TITRE : Photos de vacances avec ma tante
Catégorie : Histoire Extra conjugale

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Je vais vous raconter une histoire que j'ai vécue à l'été 2007. Mais avant, je dois commencer par vous décrire rapidement les circonstances familiales sans lesquelles cela ne serait jamais arrivé.

Tout d'abord, je m'appelle éric, j'ai aujourd'hui 34 ans. Je suis issu d'une famille "nombreuse", avec beaucoup d'oncles, tantes, cousin(e)s. Depuis tout petit, ma famille a l'habitude de passer les vacances d'été au même endroit, dans le sud de la France au bord de la Méditerranée. Au fur et à mesure des années, plusieurs personnes (dont mes parents) ont acheté des petits pieds-à-terre dans la même résidence d'été où nous avons pris nos habitudes. Mais avant cela, nous avions moins de place, et même si nous n'y allions jamais tous en même temps, il nous arrivait d'être assez nombreux dans 2 habitations, dans lesquelles la promiscuité était de mise : nous partagions 2 salles de bains et dormions à plusieurs par chambre. Si bien que l'ensemble de la famille a pris l'habitude de ne pas être pudique ; par exemple, tout le monde se changeait devant n'importe qui, les salles de bains restaient toujours ouvertes pendant leur utilisation, etc. Dans ce contexte, je me suis très tôt mis à fantasmer sur une de mes tantes, Mireille, une sour de ma mère qui a tout de même 23 ans de plus que moi, mais qui est toujours restée célibataire. Adolescent, je passais mes vacances à surveiller les moments où je pourrais la voir à poil ; ce qui était extrêmement fréquent, pour mon plus grand plaisir. Ceci a duré plusieurs années, jusqu'à ce que je rencontre une fille, avec laquelle je me suis installé. Pendant plusieurs années, j'ai passé mes vacances ailleurs, avec ma copine. Je revoyais donc Mireille beaucoup moins souvent, mais à chaque fois j'avais quand même un petit frisson et, malgré son âge, je continuais à avoir envie d'elle.

En 2006 je me suis séparé de ma petite amie. J'ai donc décidé de passer l'été suivant dans la résidence où ma famille avait ses habitudes. Peu de temps avant, j'ai trouvé un prétexte pour appeler ma tante Mireille et je lui ai dit que je comptais passer mes vacances là bas.

- Super. M'a-t-elle répondu. Ça me fait plaisir de te revoir parmi nous. Tu arrives quand ?

- Le 4 août. J'irai chez mes parents qui arriveront la semaine d'après.

- J'y serai déjà. Tu viendras me dire bonjour quand tu arrives, j'espère ?

- Bien sûr. Je devrais arriver vers 19h. Tu seras à la plage ?

- A 19h, je serai peut-être rentrée.

- OK. Je viendrai voir chez toi, alors.

Mireille s'était également acheté une minuscule maison de vacances (un petit studio de plain-pied) dans la résidence quelques années auparavant, et j'étais certain qu'en rentrant de la plage elle serait seule chez elle pour prendre sa douche. Je comptais bien venir la saluer à ce moment là, en espérant évidemment avoir l'occasion de l'admirer à poil, après des années à ne la voir ainsi que dans mes souvenirs (et les quelques montages photos que j'ai réalisés pour alimenter mon fantasme).

Le jour venu, je suis donc arrivé dans la maison de mes parents sur place (avant 19 heures, pour ne pas rater le spectacle que j'attendais), puis je me suis planqué non loin de chez elle afin de surveiller sa venue. Elle a fini par arriver et, en la voyant, j'ai immédiatement retrouvé mes pensées obscènes d'adolescent malgré ses 55 ans. J'ai patienté quelques minutes, puis je me suis approché de la lucarne de la salle de bains afin d'écouter le bruit de la douche. Quand j'ai entendu le bruit de l'eau qui coule, j'ai sonné à sa porte. L'eau s'est arrêtée, et j'ai immédiatement crié :

- Mireille, c'est moi, éric.

- Entre, c'est ouvert.

Je suis rentré, puis elle a dit :

- Je suis sous la douche, je n'en ai pas pour longtemps.

