TITRE : Pauline
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale
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Jeudi 2 novembre, 20 heures, le téléphone sonne. Je lâche mon énième pastis et tente de me lever, la tête tourne, oh putain… je me ramasse, me relève et attrape ce foutu téléphone.

- Fred ? C'est Pauline, tu vas bien ?

- On fait aller.

Pauline c'est mon ex belle-sœur, sa grande sœur ma laissé tomber il y a cinq mois.

- Tu veux quoi ?

- Toujours aussi sympa l'accueil, à ce que je vois !

- ...

- Voilà, je viens de trouver du taf sur Lyon, je dois attaquer lundi et j'ai pas d'appart en vue. Comme je sais que tu viens de t'installer sur Lyon, je me demandais si tu pouvais pas m'héberger quelques temps ?

- Pour quelques jours ? Pas de problème. T'arrives quand ?

- Ben écoute, là je suis chez ma sœur à Marseille pour récupérer des affaires, je monte demain en fin d'après midi, tu seras là ?

- Je t'attendrai.

Après lui avoir donné mon adresse, expliqué comment s’y rendre, j'ai raccroché et suis allé directement sous la douche. Sous l'eau bien froide, les idées se font plus claires et je remets enfin un visage sur Pauline. Cinq ans plus jeune que moi, 1m60, plutôt bien foutue, très bien foutue même. Ce qui m'a toujours fasciné chez elle, ce sont ses formes, toutes en rondeur : elle n’est pas grosse, ni même rondouillarde, une belle taille de guêpe et de jolies jambes bien élancées mais ses seins et ses fesses ressemblent à de petites balles rondes. Elle est sympa, joyeuse, rigolote et je l'ai toujours bien appréciée. Le plus dur dans l'histoire, c'est qu'elle a le même visage que sa sœur et malgré le temps qui a passé, malgré le changement de région, de boulot, de vie, j'ai encore du mal à oublier celle qui a partagé ma vie pendant sept ans. La cohabitation risque d'être difficile, mais je me promets de ne pas craquer, hors de question que je perde mon temps à pleurer sur mon amour qui m'a quitté...

Samedi est arrivé, je suis tranquillement en train de surfer sur le net quand la sonnette retentit. 15 heures, ce doit être elle. Je vais ouvrir et elle est là, avec trois sacs énormes et son plus beau sourire.

- Vas-y, entre, laisse les sacs, je m'en occupe !

- Merci, c'est sympa chez toi.

Après les discussions d'usages, je l'ai laissée s'installer dans la chambre d'ami et la journée a passé. On s'est installés pour manger et je vous garantis que pour un pauvre célibataire, la cohabitation a du bon : au moins elle sait cuisiner !

- J'espère que ça te dérange pas de m'héberger ?

- T'inquiète, si tu cuisines tous les soirs, tu peux rester aussi longtemps que tu le souhaites, lui dis-je avec un grand sourire.

* * * * * *

Samedi 19 novembre, cela fait maintenant quinze jours qu'elle est arrivée. Cette après-midi, je suis allé aider un pote qui vient de déménager. Il est 19 heures quand je rentre et Pauline me propose un petit apéro. Elle est en chemise de nuit, j'aperçois ses seins qui pointent au travers du tissu blanc en coton, ces jambes dénudées semblent si douces. J'ai la tête qui tourne, c'est la première fois en deux semaine que je la trouve aussi attirante. Faut dire que ça fait bien deux mois que je n'ai pas tiré un coup. J'essaye tout de même de me contrôler et prends le petit jaune qu'elle me tend, on s'assoit et commence à discuter de tout et de rien. Les verres s'enchaînent et soudain la conversation prend une tournure intéressante :

- Tu n'as personne dans ta vie ? demande Pauline.

- Non, calme plat et à dire vrai, j'apprécie le célibat.

- Tu as rencontré quelqu'un depuis ma sœur ?

- Personne.

- Car veut dire que depuis six mois tu n'as pas fait l'amour !

- J'ai rencontré deux ou trois filles en boîte, l'histoire d'une nuit...

- Histoire de se vider les bourses, quoi !

- Euh.. Tout juste.

