tom ? Il dort ?
- Oh oui il dort ! Je suis toute excitée et ce gros fainéant il dort !
A peine parlait-on de lui que Tom fit irruption, juste vêtu d'un boxer blanc en lycra ou quelque chose comme ça. Son sexe se dessinait à travers le tissu moulant, pointé vers le haut. On en distinguait bien la forme à travers le tissu très fin, il bandait, on voyait bien la forme du gland. Son boxer blanc contrastait avec son bronzage. Ce type était vraiment exceptionnellement bâti. Cette vision fugace me fit oublier ma frangine, son string et Pierre qui bavait. Mes tétons durcirent un peu et je sentais des picotements dans ma culotte. Denise s'est levée pour lui faire un petit smack, Tom me tourne le dos, son boxer lui entre un peu dans la raie, et les petits plis de ses fesses apparaissent dénudés. Je sens à nouveau ma petite chatte me picoter. Quand il se s'assoit j'ai l'impression que sa bite a encore enflée. Ses yeux sont rivés sur mes têtons, cela m'excite et les rend encore plus tendus.

Nous avons déjeuné légèrement. Nous avions décidé de faire un break. Aujourd'hui, sitôt le petit dej fini, nous ferions la popotte pour manger tôt, puis sieste pour récupérer de nos nuits discos, puis plage, etc.
Le repas a été excellent, et bien arrosé. Il fait chaud, très chaud. Nous les filles nous avons déjeuné en maillot, seins nus, c'était très excitant. Quand le ventilateur poussait son souffle sur ma poitrine, je sentais mes seins durcir. Après le café nous décidons de faire une sieste pendant la grosse chaleur avant d'aller à la plage. Pierre et moi nous nous retirons dans notre chambre, je suppose que Tom et Denise en font autant. Pierre s'allonge dans le lit, je me fais toute chatte contre lui, et commence à le caresser dans le dos. Je lui retire son caleçon, et sa bite à moitié bandée surgit devant moi. Je m'approche et passe juste ma langue dessus, je le retourne sur le ventre et le caresse de la nuque aux fesses. Lentement, doucement. J'aime distribuer les caresses, souvent les femmes s'abandonnent. Chez moi c'est un peu le contraire. J'aime bien maîtriser et diriger l'amour. Pendant que je carresse, je pense bien sûr à mon Pierre qui me fait si bien l'amour, mais aussi à ma soeur que je trouve très belle et même excitante, à Tom, à son corps de grand adolescent mais qui dégage une impression de puissance mâle et ... à sa queue moulée par le coton et si désirable. Mon maillot est tout humide. J'ai envie de faire l'amour. J'en suis là de mes pensées, quand je perçois distinctement un petit ronflement. Pierre s'est endormi sous mes caresses, le vin et la chaleur ne font pas bon ménage, je le regarde attendrie, je l'aime. Je suis un peu déçue et décide de faire la sieste, ce n'est que partie remise.
Mais au bout d'une dizaine de minutes, il fait vraiment trop chaud. Je me lève pour aller boire ou prendre une douche et je referme la porte de chambre avec mon Pierre et ses doux rêves à l'intérieur. Alors que j'allais me servir un verre d'eau j'entends parler sur le balcon, les volets sont tirés. Je m'approche, Denise et Tom prennent le soleil, il se sont allongés sur des serviettes, ils sont nus. Il fait une chaleur écrasante. Tom est sur le ventre et Denise sur le dos. Elle a plié ses jambes et les écartent un peu et offre son minou tout rasé au soleil. Je vois bien ses lèvres un peu gonflées, elle fait petite fille. Je suis tout juste à un mètre d'eux, ils ne m'ont pas vue.
- Hum c'est bon, ça chauffe ... je suis toute excitée ... que c'est bon le soleil ! Tiens Tom, prends tes lunettes et mets toi comme moi, ça chauffe vraiment.