Je me suis installé et j'ai attendu peu de temps avant que la porte de ne s'ouvre. Mireille est apparue toute mouillée, mais entourée d'une serviette, pour me dire bonjour. Sur le coup, j'étais un peu déçu mais cela n'a pas duré longtemps : elle est rapidement rentrée dans la salle de bains en laissant la porte grande ouverte, puis elle a retiré la serviette afin de s'en servir pour se sécher. Je me suis approché tout en discutant de choses banales : mon voyage, le temps à Paris, etc. J'avais du mal à quitter ma tante des yeux, mais j'essayais de ne pas trop le montrer. Afin d'être encore plus près d'elle, j'ai demandé l'air de rien :

- Je peux me laver les mains ?

- Bien sûr, entre !

Je suis donc rentré dans sa petite salle de bains pour aller vers le lavabo, et je continuais à l'observer dans le miroir pendant qu'elle se séchait, en levant les jambes pour s'éponger les pieds. Ça faisait plus de 15 ans (avec un trou de quelques années) que je me régalais à chaque fois de ce spectacle, et j'étais toujours aussi excité. Mais comme je craignais tout de même qu'elle ne se rende compte que je la matais avec beaucoup d'insistance, j'ai préféré prendre les devants et "assumer" en faisant semblant de plaisanter. J'ai dit :

- Si j'avais su que tu recevais dans cette tenue, j'aurais pris mon appareil photo !

- Ha ! Ha ! Tu le sauras pour la prochaine fois ! Ha ! Ha !

Elle a dit ça en rigolant, mais je comptais bien ne pas en rester là. J'ai donc saisi la perche :

- Justement, je comptais revenir ici demain soir à la même heure !

- Ha ! Ha ! Ah oui ? Pour quoi faire ?

- Des photos de vacances : Mireille sous la douche, Mireille qui se sèche, Mireille qui s'habille. Des souvenirs pour les longues soirées d'hiver.

- Ha ! Ha !

Nous rigolions, mais j'en profitais pour la mater sans scrupule en mimant le cadrage d'un appareil photo, et en faisant passer ça pour de la plaisanterie. Mireille a répondu :

- Tu ferais mieux de photographier les paysages, ils sont sûrement plus beaux à regarder.

- Mais non, mais non. Et puis les paysages du coin, ça fait 15 ans que je les ai en photos sous tous les angles, ils n'ont pas beaucoup changé. Alors maintenant, Mireille qui sort de la douche c'est au moins aussi intéressant qu'un énième coucher de soleil !

Je continuais toujours la discussion sur un ton de plaisanterie, évidemment. Et Mireille rentrait dans mon jeu en rigolant. Elle a continué :

- Tu aurais du faire l'inverse, alors : parce que Mireille toute nue, c'était sûrement plus joli il y a 15 ans.

- Et tu m'aurais laissé prendre des photos de toi toute nue, il y a 15 ans ?

- Si ça pouvais te faire plaisir, bien sûr ! Mais à condition que tu acceptes que je prenne aussi des photos de toi tout nu !

Elle continuait, à dire tout ça en rigolant mais j'espérais que, comme moi, elle pensait vraiment ce qu'elle disait ! Je n'ai naturellement pas lâché prise, et j'ai enchaîné :

- Merde, alors ! Si j'avais su, j'aurais raté ça pour rien au monde ! Et évidemment, pour avoir droit à ça, j'aurais accepté de poser pour toi autant que tu veux !

- Ah ben comme toi : merde, alors ! Si j'avais su, j'aurais pas manqué ça non plus !

- De toute façon c'est pas grave, puisque t'es d'accord pour que je repasse demain soir avec mon appareil photo, on se rattrapera !

- Ah bon, je suis d'accord ?

- Oui, bien sûr, t'es d'accord ! Et puisque tu insistes, pour te faire plaisir, moi aussi je suis d'accord !

- Bon ben, puisque t'es d'accord.

J'étais prêt à lui proposer de faire ça tout de suite mais comme ça n'était encore qu'une plaisanterie, je ne voulais pas prendre le risque de la choquer en révélant que je fantasmais vraiment sur elle.