- Tu sais, moi je n'ai personne depuis six mois et je ne connais encore personne sur Lyon alors je...

- Tu...

- Je me demandais si on ne pouvais pas se rendre service...

- Tu veux que je te présente des copains ? (je suis con, mais je suis con, c'est pas possible !!)

- En fait, je voudrais que tu me fasses l'amour. Je tiens plus et comme ça, je pourrai te soulager...

Je suis en train de rêver, Pauline et devant moi, en chemise de nuit, sur mon canapé et elle veut que je lui fasse l'amour. Le temps de poser mon verre à moitié plein et je lui saute dessus, l'attrapant par la taille, je la renverse sur le canapé...

- Arrête ! On peut pas faire ça aujourd'hui !

- Comment ça ?

- J'ai mes règles.

Deux mois que je n’ai pas touché une femme et elle croit que quelques saignements vont m'arrêter ?

- J'aime pas le faire quand je suis indisposée, mais je peux peut-être m'occuper de toi.

Et les rôles s'inversent, c'est maintenant à son tour de me pousser dans le fond du canapé, elle m'embrasse avec douceur, sa langue contre la mienne pendant que ses mains s'affairent à retirer mon pantalon. Elle déboutonne ma chemise tout doucement, ses lèvres n'ont pas quitté les miennes et me voilà nu comme un ver, au garde à vous ! Elle se redresse, enlève son petit t-shirt et me voila face à une jolie jeune femme qui ne porte qu'une petite culotte au travers de laquelle on devine une serviette hygiénique. Ses seins sont deux magnifiques poires pointant fièrement vers les cieux, son ventre est un peu bombé, sa peau semble si lisse. Je tends la main pour la toucher, elle s'approche, s'assois sur mon sexe en érection, j'enfouis mon visage entre ses seins et commence à les embrasser, mes mains empoignent ses fesses, elle commence à frotter son sexe sur ma verge, de petits va-et-vient, elle s'arrête, recule et se met à genoux devant moi. Ses mains viennent enfin caresser ma verge, ses doigts glissent le long de ma verge, d'une main elle se saisit de mes bourses. De l'autre, elle décalotte mon prépuce et bientôt je sens son souffle sur mon gland. Deux petits coups de langues sur les bourses et voilà ma verge entre ses seins, son regard croise le mien et ne le quitte plus. Pendant ce temps, elle me prodigue une bonne branlette espagnole. Enfin je sens la chaleur et l'humidité de sa bouche sur mon sexe, elle me regarde toujours, elle aspire, elle salive, elle lèche. De petits coups de langues sur mes bourses pendant que sa main opère un va-et-vient sur ma verge et elle me reprend en bouche. Le venin monte, elle le sent et sors ma verge de sa bouche. Sa main est de plus en plus rapide, je résiste, l'effort est douloureux. Soudain mon gland disparaît dans sa bouche, c'est le moment que je choisis pour perdre tout contrôle. J'éjacule, elle me regarde, ma verge toujours dans sa bouche, je sens sa langue se balader sur mon gland. Mon sperme sort de sa bouche et coule le long de ma verge qu'elle relâche, alors elle entreprend, telle une chatte, à lécher ma semence. Je suis maintenant propre et complètement vidé.

- Heureux ? demande-t-elle.

- Aux anges, tu es une suceuse hors pair !

- Je sais, on passe à table ?

Pauline a promis de m'avertir quand elle serait enfin disposée, alors en attendant, je me concentre sur le boulot. La journée a été rude, les clients mécontents et mon patron qui gueule, je suis heureux de rentrer pour retrouver Pauline. Elle est dans le salon, toujours en tenue de travail, dans un petit tailleur noir moulant révélant ses formes généreuses...

- Alors, ta journée ?

- Une vraie galère, je suis vanné ! Et toi ?

- Bien, je prends mes repères ! Au fait je suis prête !

- Bien, très bien, tu préfères en entrée ou au dessert ?

- Tu es vraiment un obsédé ! D'abord on mange, et je choisirais le moment !