Tom a pris ses lunettes et s'est mis sur le dos. Ca devenait intéressant. Il s'est tourné et la, le choc. Lui aussi avait le sexe complètement rasé. Il n'avait pas un poil sur le pubis. Je ne saurais dire s'il était de bonne taille, il ne bandait pas. Ce sexe nu et mou, c'était à la fois excitant et ridicule. Il était circoncis. Denise prit la bouteille d'huile de coco. Et en fit couler un trait sur le torse de Tom. Elle entreprit de le huiler. En passant ses mains sur ses pectoraux et ses abdos. Tom mis les mains derrière la tête très relax et très mâle. Denise descendait de plus en plus bas. Le sexe de Tom gonflait légèrement et je le voyais par saccades se décoller de son ventre. Il soupira. Denise s'assit en tailleur. Je ne voyais pas sa chatte et je le regrettais. Je me demandais si je devais rester. Autant j'étais fasciné par la bite imberbe de Tom autant voir ma "petite" soeur dans des situations scabreuses me gênait un peu. Elle renversa encore de l'huile dans ses mains et attrapa la bite de Tom pour l'enduire. Elle la malaxait, en quelques secondes, sa bite gonfla. Elle était très longue et très épaisse. J'ai senti ma chatte s'innonder. Je sentais battre mon coeur près de mon clito. Je ne pouvais détacher mes yeux de cette bite. Elle semblait sortir de son corps, sa nudité totale, sans poil, décuplait encore l'impression de grosseur. Denise regardait maintenant la bite dressée de son Tom, sans la toucher. J'avais envie de la toucher à sa place, de la palper, de coulisser mes mains sur la hampe, de les enrouler autour de l'énorme gland et même de la sucer. Et cette petite soeur qui était là, juste à regarder cet objet de mon désir. Denise est resté comme celà, un long moment, puis elle lui a saisi les boules dans sa main. Elle les caressait doucement du bout des doigts. Elle les faisait rouler sous ses doigts, penchait la tête et regardait. Elle tirait sur la peau; c'était splendide, je voyais bien ses boules, sa queue noueuse qui prenait racine dans son ventre. Aucun poil disgracieux pour cacher ce spectacle. Sa queue avait encore grossi et de temps en temps elle battait toute seule. Ma chatte dégoulinait. Tom a soupiré :
- Hum c'est bon! occupe-toi de moi Denise, c'est bon tes caresses et le soleil!
- Laisse toi faire, laisse toi caresser, profite! Je vais te faire jouir, laisse toi aller. Tu bandes, je vais te sucer, te caresser, te faire gicler! Je vais jouer avec ta grosse queue.
Tout en disant cela, elle cercla sa bite de deux doigts et le masturba sur toute sa longueur. Au bout de quelques secondes
Tom dit :
- Arrête ... je veux que ça dure!
Des gouttes perlaient sur le bout de sa queue. Denise se pencha et passa sa langue dessus. Hum j'en pouvais plus. Je me suis caressée doucement. Ma chatte était trempée. Denise continua sa caresse. Elle suçotait "sa" queue de bas en haut, frottait son gland sur ses joues. Elle semblait vraiment bien jouer avec cette bite. Elle était toujours assise en tailleur, penchée sur la queue de son mec. Elle a appuyé ses mains sur les hanches de Tom et a gobé son gland. Il a gémi.Elle le suçait maintenant allant et venant sur sa bite, appuyée sur ses bras, faisant des bruits de succion, recrachant sa queue la regobant. Tom ne bougeait pas il ne la touchait pas il était tout à son propre plaisir. Je regardais Denise, elle avait l'air experte, elle soufflait, gémissait, elle avait des filets de salive aux lèvres quand elle recrachait cette bite. Je la trouvais dévergondée pour son âge; je ne savais pas ma petite soeur aussi salope. C'était une véritable colonne de chair qui sortait de son corps, j'étais fasciné de voir cette bite imberbe. Cela faisait bien dix minutes qu'elle s'activait, elle ne l'avait pas touché, juste sucé ou plutôt pompé. Elle a laissé sa bite et lui a roulé un patin d'enfer.