Le soir, nous avons mangé ensemble avec une partie de la famille qui était également sur place, puis nous nous sommes revus le lendemain dans la journée. Je n'ai pas voulu être trop lourd en insistant, mais j'ai tout de même fait une allusion le lendemain. Alors que je prenais des photos de mes petits cousins sur la plage, je me suis approché de Mireille en disant :

- Il faut que je fasse attention à garder suffisamment de batterie pour ce soir, sinon on serait obligés de tout annuler : ça serait dommage !

Ce à quoi elle a répondu en souriant :

- En effet, ça serait dommage !

- D'ailleurs, je vois que tu as laissé ton appareil photo chez toi, pour être sûre de ne pas vider les piles.

- Tout à fait. Tu vois, je suis prévoyante.

J'étais à présent presque sûr que la farce allait pouvoir se concrétiser. Elle me semblait avoir trop duré pour que ma tante arrête brusquement.

Le soir venu, comme la veille, j'ai surveillé le retour de ma tante chez elle et j'ai attendu quelques minutes qu'elle aille prendre sa douche. Cette fois, je suis rentré sans sonner (je savais qu'elle laissait sa porte ouverte) et j'ai cogné à la porte de la salle de bain en disant avec assurance :

- C'est moi ! J'ai amené mon appareil photo !

J'ai entendu l'eau arrêter de couler, puis Mireille a répondu sur un ton ironique :

- Ah bon ? Mais je suis encore sous la douche !

étant donné le ton sur lequel elle le disait, j'ai pris ça comme un encouragement. Elle n'osait juste pas dire clairement : « Entre, viens me prendre en photo à poil ! »

Je suis donc rentré, l'appareil photo à la main, en disant :

- Ça tombe bien, c'est justement le point de vue que je cherchais !

Je devinais le corps nu de Mireille à travers le verre fumé de la cabine de douche. Elle a entrouvert la porte pour passer la tête et, après une hésitation, elle a demandé :

- Si tu prends des photos, tu promets de les garder pour toi ?

- Bien sûr ! Et puisque toi aussi tu en auras de moi, on sera donc obligés de se faire confiance mutuellement !

- D'accord.

Elle a alors ouvert complètement la porte de la douche, et a continué à se savonner en essayant de rester naturelle, comme si je n'étais pas là. Pendant ce temps, je la prenais en photo en essayant de ne pas en perdre une miette. J'avais prévu une énorme carte mémoire vide et une batterie pleine afin de ne pas être pris au dépourvu ! Après quelques minutes elle s'est rincée, d'abord dos à moi, puis elle s'est retournée face à moi pour terminer. Elle est ensuite sortie de la douche pour s'entourer d'une serviette et elle a demandé :

- Ça a été ? Pas trop déçu par le spectacle ?

- Non. Bien sûr que non. Si j'avais été déçu par le spectacle d'hier, je ne serai pas revenu aujourd'hui !

- Je te remercie. Mais maintenant, c'est à moi de prendre des photos !

- C'est déjà fini ? J'ai encore plein de place avant que la mémoire soit pleine !

- On verra tout à l'heure. En attendant, on inverse les rôles.

Mireille est alors sortie de la salle de bains pour aller chercher son appareil. Pendant ce temps, je me suis déshabillé (je n'avais qu'un short de bain et un T-shirt) et je suis rentré dans la cabine, quand ma tante est revenue avec son compact numérique quasiment neuf. Comme elle, j'ai donc pris ma douche en faisant comme si de rien n'était. J'étais assez excité par la situation mais je n'avais pas d'érection trop prononcée. Quand j'ai eu terminé, je suis sorti et j'ai également pris une serviette pour la nouer autour de ma taille. J'ai alors posé la même question que Mireille :

- Alors ? Pas trop déçue par le spectacle ?

- Pas du tout ! à mon avis, je suis même gagnante dans l'affaire !

- Ah oui ? Alors il va falloir que je prenne d'autres photos de toi pour compenser.

- Si ça peut te faire plaisir !