Le repas s'est bien passé, nous avons discuté de notre journée et la discussion a tourné musique, cinéma, des banalités quoi ! Maintenant, nous sommes sur le canapé, un western à la télé. Pauline, allongée, a posé sa tête sur ma cuisse. J'ai tenté quelques caresses, mais elle a vite fait de me repousser. Je ronge mon frein, attendant que mademoiselle prenne la direction des opérations. Le film se termine, page de pub, elle se lève et dirige ses pas vers la cuisine.

- Tu veux quelque chose ?

J'ai envie de répondre "toi, ma petite Pauline", mais elle m’a fait comprendre qu'insister ne servirait à rien.

- Un petit café, et amène la chantilly !

Un autre film commence, Pauline a repris sa position, sur ma cuisse, mais cette fois sa tête est plus haute, posée sur mon sexe. Celui ci commence à gonfler, elle le sent et me jette un regard de petite fille intriguée.

Sa main caresse ma verge au travers de mon pantalon, elle se redresse et commence à s'effeuiller. Elle est maintenant face à moi, dans un ensemble en dentelle de couleur noire. Un soutien gorge transparent laisse apparaître de jolies aréoles, son string ne cache rien de son pubis bien fourni, et ses jambes son recouvertes par des bas que retient un joli porte-jarretelles.

- Je suis ton jouet, dit-elle tout en inclinant la tête, me regardant de travers.

Je l'allonge sur le canapé, en dix secondes, elle est entièrement nue. Tout d'abord je l'embrasse langoureusement, dans le même temps, je retire mon pantalon et ma chemise. Nos langues s'entrelacent, je frotte mon sexe prisonnier d'un boxer contre sa chatte. Mes mains entourent ses seins, les caressent puis ma langue excite ses sens, d'abord le cou. Je descends et m'intéresse à ses tétons, mordillant, léchant, aspirant... Elle soupire, son bassin entame des va-et-vient sur ma verge, ses mains caressent mes fesses, me gratte le dos. Je descends encore, caressant son ventre, y déposant de petits baisers. Je m'approche de sa toison, ses mains sur ma tête me poussent, mais je la laisse languir préférant descendre plus bas ; mes mains massent ses pieds et ma langue remonte doucement le long de sa jambe, arrivant au plus près de ses lèvres, je prends garde à ne pas les toucher... Elle est toute excitée, une vrai fontaine, son odeur rappelle le jasmin. J'écarte ses petites lèvres, souffle sur son clitoris, de petits coups de langues, puis je l'aspire, ma langue tourne tout autour et Pauline gémit. Je présente un doigt devant son vagin, elle est tellement lubrifiée qu'il rentre d'un trait. La paume vers le haut, mon doigt caresse la paroi de son vagin, elle aime, elle adore, me dit-elle. Un deuxième doigt s'enfonce en elle et c'est avec un petit cri qu'elle m'accueille. J'entreprends un va-et-vient très lent, tout en douceur. Ma bouche quitte son clitoris et lèche ses lèvres gonflées par le désir. Mes doigts quittent cette grotte ou règne une chaleur humide et se présentent devant sa rosette. D'abord je la caresse, sans la pénétrer, puis je force l'entrée. Son bassin m'accompagne encore, d'un geste violent, elle s'empale sur mon doigt. Je le fais tourner dans tous les sens pendant que ma bouche aspire son bouton d'or. Soudain elle ne veut plus de mes caresses, elle me repousse, relève ses jambes, l'une sur le dossier du canapé et l'autre tenue à la cheville par sa main. J'ai devant moi une femme complètement ouverte. Ses jambes écartées me donnent une vue imprenable sur son vagin et sa rosette. J'enlève mon boxer, me présente devant elle et essuie un refus.

- Tu te débrouille très bien avec ta langue, je voudrais que tu me lèches le petit trou.

Etant un garçon obéissant, je plonge ma bouche entre ses petites fesses rebondies, ma langue léchant le tour de sa rosette, j'enfonce un doigt, le retire puis je vais et je viens. Le doigt laisse place à la langue, je l'enfonce et entame une petite danse. Pendant ce temps, Pauline commence à se masturber, ses cris envahissent la pièce me demandant de continuer puis soudain je sens son ventre tressaillir, de tous petits à-coups et ma Pauline savoure sa petite mort. J'arrête tout, elle gît devant moi, jambes écartées. Son vagin brille, son corps est mouillé, ses seins pointent de manière indécente. J’approche ma verge de son vagin mais elle ferme la porte.

