TITRE : Philippe
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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En nous promenant ma femme et moi dans les rues commerçantes de la ville un samedi aprés midi, nous avons rencontré un garçon que ma femme connaissait, un certain Philippe. Je ne savais rien de lui mis à part qu'il était sorti avec ma femme, dix ans auparavant, alors que nous n'étions pas encore mariés, c'était un ex.

Nous avons, ou plus exactement ils ont, bavardé pendant quelques minutes tout à la joie de se retrouver de façon aussi inopinée, puisque Philippe ne faisait que passer trois jours dans notre ville pour les besoins de son travail. Nous avons convenu qu'il viendrait le soir même à la maison prendre un apéritif.

Bien que rapide cet entretien m'avait permis de remarquer que les deux ex se touchaient beaucoup. Je ne dis pas beaucoup trop, mais simplement beaucoup. Les mains de Michèle étaient tout le temps posées sur les épaules ou les bras ou encore le fessier de Philippe et lui faisait la même chose avec ma femme.

En le quittant, j'en fis la remarque à ma femme qui en convint. C'était la première fois qu'elle me parlait de cet ancien amant et c'est ainsi que j'appris de la bouche de ma femme qu'il était resté pour elle un excellent souvenir. Elle ajouta qu'ils avaient fait ensemble la découverte du monde du sexe et qu'il s'était montré un amant remarquable. Je me le tenais pour dit.

Le hasard avait fait que cette rencontre se situait quelques jours après que nous ayons eu une conversation sur nos habitudes sexuelles. En fait nous étions d'accord tous les deux, nous nous enlisions. Elle me parla encore des qualités physiques de Philippe, de la taille exceptionnelle de son sexe qu'elle serait heureuse de revoir et me montrer. Fier à bras je rétorquais « J'aimerais bien moi aussi !! »

Le soir même, nous recevons donc le fameux Philippe et prenons tous les trois un whisky au salon. Michèle est assise sur le canapé à côté de son ex tandis que je suis en face d'eux, de l'autre côté de la table basse à apéritif. Philippe est vêtu d'un léger pantalon de flanelle et d'une chemise à manches courtes. Michèle porte un chemisier échancré et sa mini jupe préférée. Le whisky coule bien et la conversation va bon train entre les deux amis qui ont des tas de choses à se raconter sur les dix ans écoulés. Ils semblent décontractés et heureux et passent en revue des événements du passé, des anciennes relations, des souvenirs dont je ne fais pas partie.

Je remarque que Mich1EGRAVE.le, dans la vivacité de sa conversation avec Philippe, pose sa main sur le genou de son voisin. La première fois le geste est vif et la main ne reste pas plus d'une seconde, une petite touche amicale ou accidentelle. Mais elle renouvelle l'accident, juste un peu plus longtemps. J'ai vu et je fais en sorte qu'elle s'en rende compte. J'ai alors l'idée de lui passer, par le regard, un message silencieux en mimant l'endroit où je veux voir tomber sa main la prochaine fois. Je fais tomber ma main sur ma cuisse à mi-chemin entre mon genou et mon aine. Michèle a vu mon geste et quelques secondes plus tard je peux voir sa main tomber sur la cuisse de Philippe exactement à l'endroit indiqué par mes soins. La principale différence est qu'elle reste à cet endroit, posée sur la cuisse de son ami. D'abord immobile la main de Michèle commence à s'animer. Elle bouge un doigt sur le tissu, tout doucement, imperceptiblement elle remue son doigt tandis que Philippe écarte sa jambe pour la mettre en contact avec la cuisse de Michèle.

Si je n'interviens pas Michèle n'osera pas aller plus loin sans ma permission, alors je reprends mon jeu de mime, et alors qu'elle me regarde je porte ma main à mon sexe et la laisse posée là. Mon message est clair, je veux qu'elle mette sa main sur le sexe de Philippe. Je vois dans les yeux de Michèle qu'elle a compris mon message mais qu'elle ne sait pas comment faire. Elle a du mal à mettre délibérément sa main sur le sexe de son ami. Alors je fais une nouvelle distribution d'alcool pour faire sauter cette inhibition. Michèle a trouvé la formule, elle fait juste remonter sa main sur la cuisse de son voisin, progressivement, lentement ; dans cette direction elle va inéluctablement arriver à l'endroit voulu. C'est bien ce qui se passe. La main de Michèle a rampé, millimètre par millimètre sur la flanelle, elle s'approche du but. Je vois que Philippe, dont les sens sont en éveil, commence à faire gonfler son sexe. Il bande à moitié. C'est l'effet de la main de ma femme mais surtout les circonstances qui l'excitent. C'est fait, Michèle est arrivée à destination, la main posée sur la braguette de Philippe, immobile comme pour me dissimuler le renflement indécent.