Ils se sont parlés à voix basse, des mots gentils sans doute. Je pensais enfin voir ma soeur se faire mettre mais elle s'est mise à quatre pattes entre les jambes de Tom. Elle a saisi sa queue du bout des doigts pour la maintenir sur le ventre de Tom et elle a commencé à lui laper les boules, la langue bien sortie, puis à lui sucer et à lui aspirer les boules. Elle les gardait longtemps dans sa bouche. De temps en temps elle lâchait sa bite et donnait de grand coup de langues dessus. La bite tressautait puis elle renfouissait son visage sur les boules de son apollon. Maintenant il y avait de gros bruits de succion.
Denise a relevé la tête, elle a attrapé les hanches de Tom et l'a fait pivoter. Il s'est retrouvé en quelques sorte sur le coté, une jambe pliée un peu comme en position de sécurité. Il se laissait faire comme une poupée de chiffon. Denise s'est agenouillée dans son dos a passé ses doigts dans sa raie.
- Hum ... où vas-tu coquine ?... a-t-il soupiré.
Elle n'a pas répondu. Elle lui a écarté les fesses et a penché son visage dans sa raie. C'était la vision la plus excitante que je n'avais jamais vue ! Elle lui bouffait carrément l'anus, elle le suçait et quand sa tête s'arrêtait de bouger, j'imaginais qu'elle dardait sa langue dans son petit trou. Elle descendait lui bouffer les couilles. Ma soeur, belle comme un coeur, sexy comme tout, si féminine, suçait l'anus de son mec ! Et Tom, un type on ne peut plus viril, genre macho, que toutes les filles mataient sur la plage, avait l'air d'adorer.Denise a relevé la tête et a continué de passer ses doigts dans sa raie. Elle a arrêté sa main. Tom a semblé se relâcher maintenant ce n'était plus équivoque vu la position de sa main Denise lui doigtait le cul.
- C'est bon ? Tu aimes ?
- Mmmmm a-t-il répondu.
- J'adore ! dit-elle.
Elle lui avait mit un doigt dans le cul et le branlait. Elle lui donnait de petites tapes sur les fesses. Tout en gardant son doigt au fond de lui, elle s'est déplacée entre ses jambes, a fait à passé sa jambe par-dessus sa tête. Tom s'est retrouvé sur le dos, elle agenouillée entre ses jambes qu'il avait pliées et bien écartées. Elle était agenouillée et fixait le trou de son mec et faisait aller et venir son doigt, le sortait, le remettait. Son expression sur son visage m'était inconnue. Attentive au moindre mouvement ou soupir de Tom, elle savourait elle aussi le plaisir qu'elle donnait. Je suis sure qu'elle était au bord de la jouissance. Je voyais ses muscles bouger, ses abdos jouer pendant qu'elle lui massait l'anus. Sa queue remontait haut sur son ventre et de lasalive coulait sur son nombril.
- Là c'est excellent, là c'est un délice... dit-il.
Elle continuait de le regarder. Penchait sa tête pour regarder son doigt agir.
- Encore, hum je sens mon petit cul palpiter! Mmmm, mets en un autre!
Elle a retiré sa main. Tout en le fixant dans les yeux, elle a sucé son doigt, il sortait de son cul et elle le suçait en sortant la langue. Elle a mis un peu d'huile sur ses doigts et est repartie entre ses fesses. Elle l'a pénétré doucement. Puis elle est restée peut être une minute au fond sans bouger juste en le regardant. Alors elle a commencé à lui masser l'anus, à aller et venir, cela a duré quelques minutes, Tom semblait ailleurs, en transe, il gémissait doucement, d'un coup il dit doucement. - Oui, comme ça, ça palpite, je jouis du cul! c'est bon, continue chérie. Oh oui tu me fouilles bien, continue, je jouis, baise-moi le cul. Ah salope! c'est une bite que t'aimerais avoir, Oh oui fouille-moi!
Tout en continuant à lui fouiller le cul elle s'est penchée, elle lui suçait l'anus, lui bouffait les couilles, elle lui bourrait le cul bien fort, elle bougeait la tête de manière désordonnée. Je suis sure qu'elle jouissait.
