Le petit nom de Paul me fait penser à un garnement de 8 ou 9 ans, tout
droit sorti de la guerre des boutons, sa fronde à la main. Pas vous ?
Paul m'a contactée pour me demander si je voulais bien le dominer un peu
(enfin, pas qu'un peu).
Prise au jeu.
Je suis souvent sollicitée par des âmes masculines cherchant le fouet et
la badine - ce doit être mon look grande brune musclée qui les inspire, mon
coté Barbarella sauvageonne. J'ai déjà goûté à des fessiers mâles, j'en ai
maltraité quelques-uns, en club ou dans l'intimité, mais pas beaucoup.
Et puis.. je crois que je serais plus sûrement happée par une soumise,
disons une jeune nana qui en "voudrait" et à qui je ferais faire (et
prendre) les 400 coups..
Revenons à Paul.
Derechef, j'ai répondu (hautaine) avec quelques clichés cinglants pour
lui dire que oui, j'étais désormais sa Lady, sa Maîtresse sulfureuse d'un
écart escorté.
Condition : qu'il aille au préalable chercher un plug en magasin,
histoire de s'amadouer les tendres chairs et de me préparer le terrain.
Paul a obtempéré.. mais pas trop vite. Parce que les chairs de Paul,
justement, sont sensibles.. dociles si on insiste, mais quand même.
Diversion : à la vue de mes photos, Paul m'a demandée si je n'étais pas,
pareillement masquée, au C&C (les amateurs reconnaîtront) le jeudi
précédent.. bigre, mes jeux de masques vénitiens me démasquent ! Oui, j'y
étais, Dominette en skai et dentelles, pour vous servir monsieur.
Pendant ce temps, je patiente en pensant au plug. Dans la foulée, je
rappelle à l'ordre mon correspondant pour qu'il saisisse la notion de
respect (DUE!) à sa Lady, en écrivant bien et en majuscule toute
interpellation me mentionnant.
De bonne volonté, mais coriace le petit Paul.
Paul finit par trouver l'engin.
Mais il a les ch'tons, le loulou. De se le mettre, de se l'enfiler, et
de me raconter tout ça.
Je préconise dans mes emails la douceur des lubrifiants.
Paul trouve mieux que ça : il se fait gentiment enfiler le jouet par sa
Maîtresse régulière (que j'aimerais bien connaître au demeurant).
Et il me raconte. Que ce n'était pas si désagréable (ben tiens, comme si
je n'étais pas au courant). Que ça vibrait, que c'était délicat, émouvant.
Le rendez-vous est gagné, la date prise.
Sur les conseils de l'enfileuse, Paul propose de m'attendre à quatre
pattes, nu et les yeux bandés pour l'heure de notre rendez-vous.
Parfait pour Barbarella.
Je suis arrivée dans une jolie chambre bleue, diablesse vêtue de skai à
fermeture éclair et de transparences qui ne cachent rien. Un sac à la main,
tout noir, enfermant précieusement ma cravache, quelques bêtises, et mon
jouet préféré pour la circonstance : une ceinture gode magnifique, de taille
plus que respectable, le cuir rose bonbon pour me sentir plus Femme que
jamais lorsque je baise un cul, qu'il soit mâle ou femelle.
Lors de notre rendez-vous bleu, j'ai joué et compté avec les fessiers
rougis de Paul (garnement bien plus grand et robuste que les petits voyous
de mes films). Il a mérité quelques suceuses récompenses, puis il a montré
les dents de sa rebellion. J'ai dû le menacer de ma ceinture, il en a goûté
la taille imposante, les yeux clos... calmé un instant, l'esprit assoupli..
Son coeur de voyou n'a pas pu s'empêcher de reprendre arrogance, et
croyez-moi, j'ai bien failli lui défoncer le cul à mon grand Paul.
Il s'en est fallu de peu. Ses implorations ont été telles que je me suis
retenue. Je me voyais dans le miroir, immense et noire et ma proie
solidement ancrée au bout de mes ongles rouges, son cul à la portée de ma
fiévreuse érection cérébrale .. bon sang, il y a une ivresse qui monte
lorsque l'on va pénétrer un cul qui s'ouvre, ça vous vient des tripes, ça
vous vient de loin, et ça vous fait bander les neurones avec une violence si
bestiale qu'elle ne discerne plus ses limites qu'à grand peine..
Comme je vous comprends, messieurs, dans ces moments là..
Paul, cher Paul, si nous avons la chance de revivre un peu de ce bleu, je
te prie de bien contenir toute parole arrogante.
Tout soupçon d'arrogance.
Ou bien, je te promets, tu pourras crier et réveiller toutes les âmes
blasées du quartier, quoique tu dises, je te prendrai comme une chienne
écartelée.
Lire l'histoire avec photos :
http://www.lorinaparis.com/histoire9.htm
Lady Lorin.
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