- Mais ça peut me faire plaisir, en effet ! Alors : après "Mireille sous la douche", "Mireille qui se sèche" !

J'ai donc récupéré mon appareil photo, tandis que ma tante retirait la serviette qu'elle portait. L'air de rien j'en ai fait autant, et j'ai recommencé à prendre des photos d'elle à poil en train de se sécher. Quand elle a levé une jambe pour se sécher le pied, j'ai baissé mon appareil pour prendre plusieurs clichés en contre-plongée. Elle me laissait faire en prenant son temps. Puis elle a écarté les jambes pour passer la serviette afin de s'essuyer le pubis. J'ai alors dit :

- Il y a des jours où on aimerait être une serviette !

- Pourquoi, tu voudrais me sécher maintenant ?

C'était une question qui n'était en rien une proposition, mais j'ai quand même voulu saisir la perche en assumant une mauvaise foi évidente :

- Puisque tu me le proposes si gentiment, c'est avec plaisir !

J'ai attrapé sa serviette, qu'elle m'a laissée sans rien dire, et je m'en suis servi pour lui essuyer la chatte. Elle s'est laissée faire en écartant les jambes pour me faciliter le travail. J'étais à présent vraiment excité, et mon érection ne faisait plus de doute. J'ai quand même continué comme si de rien n'était, en insistant évidemment sur son sexe et ses seins. Puis je me suis interrompu en disant :

- Attends, il faut que j'immortalise ça !. Je vais mettre le retardateur.

J'ai été poser l'appareil et je l'ai mis en route, puis je suis revenu vers ma tante avec la serviette pour lui essuyer à nouveau l'entrejambe jusqu'à ce que la photo soit prise. Mireille a alors dit :

- Je veux faire la même, mais c'est moi qui t'essuie !

- Avec plaisir.

Finalement, c'est moi qui lui ai programmé son retardateur, dont elle ne connaissait pas le fonctionnement, puis je suis vite revenu me placer à côté d'elle, face caméra, en écartant les jambes. Mireille m'a alors surpris en se mettant immédiatement à genou à côté de moi pour m'essuyer l'entrejambe en fixant ma bite en érection jusqu'à ce que la photo soit prise. Une fois fait, elle s'est relevée en disant :

- Je confirme ce que je disais : je crois que je suis gagnante dans l'affaire.

- Ah oui ? Bien ! J'ai quelques idées de photos qui devraient me rendre l'avantage. Viens dans le salon.

Je suis sorti de la salle de bain, et Mireille m'a suivi. Je l'ai faite asseoir sur le canapé et j'ai placé l'appareil photo sur le côté afin de l'avoir de profil. J'ai programmé le retardateur et je me suis dirigé face à elle puis je me suis mis à genou, toujours avec la serviette que j'ai glissée vers sa chatte pour l'obliger à écarter les jambes. J'ai pu profiter un instant de la vue de sa vulve écartée face à moi avant que la serviette ne vienne la cacher. Je me suis approché jusqu'à ce que la photo soit prise, et j'ai rapidement retiré la serviette. Tout en lui maintenant les jambes écartées, j'ai fixé la chatte de ma tante bien ouverte devant moi, et j'ai dit :

- Et moi je confirme que je suis de plus en plus satisfait du spectacle. Et je suis sûr d'avoir repris l'avantage dans l'affaire !

- Ah oui ? Mais il n'y a pas de raison que ça ne soit pas équitable ! à moi, maintenant !

Elle s'est levée, a posé son appareil photo de ¾ face au canapé et a mis en route le retardateur. Pendant ce temps, j'ai pris l'initiative de m'asseoir et elle est venue me rejoindre. A son tour, elle m'a écarté les jambes puis est venue se placer à quelques centimètres de ma queue. Cette fois, elle n'a pas utilisé de serviette et est juste restée dans cette position à reluquer ma bite, en faisant attention à ce que sa tête ne la cache pas pour la photo. De mon côté, j'ai fixé l'objectif en arborant un grand sourire de satisfaction. Une fois la photo prise, je comptais bien ne pas en rester là et avoir également une photo d'elle de face, les jambes écartées. J'ai immédiatement dit :

- Remets-toi sur le canapé, je veux la même photo !