- Oh Denise, suce-moi, suce moi, je viens, je viens!
Tout en continuant de l'astiquer, elle a gobé sa queue. Quand ses lèvres ont cerclé sa queue, elle a gémit, elle a jouit.
- Doucement doucement, je viens, il a gémit, ses abdos se contractaient.
Il lui a giclé dans la bouche, elle le regardait, il se vidait en elle. Tout est redevenu très calme, doucement elle a retiré ses doigts elle a gardé sa queue dans la bouche, elle n'avait pas avalé et laissait le sperme couler jusque sur son ventre. Tom a débandé, elle a laissé sa verge molle pleine de sperme couler de sa bouche. Elle s'est redressée.
- Hum c'était délicieux! Elle parlait comme si elle avait dégusté un bon plat. Tu as aimé ?
- Oh oui, c'était très bon, très doux; je t'aime!
- Et toi, tu as aimé ? J'ai mis quelques secondes avant de réaliser que c'était à moi qu'elle parlait. Viens !
J'étais paniquée, rouge et honteuse. J'avais la chatte inondée. Cela faisait maintenant plus d'une demi-heure que je les observais et je m'étais branlée comme une collégienne. Tom a tourné la tête.
- Oh, Marie-Jo, tu nous regardais ? Viens !
J'ai passé les volets et je suis allée sur le balcon. Le soleil était très fort. Je me suis assise près de Denise sans rien dire. Elle me séparait de Tom.
- Alors ça t'a plu ? Tu savais pas que ta petite soeur baisait avec son mec ?
- Si, je m'en doutais...
- Oui mais tu ne m'imaginais pas comme ça?
- Effectivement ça fait un choc mais c'était beau à voir. .
Je ne pouvais détacher mon regard de la bite de Tom. Elle reposait sur le coté, contente d'avoir joui. Son sexe, ses boules brillaient de l'huile et du sperme qui avait coulé dessus. Il y avait une petite flaque de sperme sur son ventre.
- Elle te plait sa bite ?
- C'est beau comme ça, sans poil
- Ouai ! C'est doux ! touche là tu vas voir!
Je la regardais, choquée
- Touche ! et alors ? T'es ma soeur et c'est qu'une queue ! et je suis d'accord pour la partager.
J'ai tendu le bras et j'ai attrapé la queue de Tom. C'était tout doux. Vraiment une sensation nouvelle. Elle était molle. Je prenais la queue, la retournais, l'observais. On voyait ses moindres détails. Elle n'était pas flasque mais lourde et souple d'avoir joui. Elle était visqueuse de sperme et d'huile. J'étais fasciné par sa nudité. On voyait bien l'endroit où elle est attachée au corps. J'ai tiré dessus, je voyais la racine s'étirer.
- Hum c'est bon! dit Tom. Denise, dit à Marie-Jo qu'elle peut me sucer si elle veut! Elle a l'air d'aimer ma bite!
Elle n'a pas eu besoin de me le dire, je me suis penché pour prendre le gland entre les lèvres.
Sa bite avait le goût du sperme. Elle était un peu molle. Je sentais Denise et Tom qui m'observaient. J'étais fascinée par la racine. Je tirais sur sa queue, pour lui mordiller la racine. J'étais comme une fille qui découvre un nouveau jouet. J'ai posé mes lèvres sur son ventre pour boire les gouttes de sperme. Puis j'ai mordillé la hampe tout en enroulant une main autour du gland. Sa queue recommençait à gonfler. Je l'ai prise en bouche. Elle était sacrément grosse bien que pas entièrement bandée. Quand je relâchais mes lèvres, elle retombait sur son ventre. A un moment, je l'ai prise en bouche et doucement, je l'ai avalée entièrement, j'avais le nez dans le sperme de sa première éjaculation. J'avais du mal à respirer avec cette belle queue dans la bouche, doucement j'ai tendu les lèvres, jusqu'à sentir la racine de sa bite, la jonction de son corps et de son sexe sous mes lèvres, ce corps nu et lisse. Ils faisaient des commentaires sur moi mais je n'entendais pas, mon bassin s'est agité, j'ai senti mon vagin se contracter, j'ai joui dans mon maillot de bain. J'aurais voulu qu'il me la mette en levrette. Je suis restée tout en haut de mon plaisir, aux frontières de l'orgasme, je vibrais littéralement à l'intérieur. J'ai recraché sa queue et j'ai lapé son ventre plein de sperme, j'ai sucé, nettoyé ses boules, je les ai aspirées, avalées. C'était doux, un toucher nouveau, je découvrais des sensations nouvelles comme adolescente en touchant ma première queue. Je m'appliquais, sa queue redevenait bien dure.