La conversation est toujours aussi fournie et vive. La main de Michèle reprend du mouvement sur le sexe de son voisin. A ce rythme Philippe va bientôt bander à fond et ne pourra plus cacher son érection. Je vois que Philippe a entrepris une manouvre similaire sur la cuisse de Michèle. Il a posé sa main sur la peau, un peu au-dessus du genou et ses doigts bougent. Ils progressent sur la cuisse de Michèle. Je vois le regard à la fois inquiet et excité de Philippe qui me surveille, qui guette une réaction, il veut savoir jusqu'où je vais le laisser aller. S'il pouvait lire dans mes pensées, il verrait qu'il peut, qu'il doit, aller aussi haut, aussi loin, qu'il veut, que je lui prête ma femme pour la soirée. Que je voudrais qu'il la viole sous mes yeux, là sur le canapé, à l'instant, mais je ne peux pas le lui dire. Ma seule inquiétude est qu'ils n'osent pas tous les deux. C'était sans compter sur les talents de ma femme qui tente, d'une main, d'ouvrir la braguette de Philippe. Cette tentative donne le signal à Philippe qui a compris ce que veut faire sa voisine et qui voyant que je laisse faire, se sent autorisé à pousser sa main sous la jupe de ma femme et à atteindre son slip. Leur conversation a ralenti, ils ne parlent pratiquement plus. Je vois la main de Philippe sur l'intérieur de la cuisse nue de Michèle.

Elle arrive au slip, se glisse dessous à la recherche d'une fente. La trouve, l'écarte, l'ouvre, la masse, la flatte, et y entre. J'ai les yeux rivés sur ces doigts dans cette brèche rose et luisante qui mouille. Ma femme s'ouvre, écarte ses cuisses pour faciliter son accès, elle se trémousse sous la caresse. Dans le même temps elle est enfin parvenue à ouvrir la braguette de Philippe. Elle rencontre maintenant des difficultés pour sortir la queue car Philippe bande énormément et son membre occupe tout le slip tendu à l'extrême. Michèle réussit à le faire jaillir. C'est bien le mot. Le membre se dresse soudain libéré comme s'il était muni d'un ressort. Enfin !!! Le voilà !!! Il est devant moi ce fameux membre dont j'ai entendu parler. Il a effectivement fière allure. Je ne fais pas le poids c'est clair. A vue d'oeil je dirais pas loin de vingt centimètres de long et avec une jolie circonférence. Il se dresse tout droit sur le canapé. Ma femme a mis la main dessus bien évidemment et pour le moment elle retrouve, au toucher, d'anciennes proportions, d'anciens souvenirs. Elle le connaît bien ce sexe avec lequel elle a vécu quand même près de 5 ans. J'ai le drôle de sentiment que le sexe et la main de ma femme se reconnaissent.

Comment expliquer autrement qu'elle sache aussi vite et aussi bien dégager le gland, repousser la peau, arpenter ce membre d'une raideur extrême, dégager ces deux couilles velues et pleines d'espérance. Je vois parfaitement la fente de Philippe, cette fente qui pendant cinq ans avait déversé son foutre dans le ventre, le cul et la bouche de ma femme ; je ne pensais pas avoir un jour l'occasion de la voir pour de bon. Ils étaient là maintenant tous les deux assis en face de moi à se branler mutuellement le plus naturellement du monde comme ils avaient coutume de le faire dans la passé quand je n'existais pas encore. A ce moment là Michèle s'est tournée vers moi et me dit « Je fais quoi maintenant ? Je peux la laisser tranquille et elle va retomber toute seule en quelques minutes mais ce serait dommage de mon point de vue ; je peux la faire gicler avec mes doigts et ma bouche pour que tu voies son jus ; je peux aussi me l'enfiler. » Sans hésiter j'optai pour la troisième formule. Michèle a lâché la queue de Philippe pour se lever et retirer sa jupe et son slip tandis que Philippe se levait pour enlever son pantalon et son slip. Ils furent donc nus en face de moi.

