Je m'appelle Emma, j'ai trente deux ans, et, d'après mes amis, je suis
assez belle. Je suis célibataire, ce qui ne m'empêche pas d'aimer le
sexe. Mes partenaires, hommes ou femmes, peuvent en témoigner. Je suis
toujours habillée très sexy, sauf au travail où je porte un tailleur assez
strict.
Je suis juge au palais de justice dans un département du sud de la France.
Aujourd'hui, la journée a été très chargée. Un tas de dossier à traiter,
dont un qui revient souvent sur la table.
C'est un jeune délinquant qui sème la terreur parmi le voisinage avec son
chien, un énorme berger allemand. Le gamin doit avoir dix huit ans, très
beau, mais en manque d'affection.
- Alors jeune homme, lui dis-je, encore vous. C'est plus que de la
récidive. Je dois sévir. Vous avez quarante-huit heures pour vous
débarrasser de votre chien.
Le jeune homme, prénommé Boris, quitte le tribunal, le regard menaçant.
Il est dix-huit heures quand je quitte le palais de justice.
Le ciel se charge de gros nuages, ça sent l'orage. Ils sont très violents
dans cette région. Je démarre et décide de prendre la départementale pour
dire bonjour à mes parents.
Maintenant, c'est le déluge. La chaussée est inondée. Subitement, ma voiture cale.
"Oh mon dieu, dis-je, dans ce coin isolé, qui va me venir en aide." À
travers la pluie battante, je distingue des phares qui s'approchent. Je
sors de ma voiture et fais des grands signes pour intercepter le
véhicule. C'est un gros 4x4. Il s'arrête, un homme sort, vêtu d'un
kaway qui lui couvre une partie du visage.
-Un problème ? demande-t-il.
- J'ai calé, que je réponds, elle veut plus démarrer. Mes parents habitent
tout près, si vous pouviez me déposer.
-D'accord, passez à l'arrière.
À peine montée, deux bras me saisissent par la taille, et me plaquent sur le
siège. Je tourne la tête, et remarque un énorme berger allemand à la place du
passager. Le chauffeur se retourne, c'est Boris, le jeune délinquant. Je
croise le visage de celui qui me maintient de force sur le siège.
- Pat, mais qu'est-ce-que tu fais, lâche moi, voyou. Tu vas voir quand je
vais croiser tes parents.
Il arrache littéralement mes vêtements. En deux minutes, je me retrouve
entièrement nue.
-Putain, la juge, s'extasie Pat, comme elle est gaulée. Je sens qu'on va
bien s'amuser.
Je me débats de toutes mes forces, mais je fais pas le poids à côté
d'eux. Et ce chien qui tire la langue en me fixant d'un regard froid.
Pat me fait pivoter, de façon que mon sexe soit entre les deux fauteuils
de devant.
-J'ai décidé d'offrir un extra à mon chien avant de m'en débarrasser.
Vas-y Rex.
-Mais vous êtes fous, hurlai-je, arrêtez tout ça, ça va vous coutez
cher.
Mais le museau du chien est déjà contre ma fente. Sa truffe, humide frotte
contre mon clitoris. Puis, c'est sa langue qui rentre en action.
- Arrêtez-le, c'est sale. Je vous en supplie, retirez votre chien.
Mais la langue, râpeuse, continue son léchage. Elle écarte mes lèvres, et
pénètre au plus profond de moi même. Je ferme les yeux. Je ne reste pas insensible aux caresses de cette
langue. Je me cambre légèrement en avant. Pat, derrière moi, a saisi mes seins.
-Ouah, comme ils ont devenus durs. Et les bouts, ils ont doublé de volume.
-Tais toi salaud, lui dis-je, tu ne vois pas que je me régale.
Ma chatte est toute mouillée. Que c'est bon, putain. Il ne peut pas
rentrer son museau.
Je tire le chien par ses oreilles pour le maintenir contre moi.
-Vas-y salaud, bouffe moi la chatte sale mâle.
Boris caresse le sexe de Rex. Il se gare dans un sous bois.
-Tu es prêt mon chien, tu vas niquer une juge, pendant qu'elle me
taillera une pipe.
-Vous allez me faire prendre par le chien ? Pat, s'il te plait, pour tes
parents, raisonne ton copain, je verrai ce que je peux faire pour qu'il
garde son animal.
-Vous allez voir, vous allez vous régaler.
Pat me fait changer de position. Je suis à genoux, mon visage appuyé
contre la vitre. Seule, la pluie qui ruisselle rompt le silence. Puis, je
sens une masse poilue me grimper sur le dos, des pattes qui me griffent
les flancs. Mais surtout, je sens une queue dure comme du béton à
l'entrée de ma fente.
-Noonnn, criai-je, haa..haaa, pas ça.
Je suis en larmes. Le molosse entame ses va-et-vient. Sa queue tape au
fond de mon vagin. Petit à petit, la douleur s'estompe pour laisser la
place à une sensation de plaisir.
Je sens le désir monter en moi. Boris me tourne le tête, et pose sa queue en érection contre mes lèvres.
-Alors, cette pipe, tu me la fait, sale pute.
Sans réfléchir, j'ouvre la bouche et l'avale. Le chien accentue ses
coups de reins, je sens la bave couler sur mon dos, puis un liquide
brulant qui se mélange avec ma mouille. Il se retire aussitôt en couinant.
En même temps, Boris vide sa semence au fond de ma gorge en poussant des
grands "han" de bucherons. Moi, mon orgasme est terrible.
J'éclabousse le 4x4 de ma cyprine. Je suis épuisée. Je prends la tête du berger allemand, et la tire entre mes jambes.
-Nettoie ma petite chatte, lui dis-je. Tu vois comme une femme, même une
juge, peut être une pute.
Comme s'il avait compris, Rex pousse un petit aboiement.
-Boris, j'ai un grand parc chez moi, je peux prendre Rex si tu veux. Il
sera pas malheureux avec moi. Tu pourras venir le voir quand tu veux. Toi
aussi Pat. On va bien s'amuser tous les quatre.
Le cochon
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