- Elle suce bien la frangine!
- Elle suce pas elle te la bouffe ta queue, je crois qu'elle est encore plus salope que moi. C'est bon chéri ? Peut être qu'elle va te mettre un doigt! Oh tu suces mon mec. T'aimes bouffer sa queue. Elle est douce! mange lui aussi les couilles!
J'avais sa queue qui coulissait dans ma bouche, je bavais dessus, Denise s'est penché sous moi et a gobé ses couilles, elles les lui léchait jusqu'à l'anus et remontait sur sa queue. Nos lèvres se sont effleurées, mes seins effleuraient son épaule, mes tétons me lançaient. J'avais les yeux écarquillés, une bonne bite dans la bouche et ma soeur à quelques centimètres qui m'aidait à lui faire gicler son jus.
- oh les salopes, vous êtes deux petites salopes. Marie-Jo, je vais te gicler dans la bouche. T'aimes ça, te faire arroser!
Oh je viens ! Ahhhhhhhhhhhhh
J'ai senti sa queue s'agiter toute seule, je l'ai gardée en bouche, Denise lui pressait les boules, le temps s'est suspendu, deux, trois secondes, je suis restée sans bouger à attendre que ça gicle, que ça m'inonde la gorge, que ça m'explose à la figure. J'avais sa queue en bouche, posée sur ma langue, je l'ai sentie gonfler sous ma langue pour laisser passer son sperme et elle a giclé fort au fond de ma gorge, une fois, deux fois, trois fois ... j'ai arrêté de compter ... un nombre énorme de jets puissants, chauds, sucrés. Dans ma culotte ça giclait aussi, j'ai joui une nouvelle fois, j'ai gémi sur sa bite comme un animal. J'ai failli m'étouffer, j'avais la bouche pleine de sperme, les lèvres serrées sur sa queue, je respirais difficilement avec le nez. Je suis restée comme ça une vingtaine de secondes à redescendre sur terre, puis j'ai senti sa bite dégonfler un peu. Je l'ai maintenue contre mon palais avec ma langue pendant que je déglutissais. J'ai pressé le gland avec ma langue pour sortir les quelques gouttes. J'ai sucé, sucé, comme un bébé suce une tétine. Ce n'est pas Tom que j'aimais, c'était sa bite.
Je sentais Tom partir, alangui, il s'endormait. Sa queue était maintenant toute molle dans ma bouche, je jouais à l'agacer avec ma langue. Je l'ai recrachée. J'ai encore donné des coups de langue sur son pubis tout lisse; c'était délicieux. Sans un mot je me suis levée, je suis allée prendre une douche.
Pendant la douche, j'ai pensé à Pierre qui dormait et j'ai imaginé ce que serait la suite de l'histoire, avec mon Pierre qui me baise comme un dieu, Tom qui me fait jouir sans même me toucher et ma petite soeur qui, je n'ose le lui dire, m'excite à un point tel que je me masturbe en pensant à elle, à son corps sublime, à ses seins arrogants. Il faut que je me calme !

Auteur

Remarques : Cette "histoire" est le récit de deux aventures vécues à un an d'intervalle. Je pense qu'il n'est plus nécessaire de préciser que je suis libertine et qu'à l'exception de scato et SM hard, je n'ai pas de tabou. J'aime toutes les situations insolites et je préfère passer un moment érotique dans un cadre comfortable et luxueux que de ma faire trousser en vitesse dans un lieu banal.

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