Cela ma permis d'admirer Philippe, ses belles fesses, ses grosses couilles et sa queue magnifique, le tout me faisant bien envie. Puis Michèle fit rasseoir son ami sur le canapé, la queue dressée. Elle resta debout, tournée vers moi et tournant le dos à son ex et passa une patte de chaque côté de ses cuisses pour se mettre juste au-dessus de la queue. Ma femme m'a regardé. Elle voulait s'assurer que je voyais bien comme si je pouvais regarder ailleurs. Philippe tenait sa bite à la main bien droite, gland découvert. Michèle écarta sa fente avec ses doigts et, regardant bien ce qu'elle faisait, elle s'ajusta sur le bout de la queue. Elle entreprit sa descente, très lente, profitant de chaque millimètre gagné qui élargissait un peu plus sa fente. Je voyais disparaître le membre de Philippe qui empalait ma femme. Elle continua ainsi jusqu'à ce qu'elle se trouve assise sur les cuisses de Philippe, à toucher les couilles, sans pouvoir s'enfoncer d'un centimètre de plus. Elle avait tout englouti. Elle resta sans bouger pendant quelques secondes heureuse de ces retrouvailles intimes.

Alors le véritable coït commença. Ma femme se redressa un peu pour se mettre en appui sur ses jambes et elle ressortit ainsi trois ou quatre centimètres de la bite qui la perforait. Philippe mit ses mains sur les hanches de ma femme pour pouvoir accompagner les mouvements d'ascenseur à venir. C'est ma femme qui était aux commandes et elle débuta un lent mouvement de haut en bas et s'efforçant de le faire le plus ample possible sans toutefois que la bite puisse s'échapper. J'étais littéralement fasciné par le spectacle de cet accouplement. Je ne pouvais m'empêcher de penser que réellement cette bite convenait parfaitement à la chatte de ma femme, qu'ils étaient bien assortis. Il y avait déjà cinq minutes ou plus que ma femme montait et descendait sur le pieu de Philippe quand je la vis accélérer soudain son mouvement pour se faire jouir les yeux grands ouverts. Elle parlait, elle disait que c'était bon, qu'elle en voulait encore, qu'elle voulait encore jouir.

Elle le suppliait de durer, de ne pas tirer, pour que je profite du tableau. Michèle se convulsait dans l'orgasme, je le voyais approcher, venir et éclater. Juste avant l'arrivée d'un orgasme Mich&eghrave;le, qui ne pensait plus qu'à son plaisir, se déchaînait et martelait la queue avec sa chatte, elle se serait défoncée toute seule. Il est venu un moment où Philippe a été sur le point de jouir. En homme bien élevé il m'a demandé que faire. Il proposait soit de tirer là où il était soit de sortir pour l'asperger. J'ai hésité un peu avant de lui répondre. D'un côté j'aurais aimé qu'il gicle dans la chatte de ma femme car cela m'aurait permis de la prendre à mon tour et de retrouver le sperme de Philippe dans son vagin ; d'un autre côté j'étais curieux de voir son foutre. En définitive je lui demandais de se retirer, de se lever et de s'approcher de moi. Il le fit et vint vers moi avec sa queue turgescente à la main. Je fis signe à ma femme de s'approcher aussi, de prendre la queue en main, et j'exigeais qu'elle la fasse gicler sur moi. Elle fut un peu troublée par ma demande mais s'exécuta.

Ils étaient tous les deux debout devant moi, nus, à s'occuper de cette bite au bord de l'explosion. Je notais que les couilles de Philippe étaient remontées, signe qu'elles étaient prêtes à décharger. En quelques mouvements de poignet Michèle fit gicler Philippe. Je reçus un premier jet de foutre en pleine figure, épais, chaud, odorant, mais il n'eùt pas le temps d'en expédier un second que je m'étais emparé de cette queue si tentante et me la mettais dans la bouche pour recevoir la seconde vague. J'avalais le sperme de l'amant de ma femme alors que je ne suis jamais parvenu à avaler le mien ni celui de personne.

Cet apéritif fut si réussi que nous convînmes de garder Philippe pour la nuit.

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