- J'en ai eu assez pour l'instant !

- Et moi je vais rester comme un con, droit comme un i !

Elle prend ma verge dans ses mains.

- La situation est tendue ! constate-t-elle tout en branlant doucement mon membre.

- Laisse-moi deux minutes pour me remettre de ces émotions...

Les deux minutes sont passées, je me présente et Pauline accepte enfin de m'accueillir en elle. Le rythme est lent, à chaque coup en avant, Pauline pousse un petit gémissement. Ma verge rentre et sort, tout doucement, le vilebrequin tourne au ralenti. J'accélère, sa respiration en fait de même. Nous transpirons. Dans la moiteur de l'appartement se joue un concerto de petits "flop" à chaque fois que nos corps se touchent, de petits gémissements accompagnent mes râles de plaisir. Je me retire de son corps délicat. Elle glisse par terre. Elle est maintenant à genoux sur le tapis du salon, son buste posé sur le canapé. Son regard cherche le mien. Que veux-tu ma belle Pauline ! Moi, debout, je regarde ses fesses qu'elle écarte de ses mains. Le sphincter détendu, elle entre deux doigts. De l'autre main, elle se caresse le sexe. D'une toute petite voix, elle me demande de la prendre, de l'enculer mais, dit-elle, ne jouis pas en moi. Alors je fais ma petite affaire, d'abord avec douceur mais la féline se fait violence, s'énerve.

- Défonce-moi, plus fort, oui c'est ça...

Des coups de boutoir, ça elle en prend ! Ses soupirs laissent place à des cris, quelques "oh mon dieu!" plus tard, je sens la fin proche alors je me retire. Telle une furie, elle se jette sur moi, debout le sexe à l'horizontale, elle me retire la capote et engloutit ma verge dans sa bouche. Elle aspire violemment, experte en gorge profonde, je ne vois plus mon sexe. Elle le recrache et c’est mes bourses qui disparaissent maintenant dans sa bouche. De sa main libre, l'autre étant toujours occupé à doigter son petit cul, elle me branle. Sentant que le feu d'artifice est sur le point de commencer, elle me regarde droit dans les yeux. Je me perds dans le vert profond de son regard. Elle attend, la bouche ouverte, que ma semence l'éclabousse. Et le sperme jaillit, il coule dans sa bouche. Sa langue passe sur ses lèvres pour récupérer ce qui reste mais elle n'avale pas, elle me reprend en bouche, étale ma semence sur ma verge puis lèche langoureusement jusqu'au moment ou mon sexe ramollit. Je n'ai plus rien à donner mais elle s'affaire toujours, je suis mou mais ma verge n'a pas quitté sa bouche. Comme si elle espérait un deuxième round.

- Si tu en veux encore, il va falloir attendre un peu !

- De toute façon c'est l'heure d'aller se coucher...

Et voilà ! Comme si de rien n'était ! C'est du Pauline tout craché, après nos parties de plaisir, tout redevient comme avant. Nous ne sommes que deux colocataires, ni plus, ni moins. Je ferme les yeux et m'endors comme un bébé.

* * * * * *

Les mois ont passé, deux pour être exact et Pauline vient de m'annoncer qu'elle avait trouvé un appart. Je tente un sourire qui ne la convainc pas.

- Tu as l'air déçu ?

- Un petit peu, je m'étais habitué à ta présence.

- Moi aussi, mais la situation n'était pas faite pour durer...

- Il va falloir que je me trouve une autre colocataire !

- Je pensais que tu voulais rester seul ! Mais, tu sais, je n'ai pas encore donné mon accord pour l'appartement, alors si je conviens, tu peux peut être me garder...

- Pourquoi pas !

- Mais que ce soit clair, on n'est pas ensemble, chacun est libre.

Chacun est libre !

- Parfait ! Et si on fêtait ça ! dit-elle tout en retirant son chemisier…

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