Mireille s'est alors assise sur le canapé, tandis que je plaçais mon appareil à côté du sien. Elle a commencé à écarter les jambes légèrement et me regardait en souriant. J'ai appuyé sur le déclencheur et suis venu me placer à la même place qu'elle auparavant, en lui écartant les jambes au maximum afin d'être sûr d'avoir une belle photo de sa chatte. Une fois la photo prise, j'ai immédiatement pris les devants afin qu'elle garde la pose. Toute en me levant pour aller chercher l'appareil, J'ai dit :

- Tu ne bouges pas ? J'ai bien envie de profiter de cette pose !

- Je ne bouge pas.

J'ai donc attrapé mon appareil et je me suis mis à genou devant elle pour la prendre en photo de face, les jambes écartées. J'ai pris plusieurs clichés tandis que Mireille variait les expressions de visage tout en gardant la même pose. J'étais en train de reproduire "en vrai" ce que j'avais fabriqué sous Photoshop quelque temps auparavant.

Une fois quelques photos prises, je me suis approché d'elle, toujours à genou, jusqu'à ce que ma bite soit à quelques centimètres de sa chatte. J'ai dirigé l'objectif vers nos sexes et j'ai déclenché. Comme Mireille me laissait faire, je me suis approché encore un peu et j'ai rappuyé sur le déclencheur.

Mireille ne bougeait pas. J'ai donc supposé que je pouvais aller plus loin. J'ai continué doucement mon avancée jusqu'à ce que mon gland soit en contact avec sa vulve. Je me suis arrêté pour reprendre une photo, puis j'ai enfoncé ma bite dans sa chatte toute mouillée et j'en ai refait une. Mireille m'a interrompu en disant :

- On ferait mieux de fermer la porte d'entrée à clef !

En effet, le reste de la famille étant à côté, n'importe qui pourrait venir et entrer sans frapper, comme c'est l'usage depuis des années chez nous tous. Je me suis donc levé, j'ai été fermer et je suis revenu vers le canapé en posant au passage mon appareil photo.

Mireille était toujours assise les jambes écartées et elle me regardait. Je me suis mis à genoux entre ses jambes et je me suis penché vers sa vulve pour l'embrasser, avant d'y mettre la langue pour la lécher, puis j'ai titillé son clito que j'ai sucé en enfonçant un doigt dans son vagin. Pendant que je bouffais la cramouille de ma tante, elle me caressait la tête en gémissant. Après un bon moment, alors qu'elle me maintenait la tête entre ses jambes pour m'inciter à ne pas m'arrêter, j'ai senti en elle des contractions qui annonçaient qu'elle allait jouir. Elle a poussé des petits cris d'extase avant de m'inciter à arrêter. Je bandais plus que jamais, alors je me suis levé en la couchant sur son canapé, pour venir me placer sur elle. J'ai entré ma bite dans sa chatte tout en lui pelotant les seins et lui suçant les tétons. J'ai défoncé Mireille pendant de longues minutes, avant le la retourner pour la prendre en levrette. Puis j'ai sorti ma queue pour poser mon gland à l'entrée de son anus. Comme elle me laissait faire, je l'ai sodomisée ; et vu l'absence de difficulté que j'ai eue à le faire, je crois bien que ce n'était pas la première fois qu'elle se faisait enculer. J'ai donc continué jusqu'à ce que j'éjacule dans son cul.

A la suite de cette bonne partie de baise, nous sommes retournés à la salle de bains pour nous doucher ensemble. Après quelques minutes à nous caresser mutuellement sous l'eau fraîche, Mireille m'a branlé doucement pour me faire bander, puis elle s'est mise à genoux pour gober ma bite et la sucer avec gourmandise. Elle a accéléré la cadence jusqu'à ce que je jouisse dans sa bouche, pour finalement avaler tout le sperme chaud qui dégoulinait et qu'elle continuait de lécher jusqu'à la dernière goutte.

Pendant toutes les vacances, nous avons baisé presque tous les soirs, après que la plupart des membres de la famille soient tous rentrés chez eux.

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